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2 brigade soviétiques sont signalés entre Shpola et Lebedin sur les arrières de la 8ème Armée allemande. Von Vormann envoie ses ordres qui consistent à emttre en place une double pince dotés de blindées pour mettre en pièce le couloir ouvert par le 2nd Front Ukrainien pour pouvoir rétablir un front continu. Les 3ème, 11ème et 14ème Panzerdivisionen doivent avancer sur Kapitanovka en partant du sud tandis que du nord, partant des environs d'Ossitniajka, c'est le groupe Killer ainsi que groupe von Brese qui doivent faire la jonction avec les 3 Panzerdivisionen. A Kapitonovka, la 11ème division Panzer arrive à Kapitanovka tands que la 14ème division Panzer s'empare de Pisarovka. Ordre a été donné par Rotmistrov au 20ème Corps blindé de la Garde de continuer les infiltrations à travers le couloir et à faire défiler tous leurs matériels. La plupart des forces de ce Corps sont à Lebedin tout proche de Kapitanoka. Il s'agit d'avancer vers Zvenigorodka après être passé par Shpola puis Batutino. On se moque totalement de savoir si l'infanterie suit ou pas et si les flancs sont protégés ou non. La vitesse est censé compensée. On rappelle que durant le désastre soviétique de Kharkov, les 21ème et 23ème Corps blindés ont choisi le demi tour pour tenter de briser l'encerclement au lieu de prendre Kharkov en fonçant en avant pour ensuite faire son retour vers ses lignes en passant par le saillant de Ternovaia. Cela aurait signifié un encerclement prématuré de la 6ème Armée allemande, avant même son encerclement à Stalingrad. Rotmistrov a sans doute compris la leçon puisqu'il répond à l'encerclement du XXXXVIIème Panzerkorps par un contre encerclement. Il estime que les 28ème et 18ème corps ce rouvriront le couloir et avanceront à l'ouest en maintenant le couloir en vie pour le passage des 4ème Garde et 53ème Armées.
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il y a 2 ans
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Les 3 Panzerdivisionen se prennnet le 29ème Corps blindé en face dont une brigade parvient à tourner la gauche de la 3ème division Panzer pour détruire ses arrières. On se bat pour le village de Rossoshovatka qui change plusieurs fois de main. Kapitanovka est pénétrée par des T 34 et des SU 76 suite au bombardement intensif des katiouchas depuis leurs arrières. Le batailllon de grenadiers de la 11ème division Panzer en est chassé. 10 T 34 vont vers Tichkovka et vont vers l'ouest. La 80ème Brigade du 20ème Corps fait de même. Les lignes allemandes se rompent et se désarticulent. Pour fermer le couloir de Kapitanovka, il est demander par von Vormann la 320ème division de piétons qui parcourera 50 kilomètres avant d'arriver sur les lieux de scombats. Entre Rossoshovatke et Kapitanovka, les 18ème et 29ème Corps blindés de la 5ème Armée de tanks chargent et percent tandis que la 14ème division Panzer n'arrive pas à bloquer l'aavncée soviétique sur Rossoshovatka en perdant 6 chars sur 12. Et que la11ème division Panzer ne parvient pas à bloquer Tichkovka et encaisse beaucoup de pertes. La présence de plusieurs brigades antichars et d'une division d'infanterie tient le couloir entre Rossoshovatke et Kapitanovka présent. L'énième essai allemand pour sectionner ce couloir avec des Panthers échoue. De plus, les colonnes soviétiques passent au travers les lignes allemandes dans les zones autour de Shpola, Batutuno et Lebedin. Une dizaine d'assuats d'infanterie de la 4ème Armée de la Garde tronçonne le front entre Pastyrskoie et Lousianovka. Les contre attaques allemandes font mal mais ne suffisent pas. A la fin de la journée, la 72ème division d'infanterie allemande cède tandis que la 7ème Parachutiste de la Garde et la 254ème Division de fusiliers percent pour arriver à la gare de Serdyukovka et sur la voie ferrée Novomirgorod Smela. Au nord, la division Panzer SS Wiking et la brigade de Panzergrenadiers SS Wallonie sont plutôt tranquilles.
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il y a 2 ans
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Durant la nuit du 26 au 27 janvier, la 6ème Armée de tanks est identifiée au Q G de la 1ère Armée Panzer. La veille, cette armée avait échoué dans l'axe Tynovka Vinograd. La 27ème Armée au nord doit voir son succès renforcé. Si la 233ème brigade blindée de réserve de Krevchenko avance avec succès, le 5 ème Corps blindé de la Garde et le 5ème Corps mécanisé exploiteront dans la profondeur. La 47ème Corps de la 40ème Armée lui est également confié. Autour de la 233ème brigade blindée, un groupement rapide se rassemble avec les subordinations des 1228-me Régiments de canons automoteurs.
1 bataillon de fusiliers avec des chars d'accompagnement et une batterie de chasseurs de chars SU 122 dirigés par Savelyev sont ajoutés aux forces déjà présentes. Les 200 véhicules de la brigade roulent de nuit pour faire 50 kilomètres. La majorité arrive à Tsapaevka durant le début de la matinée sur la rivière Gniloi Tikich sans prendre le temps de regrouper. Pobierejka est le nouvel objectif. Au nord de Boyarka et de Pobierejka, les défenses allemandes sont percées. La route de Medvin est prise. Finalement, Lysianka est atteinte au sud à 10 kilomètres. Tout cela entraîne le fait que le VIIème Corps est séparé du XXXXIIème. Le mouvement du 5ème Corps blindé de la Garde surprend Wenck car ce corps là a été envoyé par Kravchenko derrière la 233ème Brigade blindée. Ainsi Wenck le pensait il entre Vinograd et Tynovka. Le 5ème Corps mécanisé et la 40ème Armée repousse le VIIème Corps de quelques kilomètres seulement. On se bat pour la ville de Vinograd désormais, notamment le 104ème Corps. Une brigade du 5ème Corps mécanisé fonce sur la jointure situé entre les 34ème et 198ème divisions d'infanterie. Il se trouve qu'à Lysanska les 88ème et 198ème divisions d'infanterie ont mis leurs services arrières et leurs munitions plus carburant. le VIIIème FLiegerkorps n'a pas d'avion disponible. De plus, le Corps B est fixé par des attaques soviétiques des divisions de la 159ème Région fortifiée. Dybnitsy est perdue. La 88ème division d'infanterie fort endommagée se replie sur la rivière Ross sur ordre de Lieb. Les fusiliers des180ème et337ème divisions peuvent désormais passer sur la route menant à Korsun.
1 bataillon de fusiliers avec des chars d'accompagnement et une batterie de chasseurs de chars SU 122 dirigés par Savelyev sont ajoutés aux forces déjà présentes. Les 200 véhicules de la brigade roulent de nuit pour faire 50 kilomètres. La majorité arrive à Tsapaevka durant le début de la matinée sur la rivière Gniloi Tikich sans prendre le temps de regrouper. Pobierejka est le nouvel objectif. Au nord de Boyarka et de Pobierejka, les défenses allemandes sont percées. La route de Medvin est prise. Finalement, Lysianka est atteinte au sud à 10 kilomètres. Tout cela entraîne le fait que le VIIème Corps est séparé du XXXXIIème. Le mouvement du 5ème Corps blindé de la Garde surprend Wenck car ce corps là a été envoyé par Kravchenko derrière la 233ème Brigade blindée. Ainsi Wenck le pensait il entre Vinograd et Tynovka. Le 5ème Corps mécanisé et la 40ème Armée repousse le VIIème Corps de quelques kilomètres seulement. On se bat pour la ville de Vinograd désormais, notamment le 104ème Corps. Une brigade du 5ème Corps mécanisé fonce sur la jointure situé entre les 34ème et 198ème divisions d'infanterie. Il se trouve qu'à Lysanska les 88ème et 198ème divisions d'infanterie ont mis leurs services arrières et leurs munitions plus carburant. le VIIIème FLiegerkorps n'a pas d'avion disponible. De plus, le Corps B est fixé par des attaques soviétiques des divisions de la 159ème Région fortifiée. Dybnitsy est perdue. La 88ème division d'infanterie fort endommagée se replie sur la rivière Ross sur ordre de Lieb. Les fusiliers des180ème et337ème divisions peuvent désormais passer sur la route menant à Korsun.
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il y a 2 ans
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Les 3 Panzerdivisionen en face du 2nd Front Ukrainien dont que la rupture n'est pas aussi franche que celle souhaitée au début. Au bout de la quatrième journée, la percée est toujours en train de s'effectuer et de se terminer. En effet, le 28 janvier, avec un paysage vallonné au sud et accidenté au nord. Les bourgs et villages de Kapitanovka, Tichkovka, Ossitniajka ainsi que Rossoshovatka et Pisarevka dont les seuls points où une défense statique est possible côté allemand. Ces derniers y ont mis 4 unités blindée, à savoir la 11ème division Panzer, qui est divisée en 3 à cause de la poussé des 20ème et 28ème Corps blindés de la 5ème Armée de tanks de la Garde. Au sud, ce sont les 3ème et 14ème divisions Panzers bien que pas plus de 15 chars les 2 divisions pris dans leur ensemble ainsi que le I PanzerRegiment26 qui est plus fort que les 2 premières unités. Ainsi, puisque Kapitanovka, Pisarevka et la majeure partie de Tichkovla est sous contrôle de l'Armée rouge, la solution trouvée consiste à attaquer du sud au nord pour couper le couloir soviétique et permettre aux 15ème PanzerRgt et au groupe de combat von Brese de s'échappe de leur encerclement de part et d'autre de Kapitanovka. 3 divisions d'infanterie de la 53ème Armée sont alignés côté soviétique ainsi que la 18ème Corps blindé de la 5ème Armée de tanks en second échelon et de 2 brigades antichars. Ordre est donné au 26ème Régiment de Pnazers de se joindre au XXXXVIIème Panzerkorps le 27 janvier. Malgré une dotation théorique de 63 chars, 11 sont perdus pour des causes mécaniques et techniques ainsi que que 7 durant le trajet pour des pannes mécaniques, incendies ou encore pour cause d'effondrement d'un pont. Une fois de Pomoshnaia à Zlatopol, cette unité doit aller à gauche du village de Lamenovatka puis aller au nord jusqu'à la droite de Kaptanovka.
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il y a 2 ans
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Etant donné que 5 nouveaux chars arrive pour remplacer les 7 chars perdus, il en a désormais 61. Mais durant ma maneuvre pendant laquelle les 4 compagnies au 15 chars par compagnie se met en formation de combat. Von Vormann lui a demandé d'attaquer en direction de la 11ème division Panzer. Mais l'absence de reconnaissance aérienne fait qu'il ne peut pas savoir qu'au lieu de ça il fonce avec le second échelon de la 5ème Armée de tanks de la Garde, soit le 18ème Corps blindé. Les dernières positions allemande se trouvent à 3 kilomètres au sud de Pisarevka. Une fois les tanks de Glaesgen repérés par les soviétiques, l'artillerie commence à bombarder. La 1ère Compagnie va à 1 kilomètres à l'est de Tichkova dans une petite dépression. Les 2 compagnies sortant de la dépression se font attaqué par une dizaine de T 34 qui détruisent les chars allemands depuis le côté. Mais la 3ème section, après avoir passé les tirs des armes antichars soviétiques pour mettre hors de combat la plupart des T 34 depuis 1 kilomètres. Des paks s'attaquent encore plus loin à la compagnie, contre lesquels ils répliquent à coup de MG 42 ou d'obus explosif. Gaesgen et son successeur Lemmer meurent au cours des combats dans la tourelle de leurs chars tués par des snipers soviétiques. On tente de reprendre Pisarevka à l'aide de l'artillerie durant l'après midi avant que plus de 20 Stukas ne prennent le relais. Mais les bombes sont larguées depuis une hauteur trop importante à cause de la DCA soviétique qui donne à plein. Puis, ce sont 2 Panthers qui explosent à cause des canons antichars camouflés sur la droite alors que les Panzers fonçaient en directino de la côté 209.4.
Ensuite, la crête est atteinte après que le 26ème Régiment ait avancé vers cette direction et que 2 T 34 soviétiques se soient fait mettre hors de combat par les Panthers allemand tandis que les autres T 34 se replient. Mais une fois à l'arrêt pour attendre l'arrivée de Busing, des canons de 57 mm détruisent un Panther. Ordre est ensuite donné à Mayer de revenir sur la côte 205.4. Etant donné que les camions de ravitaillement ont été détruits par des T 34, il ne reste plus qu'à regagner ses positions de base. D'autant plus de 44 Panthers sur les 61 ont été perdus si on en croit les écrit de Zetterling et Frankson dans leur ouvrage intitulé : "The Korsun Pocket" à la page 94. Parmi les 44 Panthers détruits, selon eux, 34 parviennent à être remorqués pour y être réparés plus tard tandis que l'historien Nash parle de 20 Panthers définitivement détruits et irréparables à la page 97 de son ouvrage intitulé : " Hell's Gate ".
Ensuite, la crête est atteinte après que le 26ème Régiment ait avancé vers cette direction et que 2 T 34 soviétiques se soient fait mettre hors de combat par les Panthers allemand tandis que les autres T 34 se replient. Mais une fois à l'arrêt pour attendre l'arrivée de Busing, des canons de 57 mm détruisent un Panther. Ordre est ensuite donné à Mayer de revenir sur la côte 205.4. Etant donné que les camions de ravitaillement ont été détruits par des T 34, il ne reste plus qu'à regagner ses positions de base. D'autant plus de 44 Panthers sur les 61 ont été perdus si on en croit les écrit de Zetterling et Frankson dans leur ouvrage intitulé : "The Korsun Pocket" à la page 94. Parmi les 44 Panthers détruits, selon eux, 34 parviennent à être remorqués pour y être réparés plus tard tandis que l'historien Nash parle de 20 Panthers définitivement détruits et irréparables à la page 97 de son ouvrage intitulé : " Hell's Gate ".
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il y a 2 ans
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Cette fois, les Allemands ont perdu plus de chars que les Soviétiques puisque seulement 25 T 34 ont été mis hors de combat. La coupure des lignes de Rotmistrov n'a pas été durable malgré l'attaque de la 26ème Panzer Reg et la coordination n'a pas été suffisante du côté des 3ème, 11ème et 14ème divisions Panzers. La 8ème Armée quant à elle tente tans bien que mal la tentative de percée des forces de Koniev. La 155ème Brigade blindée 6 SU 76 occupent Kasatkoie et 3 T 34 sont aperçus à Topilno juste au nord ouest de Shpola. A Bagatchovka, une unité du train du XIème Corps se fait partiellement détruite après avoir été surpris par des éléments d'unités soviétiques. Zvenigorodka est enfin atteinte à 16 heures après que la brigade de Prochine ait détruit 2 canons antichars. Une heure plus tard c'est une véritable jonction qui s'achève au nord ouest de Zvenigorodka avec la 233èmeBrigade blindée du groupe du général Sevelyev, brigade elle même sous les ordres du 5ème Corps de la Garde. Par contre, si Kravchenko avait désobéi aux ordres et avait disposé ses forces radicalement au lieu de concentriquement et fondé sur les routes menant à Goroditché et Korsun Shevchenkovski au lieu de tout perdre plusieurs heures à rassembler ses forces sur une cible qui est déjà tombée entre leurs mains, 2 journées auraient suffit pour conclure la bataille. Ce n'est pas la première ni la dernière fois que les soviétiques verront des semi victoires puisqu'avant cela, le 22 novembre 1942, les 4ème et 26ème Corps blindés avaient pris le pont de Kalatch et qu'une brèche de 30 kilomètres s'est ouverte. S'étaient ils engagés par cette voie qu'ils seraient arrivés facilement à Pitombik qui est l'aéroport principal de Stalingrad, réduisant la durée de la bataille pour la réduction de la 6ème Armée de 8 semaines, sachant que tout secours pour la 6ème Armée aurait été impossible.
De plus, durant le même mois de janvier 1944, malgré la connaissance des défenses allemands de son secteur et de ses faiblesses, Kravchenko fait le choix de s'en tenir strictement aux ordres. Preuve encore une fois que l'autonomie et l'initiative sont des manquements durables au sein de l'URSS. Les 28 et 29 janvier, les 1ère et 3ème Armées de tanks sont menacés d'isolement à cause de la contre attaque menée par le IIIème Panzerkorps. La perte des Corps blindés de Vatounine en février 1943 sous ordre de Staline de les pousser trop loin lui est probablement resté dans la tête ce qui expliquerait pourquoi il Katoukov et Rybalko ont attirés bien plus son attention que Kravchenko. Les 2 premiers étant les 2 chefs respectifs des 1ère et 3ème Armées de tanks, dont la mission est d'avancer vers Zhitomir et Berditchev. De plus, le 29ème Corps se place au sud tandis que le 20ème tente l'encerclement à Zvenigorodka. Dans la nuit du 28 au 29 janvier, le 18ème Corps se positionnent en réserve centrale à Shpola. Mais ce n'est que le 30 janvier que ses forces sont rassemblées véritablement, ayant été étirés sur plus de 30 kilomètres.
De plus, durant le même mois de janvier 1944, malgré la connaissance des défenses allemands de son secteur et de ses faiblesses, Kravchenko fait le choix de s'en tenir strictement aux ordres. Preuve encore une fois que l'autonomie et l'initiative sont des manquements durables au sein de l'URSS. Les 28 et 29 janvier, les 1ère et 3ème Armées de tanks sont menacés d'isolement à cause de la contre attaque menée par le IIIème Panzerkorps. La perte des Corps blindés de Vatounine en février 1943 sous ordre de Staline de les pousser trop loin lui est probablement resté dans la tête ce qui expliquerait pourquoi il Katoukov et Rybalko ont attirés bien plus son attention que Kravchenko. Les 2 premiers étant les 2 chefs respectifs des 1ère et 3ème Armées de tanks, dont la mission est d'avancer vers Zhitomir et Berditchev. De plus, le 29ème Corps se place au sud tandis que le 20ème tente l'encerclement à Zvenigorodka. Dans la nuit du 28 au 29 janvier, le 18ème Corps se positionnent en réserve centrale à Shpola. Mais ce n'est que le 30 janvier que ses forces sont rassemblées véritablement, ayant été étirés sur plus de 30 kilomètres.
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il y a 2 ans
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Le retour de Manstein s'effectue à Proskurov le 28 janvier où il apprendre que 2 Armées de tanks soviétiques encerclent 2 Corps allemands. Les solutions trouvés consistent d'abord à régler le problème de l'unité du commandement puisque le XXXXIIème COrps du général Lieb de la 1ère Armée Panzer est rattaché à la 8ème Armée tout comme le XIème Corps qui est l'autre Corps encerclé. En réalité il aurait probablement du les mettre sous l'aile de la 1ère Armée Panzer étant donné qu'elle effectue le gros de l'effort pour la tentative de libération des encerclés. Ensuite, un pont aérien doit être mis en place en Uman et Korsun. Pour délivrer les 2 Corps, une force armée considérable doit être mis sur pieds après les pertes importantes des journées précédentes. La 1ère Armée Panzer doit libérer le IIIème Panzerkorps dont l'aile gauche affronte la 1ère Armée de tanks de la Garde. A la 8ème Armée il est demandé par Manstein d'attaquer encore vers Kapitanovka. Von Vormann reçoit ensuite Wohler à son QG situé à Novomirgorod durant la nuit. Wohler lui fait savoir qu'il a désormais en charge la 13ème division Panzer et donc partir de Zatopol où elle combattait aux côté du LIIème Corps jusque là. Vu qu'au sein du front sud s'est ouverte une brèche béante, il fallait prendre des mesures d'urgence. C'est ce que va tenter de faire Manstein avec l'opération Winterrreise qui consiste à faire retraiter la front ouest derrière la ligne située sur la rivière Rossava qui est un affluent du Dniepr. Il s'agit de préserver des forces en se mettant sur une ligne située entre Boguslav et Kagarlyk en passant par Mironova à quelques dizaines de kilomètres en arrière. Le front à défendre passe de 300 à 210 kilomètres avec le recul, sachant qu'il est également plus facile à défendre. Il s'agit ensuite aux unités économisées d'aller vers le suf de la poche pour empêcher l'Armée rouge d'atteindre Korsun.
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il y a 2 ans
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L'abandon du saillant sur le Dniepr est demandé à plusieurs reprises par Manstein à Hitler, ce qui est dans un premier temps refusé. Il s'agit pour Manstein d'éviter un autre Stalingrad. Mais au delà même du risque de voir 2 Corps allemands détruits, ce qui serait un échec cuisant, il y a la catastrophe de la destruction potentielle d'une Armée allemande entière comme à Stalingrad voire dans le pire des cas de l'intégralité d'un Groupe d'Armées, le Groupe d'Armées Sud. Une destruction complète d'un Groupe d'Armées entraînerait l'effondrement total côté allemand, similaire à ce qu'on verra plus tard du côté du Groupe d'Armées Centre lors de l'opération Bagration en été 1944. Gehlen sait que l'objectif stratégique suprême n'est pas tant l'encerclement à l'allemande mais la désarticulation et la séparation des unités allemandes. Ce que même Manstein et Zeitzler ne semblent pas voir. Le 28 janvier, une brèche de 60 kilomètres existe entre la 1ère Armée Panzer à Tchizhovka et la 8ème Armée à Novomirgorod après que Zvenigorodka ait été prise. Il aurait été possible pour une ou deux unités soviétiques d'aller à Pervomaisk puis Odessaà 270 kilomètres du point de départ en ne rencontrant qu'un simple régiment roumain et quelques unités de postes et de train. Voire la faible 2ème Division de Parachusite. Les 6ème et 8ème Armées auraient pu être séparés dans le scénario tout sauf impossible d'une avancée rapide jusqu'à la mer Noire. Et leurs arrières coupées. Cela aurait ouvert la route de la Roumanie en plus d'enfermer 400 00 combattants répartis en 25 divisions ainsi que tout leur matériel. Concrètement la guerre aurait pu se terminer à la fin de l'année 1944 en décembre dans le meilleur scénario et toute l'Allemagne aurait bien pu être occupée par l'Armée rouge. Malgré cela, les mémoires de Joukov et Koniev n'en parlent pas et aucune unité se se situe au delà d'Ektaterinopol situé à 10 kilomètres su sud de Zvenigorodka.
Et personne au sein de la Stavka n'a signalé cette possibilité. A noter que le manque de renforts en chars n'est pas disponibles pour renforcer les 1ère et 3ème Armées de tanks et que la 1ère se fait bien amoché par le IIIème Panzerkorps. De plus, il y a le menace d'une libération potentielle depuis l'aile gauche allemand des 1ère, 16ème et 17ème divisions Panzers ainsi que la Leibstandarte SS Adolf Hitler accompagnés du Régiment de chars lourds Bake qui aurait pu faire peser une grande menace sur leurs flancs. Surtout que ces divisions allemandes blindés comportent plus de 300 chars dont plus de 120 Tigres et Panthers face à seulement 200 blindés soviétiques dont une majorité de T 34 75 surclassés par les Panthers et les Tigres allemands. D'où la préférence pour Joukov de renforcer l'aile droite de Vatounine au lieu de prendre ce risque. De plus, les forces mobiles chars et canons aotomoteurs compris ne sont dans l'ensemble pas suffisant que ce soit du côté de la 5ème Armée de tanks comme de la 6ème Armée avec respectivement plus de 150 et moins de 50 chars. Autrement dit aucune possibilité de tirer des forces de ses 2 armées. Et impossibilité pour ces 2 Armées de faire 260 voire 270 kilomètres par manque de carburant. Le 5ème Corps mécanisé doit partir de la 40ème Armée pour être ajouté aux forces de Vatounine sur son aile droite justement. Sauf que le IIIème Panzerkorps n'est plus là une fois Stari Zhivotin atteint ce qui fait que Kravchenko récupérera ce Corps en fin de compte le 2 février 1944.
Et personne au sein de la Stavka n'a signalé cette possibilité. A noter que le manque de renforts en chars n'est pas disponibles pour renforcer les 1ère et 3ème Armées de tanks et que la 1ère se fait bien amoché par le IIIème Panzerkorps. De plus, il y a le menace d'une libération potentielle depuis l'aile gauche allemand des 1ère, 16ème et 17ème divisions Panzers ainsi que la Leibstandarte SS Adolf Hitler accompagnés du Régiment de chars lourds Bake qui aurait pu faire peser une grande menace sur leurs flancs. Surtout que ces divisions allemandes blindés comportent plus de 300 chars dont plus de 120 Tigres et Panthers face à seulement 200 blindés soviétiques dont une majorité de T 34 75 surclassés par les Panthers et les Tigres allemands. D'où la préférence pour Joukov de renforcer l'aile droite de Vatounine au lieu de prendre ce risque. De plus, les forces mobiles chars et canons aotomoteurs compris ne sont dans l'ensemble pas suffisant que ce soit du côté de la 5ème Armée de tanks comme de la 6ème Armée avec respectivement plus de 150 et moins de 50 chars. Autrement dit aucune possibilité de tirer des forces de ses 2 armées. Et impossibilité pour ces 2 Armées de faire 260 voire 270 kilomètres par manque de carburant. Le 5ème Corps mécanisé doit partir de la 40ème Armée pour être ajouté aux forces de Vatounine sur son aile droite justement. Sauf que le IIIème Panzerkorps n'est plus là une fois Stari Zhivotin atteint ce qui fait que Kravchenko récupérera ce Corps en fin de compte le 2 février 1944.
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il y a 2 ans
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De plus, énormément de forces allemandes pourraient être prises à Korsun Schvchenkovski à en croire Joukov, ce qui vaudrait largement le fait de tenter une chevauchée risquée au sud. Or, l'estimation de la prise allemande est largement surestimée. 11 divisions se trouveraint dans le chaudron selon les services de renseignement soviétiques. Des divisions complètes qui plus est ce qui signifirait en théorie 100 000 hommes encerclés. Or, il se trouve que les 57ème, 72ème et 88ème divisions d'infanterie et la majorité de leurs soldats sont là ainsi que la 389ème division d'infanterie, la Division Panzer Wiking et la Brigade Wallonie. Cela fait 6 seulement vu que seule une minorité de la 14ème divisions Panzer du groupe von Brese, de la 168ème division d'infanterie ainsi que de la Division de sûreté 213 s'y trouvent ce qui réduit considérablement les chiffres réels par rapport aux estimations soviétiques. De plus, le renseignement soviétique voit le Corps B comme un Corps allemand comme un autre qui serait doté de 3 divisions alors qu'en réalité, ses 3 divisions sont très affaiblies et dispose d'effectifs réduits. Ces divisions en question sont les 112ème, 255ème et 332ème divisions d'infanterie qui possède un tiers de leurs effectifs chacune. Soit une seule division au complet seulement. De plus, en voulant bien se faire voir aurpès de Staline, Koniev s'est montré prompt à l'éxagération puisqu'il parle de l'encerclement de Kanev comme d'un Stalingrad bis et ce dès le 29 janvier. Vu que la grande solution de la chevauchée du sud semblait extrêmement risquée au vu des moyens limités de l'Armée rouge dans ce secteur à ce moment là, mieux valait donc une petite solution à Korsun Shevchenkovski.
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il y a 2 ans
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Ordre est donné par la Stavka le 29 janvier d'en finir avec Korsun pour. Il s'agit d'élargir leur percée pour y introduire la majorité des éléments des Armées combinée. Puis mettre en place 2 lignes d'encerclement, une ligne intérieure et une ligne extérieure. La première doit réduire la poche d'encerclés tandis que la deuxième doit empêcher les secours de venir depuis l'extérieure de l'encerclement. On a vu ce double anneau déjà opéré à Stalingrad auparavant. Enfin, la division de la poche en 2, 3 voire 4 parties est préconisé par la doctirne soviétique pour pouvoir plus facilement les réduires un à un. Vu que 75% des Panzerdivisionnen sont en Ukraine parmi celles présentes sur le front est et que Manstein viendra au secours des assiégés, il est décidé que la 5ème et 6ème Armées de tanks devront former l'anneau extérieur sachant qu'à la 5ème Armée de tanks, le 5ème Corps mécanisé avec ses fusiliers lui est retiré avant la formation de l'anneau extérieur. Ce qui ne laisse donc que le 5ème Corps de cavalerie de la Garde du côté de l'anneau intérieur, ce qui est le strict minimum. Les 2 lignes font 120 kilomètres de longueur et donc puisque les 27ème et 52ème Armées combinées, peu conséquentes et pas dotées de chars ou presque doivent occuper 75% de l'anneau intérieur à l'ouest, au nord et à l'est, ce sera à la 53ème Armée et ses 11 divisions de garder les 340 kilomètres au sud ainsi que les 7 divisions de la 40ème Armée du côté du 2nd Front d'Ukraine ainsi que la 5ème et 6ème Armées de tanks accompagnées de 5 divisions de la 40ème Armée. A noter qu'avec 375 hommes au kilomètres et 90 000 soldats effectés à l'encerclement au total, l'enveloppement est plus de 4 fois moins dense qu'à Stalingrad, ce qui causera quelques difficultés à tenir cet encerclement. De plus, les forces dirigées par Koneiv sont toujours vers Kapitanovka à se battre contre le XXXXVIIème Panzerkorps de von Vormann.
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il y a 2 ans
La rage des pros russes , l'OTAN va démembré votre pays en plusieurs états et les états deviendront la vache a lait de l'occident
Rappel.
La contre-offensive ukrainienne a besoin d'un plan B
Le « plan A » américain en Ukraine est sous assistance respiratoire.
Pendant des mois, les responsables américains avaient envisagé la contre-offensive planifiée de longue date du gouvernement Zelensky comme le meilleur espoir de transformer l'invasion russe de l'Ukraine en un échec décisif, forçant Poutine à demander la paix. Ils ont postulé que même si l'Ukraine s'avérait finalement incapable de chasser les forces russes de tout le territoire ukrainien, la contre-offensive donnerait à Kiev un poids significatif à la table diplomatique. Au minimum, l'Ukraine sortirait de la guerre en tant que nation forte et indépendante, dotée d'une armée soutenue par l'Occident plus que capable de bloquer toute nouvelle agression russe pour les années à venir.
Quelque six semaines après le début de la contre-offensive ukrainienne, les choses ne se déroulent pas comme prévu. Bien que les estimations des dégâts varient, l'Ukraine a perdu un nombre important d'hommes et d'armes, tout en faisant des progrès négligeables contre les redoutables défenses russes.
Malgré de vigoureux efforts de recrutement et de conscription, l'Ukraine a trop peu de soldats pour rassembler l'avantage de trois contre un généralement considéré comme nécessaire pour une offensive réussie. Ses stocks d'obus d'artillerie et de missiles anti-aériens, vitaux pour le succès sur le champ de bataille, s'amenuisent. En conséquence, l'armée de l'air russe - qui a été utilisée avec parcimonie l'année dernière face à l'efficacité des défenses aériennes ukrainiennes - opère désormais plus activement près des lignes de front, dévastant les forces d'attaque ukrainiennes.
Le pointage du doigt pour cet échec est déjà en cours. De plus en plus, les responsables ukrainiens reprochent ouvertement à l'Occident de ne pas fournir suffisamment d'armures, d'avions, d'artillerie, de missiles et de munitions. Des responsables américains anonymes reprochent aux Ukrainiens de ne pas mener d'opérations interarmes à l'occidentale pour déjouer et devancer leurs adversaires russes laborieux.
Peu importe qui est en faute, il n'y a pas de solutions rapides ou faciles aux problèmes qui assaillent la contre-offensive. Même si les États-Unis et l'OTAN disposaient de quantités suffisantes d'armes et de munitions pour approvisionner l'Ukraine, la question fondamentale ne peut être résolue simplement en fournissant à l'Ukraine des armements de pointe. Les opérations interarmes comptent parmi les efforts les plus sophistiqués de la guerre conventionnelle et ne s'apprennent pas à la volée.
L'armée américaine, par exemple, s'est longtemps appuyée sur la flexibilité tactique, le jugement et l'initiative des sous-officiers (sous-officiers) et des officiers subalternes. Ce concept, appelé « Mission Command », est un élément essentiel des opérations interarmes américaines. Il permet même au marin ou au soldat le plus junior de s'adapter habilement sur le champ de bataille pour créer ou maintenir son élan, en particulier lors d'opérations interarmes, qui sont très dynamiques et fluides. Cette approche a été affinée au cours de près de 100 ans de développement et de formation continus.
En revanche, l'Ukraine a peu d'expérience dans les opérations interarmes de style occidental et manque de temps pour former une force importante à cette approche de la guerre. Bien qu'elle ait commencé lentement à s'adapter, l'armée ukrainienne est toujours profondément enracinée dans les tactiques et la culture offensives de l'ère soviétique, centralisant la prise de décision au sommet tout en pénalisant les soldats subordonnés qui osent s'écarter du plan.
Essentiellement, l'Ukraine doit reconstituer son armée et mettre en place une nouvelle philosophie pour mener une guerre interarmes efficace.
Mais même une transformation aussi importante ne résoudrait toujours pas la lacune critique de l'Ukraine dans cette guerre : la puissance aérienne. Selon le service de recherche du Congrès , l'armée de l'air ukrainienne compte 132 avions, contre 1 391 en Russie. Fournir à l'Ukraine une vingtaine de chasseurs F-16, dont les exigences de maintenance complexes rendent l'avion inadapté aux conditions en Ukraine, ne comblera guère cet écart. Comme l'a dit le président des chefs d'état-major interarmées, le général Mark Milley, à Politico en mai, "il n'y a pas d'armes magiques dans la guerre, les F-16 n'en sont pas, et rien d'autre non plus".
Dans des circonstances aussi difficiles, quels sont les choix de Kiev ? Une option serait de maintenir son cap actuel, en pariant que les récentes querelles pourraient faire s'effondrer l'armée russe – et finalement le régime de Poutine – de l'intérieur. Cependant, les risques d'un tel pari seraient importants. Si l'Ukraine continue ses assauts sous-équipés et sous-soutenus contre les défenses russes retranchées, elle pourrait épuiser ses ressources et se rendre dangereusement vulnérable à une contre-attaque russe. Cela s'est déjà produit auparavant - en 1943, la bataille de Koursk a épuisé la Wehrmacht de l'Allemagne nazie et a permis aux Soviétiques de contre-attaquer sur une ligne de front trop longue pour que les nazis puissent la gérer. Le résultat fut un massacre qui ne s'arrêta que lorsque l'Armée rouge fut à Berlin.
En fait, l'Ukraine a une meilleure option. En déplaçant leur attention de l'attaque vers la défense tout en raccourcissant et en renforçant leurs lignes défensives, les Ukrainiens pourraient forcer l'armée russe à quitter la sécurité de son réseau défensif. Avec moins de territoire à défendre pour l'Ukraine, elle pourrait masser des troupes à des points critiques de l'espace de combat, permettant à ses commandants de maximiser l'effet de son blindage et de son artillerie tout en préservant les réserves essentielles de munitions. Faire ce changement maintenant pourrait permettre à l'Ukraine de conserver des zones de la région du Donbass que la Russie a officiellement annexées mais qu'elle n'a pas encore saisies, plaçant Kiev dans une position de négociation plus forte que sa contre-offensive défaillante est susceptible de produire.
Jouer la défense est intrinsèquement plus facile que de monter une grande offensive, et les chances de succès militaire de l'Ukraine dans un tel changement seraient élevées. L'armée russe d'aujourd'hui n'est pas l'Armée rouge de 1943, et il est loin d'être certain que les Russes aient la capacité logistique et organisationnelle pour atteindre Kiev. L'armée ukrainienne a montré pendant près d'un an et demi qu'elle était capable de contrecarrer les opérations offensives de la Russie, en particulier avec le soutien et les encouragements continus de l'Occident.
Certes, un virage ukrainien vers la défense ne conduirait pas, à lui seul, la Russie à la table des négociations. Mais, s'il est couplé à une approche diplomatique qui incite la Russie à mettre fin aux combats plutôt qu'à les prolonger pour maintenir l'Ukraine hors de l'OTAN, cela pourrait bien inciter la Russie à viser à sécuriser ses gains encore assez limités par une fin négociée de la guerre. Il est temps d'essayer.
La contre-offensive ukrainienne a besoin d'un plan B
Le « plan A » américain en Ukraine est sous assistance respiratoire.
Pendant des mois, les responsables américains avaient envisagé la contre-offensive planifiée de longue date du gouvernement Zelensky comme le meilleur espoir de transformer l'invasion russe de l'Ukraine en un échec décisif, forçant Poutine à demander la paix. Ils ont postulé que même si l'Ukraine s'avérait finalement incapable de chasser les forces russes de tout le territoire ukrainien, la contre-offensive donnerait à Kiev un poids significatif à la table diplomatique. Au minimum, l'Ukraine sortirait de la guerre en tant que nation forte et indépendante, dotée d'une armée soutenue par l'Occident plus que capable de bloquer toute nouvelle agression russe pour les années à venir.
Quelque six semaines après le début de la contre-offensive ukrainienne, les choses ne se déroulent pas comme prévu. Bien que les estimations des dégâts varient, l'Ukraine a perdu un nombre important d'hommes et d'armes, tout en faisant des progrès négligeables contre les redoutables défenses russes.
Malgré de vigoureux efforts de recrutement et de conscription, l'Ukraine a trop peu de soldats pour rassembler l'avantage de trois contre un généralement considéré comme nécessaire pour une offensive réussie. Ses stocks d'obus d'artillerie et de missiles anti-aériens, vitaux pour le succès sur le champ de bataille, s'amenuisent. En conséquence, l'armée de l'air russe - qui a été utilisée avec parcimonie l'année dernière face à l'efficacité des défenses aériennes ukrainiennes - opère désormais plus activement près des lignes de front, dévastant les forces d'attaque ukrainiennes.
Le pointage du doigt pour cet échec est déjà en cours. De plus en plus, les responsables ukrainiens reprochent ouvertement à l'Occident de ne pas fournir suffisamment d'armures, d'avions, d'artillerie, de missiles et de munitions. Des responsables américains anonymes reprochent aux Ukrainiens de ne pas mener d'opérations interarmes à l'occidentale pour déjouer et devancer leurs adversaires russes laborieux.
Peu importe qui est en faute, il n'y a pas de solutions rapides ou faciles aux problèmes qui assaillent la contre-offensive. Même si les États-Unis et l'OTAN disposaient de quantités suffisantes d'armes et de munitions pour approvisionner l'Ukraine, la question fondamentale ne peut être résolue simplement en fournissant à l'Ukraine des armements de pointe. Les opérations interarmes comptent parmi les efforts les plus sophistiqués de la guerre conventionnelle et ne s'apprennent pas à la volée.
L'armée américaine, par exemple, s'est longtemps appuyée sur la flexibilité tactique, le jugement et l'initiative des sous-officiers (sous-officiers) et des officiers subalternes. Ce concept, appelé « Mission Command », est un élément essentiel des opérations interarmes américaines. Il permet même au marin ou au soldat le plus junior de s'adapter habilement sur le champ de bataille pour créer ou maintenir son élan, en particulier lors d'opérations interarmes, qui sont très dynamiques et fluides. Cette approche a été affinée au cours de près de 100 ans de développement et de formation continus.
En revanche, l'Ukraine a peu d'expérience dans les opérations interarmes de style occidental et manque de temps pour former une force importante à cette approche de la guerre. Bien qu'elle ait commencé lentement à s'adapter, l'armée ukrainienne est toujours profondément enracinée dans les tactiques et la culture offensives de l'ère soviétique, centralisant la prise de décision au sommet tout en pénalisant les soldats subordonnés qui osent s'écarter du plan.
Essentiellement, l'Ukraine doit reconstituer son armée et mettre en place une nouvelle philosophie pour mener une guerre interarmes efficace.
Mais même une transformation aussi importante ne résoudrait toujours pas la lacune critique de l'Ukraine dans cette guerre : la puissance aérienne. Selon le service de recherche du Congrès , l'armée de l'air ukrainienne compte 132 avions, contre 1 391 en Russie. Fournir à l'Ukraine une vingtaine de chasseurs F-16, dont les exigences de maintenance complexes rendent l'avion inadapté aux conditions en Ukraine, ne comblera guère cet écart. Comme l'a dit le président des chefs d'état-major interarmées, le général Mark Milley, à Politico en mai, "il n'y a pas d'armes magiques dans la guerre, les F-16 n'en sont pas, et rien d'autre non plus".
Dans des circonstances aussi difficiles, quels sont les choix de Kiev ? Une option serait de maintenir son cap actuel, en pariant que les récentes querelles pourraient faire s'effondrer l'armée russe – et finalement le régime de Poutine – de l'intérieur. Cependant, les risques d'un tel pari seraient importants. Si l'Ukraine continue ses assauts sous-équipés et sous-soutenus contre les défenses russes retranchées, elle pourrait épuiser ses ressources et se rendre dangereusement vulnérable à une contre-attaque russe. Cela s'est déjà produit auparavant - en 1943, la bataille de Koursk a épuisé la Wehrmacht de l'Allemagne nazie et a permis aux Soviétiques de contre-attaquer sur une ligne de front trop longue pour que les nazis puissent la gérer. Le résultat fut un massacre qui ne s'arrêta que lorsque l'Armée rouge fut à Berlin.
En fait, l'Ukraine a une meilleure option. En déplaçant leur attention de l'attaque vers la défense tout en raccourcissant et en renforçant leurs lignes défensives, les Ukrainiens pourraient forcer l'armée russe à quitter la sécurité de son réseau défensif. Avec moins de territoire à défendre pour l'Ukraine, elle pourrait masser des troupes à des points critiques de l'espace de combat, permettant à ses commandants de maximiser l'effet de son blindage et de son artillerie tout en préservant les réserves essentielles de munitions. Faire ce changement maintenant pourrait permettre à l'Ukraine de conserver des zones de la région du Donbass que la Russie a officiellement annexées mais qu'elle n'a pas encore saisies, plaçant Kiev dans une position de négociation plus forte que sa contre-offensive défaillante est susceptible de produire.
Jouer la défense est intrinsèquement plus facile que de monter une grande offensive, et les chances de succès militaire de l'Ukraine dans un tel changement seraient élevées. L'armée russe d'aujourd'hui n'est pas l'Armée rouge de 1943, et il est loin d'être certain que les Russes aient la capacité logistique et organisationnelle pour atteindre Kiev. L'armée ukrainienne a montré pendant près d'un an et demi qu'elle était capable de contrecarrer les opérations offensives de la Russie, en particulier avec le soutien et les encouragements continus de l'Occident.
Certes, un virage ukrainien vers la défense ne conduirait pas, à lui seul, la Russie à la table des négociations. Mais, s'il est couplé à une approche diplomatique qui incite la Russie à mettre fin aux combats plutôt qu'à les prolonger pour maintenir l'Ukraine hors de l'OTAN, cela pourrait bien inciter la Russie à viser à sécuriser ses gains encore assez limités par une fin négociée de la guerre. Il est temps d'essayer.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
La rage des pros russes , l'OTAN va démembré votre pays en plusieurs états et les états deviendront la vache a lait de l'occident
Les États-Unis prévoient de commencer à livrer des chars Abrams à l'Ukraine en septembre
Les chars américains Abrams devraient arriver sur le champ de bataille ukrainien en septembre, selon six personnes familières avec la planification, alors que les forces de Kiev s'efforcent de reprendre le territoire dans une contre-offensive qui prend de l'ampleur.
Le plan est d'envoyer une poignée de chars Abrams en Allemagne en août, où ils subiront les dernières rénovations. Une fois ce processus terminé, le premier lot d'Abrams sera expédié en Ukraine le mois suivant.
Les livraisons potentielles d'août et de septembre marquent le délai le plus précis prévu pour le moment où le char de combat principal américain devrait arriver sur le champ de bataille. Les responsables du Pentagone ont précédemment déclaré que les Abrams seraient entre les mains des Ukrainiens à l'automne.
Les États-Unis envoient des modèles M1A1 plus anciens au lieu de la version A2 plus moderne, qui aurait mis un an à arriver en Ukraine.
Les six personnes – un responsable du ministère de la Défense, un responsable américain, un responsable de l'industrie, un assistant du Congrès et deux autres personnes au courant des discussions – ont toutes obtenu l'anonymat pour discuter de plans sensibles qui n'ont pas encore été annoncés.
L'administration Biden a déclaré qu'elle souhaitait livrer plus d'armes à l'Ukraine le plus rapidement possible, à la fois pour aider à la contre-offensive et pour renforcer les défenses du pays à long terme. Outre les chars, les États-Unis veulent commencer à former des pilotes ukrainiens sur des avions de chasse F-16 avant la livraison des avions de combat, peut-être d'ici la fin de l'année.
L'arrivée des chars dans les semaines à venir ajoutera une nouvelle dimension mortelle à l'inventaire de l'Ukraine alors que ses forces luttent pour percer les défenses russes retranchées le long d'une ligne de front qui s'étend sur des centaines de kilomètres. Bien que les troupes ukrainiennes aient fait quelques avancées sur un axe d'attaque ces derniers jours, elles subissent des tirs d'artillerie lourde et d'avions alors qu'elles se déplacent lentement à travers des champs de mines denses et des trous de renard ennemis.
Le lot initial comprendra six à huit chars, ont déclaré le responsable de l'industrie et l'assistant du Congrès. Au total, les États-Unis prévoient d'envoyer 31 chars, soit l'équivalent d'un bataillon ukrainien.
"Nous travaillons sans aucun doute pour les amener en Ukraine aussi vite que possible", a déclaré le porte-parole du Pentagone, le colonel Martin O'Donnell, refusant de discuter des détails sur le calendrier.
Avant que les forces ukrainiennes puissent commencer à utiliser les chars, elles doivent terminer un cours d'environ 10 semaines sur 31 chars d'entraînement à la base militaire de Grafenwoehr en Allemagne. Les Ukrainiens devraient terminer cet entraînement en août, selon un autre responsable du DOD.
Le premier responsable du DOD et une autre personne familière avec la pensée de Kiev ont déclaré que les chars pourraient même arriver en Ukraine dès le mois d'août, mais ce calendrier pourrait être trop optimiste. Les chars ne sont pas neufs; au lieu de cela, les véhicules plus anciens sont dépouillés de leur technologie la plus sensible, y compris dans certains cas des blindages secrets à l'uranium appauvri, avant de pouvoir être envoyés en Ukraine.
Bien que le responsable de l'industrie ait déclaré que le premier lot de modifications était terminé, il n'est pas clair si toutes les rénovations nécessaires pourront être terminées d'ici la fin août.
Mais la situation est plus compliquée que le simple envoi de chars et la formation d'équipages.
Un troisième responsable du DOD, qui n'a pas abordé les délais des chars, mais a plutôt parlé plus largement de l'équipement et du maintien de l'Ukraine à long terme, a déclaré que les États-Unis "travaillaient avec nos alliés européens pour établir des installations de réparation d'entretien lourd, en particulier pour les dommages de combat" pour les chars Abrams et autres blindés lourds qui ont été donnés à l'Ukraine. "En même temps, nous nous assurons qu'ils reçoivent toute la formation appropriée, non seulement pour les réparations mais aussi pour les pièces de rechange."
Le plus haut responsable des acquisitions du Pentagone, William LaPlante, a récemment déclaré dans une interview que les travaux de réparation et de maintien en puissance étaient le "principal effort" d'un groupe d'alliés de l'OTAN, y compris les États-Unis, pour tenter de maintenir l'Ukraine dans la lutte à long terme. .
Kiev a fait pression pour que les Abrams arrivent le plus rapidement possible. Le ministre ukrainien des Affaires étrangères, Dmytro Kuleba, a exprimé "l'espoir" dans une interview accordée en juin à un radiodiffuseur ukrainien que les chars pourraient arriver à temps pour prendre part à la contre-offensive actuelle.
Cependant, « il ne faut pas penser uniquement à cette contre-offensive », a-t-il averti.
"Vous ne devriez pas considérer cette contre-offensive comme la dernière et décisive", a déclaré Kuleba. "Il y aura tellement de contre-offensives, autant qu'il en faudra pour expulser la Russie de notre territoire."
L'armure robuste et les armes puissantes des Abrams pourraient aider les forces ukrainiennes à percer dans le sud et l'est fortement contestés, où les troupes recherchent des faiblesses. Cette semaine, Kiev a fait un nouvel effort pour reprendre le territoire, en envoyant des renforts et en attaquant au sud de la ville ukrainienne d'Orikhiv dans la région de Zaporizhzhia.
Si l'Ukraine peut y progresser, cela pourrait fournir une ouverture aux forces de Kiev pour pousser vers la ville de Melitopol, près de la mer d'Azov. Le but de la poussée vers l'est et le sud est de diviser les forces russes, coupant le pont terrestre entre la Russie et la Crimée occupée par la Russie.
Mais les forces russes ont passé des mois à creuser des positions bien fortifiées sur des centaines de kilomètres de positions de première ligne, ce qui rend leur délogement difficile. L'armée ukrainienne manque d'avions de chasse modernes pour fournir un soutien aérien, ce qui rend les troupes terrestres ukrainiennes vulnérables aux attaques d'hélicoptères russes et aux tirs de mortier et d'artillerie dirigés.
De hauts responsables du Pentagone ont déclaré que l'Ukraine avait un combat difficile à mener.
"Cette offensive sera lente, difficile et coûteuse", a déclaré le président des chefs d'état-major, le général Mark Milley, lors d'une récente conférence de presse.
Mais les forces ukrainiennes "ont encore un certain nombre d'options à leur disposition, et nous pouvons nous attendre à ce qu'elles continuent de faire pression", a déclaré cette semaine le secrétaire à la Défense Lloyd Austin en Papouasie-Nouvelle-Guinée.
https://www.politico.com/[...]ine-in-september-00108635
Les chars américains Abrams devraient arriver sur le champ de bataille ukrainien en septembre, selon six personnes familières avec la planification, alors que les forces de Kiev s'efforcent de reprendre le territoire dans une contre-offensive qui prend de l'ampleur.
Le plan est d'envoyer une poignée de chars Abrams en Allemagne en août, où ils subiront les dernières rénovations. Une fois ce processus terminé, le premier lot d'Abrams sera expédié en Ukraine le mois suivant.
Les livraisons potentielles d'août et de septembre marquent le délai le plus précis prévu pour le moment où le char de combat principal américain devrait arriver sur le champ de bataille. Les responsables du Pentagone ont précédemment déclaré que les Abrams seraient entre les mains des Ukrainiens à l'automne.
Les États-Unis envoient des modèles M1A1 plus anciens au lieu de la version A2 plus moderne, qui aurait mis un an à arriver en Ukraine.
Les six personnes – un responsable du ministère de la Défense, un responsable américain, un responsable de l'industrie, un assistant du Congrès et deux autres personnes au courant des discussions – ont toutes obtenu l'anonymat pour discuter de plans sensibles qui n'ont pas encore été annoncés.
L'administration Biden a déclaré qu'elle souhaitait livrer plus d'armes à l'Ukraine le plus rapidement possible, à la fois pour aider à la contre-offensive et pour renforcer les défenses du pays à long terme. Outre les chars, les États-Unis veulent commencer à former des pilotes ukrainiens sur des avions de chasse F-16 avant la livraison des avions de combat, peut-être d'ici la fin de l'année.
L'arrivée des chars dans les semaines à venir ajoutera une nouvelle dimension mortelle à l'inventaire de l'Ukraine alors que ses forces luttent pour percer les défenses russes retranchées le long d'une ligne de front qui s'étend sur des centaines de kilomètres. Bien que les troupes ukrainiennes aient fait quelques avancées sur un axe d'attaque ces derniers jours, elles subissent des tirs d'artillerie lourde et d'avions alors qu'elles se déplacent lentement à travers des champs de mines denses et des trous de renard ennemis.
Le lot initial comprendra six à huit chars, ont déclaré le responsable de l'industrie et l'assistant du Congrès. Au total, les États-Unis prévoient d'envoyer 31 chars, soit l'équivalent d'un bataillon ukrainien.
"Nous travaillons sans aucun doute pour les amener en Ukraine aussi vite que possible", a déclaré le porte-parole du Pentagone, le colonel Martin O'Donnell, refusant de discuter des détails sur le calendrier.
Avant que les forces ukrainiennes puissent commencer à utiliser les chars, elles doivent terminer un cours d'environ 10 semaines sur 31 chars d'entraînement à la base militaire de Grafenwoehr en Allemagne. Les Ukrainiens devraient terminer cet entraînement en août, selon un autre responsable du DOD.
Le premier responsable du DOD et une autre personne familière avec la pensée de Kiev ont déclaré que les chars pourraient même arriver en Ukraine dès le mois d'août, mais ce calendrier pourrait être trop optimiste. Les chars ne sont pas neufs; au lieu de cela, les véhicules plus anciens sont dépouillés de leur technologie la plus sensible, y compris dans certains cas des blindages secrets à l'uranium appauvri, avant de pouvoir être envoyés en Ukraine.
Bien que le responsable de l'industrie ait déclaré que le premier lot de modifications était terminé, il n'est pas clair si toutes les rénovations nécessaires pourront être terminées d'ici la fin août.
Mais la situation est plus compliquée que le simple envoi de chars et la formation d'équipages.
Un troisième responsable du DOD, qui n'a pas abordé les délais des chars, mais a plutôt parlé plus largement de l'équipement et du maintien de l'Ukraine à long terme, a déclaré que les États-Unis "travaillaient avec nos alliés européens pour établir des installations de réparation d'entretien lourd, en particulier pour les dommages de combat" pour les chars Abrams et autres blindés lourds qui ont été donnés à l'Ukraine. "En même temps, nous nous assurons qu'ils reçoivent toute la formation appropriée, non seulement pour les réparations mais aussi pour les pièces de rechange."
Le plus haut responsable des acquisitions du Pentagone, William LaPlante, a récemment déclaré dans une interview que les travaux de réparation et de maintien en puissance étaient le "principal effort" d'un groupe d'alliés de l'OTAN, y compris les États-Unis, pour tenter de maintenir l'Ukraine dans la lutte à long terme. .
Kiev a fait pression pour que les Abrams arrivent le plus rapidement possible. Le ministre ukrainien des Affaires étrangères, Dmytro Kuleba, a exprimé "l'espoir" dans une interview accordée en juin à un radiodiffuseur ukrainien que les chars pourraient arriver à temps pour prendre part à la contre-offensive actuelle.
Cependant, « il ne faut pas penser uniquement à cette contre-offensive », a-t-il averti.
"Vous ne devriez pas considérer cette contre-offensive comme la dernière et décisive", a déclaré Kuleba. "Il y aura tellement de contre-offensives, autant qu'il en faudra pour expulser la Russie de notre territoire."
L'armure robuste et les armes puissantes des Abrams pourraient aider les forces ukrainiennes à percer dans le sud et l'est fortement contestés, où les troupes recherchent des faiblesses. Cette semaine, Kiev a fait un nouvel effort pour reprendre le territoire, en envoyant des renforts et en attaquant au sud de la ville ukrainienne d'Orikhiv dans la région de Zaporizhzhia.
Si l'Ukraine peut y progresser, cela pourrait fournir une ouverture aux forces de Kiev pour pousser vers la ville de Melitopol, près de la mer d'Azov. Le but de la poussée vers l'est et le sud est de diviser les forces russes, coupant le pont terrestre entre la Russie et la Crimée occupée par la Russie.
Mais les forces russes ont passé des mois à creuser des positions bien fortifiées sur des centaines de kilomètres de positions de première ligne, ce qui rend leur délogement difficile. L'armée ukrainienne manque d'avions de chasse modernes pour fournir un soutien aérien, ce qui rend les troupes terrestres ukrainiennes vulnérables aux attaques d'hélicoptères russes et aux tirs de mortier et d'artillerie dirigés.
De hauts responsables du Pentagone ont déclaré que l'Ukraine avait un combat difficile à mener.
"Cette offensive sera lente, difficile et coûteuse", a déclaré le président des chefs d'état-major, le général Mark Milley, lors d'une récente conférence de presse.
Mais les forces ukrainiennes "ont encore un certain nombre d'options à leur disposition, et nous pouvons nous attendre à ce qu'elles continuent de faire pression", a déclaré cette semaine le secrétaire à la Défense Lloyd Austin en Papouasie-Nouvelle-Guinée.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
La rage des pros russes , l'OTAN va démembré votre pays en plusieurs états et les états deviendront la vache a lait de l'occident
Le 25 juillet, des drones navals ukrainiens ont attaqué le patrouilleur de la flotte de la Mer Noire, " Sergey Kotov ".
Cependant, les 2 véhicules ukrainiens ont été détruits et le navire n'a pas été endommagé.
Des bombardiers ukrainiens SU 24M ont attaqué la Crimée avec 3 missiles de croisière Storm Shadow.
Un atelier pour véhicules endommagés près Kremnevka a essayé des tirs.
Sur le saillant de Korsky les duels d'artillerie et les batailles de positions se sont poursuivis. Des forces supplémentaires étaient déployés côté ukrainien.
Sur le flanc sud de Bakhmout, dans la partie sud ouest de Kleshcchevka, violents combats se sont poursuivis.
Mais les forces russes ont freiné l'attaque ukrainienne malgré leur infériorité numérique.
Dans le secteur d'Avdeevka, des unités ukrainiennes ont lancé périodiquement des attaques contre les forces russes. Cependant ces attaques ont entraîné de lourdes pertes en personnelles et en matériels côté ukrainien. De plus, des frappes massives d'artillerie ont continué dans le Donetsk plus des frappe de LRM. Résultats : 2 personnes tuées et 4 personnes blessées. Ca plus des bâtiments et des infrastructure endommagés.
Dans le secteur de Vremievsky, les unités ukrainiennes ont tenté de percer les défenses russes près de Staromayorsky et de Urozhayny, sans succès. Au nord est de Zaporijia, les ukrainiens ont malgré des pertes importantes, réussit à effectuer une lente progression dans le secteur. Dans le secteur de Kherson, c'est sur la rive est du Dniepr que les troupes ukrainiennes ont tiré.
Cependant, les 2 véhicules ukrainiens ont été détruits et le navire n'a pas été endommagé.
Des bombardiers ukrainiens SU 24M ont attaqué la Crimée avec 3 missiles de croisière Storm Shadow.
Un atelier pour véhicules endommagés près Kremnevka a essayé des tirs.
Sur le saillant de Korsky les duels d'artillerie et les batailles de positions se sont poursuivis. Des forces supplémentaires étaient déployés côté ukrainien.
Sur le flanc sud de Bakhmout, dans la partie sud ouest de Kleshcchevka, violents combats se sont poursuivis.
Mais les forces russes ont freiné l'attaque ukrainienne malgré leur infériorité numérique.
Dans le secteur d'Avdeevka, des unités ukrainiennes ont lancé périodiquement des attaques contre les forces russes. Cependant ces attaques ont entraîné de lourdes pertes en personnelles et en matériels côté ukrainien. De plus, des frappes massives d'artillerie ont continué dans le Donetsk plus des frappe de LRM. Résultats : 2 personnes tuées et 4 personnes blessées. Ca plus des bâtiments et des infrastructure endommagés.
Dans le secteur de Vremievsky, les unités ukrainiennes ont tenté de percer les défenses russes près de Staromayorsky et de Urozhayny, sans succès. Au nord est de Zaporijia, les ukrainiens ont malgré des pertes importantes, réussit à effectuer une lente progression dans le secteur. Dans le secteur de Kherson, c'est sur la rive est du Dniepr que les troupes ukrainiennes ont tiré.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
La rage des pros russes , l'OTAN va démembré votre pays en plusieurs états et les états deviendront la vache a lait de l'occident
Le 27 ou le 28 juillet, Le char à roues français AMX-10RC a été capturé par l'armée russe dans la région de Zaporozhye, a déclaré Rogov à RIA Novosti.
Selon lui, le char capturé est dans un état presque parfait, sans dommage, il sera remis à des spécialistes pour étude.
Source :
https://t.me/rian_ru/210414
Selon lui, le char capturé est dans un état presque parfait, sans dommage, il sera remis à des spécialistes pour étude.
Source :
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
Après la défaite russe et le démantèlement :
" Non mais.moi j'ai toujours été pour aucun camp hein , "
" C'était du troll s'il-vous-plaît m'envoyer pas des camps de traître pro russe "
" Non mais.moi j'ai toujours été pour aucun camp hein , "
" C'était du troll s'il-vous-plaît m'envoyer pas des camps de traître pro russe "
Encore faut il qu'il y ait défaite russe.
Les événements disent le contraire.
Le 1 aout 2023
L'armée ukrainienne a de nouveau utilisé des drones pour attaquer Moscou. 2 drones ont été interceptés; Un autre par la guerre électronique. Suite à quoi il est entré en collision avec la tour IQ.
Au sud ouest de Sébastopol les drones navals ukrainiens. ont tenté d'attaquer les patrouilleurs russes Vasily Bikov et Sergey Kotov.
Les appareils ukrainiens ont été détruits par des tirs de navires.
Avec des drones kamikazes Geran , les troupes russes ont lancé des attaques sur des cibles à Kharkov. L'un des drones a touché le déploiement militaire ukrainien.
Dans le secteur de Svatono, les ukrainiens ont tenté de reprendre le contrôle de territoires perdus près de Novogorovka et de Karmanizovka; De sorte que les troupes russes ont du les repousser avec leur artillerie après avoir détecté leur approche.
A Bakhmout les russes continuent de repousser les attaques ukrainiennes sur Kleshcchevka. Pendant ce temps des tirs d'artilleries sont survenus sur les hauteurs tactiques des unités ukrainiennes se situant au nord ouest du village.
Dans le même temps, les villes de l'agglomération de Donetsk continuent à être visés par les bombardements ukrainiens qui ont eu pour résultat 2 personnes tuées et et 7 autres blessés dont un enfant. De plus, des bâtiments résidentielles et des infrastructures ont été endommagés. Dans le secteur de Vremievsky, les troupes russes continuent de combattre aux abord de Staromayorsky pendant que dans le même temps à l'ouest, des détachements avancent sur les positions ennemies au nord de Priyunoye.
Dans le secteur d'Orekhov, un petit groupe de soldats ukrainiens a tenté d'avancer vers Rabotino avec l'appuie de véhicules blindés. Mais les frappes préventives côté russe ont fait que ce groupe a du revenir sur sa ligne d'origine.
Dans la région de Kherson, les troupes ukrainiennes continuent d'utiliser des aéronefs pour frapper les positions russes. Un des hélicoptères MI 8 ukrainien a d'ailleurs été abattu.avec un système de missile anti aérien portatif après quoi il s'est écrasé près du village de Mikhailovka.
Les événements disent le contraire.
Le 1 aout 2023
L'armée ukrainienne a de nouveau utilisé des drones pour attaquer Moscou. 2 drones ont été interceptés; Un autre par la guerre électronique. Suite à quoi il est entré en collision avec la tour IQ.
Au sud ouest de Sébastopol les drones navals ukrainiens. ont tenté d'attaquer les patrouilleurs russes Vasily Bikov et Sergey Kotov.
Les appareils ukrainiens ont été détruits par des tirs de navires.
Avec des drones kamikazes Geran , les troupes russes ont lancé des attaques sur des cibles à Kharkov. L'un des drones a touché le déploiement militaire ukrainien.
Dans le secteur de Svatono, les ukrainiens ont tenté de reprendre le contrôle de territoires perdus près de Novogorovka et de Karmanizovka; De sorte que les troupes russes ont du les repousser avec leur artillerie après avoir détecté leur approche.
A Bakhmout les russes continuent de repousser les attaques ukrainiennes sur Kleshcchevka. Pendant ce temps des tirs d'artilleries sont survenus sur les hauteurs tactiques des unités ukrainiennes se situant au nord ouest du village.
Dans le même temps, les villes de l'agglomération de Donetsk continuent à être visés par les bombardements ukrainiens qui ont eu pour résultat 2 personnes tuées et et 7 autres blessés dont un enfant. De plus, des bâtiments résidentielles et des infrastructures ont été endommagés. Dans le secteur de Vremievsky, les troupes russes continuent de combattre aux abord de Staromayorsky pendant que dans le même temps à l'ouest, des détachements avancent sur les positions ennemies au nord de Priyunoye.
Dans le secteur d'Orekhov, un petit groupe de soldats ukrainiens a tenté d'avancer vers Rabotino avec l'appuie de véhicules blindés. Mais les frappes préventives côté russe ont fait que ce groupe a du revenir sur sa ligne d'origine.
Dans la région de Kherson, les troupes ukrainiennes continuent d'utiliser des aéronefs pour frapper les positions russes. Un des hélicoptères MI 8 ukrainien a d'ailleurs été abattu.avec un système de missile anti aérien portatif après quoi il s'est écrasé près du village de Mikhailovka.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
Après la défaite russe et le démantèlement :
" Non mais.moi j'ai toujours été pour aucun camp hein , "
" C'était du troll s'il-vous-plaît m'envoyer pas des camps de traître pro russe "
" Non mais.moi j'ai toujours été pour aucun camp hein , "
" C'était du troll s'il-vous-plaît m'envoyer pas des camps de traître pro russe "
Sondage CNN : la majorité des Américains s'opposent à une aide accrue des États-Unis à l'Ukraine en guerre contre la Russie
La plupart des Américains s'opposent à ce que le Congrès autorise un financement supplémentaire pour soutenir l'Ukraine dans sa guerre contre la Russie , selon un nouveau sondage CNN réalisé par SSRS , alors que le public se divise sur la question de savoir si les États-Unis ont déjà fait assez pour aider l'Ukraine.
Dans l'ensemble, 55 % disent que le Congrès américain ne devrait pas autoriser de financement supplémentaire pour soutenir l'Ukraine contre 45 % qui disent que le Congrès devrait autoriser un tel financement. Et 51 % disent que les États-Unis en ont déjà fait assez pour aider l'Ukraine, tandis que 48 % disent qu'ils devraient en faire plus. Un sondage réalisé au début de l'invasion russe fin février 2022 a révélé que 62 % estimaient que les États-Unis auraient dû en faire plus.
Les divisions partisanes se sont également creusées depuis ce sondage, la plupart des démocrates et des républicains étant désormais opposés sur les questions concernant le rôle des États-Unis en Ukraine.
Une majorité, mais pas la totalité (68 %) de ceux qui disent que les États-Unis devraient faire plus pour soutenir l'Ukraine sont favorables à un financement supplémentaire, tout comme 23 % de ceux qui disent que les États-Unis en ont déjà fait assez.
Interrogé spécifiquement sur les types d'assistance que les États-Unis pourraient fournir à l'Ukraine, il y a un soutien plus large pour l'aide à la collecte de renseignements (63%) et à la formation militaire (53%) que pour la fourniture d'armes (43%), parallèlement à un soutien très mince pour l'armée américaine. forces armées à participer à des opérations de combat (17 %).
La plupart des Américains qui disent que les États-Unis devraient faire plus pour soutenir l'Ukraine sont favorables à une assistance en matière de collecte de renseignements (75 %), de formation militaire (68 %) et d'armement (60 %), tandis que parmi ceux qui disent que les États-Unis ont déjà fait assez, seule la collecte de renseignements obtient le soutien de la majorité (52%).
Une majorité d'Américains craignent que la guerre de la Russie en Ukraine ne menace la sécurité nationale des États-Unis (56 %), mais cela a considérablement diminué en février 2022 (72 % s'inquiétaient alors des menaces à la sécurité des États-Unis).
Une plus grande inquiétude à travers les lignes partisanes dans le nouveau sondage est que la guerre se poursuivra sans résolution pendant longtemps. Près de 8 sur 10 s'en inquiètent, dont 82% de démocrates, 75% d'indépendants et 73% de républicains. Près des deux tiers dans l'ensemble craignent que la guerre en Ukraine n'entraîne une augmentation des menaces contre la démocratie ailleurs (65%) ou ne conduise à des attaques russes ailleurs (64%), et environ 6 sur 10 craignent qu'elle ne conduise à une guerre plus large en Europe (59 %).
Démocrates et républicains éloignés sur la manière dont les États-Unis devraient aider l'Ukraine
L'enquête révèle de larges divisions partisanes et idéologiques sur ce que les États-Unis devraient faire pour aider les efforts de l'Ukraine pour repousser la campagne militaire russe.
Les républicains affirment généralement que le Congrès ne devrait pas autoriser de nouveaux financements (71 %) et que les États-Unis en ont fait assez pour aider l'Ukraine (59 %).
Parmi les démocrates, la plupart disent le contraire, 62 % sont favorables à un financement supplémentaire et 61 % disent que les États-Unis devraient faire plus.
Au sein des deux partis, il y a des clivages idéologiques. En ce qui concerne l'apport de fonds supplémentaires, les démocrates libéraux sont de loin les plus favorables, 74 % le soutiennent contre 51 % des démocrates modérés ou conservateurs. Parmi les républicains, environ les trois quarts des conservateurs s'opposent à un nouveau financement (76%) contre 61% des républicains modérés ou libéraux.
Les indépendants disent pour la plupart que les États-Unis en ont fait assez pour aider l'Ukraine (56%) et qu'ils s'opposent à un financement supplémentaire (55%).
Interrogés sur les formes spécifiques d'assistance, les majorités des partis disent que les États-Unis devraient fournir une assistance à l'Ukraine dans la collecte de renseignements (70 % des démocrates, 63 % des indépendants et 56 % des républicains le disent). Et tandis que près des deux tiers des démocrates soutiennent la formation militaire (64%), le soutien parmi les indépendants et les républicains tombe à environ la moitié (48% dans chaque groupe). Il y a un écart partisan encore plus grand concernant la fourniture d'armes à l'Ukraine, avec 61 % des démocrates derrière cela, contre 39 % des indépendants et seulement 30 % des républicains. Moins de 20 % des partis soutiennent la participation des forces militaires américaines aux opérations de combat (19 % chez les démocrates, 18 % chez les indépendants et 16 % chez les républicains).
Le président Joe Biden obtient l'approbation de 45 % des Américains pour sa gestion de la situation en Ukraine. 43% similaires approuvent la façon dont il gère les relations entre les États-Unis et la Russie. Près d'1 républicain sur 5 approuve sa gestion de la situation en Ukraine (19 %), bien au-dessus de son taux d'approbation global chez les républicains, qui s'élève à 7 %.
Le sondage CNN a été mené par SSRS du 1er au 31 juillet auprès d'un échantillon national aléatoire de 1 279 adultes initialement contactés par courrier. Les enquêtes ont été menées soit en ligne, soit par téléphone avec un intervieweur en direct. Les résultats pour l'échantillon complet ont une marge d'erreur d'échantillonnage de plus ou moins 3,7 points de pourcentage ; il est plus grand pour les sous-groupes.
https://edition.cnn.com/2[...]n-poll-ukraine/index.html
La plupart des Américains s'opposent à ce que le Congrès autorise un financement supplémentaire pour soutenir l'Ukraine dans sa guerre contre la Russie , selon un nouveau sondage CNN réalisé par SSRS , alors que le public se divise sur la question de savoir si les États-Unis ont déjà fait assez pour aider l'Ukraine.
Dans l'ensemble, 55 % disent que le Congrès américain ne devrait pas autoriser de financement supplémentaire pour soutenir l'Ukraine contre 45 % qui disent que le Congrès devrait autoriser un tel financement. Et 51 % disent que les États-Unis en ont déjà fait assez pour aider l'Ukraine, tandis que 48 % disent qu'ils devraient en faire plus. Un sondage réalisé au début de l'invasion russe fin février 2022 a révélé que 62 % estimaient que les États-Unis auraient dû en faire plus.
Les divisions partisanes se sont également creusées depuis ce sondage, la plupart des démocrates et des républicains étant désormais opposés sur les questions concernant le rôle des États-Unis en Ukraine.
Une majorité, mais pas la totalité (68 %) de ceux qui disent que les États-Unis devraient faire plus pour soutenir l'Ukraine sont favorables à un financement supplémentaire, tout comme 23 % de ceux qui disent que les États-Unis en ont déjà fait assez.
Interrogé spécifiquement sur les types d'assistance que les États-Unis pourraient fournir à l'Ukraine, il y a un soutien plus large pour l'aide à la collecte de renseignements (63%) et à la formation militaire (53%) que pour la fourniture d'armes (43%), parallèlement à un soutien très mince pour l'armée américaine. forces armées à participer à des opérations de combat (17 %).
La plupart des Américains qui disent que les États-Unis devraient faire plus pour soutenir l'Ukraine sont favorables à une assistance en matière de collecte de renseignements (75 %), de formation militaire (68 %) et d'armement (60 %), tandis que parmi ceux qui disent que les États-Unis ont déjà fait assez, seule la collecte de renseignements obtient le soutien de la majorité (52%).
Une majorité d'Américains craignent que la guerre de la Russie en Ukraine ne menace la sécurité nationale des États-Unis (56 %), mais cela a considérablement diminué en février 2022 (72 % s'inquiétaient alors des menaces à la sécurité des États-Unis).
Une plus grande inquiétude à travers les lignes partisanes dans le nouveau sondage est que la guerre se poursuivra sans résolution pendant longtemps. Près de 8 sur 10 s'en inquiètent, dont 82% de démocrates, 75% d'indépendants et 73% de républicains. Près des deux tiers dans l'ensemble craignent que la guerre en Ukraine n'entraîne une augmentation des menaces contre la démocratie ailleurs (65%) ou ne conduise à des attaques russes ailleurs (64%), et environ 6 sur 10 craignent qu'elle ne conduise à une guerre plus large en Europe (59 %).
Démocrates et républicains éloignés sur la manière dont les États-Unis devraient aider l'Ukraine
L'enquête révèle de larges divisions partisanes et idéologiques sur ce que les États-Unis devraient faire pour aider les efforts de l'Ukraine pour repousser la campagne militaire russe.
Les républicains affirment généralement que le Congrès ne devrait pas autoriser de nouveaux financements (71 %) et que les États-Unis en ont fait assez pour aider l'Ukraine (59 %).
Parmi les démocrates, la plupart disent le contraire, 62 % sont favorables à un financement supplémentaire et 61 % disent que les États-Unis devraient faire plus.
Au sein des deux partis, il y a des clivages idéologiques. En ce qui concerne l'apport de fonds supplémentaires, les démocrates libéraux sont de loin les plus favorables, 74 % le soutiennent contre 51 % des démocrates modérés ou conservateurs. Parmi les républicains, environ les trois quarts des conservateurs s'opposent à un nouveau financement (76%) contre 61% des républicains modérés ou libéraux.
Les indépendants disent pour la plupart que les États-Unis en ont fait assez pour aider l'Ukraine (56%) et qu'ils s'opposent à un financement supplémentaire (55%).
Interrogés sur les formes spécifiques d'assistance, les majorités des partis disent que les États-Unis devraient fournir une assistance à l'Ukraine dans la collecte de renseignements (70 % des démocrates, 63 % des indépendants et 56 % des républicains le disent). Et tandis que près des deux tiers des démocrates soutiennent la formation militaire (64%), le soutien parmi les indépendants et les républicains tombe à environ la moitié (48% dans chaque groupe). Il y a un écart partisan encore plus grand concernant la fourniture d'armes à l'Ukraine, avec 61 % des démocrates derrière cela, contre 39 % des indépendants et seulement 30 % des républicains. Moins de 20 % des partis soutiennent la participation des forces militaires américaines aux opérations de combat (19 % chez les démocrates, 18 % chez les indépendants et 16 % chez les républicains).
Le président Joe Biden obtient l'approbation de 45 % des Américains pour sa gestion de la situation en Ukraine. 43% similaires approuvent la façon dont il gère les relations entre les États-Unis et la Russie. Près d'1 républicain sur 5 approuve sa gestion de la situation en Ukraine (19 %), bien au-dessus de son taux d'approbation global chez les républicains, qui s'élève à 7 %.
Le sondage CNN a été mené par SSRS du 1er au 31 juillet auprès d'un échantillon national aléatoire de 1 279 adultes initialement contactés par courrier. Les enquêtes ont été menées soit en ligne, soit par téléphone avec un intervieweur en direct. Les résultats pour l'échantillon complet ont une marge d'erreur d'échantillonnage de plus ou moins 3,7 points de pourcentage ; il est plus grand pour les sous-groupes.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
Après la défaite russe et le démantèlement :
" Non mais.moi j'ai toujours été pour aucun camp hein , "
" C'était du troll s'il-vous-plaît m'envoyer pas des camps de traître pro russe "
" Non mais.moi j'ai toujours été pour aucun camp hein , "
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Le 14 aout, des frappes russes ont touché des infrastructures militaires ukrainiennes à Odessa. A kryzhanovka, des missiles de croisière ont touché Neftyanoie Gavani et Bugaevka. Les zones frontalières de la région de Bielgorod sont bombardées par les troupes ukrainiennes. La ville de Shebekhino a subi plusieurs frappes. La région voisine de Koursk a fait l'objet d'une attaque ukrainienne. Les villages de Tetkino et Alexeevka ont été bombardés par les ukrainiens tandis que des obus ont endommagé gravement l'alimentation électrique à Volfino. A Kupyansk, une série de contre attaques ukrainiennes a échoué. La ligne de front russes est restée intacte. Une contre attaque a été lancé par les russes à la périphérie des sud ouest de Kleshchevka. La ville a été prise complètement par les russes. Un missile Storm Shadow a frappé Yurievka en plus des frappes d'artillerie habituelles. 2 personnes ont été tuées et 8 ont été blessées. Dans le secteur de Vremievsky, des combats se poursuivent pour la défense d'Urozhaynoe. Sur des lieux où s'accumulent personnels et blindés ukrainiens, l'armée russe procède à des frappes aériennes et d'artillerie. Pour occuper Rabotino dans le secteur de Zaporozhye, une tentative de contournement infructueuse a été effectuée par l'armée ukrainienne. De nouvelles unités ukrainiennes viennent en remplacement de celles qui ont été détruites ou ont subi de lourdes pertes.
https://www.forbes.com/si[...]ffensive/?sh=4b81c1c2452c
Selon cet article de Forbes, la 82ème brigade ukrainienne qui était en réserve va enfin être employée.
Elle est composée de blindés qu'on a pas encore vu sur le terrain, à savoir le blindé américain Stryker et le char britannique Challenger 2.
Selon cet article de Forbes, la 82ème brigade ukrainienne qui était en réserve va enfin être employée.
Elle est composée de blindés qu'on a pas encore vu sur le terrain, à savoir le blindé américain Stryker et le char britannique Challenger 2.
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il y a 2 ans
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" Non mais.moi j'ai toujours été pour aucun camp hein , "
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Le 13 aout, l'Armée ukrainienne a tenté avec des drones d'attaquer la Crimée. Au total, 20 aéronefs ont été neutralisés grâce à la défense électrique et aux moyens anti aériens. Et une autre attaque de missile sur le pont de Crimée a été tenté par les forces ukrainiennes. Contre le secteur de Klashchevka, les forces ukrainiennes continuent de forcer dans le secteur de Bakhmout. Mais les parachutistes russes ont repoussé l'attaque ukrainienne tout en capturant des soldats ukrainiens. Du côté de Marinka, rien n'a changé. 1 personne a été tué et 8 ont été blssés suite au bombardement du Donbass, y compris avec des armes à sous munitions. Urozhaynoe dans le secteur de Vremiensky est continué à se faire prendre d'assaut par les troupes ukrainiennes. Contre Rabotino dans le secteur d'Orekhov, les offensives se poursuivent également côté ukrainien, sans succès. Dans le secteur de Kherson, à l'ouest de Kazachi Lager, les ukrainiens tiennent une tête de pont. Sur les îles du Liman du Dniepr, des tentatives de débarquement.
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il y a 2 ans
Après la défaite russe et le démantèlement :
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Le 16 aout, les troupes russes ont lancé une série d'attaques dans la région d'Odessa contre la ville de Réni et ses infrastructures portuaires. Des reconnaissances aériennes de l'OTAN en mer noire pourraient être une base d'attaques des ports de la Crimée. Dans la région de Bryansk, une tentative de sabotage par un groupe ukrainien a échoué. les gardes frontières russes ont détruits un détachement de 6 personnes. Dans les villages de Popovka, Terezovka et Prilesie on a constaté des bombardements de l'artillerie ukrainienne. Dans le secteur de Kupyansk, léger recul des forces ukrainiennes car les forces ukrainiennes ont quitté Sinkovka malgré une continuation des combats à la périphérie. Dans le secteur de Bakhmut, aucun camp ne semble pouvoir mener une offensive de grande envergure. Sur 2 lignes de fronts, l'artillerie poursuit une grande activité. Dans le secteur de Vremiensky, les unités ukrainiennes ont continué de tenter une percée vers le sud. Mais à la périphérie du village de Zavetnoe Zhelatnie, les ukrainiens sont stoppés par les troupes russes. La pression du Rabotino s'est accentué dans le secteur d'Orekhov par les troupes ukrainiennes. Mais le sud du village est toujours sous contrôle russe. Près de Kazachi Lageri, la tête de pont ukrainienne a été mise en miette. Contre les positions ukrainiennes situ"es sur les iles du Liman sur le Dniepr, l'artillerie russe a effectué des frappes massives d'artillerie.
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il y a 2 ans
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Le 17 aout, à la gare de Mezhevaya, un train transportant des munitions a été touché, déclenchant un incendie. Dans le secteur de Kupiansk, l'offensive russe s'est poursuivi, élargissant leur contrôle sur le sud ouest d'Olshany. A Sinkovka, les unités ukrainiennes la périphérie sud ouest du village. Les troupes ukrainiennes de Soledar ont attaqué vers Zalinyansky. Mais les troupes russes soutenus par l'artillerie a stoppé leur progression. Des rotations sont effectués dans le secteur de Bakhmout. A Donetsk, des maisons et quartiers résidentiels ont été endommagés avec au moins 1 blessés grave. Dans le secteur de Vremevsky ont été près du village de Zavethnoe Zhelanie. Au nord est de Priyutnoye, les tentatives d'assaut des groupes ukrainiens ont échoué. Les frappes russes ont forcés les troupes ukrainiennes à se replier sur leur ligne d'origine. Toujours des attaques contre Rabotino de la part des ukrainiens dans le secteur d'Orekhov. Mais la moitié du village au moins est encore contrôlé par les russes après que les attaques ukrainiennes aient été repoussé. Le rive est de la région de Kherson est toujours bombardé par l'artillerie ukrainienne. 7 villes ont été frappés pour 1 personne blessé.
Un drone kamikaze ukrainien a tenté une attaque contre des patrouilleurs russes dans le sud ouest de la Mer noire. Mais les armes embarquées l'ont détruit. Des drones ont été utilisés pour attaquer les arrières russes. 4 appareils ont été interceptés. La guerre électronique a détruit l'un des 2 ayant percé vers Moscou.
Un drone kamikaze ukrainien a tenté une attaque contre des patrouilleurs russes dans le sud ouest de la Mer noire. Mais les armes embarquées l'ont détruit. Des drones ont été utilisés pour attaquer les arrières russes. 4 appareils ont été interceptés. La guerre électronique a détruit l'un des 2 ayant percé vers Moscou.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans