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Je te repose la question, en quoi les USA ont-ils agressé la Russie ? En la soutenant pendant les guerres de tchétchénie ?
Pavel Starchenko (1977-2015), originaire de Stary Oskol, puis passant sa jeunesse à Tchernigov, passionné d’aviation. Il entra à l’Académie des forces aériennes à Kharkov (1995), mais dut abandonner ses études suite à une blessure. Il se marginalisa, travaillant dans le bâtiment à Kiev, puis faisant de longs périples en auto-stop en Europe (2000-2008). Il fut l’un des manifestants qui participèrent à la Révolution Orange (2004-2005). Il reprit tardivement des études en gestion du personnel, puis en relations internationales, diplômé (2013), suivant aussi une formation de tailleur de pierre. Il s’engagea dans une compagnie d’autodéfense du Maïdan, aux côtés des ultranationalistes, s’étant radicalisé. Il s’enrôla ensuite l’un des premiers dans le bataillon Tchernigov-1. Il fut tué dans la région de Donetsk (29 janvier 2015), son cadavre restant longtemps entre les lignes, il fut finalement identifié grâce à l’ADN et enterré à Tchernigov (9 avril).
MODIFICATION
Pavel Starchenko. Il né en 1977 et il s'éteint en 2015. Cet homme là est originaire de Stary Oskol, et à Tchernigov, il passe une partie conséquente de sa jeunesse, attiré déjà par l'aviation. Par la suite, il entra à l’Académie des forces aériennes à Kharkov (1995), mais dut abandonner ses études suite à une blessure. Il se marginalisa, travaillant dans le bâtiment à Kiev, puis faisant de longs périples en auto-stop en Europe (2000-2008). Il fut l’un des manifestants qui participèrent à la Révolution Orange (2004-2005). Il reprit tardivement des études en gestion du personnel, puis en relations internationales, diplômé (2013), suivant aussi une formation de tailleur de pierre. Il s’engagea dans une compagnie d’autodéfense du Maïdan, aux côtés des ultranationalistes, s’étant radicalisé. Il s’enrôla ensuite l’un des premiers dans le bataillon Tchernigov-1. Il fut tué dans la région de Donetsk précisément le 29 janvier 2015. Son corps restant longtemps entre les lignes, il a fallu avoir recours à l'analyse de l'ADN pour l'identifier. Il est enterré à Tchernigov le 9 avril de la même année.
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Pavel Starchenko. Il né en 1977 et il s'éteint en 2015. Cet homme là est originaire de Stary Oskol, et à Tchernigov, il passe une partie conséquente de sa jeunesse, attiré déjà par l'aviation. Par la suite, il entra à l’Académie des forces aériennes à Kharkov (1995), mais dut abandonner ses études suite à une blessure. Il se marginalisa, travaillant dans le bâtiment à Kiev, puis faisant de longs périples en auto-stop en Europe (2000-2008). Il fut l’un des manifestants qui participèrent à la Révolution Orange (2004-2005). Il reprit tardivement des études en gestion du personnel, puis en relations internationales, diplômé (2013), suivant aussi une formation de tailleur de pierre. Il s’engagea dans une compagnie d’autodéfense du Maïdan, aux côtés des ultranationalistes, s’étant radicalisé. Il s’enrôla ensuite l’un des premiers dans le bataillon Tchernigov-1. Il fut tué dans la région de Donetsk précisément le 29 janvier 2015. Son corps restant longtemps entre les lignes, il a fallu avoir recours à l'analyse de l'ADN pour l'identifier. Il est enterré à Tchernigov le 9 avril de la même année.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
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Oleg Solomakha (1978-2015), originaire de la région de Tchernigov, après des études secondaires, il devînt serrurier. Il fut mobilisé pour aller se battre dans le Donbass (2 septembre 2014), et fut tué là aussi à l'occasion de la bataille de Debaltsevo, durant la journée du 29 janvier 2015. Son corps enfouis dans les décombres d’un poste de contrôle fut finalement extirpé et il fut inhumé dans son village natal le 25 février suivant.
MODIFICATION
Oleg Solomakha. Cet homme là est né en 1978. Il se trouve qu'il est lui aussi originaire de la région de Tchernigov. Ce monsieur devient serrurier après ses études. Par la suite, il est mobilisé pour aller se battre dans le Donbass en 2014, et fut tué durant la bataille de Debaltsevo, le 29 janvier 2015. Son corps enfouis dans les décombres d’un poste de contrôle fut finalement extirpé et il fut inhumé dans son village natal le 25 février suivant. Il laissait une veuve et deux enfants en bas-âge.
MODIFICATION
Oleg Solomakha. Cet homme là est né en 1978. Il se trouve qu'il est lui aussi originaire de la région de Tchernigov. Ce monsieur devient serrurier après ses études. Par la suite, il est mobilisé pour aller se battre dans le Donbass en 2014, et fut tué durant la bataille de Debaltsevo, le 29 janvier 2015. Son corps enfouis dans les décombres d’un poste de contrôle fut finalement extirpé et il fut inhumé dans son village natal le 25 février suivant. Il laissait une veuve et deux enfants en bas-âge.
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il y a 2 ans
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Andreï Demin (1983-2022), originaire de Soumy, il fit des études de droit à l’Université de Tchernigov (2004), il s’enrôla dans l’armée ukrainienne (novembre 2019), et fut tué le 18 mai 2022.
Vladimir Eleshkevitch (1970-1922), diplômé de l’école navale, ancien soldat des troupes de marine de l’armée soviétique, il atteignit le grade d’enseigne. Il revînt à la vie civile comme simple employé, marié (vers 1992), deux enfants. Il s’enrôla peu de temps avant l’opération spéciale dans l’armée ukrainienne (janvier 2022), et fut accepté malgré son âge. Les raisons de son engagement furent peut-être motivées par un meilleur salaire. Il fut tué le 15 mai 2022.
MODIFICATION
Andreï Demin. Il est né durant l'année 1983 et meurt en 2022 durant l'opération militaire russe. Il est originaire de Soumy, il fit des études de droit à l’Université de Tchernigov durant l'année 2004. il s’enrôla dans l’armée ukrainienne à la fin de l'année 2019, et fut tué durant la journée 18 mai 2022.
Vladimir Eleshkevitch. Plus âgé que la plupart de ceux cités, il né en 1970 avant de mourir lui aussi en 2022. Il obtient son diplôme de l’école navale. Il est ancien soldat des troupes de marine de l’armée soviétique, il atteignit le grade d’enseigne. Il revînt à la vie civile comme simple employé, marié (vers 1992), deux enfants. Il s’enrôla peu de temps avant l’opération spéciale dans l’armée ukrainienne durant la mois de janvier 2022, et malgré son âge avancé, il était accepté.Les raisons de son engagement furent sans doute motivées par un meilleur salaire. Il fut tué le 15 mai 2022.
Source :
https://sumy.today/news/s[...]-zakhysnykiv-ukrainy.html
За мир і волю нашої Батьківщини гинуть найкращі українці, найкращі шосткинці.
Сьогодні ми прощалися з трьома захисниками України – командиром батальйону Максимом Юрійовичем Киричуком та військовослужбовцями Андрієм Анатолійовичем Дьоміним і Володимиром Михайловичем Елешкевичем.
traduit de l'ukrainien en français : Les meilleurs Ukrainiens, les meilleurs habitants de Chostkine meurent pour la paix et la volonté de notre patrie.
Aujourd'hui, nous avons dit au revoir à trois défenseurs de l'Ukraine - le commandant de bataillon Maksym Yuriyovych Kyrychuk et les militaires Andrii Anatoliyovych Dyomin et Volodymyr Mykhailovych Eleshkevich.
Vladimir Eleshkevitch (1970-1922), diplômé de l’école navale, ancien soldat des troupes de marine de l’armée soviétique, il atteignit le grade d’enseigne. Il revînt à la vie civile comme simple employé, marié (vers 1992), deux enfants. Il s’enrôla peu de temps avant l’opération spéciale dans l’armée ukrainienne (janvier 2022), et fut accepté malgré son âge. Les raisons de son engagement furent peut-être motivées par un meilleur salaire. Il fut tué le 15 mai 2022.
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Andreï Demin. Il est né durant l'année 1983 et meurt en 2022 durant l'opération militaire russe. Il est originaire de Soumy, il fit des études de droit à l’Université de Tchernigov durant l'année 2004. il s’enrôla dans l’armée ukrainienne à la fin de l'année 2019, et fut tué durant la journée 18 mai 2022.
Vladimir Eleshkevitch. Plus âgé que la plupart de ceux cités, il né en 1970 avant de mourir lui aussi en 2022. Il obtient son diplôme de l’école navale. Il est ancien soldat des troupes de marine de l’armée soviétique, il atteignit le grade d’enseigne. Il revînt à la vie civile comme simple employé, marié (vers 1992), deux enfants. Il s’enrôla peu de temps avant l’opération spéciale dans l’armée ukrainienne durant la mois de janvier 2022, et malgré son âge avancé, il était accepté.Les raisons de son engagement furent sans doute motivées par un meilleur salaire. Il fut tué le 15 mai 2022.
Source :
За мир і волю нашої Батьківщини гинуть найкращі українці, найкращі шосткинці.
Сьогодні ми прощалися з трьома захисниками України – командиром батальйону Максимом Юрійовичем Киричуком та військовослужбовцями Андрієм Анатолійовичем Дьоміним і Володимиром Михайловичем Елешкевичем.
traduit de l'ukrainien en français : Les meilleurs Ukrainiens, les meilleurs habitants de Chostkine meurent pour la paix et la volonté de notre patrie.
Aujourd'hui, nous avons dit au revoir à trois défenseurs de l'Ukraine - le commandant de bataillon Maksym Yuriyovych Kyrychuk et les militaires Andrii Anatoliyovych Dyomin et Volodymyr Mykhailovych Eleshkevich.
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il y a 2 ans
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Andreï Fedichev ( ?-), d’origines cosaques, né dans la région de Lougansk, comme son frère. Son grand-père servit dans l’Armée Rouge durant la Grande Guerre Patriotique, passa devant un conseil de guerre et fut innocenté, puis envoyé dans la réserve, après la guerre il travailla longtemps dans une usine de munitions dans la région de Lougansk. Son frère Valentin (1960-2016) servit dans l’Armée soviétique notamment durant la guerre d’Afghanistan (1979-1989), dont il revînt. Les deux frères s’enrôlèrent ensemble dans les bataillons de représailles, lui dans le bataillon Tchernigov-1, son frère étant nommé chef adjoint dans l’État-major de l’opération ATO. Il fut l’un des derniers à fuir le champ de bataille de Debaltsevo, indiquant avoir détalé dans une fuite éperdue durant deux jours et parcourant une soixantaine de kilomètres à pied (son frère qui aurait pu être de Marseille, déclarait qu’il avait parcouru 100 km), pour échapper au désastre du chaudron de Debaltsevo (février 2015). Il mourut plus tard d’une crise cardiaque (26 octobre 2016). Lui-même était officier de carrière dans l’armée ukrainienne, il servit dans les forces de maintien de la paix, notamment au Kossovo (2013-2014), et fut envoyé dans le bataillon Tchernigov-1, alors lieutenant-colonel. Il servit notamment dans la région d’Avdeevka non loin de Donetsk, puis fut envoyé dans le 137e bataillon de fusiliers-marins (2017), qu’il commanda peut-être jusqu’à ce jour.
MODIFICATION
Andreï Fedichev. Cet homme là a des cosaques. Il est né dans la région de Lougansk, tout comme son frère. Son grand-père avait servi dans l’Armée Rouge durant la Grande Guerre Patriotique, passa devant un conseil de guerre et fut innocenté, puis envoyé dans la réserve, après la guerre il travailla longtemps dans une usine de munitions dans la région de Lougansk. Son frère Valentin, quant à lui est né en 1969 et mort en 2016. Lui aussi avait servi dans l’Armée rouge notamment durant la guerre d’Afghanistan entre 1979 et 1989, dont il revînt. Les deux frères s’enrôlèrent ensemble dans les bataillons de représailles, lui dans le bataillon Tchernigov-1, son frère étant nommé chef adjoint dans l’État-major de l’opération ATO. Il fut l’un des derniers à fuir le champ de bataille de Debaltsevo, indiquant avoir détalé dans une fuite éperdue durant deux jours et parcourant une soixantaine de kilomètres à pied (son frère qui aurait pu être de Marseille, déclarait qu’il avait parcouru 100 km), pour échapper au désastre du chaudron de Debaltsevo (février 2015). Il mourut plus tard d’une crise cardiaque (26 octobre 2016). Lui-même était officier de carrière dans l’armée ukrainienne, il servit dans les forces de maintien de la paix, notamment au Kossovo (2013-2014), et fut envoyé dans le bataillon Tchernigov-1, alors lieutenant-colonel. Il servit notamment dans la région d’Avdeevka non loin de Donetsk, puis fut envoyé dans le 137e bataillon de fusiliers-marins (2017), qu’il commanda peut-être jusqu’à ce jour.
Source pour son frère :
https://ukurier.gov.ua/uk[...]i-z-gidnistyu-projshli-k/
Source pour le 137ème bataillon de fusiliers marins :
https://armyinform.com.ua[...]-zdijmala-bojovi-znamena/


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Andreï Fedichev. Cet homme là a des cosaques. Il est né dans la région de Lougansk, tout comme son frère. Son grand-père avait servi dans l’Armée Rouge durant la Grande Guerre Patriotique, passa devant un conseil de guerre et fut innocenté, puis envoyé dans la réserve, après la guerre il travailla longtemps dans une usine de munitions dans la région de Lougansk. Son frère Valentin, quant à lui est né en 1969 et mort en 2016. Lui aussi avait servi dans l’Armée rouge notamment durant la guerre d’Afghanistan entre 1979 et 1989, dont il revînt. Les deux frères s’enrôlèrent ensemble dans les bataillons de représailles, lui dans le bataillon Tchernigov-1, son frère étant nommé chef adjoint dans l’État-major de l’opération ATO. Il fut l’un des derniers à fuir le champ de bataille de Debaltsevo, indiquant avoir détalé dans une fuite éperdue durant deux jours et parcourant une soixantaine de kilomètres à pied (son frère qui aurait pu être de Marseille, déclarait qu’il avait parcouru 100 km), pour échapper au désastre du chaudron de Debaltsevo (février 2015). Il mourut plus tard d’une crise cardiaque (26 octobre 2016). Lui-même était officier de carrière dans l’armée ukrainienne, il servit dans les forces de maintien de la paix, notamment au Kossovo (2013-2014), et fut envoyé dans le bataillon Tchernigov-1, alors lieutenant-colonel. Il servit notamment dans la région d’Avdeevka non loin de Donetsk, puis fut envoyé dans le 137e bataillon de fusiliers-marins (2017), qu’il commanda peut-être jusqu’à ce jour.
Source pour son frère :
Source pour le 137ème bataillon de fusiliers marins :
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il y a 2 ans
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Maxime Kiritchuk (1989-2022), originaire de la région de Kharkov, il fit une école militaire à Lvov, puis devînt militaire de carrière. Il fut envoyé servir dans le Donbass dans l’armée régulière, servant dans de nombreuses batailles, à Slaviansk, Avdeevka et Debaltsevo (2014-2015), chef d’une batterie de mortiers (2017), commandant de la 13e brigade motorisée (mars 2021), il servit dans le secteur de Tchernigov et Kiev au début de l’opération militaire russe. La 13e brigade fut ensuite engagée dans la région de Slaviansk et Bakhmut, où elle se trouve encore, il fut tué le 22 mai 2022, alors que son unité avait déjà subi de lourdes pertes.
MODIFICATION
Maxime Kiritchuk. Cet homme là est né en 1989 puis s'est éteint en 2022 durant la guerre. Cet individu est originaire de la région de Kharkov. Il entre dans une école militaire à Lvov, puis il devientmilitaire de carrière. Il fut envoyé servir dans le Donbass dans l’armée régulière, servant dans de nombreuses batailles, à Slaviansk, Avdeevka et Debaltsevo durant les années 2014 et 2015, chef d’une batterie de mortiers en 2017 commandant de la 13e brigade motorisée en mars 2021, il servit dans le secteur de Tchernigov et Kiev au début de l’opération militaire russe. La 13e brigade fut ensuite engagée dans la région de Slaviansk et Bakhmut, où elle se trouve encore, il fut tué le 22 mai 2022, alors que son unité avait déjà subi de lourdes pertes.
Source :
https://suspilne.media/24[...]moi-motopihotnoi-brigadi/

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Maxime Kiritchuk. Cet homme là est né en 1989 puis s'est éteint en 2022 durant la guerre. Cet individu est originaire de la région de Kharkov. Il entre dans une école militaire à Lvov, puis il devientmilitaire de carrière. Il fut envoyé servir dans le Donbass dans l’armée régulière, servant dans de nombreuses batailles, à Slaviansk, Avdeevka et Debaltsevo durant les années 2014 et 2015, chef d’une batterie de mortiers en 2017 commandant de la 13e brigade motorisée en mars 2021, il servit dans le secteur de Tchernigov et Kiev au début de l’opération militaire russe. La 13e brigade fut ensuite engagée dans la région de Slaviansk et Bakhmut, où elle se trouve encore, il fut tué le 22 mai 2022, alors que son unité avait déjà subi de lourdes pertes.
Source :
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
Je te repose la question, en quoi les USA ont-ils agressé la Russie ? En la soutenant pendant les guerres de tchétchénie ?
Sergeï Mouravniy (1972-), un ultranationaliste membre du parti Oukrop, fortement lié à l’oligarque et mafieux Igor Kolomoïsky, par ailleurs bientôt candidat au Conseil régional de Tchernigov (2015). Il fut nommé à la tête du bataillon (novembre 2014) et participa notamment à la déroute de Debaltsevo (janvier-février 2015), avant d’être remplacé (mai). Il rentra dans la vie civile, fonctionnaire dans l’administration de la région de Tchernigov, se représenta ensuite sous l’étiquette d’un autre parti (2020), Solidarité Européenne fondé par le Président Porochenko (2001), mais essuya un nouvel échec. Il disparaît ensuite dans les limbes de l’histoire.
MODIFICATION
Sergeï Mouravniy. Cet homme là est probablement toujours en vie. Ce qu'on sait c'est qu'il est né en 1972. C'est un ultranationaliste membre du parti Oukrop, fortement lié à l’oligarque et mafieux Igor Kolomoïsky, par ailleurs bientôt candidat au Conseil régional de Tchernigov en 2015). Il fut nommé à la tête du bataillon au mois de novembre 2014 et participa notamment à la déroute de Debaltsevo durant les mois de janvier et février 2015, avant d’être remplacé (mai). Il rentra dans la vie civile, fonctionnaire dans l’administration de la région de Tchernigov, se représenta ensuite sous l’étiquette d’un autre parti , Solidarité Européenne fondé par le Président Porochenko durant l'année 2001, mais a du faire face un nouvel échec. Il disparaît ensuite pour ne plus jamais réapparaître.
Source :
https://www.chesno.org/politician/24654/
MODIFICATION
Sergeï Mouravniy. Cet homme là est probablement toujours en vie. Ce qu'on sait c'est qu'il est né en 1972. C'est un ultranationaliste membre du parti Oukrop, fortement lié à l’oligarque et mafieux Igor Kolomoïsky, par ailleurs bientôt candidat au Conseil régional de Tchernigov en 2015). Il fut nommé à la tête du bataillon au mois de novembre 2014 et participa notamment à la déroute de Debaltsevo durant les mois de janvier et février 2015, avant d’être remplacé (mai). Il rentra dans la vie civile, fonctionnaire dans l’administration de la région de Tchernigov, se représenta ensuite sous l’étiquette d’un autre parti , Solidarité Européenne fondé par le Président Porochenko durant l'année 2001, mais a du faire face un nouvel échec. Il disparaît ensuite pour ne plus jamais réapparaître.
Source :
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
Je te repose la question, en quoi les USA ont-ils agressé la Russie ? En la soutenant pendant les guerres de tchétchénie ?
Roman Pitskiv (1983-), originaire de la région d’Ivano-Frankovsk, ultranationaliste et bandériste convaincu, il s’enrôla dans une compagnie d’autodéfense du Maïdan et participa aux émeutes et violences durant la « Révolution de la Dignité » (hiver 2013-2014). Il fut l’un des piliers du recrutement à Tchernigov de la formation du bataillon, attirant à lui d’anciens sbires des compagnies du Maïdan et des ultranationalistes (avril-mai 2014). Il fut nommé au commandement du bataillon et le responsable des principaux crimes commis par ses hommes dans le Donbass (printemps-été 2014). Il fut mis particulièrement en cause pour les humiliations, les tortures et les violences commises sur des prisonniers insurgés, mais aussi sur les simples civils. Plus intéressé à la politique qu’aux combats, il laissa son bataillon et retourna à Tchernigov, puis fut nommé dans une commission militaire composée des principaux chefs de bataillons de représailles (août), dans le Parti Front Populaire, droite dure, fondé par le Premier ministre du moment Iatseniouk (également lié au Parti National-Socialiste d’Ukraine, Svoboda). Il se présenta pour ce parti aux élections législatives de la Rada, fut victime d’un grave accident de voiture dans la région de Tchernigov (11 septembre). Gravement blessé, il ne fut par ailleurs pas élu dans la Rada (octobre). Son accident mis fin à sa carrière militaire et à son commandement. Lié à Arsen Avakov, l’éternel Ministre de l’Intérieur (2014-2021) et également membre du Parti Front Populaire, il fut utilisé avec des hommes de main pour des opérations et des raids, notamment contre une usine de confiseries à Jytomyr (2016).
Il était devenu entre temps un cadre supérieur de la Police dans la région de Tchernigov, adjoint à la sécurité publique, transféré ensuite à Kiev, chef de département, directeur-général des unités des forces de police spéciale, avant d’être nommé chef adjoint de la direction générale de la Police nationale pour la région d’Ivano-Frankovsk (9 octobre 2019), poste qu’il occupe sans doute toujours. S’il était pris, il aurait à comparaître devant un tribunal militaire russe pour les crimes de guerre commis dans le Donbass en 2014.
MODIFICATION
Roman Pitskiv. Cet homme là né en 1983 et est toujours en vie à l'heure actuelle en 2023. Il est originaire de la région d’Ivano-Frankovsk. On peut parler de bandériste pur jus. Il s'engage dans une compagnie d’autodéfense du Maïdan et participa aux émeutes et violences durant la révolution orange de 2014. Il fut l’un des piliers du recrutement à Tchernigov de la formation du bataillon, attirant à lui d’anciens sbires des compagnies du Maïdan et des ultranationalistes (avril-mai 2014). Il fut nommé au commandement du bataillon et le responsable des principaux crimes commis par ses hommes dans le Donbass (printemps-été 2014). Il fut mis particulièrement en cause pour les humiliations, les tortures et les violences commises sur des prisonniers insurgés, mais aussi sur les simples civils. Plus intéressé à la politique qu’aux combats, il laissa son bataillon et retourna à Tchernigov, puis fut nommé dans une commission militaire composée des principaux chefs de bataillons de représailles (août), dans le Parti Front Populaire, droite dure, fondé par le Premier ministre du moment Iatseniouk (également lié au Parti National-Socialiste d’Ukraine, Svoboda). Il se présenta pour ce parti aux élections législatives de la Rada, fut victime d’un grave accident de voiture dans la région de Tchernigov le 11 septembre de la même année. Gravement blessé, il ne fut par ailleurs pas élu dans la Rada (octobre). Son accident mis fin à sa carrière militaire et à son commandement. Lié à Arsen Avakov, l’éternel Ministre de l’Intérieur (2014-2021) et également membre du Parti Front Populaire, il fut utilisé avec des hommes de main pour des opérations et des raids, notamment contre une usine de confiseries à Jytomyr en 2016.
Il était devenu entre temps un cadre supérieur de la Police dans la région de Tchernigov, adjoint à la sécurité publique, transféré ensuite à Kiev, chef de département, directeur-général des unités des forces de police spéciale, avant d’être nommé chef adjoint de la direction générale de la Police nationale pour la région d’Ivano-Frankovsk (9 octobre 2019), poste qu’il occupe sans doute toujours. S’il était pris, il aurait à comparaître devant un tribunal militaire russe pour les crimes de guerre commis dans le Donbass en 2014.
Sources :
https://my.ua/persons/roman-pitskiv
Source pour les élections législatives
http://www.pik.cn.ua/print/12157/
Source pour le chef d'adjoint :
https://report.if.ua/lyud[...]stavyv-novogo-zastupnyka/

Il était devenu entre temps un cadre supérieur de la Police dans la région de Tchernigov, adjoint à la sécurité publique, transféré ensuite à Kiev, chef de département, directeur-général des unités des forces de police spéciale, avant d’être nommé chef adjoint de la direction générale de la Police nationale pour la région d’Ivano-Frankovsk (9 octobre 2019), poste qu’il occupe sans doute toujours. S’il était pris, il aurait à comparaître devant un tribunal militaire russe pour les crimes de guerre commis dans le Donbass en 2014.
MODIFICATION
Roman Pitskiv. Cet homme là né en 1983 et est toujours en vie à l'heure actuelle en 2023. Il est originaire de la région d’Ivano-Frankovsk. On peut parler de bandériste pur jus. Il s'engage dans une compagnie d’autodéfense du Maïdan et participa aux émeutes et violences durant la révolution orange de 2014. Il fut l’un des piliers du recrutement à Tchernigov de la formation du bataillon, attirant à lui d’anciens sbires des compagnies du Maïdan et des ultranationalistes (avril-mai 2014). Il fut nommé au commandement du bataillon et le responsable des principaux crimes commis par ses hommes dans le Donbass (printemps-été 2014). Il fut mis particulièrement en cause pour les humiliations, les tortures et les violences commises sur des prisonniers insurgés, mais aussi sur les simples civils. Plus intéressé à la politique qu’aux combats, il laissa son bataillon et retourna à Tchernigov, puis fut nommé dans une commission militaire composée des principaux chefs de bataillons de représailles (août), dans le Parti Front Populaire, droite dure, fondé par le Premier ministre du moment Iatseniouk (également lié au Parti National-Socialiste d’Ukraine, Svoboda). Il se présenta pour ce parti aux élections législatives de la Rada, fut victime d’un grave accident de voiture dans la région de Tchernigov le 11 septembre de la même année. Gravement blessé, il ne fut par ailleurs pas élu dans la Rada (octobre). Son accident mis fin à sa carrière militaire et à son commandement. Lié à Arsen Avakov, l’éternel Ministre de l’Intérieur (2014-2021) et également membre du Parti Front Populaire, il fut utilisé avec des hommes de main pour des opérations et des raids, notamment contre une usine de confiseries à Jytomyr en 2016.
Il était devenu entre temps un cadre supérieur de la Police dans la région de Tchernigov, adjoint à la sécurité publique, transféré ensuite à Kiev, chef de département, directeur-général des unités des forces de police spéciale, avant d’être nommé chef adjoint de la direction générale de la Police nationale pour la région d’Ivano-Frankovsk (9 octobre 2019), poste qu’il occupe sans doute toujours. S’il était pris, il aurait à comparaître devant un tribunal militaire russe pour les crimes de guerre commis dans le Donbass en 2014.
Sources :
Source pour les élections législatives
http://www.pik.cn.ua/print/12157/
Source pour le chef d'adjoint :
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
Je te repose la question, en quoi les USA ont-ils agressé la Russie ? En la soutenant pendant les guerres de tchétchénie ?
Alexander Onoprienko (1988-2015), originaire de Kiev, il travailla dans une usine de meubles. Il fut mobilisé pour aller se battre dans le Donbass (28 avril 2014), incorporé dans le bataillon Tchernigov-1. Il ne fut envoyé au front que plus tard (septembre), puis fut mortellement blessé à la bataille de Debaltsevo, le 30 janvier 2015. Une plaque commémorative fut installée dans son école (mai).
MODIFICATION
Alexander Onoprienko. Cet homme là né en 1988 et meurt en 2015 au début de la guerre civile en Ukraine. L'individu est originaire de Kiev, et a travaillé dans une usine de meubles. Il fut mobilisé pour aller se battre dans le Donbass en 2014 incorporé dans le bataillon Tchernigov-1. Il ne fut envoyé au front que plus tard (septembre), puis fut mortellement blessé à la bataille de Debaltsevo, le 30 janvier 2015. Une plaque commémorative fut installée dans son école durant le mois de mai de la même année.
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Alexander Onoprienko. Cet homme là né en 1988 et meurt en 2015 au début de la guerre civile en Ukraine. L'individu est originaire de Kiev, et a travaillé dans une usine de meubles. Il fut mobilisé pour aller se battre dans le Donbass en 2014 incorporé dans le bataillon Tchernigov-1. Il ne fut envoyé au front que plus tard (septembre), puis fut mortellement blessé à la bataille de Debaltsevo, le 30 janvier 2015. Une plaque commémorative fut installée dans son école durant le mois de mai de la même année.
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il y a 2 ans
Je te repose la question, en quoi les USA ont-ils agressé la Russie ? En la soutenant pendant les guerres de tchétchénie ?
Anatoli Rodionov ( ?-), d’une famille originaire de la région de Tambov, fils d’un vétéran de la Grande Guerre patriotique, qui s’installa ensuite à Kiev. Il fit une école militaire soviétique à Riazan (1982-1986). Il servit dans les troupes parachutistes au sein du 345e régiment et atteignit le grade de lieutenant-colonel à seulement 27 ans. Il servit en Afghanistan jusqu’au retrait soviétique (1989), puis fut envoyé en garnison en Azerbaïdjan puis en Arménie. A la chute de l’URSS, son unité fut ramenée en Ukraine, à Jytomyr où il intégra la 95e brigade aéromobile dans l’armée ukrainienne, rétrogradé au grade de capitaine, jusqu’à la dissolution de l’unité. Après 13 années de service et âgé de 31 ans, il préféra démissionner. Il monta une affaire de menuiserie dans la deuxième moitié des années 90. Il déclara avoir été favorable à la Révolution Orange et s’être enthousiasmé pour ce qu’il pensait être un vrai changement (2004). Beaucoup plus tard il reprit des études à Lvov, étudiant le droit pour devenir avocat et fut diplômé (2010). Il déménagea de Jytomyr à Krasnoarmeysk, dans la région de Donetsk (2008), puis après l’obtention de son diplôme travailla comme avocat à Donetsk. Il abandonna sa famille pour rejoindre une compagnie d’autodéfense du Maïdan constituée de vétérans de l’Afghanistan, compagnie liée au Parti National-Socialiste d’Ukraine Svoboba (hiver 2013-2014). Il rentra chez lui à Kranoarmeysk et rassembla des ultranationalistes de ses amis et quelques jeunes pour tenter de résister au mouvement général de l’insurrection pro-russe (avril 2014). Lié avec le chef local de la police politique du SBU, il organisa le début des répressions. Pendant ce temps le poste de police et du SBU fut enlevé par les insurgés, une partie des forces de police et des officiels étaient également passés à la révolte dans cette ville du Donbass (ou simplement en fuite).
Il rassembla un quarantaine d’ultranationalistes locaux et tenta d’empêcher le référendum organisé dans la ville pour se séparer ou non de l’Ukraine, où se présentèrent des centaines de personnes enthousiastes. L’arrivée d’hommes du bataillon de représailles Dniepr-1 changea bientôt la situation. Un premier bureau fut pris et la foule dispersée.
Une série de barrages routiers furent organisés pour encercler la ville, et il fut nommé au commandement des forces présentes pour écraser les rebelles. La population ne manqua pas d’être bientôt terrorisée par des violences et des répressions sanglantes, aussi la ville fut prise par les ultranationalistes. Son commandement provisoire avec Dniepr-1 s’étant terminé là, en communication avec Korban le bras droit de l’oligarque mafieux Kolomoïsky, il se rendit à Dniepropetrovsk pour obtenir un grade dans un autre bataillon (juillet 2014). Il fut nommé au grade de chef de liaison dans le 43e bataillon d’infanterie motorisée Patriot. Il fut ensuite nommé au commandant du 13e bataillon de défense territoriale Tchernigov (mars/avril 2015). Il y trouva une grande désorganisation, de l’incompétence, de l’alcoolisme. Il réussit pourtant à tenir son bataillon réduit à 300 hommes, suite à la défaite cinglante et aux pertes nombreuses qu’il avait essuyé à la bataille de Debaltsevo (janvier-février 2015). Il imposa de creuser des tranchées et rétablit l’ordre et une certaine discipline, le bataillon servant aux côtés du 43e bataillon d’infanterie motorisée Patriot. Dans ce dernier, d’après ses dires, il se trouvait un groupe de Français (néonazis) arrivé sur place par le biais des réseaux internationaux de l’extrême-droite dure. Les fonds pour payer les dépenses du bataillon n’arrivèrent que tardivement, plusieurs mois après son arrivée (août). Il se trouvait toujours à son commandement lorsqu’il donna cette très longue interview où il raconta son histoire (5 juillet 2017). Il déclarait pour conclure à la question du rôle du soldat à son retour du front : « Je suis avocat, il s’agit d’une lutte contre les autorités locales de Krasnoarmyesk, le bureau du procureur, la police, l’administration de l’hôpital. Je ne me bats pas pour la vie, mais pour leur mort ».
L’un des projets futurs de cet homme était de monter des camps pour les jeunes afin de les militariser, de les entraîner à la survie en temps de guerre et de les endoctriner politiquement. Il fut relevé de son commandement ou démissionna peut-être pour une question d’âge autour de l’année 2017-2018.
Source :
https://issuu.com/pubkis/[...]s/voiny_dnipra/s/11359301

Il rassembla un quarantaine d’ultranationalistes locaux et tenta d’empêcher le référendum organisé dans la ville pour se séparer ou non de l’Ukraine, où se présentèrent des centaines de personnes enthousiastes. L’arrivée d’hommes du bataillon de représailles Dniepr-1 changea bientôt la situation. Un premier bureau fut pris et la foule dispersée.
Une série de barrages routiers furent organisés pour encercler la ville, et il fut nommé au commandement des forces présentes pour écraser les rebelles. La population ne manqua pas d’être bientôt terrorisée par des violences et des répressions sanglantes, aussi la ville fut prise par les ultranationalistes. Son commandement provisoire avec Dniepr-1 s’étant terminé là, en communication avec Korban le bras droit de l’oligarque mafieux Kolomoïsky, il se rendit à Dniepropetrovsk pour obtenir un grade dans un autre bataillon (juillet 2014). Il fut nommé au grade de chef de liaison dans le 43e bataillon d’infanterie motorisée Patriot. Il fut ensuite nommé au commandant du 13e bataillon de défense territoriale Tchernigov (mars/avril 2015). Il y trouva une grande désorganisation, de l’incompétence, de l’alcoolisme. Il réussit pourtant à tenir son bataillon réduit à 300 hommes, suite à la défaite cinglante et aux pertes nombreuses qu’il avait essuyé à la bataille de Debaltsevo (janvier-février 2015). Il imposa de creuser des tranchées et rétablit l’ordre et une certaine discipline, le bataillon servant aux côtés du 43e bataillon d’infanterie motorisée Patriot. Dans ce dernier, d’après ses dires, il se trouvait un groupe de Français (néonazis) arrivé sur place par le biais des réseaux internationaux de l’extrême-droite dure. Les fonds pour payer les dépenses du bataillon n’arrivèrent que tardivement, plusieurs mois après son arrivée (août). Il se trouvait toujours à son commandement lorsqu’il donna cette très longue interview où il raconta son histoire (5 juillet 2017). Il déclarait pour conclure à la question du rôle du soldat à son retour du front : « Je suis avocat, il s’agit d’une lutte contre les autorités locales de Krasnoarmyesk, le bureau du procureur, la police, l’administration de l’hôpital. Je ne me bats pas pour la vie, mais pour leur mort ».
L’un des projets futurs de cet homme était de monter des camps pour les jeunes afin de les militariser, de les entraîner à la survie en temps de guerre et de les endoctriner politiquement. Il fut relevé de son commandement ou démissionna peut-être pour une question d’âge autour de l’année 2017-2018.
Source :
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il y a 2 ans
Je te repose la question, en quoi les USA ont-ils agressé la Russie ? En la soutenant pendant les guerres de tchétchénie ?
Vladimir Shpak (1984-2021), originaire de Tchernigov, il fit des études supérieures en économie à l’université de la ville (diplômé 2006), puis créa sa propre entreprise comme autoentrepreneur. Ultranationaliste convaincu, il participa aux événements des émeutes et manifestations du Maïdan (2013-2014), devînt instructeur dans un centre de formation des volontaires partant pour les bataillons de représailles combattre dans le Donbass (2014-2018), il s’enrôla finalement dans l’armée régulière ukrainienne (2018), au grade de lieutenant. Il fut versé dans le 13e bataillon d’infanterie motorisée Tchernigov. Il fut tué le 6 avril 2021 dans un petit village sur le front de la région de Donetsk. Il fut médaillé à titre posthume par Zelensky (21 janvier 2022).
MODIFICATION
Vladimir Shpak. Cet homme est né en 1984 puis s'est éteint durant l'année 2021. Il est originaire de Tchernigov, région où il pu faire ses études dans le domaine de l'économie. Il en ressort diplômé en 2006. Par la suite, il créa sa propre entreprise comme autoentrepreneur. Ultranationaliste convaincu, il participa aux événements des émeutes et manifestations du Maïdan en 2014, devînt instructeur dans un centre de formation des volontaires partant pour les bataillons de représailles combattre dans le Donbass entre les années 2014 et 2018, puis il s'engagea finalement dans l’armée régulière ukrainienne durant l'année de 2018, au grade de lieutenant. Il fut versé dans le 13e bataillon d’infanterie motorisée Tchernigov. Il fut tué le 6 avril 2021 dans un petit village sur le front de la région de Donetsk. Il fut médaillé à titre posthume par Zelensky durant la journée du 21 janvier 2022.
Source :
https://cg.gov.ua/index.php?id=34343&tp=1
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Vladimir Shpak. Cet homme est né en 1984 puis s'est éteint durant l'année 2021. Il est originaire de Tchernigov, région où il pu faire ses études dans le domaine de l'économie. Il en ressort diplômé en 2006. Par la suite, il créa sa propre entreprise comme autoentrepreneur. Ultranationaliste convaincu, il participa aux événements des émeutes et manifestations du Maïdan en 2014, devînt instructeur dans un centre de formation des volontaires partant pour les bataillons de représailles combattre dans le Donbass entre les années 2014 et 2018, puis il s'engagea finalement dans l’armée régulière ukrainienne durant l'année de 2018, au grade de lieutenant. Il fut versé dans le 13e bataillon d’infanterie motorisée Tchernigov. Il fut tué le 6 avril 2021 dans un petit village sur le front de la région de Donetsk. Il fut médaillé à titre posthume par Zelensky durant la journée du 21 janvier 2022.
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il y a 2 ans
Je te repose la question, en quoi les USA ont-ils agressé la Russie ? En la soutenant pendant les guerres de tchétchénie ?
Après le bataillon de Tchernigov, voici le bataillon de Volhynie.
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il y a 2 ans
Je te repose la question, en quoi les USA ont-ils agressé la Russie ? En la soutenant pendant les guerres de tchétchénie ?
En juillet 1943, le nettoyage ethnique massif et les meurtres brutaux de civils, notamment de femmes et d’enfants, atteignirent leur paroxysme dans l’ouest de l’Ukraine. Les événements qui ont eu lieu il y a 75 ans sont entrés à jamais dans l'histoire, comme le massacre de Volyn ou la tragédie de Volyn. Dans la nuit du 11 juillet 1943, les militants de l'Armée insurrectionnelle ukrainienne (OUN-UPA)* font irruption dans les 150 colonies polonaises de l'ouest de l'Ukraine. En une seule journée, plus de dix mille civils, pour la plupart des Polonais de souche, ont été tués.
Les nationalistes ukrainiens ont immédiatement ressenti le pouvoir dès que les troupes nazies sont entrées sur le territoire ukrainien. Déjà au cours de l'année 1941, ils ont participé aux meurtres non seulement d'ouvriers du Komsomol, de fonctionnaires du parti et d'hommes de l'Armée rouge, mais également de membres de minorités nationales - Juifs et Polonais. L’histoire incluait le tristement célèbre pogrom de Lviv, qui était bien documenté. Les troupes allemandes sont entrées dans Lviv le matin du 30 juin 1941 de l'année, le même jour où des pogroms locaux ont commencé dans la ville, qui se sont transformés le 1er juillet en un pogrom juif massif. Dans le même temps, le harcèlement, les meurtres et la torture de la population majoritairement juive de Lviv se sont poursuivis pendant plusieurs jours. Pendant ce temps, des membres de la nouvelle « Milice populaire ukrainienne », des nationalistes et des volontaires parmi les habitants de la ville ont réussi à exterminer environ quatre mille Juifs à Lviv.
Les nationalistes ukrainiens ont immédiatement ressenti le pouvoir dès que les troupes nazies sont entrées sur le territoire ukrainien. Déjà au cours de l'année 1941, ils ont participé aux meurtres non seulement d'ouvriers du Komsomol, de fonctionnaires du parti et d'hommes de l'Armée rouge, mais également de membres de minorités nationales - Juifs et Polonais. L’histoire incluait le tristement célèbre pogrom de Lviv, qui était bien documenté. Les troupes allemandes sont entrées dans Lviv le matin du 30 juin 1941 de l'année, le même jour où des pogroms locaux ont commencé dans la ville, qui se sont transformés le 1er juillet en un pogrom juif massif. Dans le même temps, le harcèlement, les meurtres et la torture de la population majoritairement juive de Lviv se sont poursuivis pendant plusieurs jours. Pendant ce temps, des membres de la nouvelle « Milice populaire ukrainienne », des nationalistes et des volontaires parmi les habitants de la ville ont réussi à exterminer environ quatre mille Juifs à Lviv.
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il y a 2 ans
Je te repose la question, en quoi les USA ont-ils agressé la Russie ? En la soutenant pendant les guerres de tchétchénie ?
Il ressort des documents internes de l'OUN-UPA * déjà publiés dans les années d'après-guerre * que non seulement les Juifs et les Russes, mais aussi les Polonais étaient considérés comme des ennemis de l'État ukrainien. Dans le même temps, un nettoyage ethnique de la population polonaise était prévu avant le début de la Seconde Guerre mondiale. Par exemple, la doctrine militaire des nationalistes ukrainiens, élaborée au printemps 1938, contient les thèses sur la nécessité d’« éliminer jusqu’au dernier l’élément polonais étranger des terres ukrainiennes occidentales ». Les nationalistes ukrainiens voulaient donc mettre un terme aux prétentions polonaises sur ces territoires qui, pendant des siècles, faisaient partie de différents États. Dans le même temps, l’Armée rouge, qui occupait le territoire de l’Ukraine occidentale au cours de l’année 1939, a d’abord empêché les nationalistes ukrainiens de mettre en œuvre leurs plans. Certes, le report pour les Polonais n'a pas duré longtemps.
En 1941, l'OUN-UPA* publie une autre instruction sur ses activités et sa lutte. La « Milice populaire » attribue ce document à la « neutralisation » des Polonais, qui n’ont pas renoncé à leur rêve de créer la Grande Pologne, qui comprend des terres situées au nord-ouest de l’Ukraine. Y compris la région historique - Volyn.
Il convient de noter que Volyn est une région ancienne qui, au Xe siècle, faisait partie de la Rus de Kiev (Volyn, puis principauté de Vladimir-Volyn). Plus tard, ces terres furent cédées à la Principauté de Lituanie, puis à la Pologne. Après plusieurs sections du Commonwealth polono-lituanien, la région est devenue partie intégrante de l'Empire russe. En 1921, la partie occidentale de la Volhynie fut transférée à la Pologne et la partie orientale à la RSS d'Ukraine. En 1939, la Volyn occidentale fut également annexée à la RSS d'Ukraine. Durant la Grande Guerre Patriotique, cette zone géographique fut occupée par les troupes hitlériennes.
En 1941, l'OUN-UPA* publie une autre instruction sur ses activités et sa lutte. La « Milice populaire » attribue ce document à la « neutralisation » des Polonais, qui n’ont pas renoncé à leur rêve de créer la Grande Pologne, qui comprend des terres situées au nord-ouest de l’Ukraine. Y compris la région historique - Volyn.
Il convient de noter que Volyn est une région ancienne qui, au Xe siècle, faisait partie de la Rus de Kiev (Volyn, puis principauté de Vladimir-Volyn). Plus tard, ces terres furent cédées à la Principauté de Lituanie, puis à la Pologne. Après plusieurs sections du Commonwealth polono-lituanien, la région est devenue partie intégrante de l'Empire russe. En 1921, la partie occidentale de la Volhynie fut transférée à la Pologne et la partie orientale à la RSS d'Ukraine. En 1939, la Volyn occidentale fut également annexée à la RSS d'Ukraine. Durant la Grande Guerre Patriotique, cette zone géographique fut occupée par les troupes hitlériennes.
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il y a 2 ans
Je te repose la question, en quoi les USA ont-ils agressé la Russie ? En la soutenant pendant les guerres de tchétchénie ?
Le contexte historique accumulé au fil des siècles, la désunion ethnique de la région et les nombreux vieux griefs les uns contre les autres sont peut-être devenus une sorte de fusible qui a mis le feu à une poudrière et conduit la région entière, en premier lieu sa population pacifique, à un véritable catastrophe. À la fin du premier tiers du XXe siècle, une confrontation territoriale et idéologique persistante entre la Pologne et l’Ukraine s’est développée. Au fil des siècles, les deux parties ont réussi à commettre à plusieurs reprises de nombreuses atrocités l'une contre l'autre, qui n'allaient toutefois pas au-delà de la pratique habituelle de cette période. Dans le même temps, les événements survenus à Volyn pendant la Seconde Guerre mondiale, par leur sanglante et leur cruauté, ont éclipsé l'histoire médiévale.
L'UPA elle-même - l'Armée insurrectionnelle ukrainienne, en tant qu'aile de l'Organisation des nationalistes ukrainiens (Mouvement Bandera) a été créée l'année 1942. L'impulsion de son éducation fut la victoire de l'Armée rouge à Stalingrad. Après cette victoire, les troupes soviétiques entamèrent la libération des terres occupées par les Allemands et leurs alliés et se rapprochèrent du Commissariat du Reich d'Ukraine, créé en 1941 par les forces d'occupation allemandes sur le territoire de la RSS d'Ukraine. Dans le même temps, presque dès les premiers jours de la formation de l'UPA, la destruction de la population de souche polonaise a commencé.
Les nationalistes ukrainiens jouissaient pleinement de leur impunité. Après la retraite de l'Armée rouge, il n'y avait pratiquement plus personne pour s'opposer aux gangs de l'OUN-UPA*. Le mouvement partisan soviétique était le plus répandu sur le territoire de la Biélorussie et les Polonais eux-mêmes ne disposaient pas d'un nombre suffisant d'unités bien armées capables de fournir une résistance décente aux nationalistes ukrainiens.
Dans les détachements des nationalistes ukrainiens qui ont participé aux massacres de la population polonaise, il y avait des soi-disant « Rezuns » - des militants spécialisés dans l'exécution d'exécutions cruelles et qui utilisaient pour les meurtres principalement des armes blanches - haches, couteaux, deux- scies à main. Au vrai sens du terme, ils ont éliminé la population civile de Volyn. Dans le même temps, les historiens polonais, qui ont travaillé sur l'étude du massacre de Volyn, ont dénombré environ 125 méthodes de meurtre que les Rezuns ont utilisées dans leurs représailles. Une description de ces méthodes pour tuer le sang d'une personne normale gèle littéralement dans ses veines.
L'UPA elle-même - l'Armée insurrectionnelle ukrainienne, en tant qu'aile de l'Organisation des nationalistes ukrainiens (Mouvement Bandera) a été créée l'année 1942. L'impulsion de son éducation fut la victoire de l'Armée rouge à Stalingrad. Après cette victoire, les troupes soviétiques entamèrent la libération des terres occupées par les Allemands et leurs alliés et se rapprochèrent du Commissariat du Reich d'Ukraine, créé en 1941 par les forces d'occupation allemandes sur le territoire de la RSS d'Ukraine. Dans le même temps, presque dès les premiers jours de la formation de l'UPA, la destruction de la population de souche polonaise a commencé.
Les nationalistes ukrainiens jouissaient pleinement de leur impunité. Après la retraite de l'Armée rouge, il n'y avait pratiquement plus personne pour s'opposer aux gangs de l'OUN-UPA*. Le mouvement partisan soviétique était le plus répandu sur le territoire de la Biélorussie et les Polonais eux-mêmes ne disposaient pas d'un nombre suffisant d'unités bien armées capables de fournir une résistance décente aux nationalistes ukrainiens.
Dans les détachements des nationalistes ukrainiens qui ont participé aux massacres de la population polonaise, il y avait des soi-disant « Rezuns » - des militants spécialisés dans l'exécution d'exécutions cruelles et qui utilisaient pour les meurtres principalement des armes blanches - haches, couteaux, deux- scies à main. Au vrai sens du terme, ils ont éliminé la population civile de Volyn. Dans le même temps, les historiens polonais, qui ont travaillé sur l'étude du massacre de Volyn, ont dénombré environ 125 méthodes de meurtre que les Rezuns ont utilisées dans leurs représailles. Une description de ces méthodes pour tuer le sang d'une personne normale gèle littéralement dans ses veines.
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il y a 2 ans
Vladimir_Karpov
2 ans
ahi
les ukrainiens sont seulement en préparation + reconnaissance et ça tâche déjà le caleçon
Je ne fais confiance qu'à @Joe_Valezy sur ce forum Membre fondateur de la Cosa Nostra, avec Joe et @Paulo
il y a 2 ans
Je te repose la question, en quoi les USA ont-ils agressé la Russie ? En la soutenant pendant les guerres de tchétchénie ?
Des événements particulièrement massifs et sanglants se sont produits à Volyn dans la nuit du 11 juillet 1943, lorsque de nombreuses unités de l'UPA * ont attaqué simultanément 150 villages, villages et fermes polonaises. En une seule journée, plus de dix mille personnes sont mortes. Par exemple, le 11 juillet 1943, à Kiselyn, 90 personnes, parmi lesquelles le prêtre Alexei Shavlevsky, furent immédiatement tuées, rassemblées pour une messe dans l'église locale. Au total, selon diverses estimations, le massacre de Volyn a tué jusqu'à 60 000 Polonais (directement sur le territoire de Volyn), et le nombre total de Polonais tués dans toute l'Ukraine occidentale est estimé à environ 100 000. Lors du massacre de Volyn, presque toute la population polonaise de la région a été détruite.
Les atrocités des nationalistes de l'OUN-UPA ne pouvaient manquer de recevoir une réponse de la part des Polonais. Par exemple, des unités de l’Armée de l’Intérieur ont également attaqué des villages ukrainiens, menant notamment leurs propres actions de représailles. On pense qu'ils ont tué plusieurs milliers d'Ukrainiens (jusqu'à 2 à 3 milliers de civils). Le nombre total de morts parmi les Ukrainiens peut atteindre 30 000. Il ne faut pas oublier qu'une partie importante d'entre eux auraient pu être tués par leurs compatriotes, les nationalistes ukrainiens. Les combattants de l'UPA ont tué des Ukrainiens qui tentaient d'aider les Polonais et de les sauver, ils ont également exigé que les Ukrainiens ayant une famille mixte tuent les plus proches parents polonais. En cas d'échec, tout le monde était tué.
Les massacres de Polonais et d’Ukrainiens n’ont pris fin qu’après la libération de l’ensemble du territoire ukrainien par les combattants de l’Armée rouge. De plus, même alors, il n'était plus possible de réconcilier les deux peuples entre eux. C'est pourquoi, en juillet 1945, l'URSS et la Pologne ont conclu un accord commun sur l'échange de population. Les Polonais qui vivaient sur les territoires faisant partie de l'Union soviétique se sont installés sur le territoire de la Pologne et les Ukrainiens qui vivaient sur les terres polonaises se sont rendus sur le territoire de la RSS d'Ukraine. L’opération de réinstallation portait le nom de code « Wisla » et a duré près de deux ans. Pendant cette période, plus de 1,5 million de personnes ont été réinstallées. Une telle « réinstallation des peuples » a réduit le degré de tension entre les Polonais et les Ukrainiens. Dans le même temps, tout au long de l'histoire soviétique, ce sujet douloureux a été une fois de plus tenté de ne pas être rappelé ni abordé. Le massacre de Volyn n'a pas été largement médiatisé en URSS et, à cette époque, en République populaire de Pologne, seuls quelques ouvrages étaient consacrés à cette tragédie. Encore une fois, les historiens et le grand public ne sont revenus sur ces événements qu’en 1992, après l’effondrement de l’URSS.
Les atrocités des nationalistes de l'OUN-UPA ne pouvaient manquer de recevoir une réponse de la part des Polonais. Par exemple, des unités de l’Armée de l’Intérieur ont également attaqué des villages ukrainiens, menant notamment leurs propres actions de représailles. On pense qu'ils ont tué plusieurs milliers d'Ukrainiens (jusqu'à 2 à 3 milliers de civils). Le nombre total de morts parmi les Ukrainiens peut atteindre 30 000. Il ne faut pas oublier qu'une partie importante d'entre eux auraient pu être tués par leurs compatriotes, les nationalistes ukrainiens. Les combattants de l'UPA ont tué des Ukrainiens qui tentaient d'aider les Polonais et de les sauver, ils ont également exigé que les Ukrainiens ayant une famille mixte tuent les plus proches parents polonais. En cas d'échec, tout le monde était tué.
Les massacres de Polonais et d’Ukrainiens n’ont pris fin qu’après la libération de l’ensemble du territoire ukrainien par les combattants de l’Armée rouge. De plus, même alors, il n'était plus possible de réconcilier les deux peuples entre eux. C'est pourquoi, en juillet 1945, l'URSS et la Pologne ont conclu un accord commun sur l'échange de population. Les Polonais qui vivaient sur les territoires faisant partie de l'Union soviétique se sont installés sur le territoire de la Pologne et les Ukrainiens qui vivaient sur les terres polonaises se sont rendus sur le territoire de la RSS d'Ukraine. L’opération de réinstallation portait le nom de code « Wisla » et a duré près de deux ans. Pendant cette période, plus de 1,5 million de personnes ont été réinstallées. Une telle « réinstallation des peuples » a réduit le degré de tension entre les Polonais et les Ukrainiens. Dans le même temps, tout au long de l'histoire soviétique, ce sujet douloureux a été une fois de plus tenté de ne pas être rappelé ni abordé. Le massacre de Volyn n'a pas été largement médiatisé en URSS et, à cette époque, en République populaire de Pologne, seuls quelques ouvrages étaient consacrés à cette tragédie. Encore une fois, les historiens et le grand public ne sont revenus sur ces événements qu’en 1992, après l’effondrement de l’URSS.
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il y a 2 ans
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Mais en juin 1941, Bandera avait proclamé l’indépendance de l’Ukraine, qui n’était pas du tout dans les plans d’Adolf Hitler. Ce dernier ordonna l’arrestation de Bandera, mais les Ukrainiens poursuivirent leur œuvre de mort dans les rangs allemands jusqu’à l’été 1942. A cette date l’UPA fut créé, devant combattre à la fois les nazis et les soviétiques, mais la situation militaire devînt gravissime pour les Allemands, après les défaites de Stalingrad (hiver 1942-1943), puis de Koursk (été 1943).
Mais quand la situation militaire se corsa après les défaites de Stalingrad puis de Koursk, des purifications ethniques furent effectués.
l’UPA se lance dans le massacre et la purification ethnique des régions occidentales de l’Ukraine et en particulier en Volhynie et en Galicie.
La guerre étant perdue, du moins l’UPA pouvait-elle nettoyer la région « des ennemis » de l’Ukraine. Les policiers supplétifs ukrainiens avaient déjà participé à l’extermination des Juifs, dont il ne restait plus grand-chose dans la région. Simon Wiesenthal, lui-même Juif originaire de la région de Ternopol, indiqua dans son livre Les Assassins sont parmi nous, qu’environ 500 000 Juifs avaient été exterminés par le Allemands et les Ukrainiens dans la région (Galicie et Volhynie). Source :
https://www.goodreads.com[...]assassins-sont-parmi-nous
Mais quand la situation militaire se corsa après les défaites de Stalingrad puis de Koursk, des purifications ethniques furent effectués.
l’UPA se lance dans le massacre et la purification ethnique des régions occidentales de l’Ukraine et en particulier en Volhynie et en Galicie.
La guerre étant perdue, du moins l’UPA pouvait-elle nettoyer la région « des ennemis » de l’Ukraine. Les policiers supplétifs ukrainiens avaient déjà participé à l’extermination des Juifs, dont il ne restait plus grand-chose dans la région. Simon Wiesenthal, lui-même Juif originaire de la région de Ternopol, indiqua dans son livre Les Assassins sont parmi nous, qu’environ 500 000 Juifs avaient été exterminés par le Allemands et les Ukrainiens dans la région (Galicie et Volhynie). Source :
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
Je te repose la question, en quoi les USA ont-ils agressé la Russie ? En la soutenant pendant les guerres de tchétchénie ?
BATAILLON VOLHYN
Quand au bataillon de Volhynie, il fut formé de volontaires de la ville de Loutsk et de la région de Volhynie (31 mai 2014), dans le but de rejoindre les bataillons de représailles et sur la base du volontariat. Contrairement aux autres bataillons, il ne fut pas envoyé dans la hâte dans le Donbass et resta longuement à l’entraînement (juin-juillet), son effectif fut porté à 450 hommes, dont 30 % de mobilisés. Premier bataillon du genre recruté dans la région, son recrutement fut rapide et très vite 400 hommes furent rassemblés (13 juin), dépassant bientôt son complet (25 juin). Vu sa forte proportion de mobilisés, on préféra l’envoyer à Tchernigov pour assurer « une surveillance de la frontière russe » (août-septembre), et n’étant équipé que de bus scolaires réquisitionnés pour le transport des troupes. La situation du côté de l’équipement n’était pas meilleure, moins de 10 % des hommes furent équipés d’un gilet pare-balles, dont une quinzaine furent donnés par le Quartier-général de l’autodéfense du Maïdan de la région, à savoir par des bandéristes et néonazis des différentes formations politiques, Pravy Sektor, Parti National-Socialiste d’Ukraine, la Fondation des Patriotes Volhyniens, ou par des associations humanitaires ne faisant pas d’humanitaire, mais fournissant en réalité, argent, armes, et équipements aux bataillons de représailles (Volhyn-2014, Serdsia Volini, etc.). Il ne resta pas longtemps dans l’inaction. La situation tournant au vinaigre dans la bataille des frontières, il fut envoyé dans le Donbass, région de Donetsk, villes de Debaltsevo et d’Enakievo (septembre 2014-mars 2015).
Le bataillon fut engagé dans la bataille perdue de Debaltsevo, laissant des prisonniers aux mains des républicains (février 2015). L’indiscipline et les protestations se firent sentir dans ses rangs, par des plaintes au sujet qu’ils restèrent longuement en première ligne dans l’inconfort des tranchées, contrairement à d’autres unités (certains près de 100 jours). On constata même des cas de pneumonie, dont au moins un cas mortel. L’État-major tenta de leur faire signer un engagement dans un bataillon d’infanterie motorisé de l’armée régulière. Ce qui signifiait pour eux qui avaient été recrutés régionalement, être dispersés. La gronde monta encore d’un cran (22 octobre 2014), les mobilisés arrivant à terme de contrats pesaient lourd sur la faible motivation à se battre. Le commandant du groupe Nord, Anatoly Proshine déclarait à leur propos dans une interview : « ce bataillon est équipé à 100 % de casques en kevlar, de gilets pare-balles, d’armes légères, et l’état des véhicules blindés et des voitures est opérationnel à 100 %. Quelques-uns sont certes en réparation. Il n’y a pas de problèmes dans ce bataillon, il n’y a qu’un problème chez certains membres de l’unité qui ne veulent pas faire leur devoir » (28 février 2015). Une première démobilisation eut lieue (septembre 2015), au point qu’il ne restait plus qu’un tiers de l’effectif de départ, à savoir seulement les ultranationalistes et extrémistes engagés au début de la guerre (novembre). Le bataillon fut alors transformé en 99e bataillon d’infanterie motorisée, bientôt versé dans la 14e brigade mécanisée Prince Roman le Grand. Elle fut formée vers la fin de l’année 2014, avec les restes décimés des premières batailles du Donbass, de la 51e brigade mécanisée qui reçut le titre de Prince Roman le Grand (14 octobre 2019). Elle reçut la visite du métropolite Johan Yaremenko de l’Église orthodoxe ukrainienne (Patriarcat de Kiev, décembre).
La brigade fut par la suite engagée sur le front depuis l’opération spéciale russe, ayant combattu dans la région de Kiev, avec de lourdes pertes (mars-avril 2022). La propagande ukrainienne tenta d’inventer le mythe des invincibles « tueurs de chars », où trois équipages de la 14e brigade mécanisée auraient détruit 6 chars russes, pour un engin perdu (avec son équipage). Ce genre de faits héroïques militaires ayant été massivement inventés par la propagande ukrainienne, il est difficile de savoir le vrai du faux, l’idée étant de faire croire au peuple ukrainien que leurs soldats sont tous « des héros », et à l’opinion publique occidentale que « les Russes sont des nuls » et ont une armée obsolète, incapable, commandée par des imbéciles, sans armes modernes, et sans munitions (entre autre les vrais faux héros de l’île aux Serpents, le faux as de la chasse ukrainienne, la soit disant évacuation d’Azov à Marioupol, etc.).
Sources :
Source pour les prisonniers
https://www.volynnews.com[...]ut-zaminy-dlia-bto-volyn/
Source pour l'interview :
https://www.volynnews.com[...]-na-skhid-z-povnym-nulem/
Source pour la patriarcat de Kiev

Quand au bataillon de Volhynie, il fut formé de volontaires de la ville de Loutsk et de la région de Volhynie (31 mai 2014), dans le but de rejoindre les bataillons de représailles et sur la base du volontariat. Contrairement aux autres bataillons, il ne fut pas envoyé dans la hâte dans le Donbass et resta longuement à l’entraînement (juin-juillet), son effectif fut porté à 450 hommes, dont 30 % de mobilisés. Premier bataillon du genre recruté dans la région, son recrutement fut rapide et très vite 400 hommes furent rassemblés (13 juin), dépassant bientôt son complet (25 juin). Vu sa forte proportion de mobilisés, on préféra l’envoyer à Tchernigov pour assurer « une surveillance de la frontière russe » (août-septembre), et n’étant équipé que de bus scolaires réquisitionnés pour le transport des troupes. La situation du côté de l’équipement n’était pas meilleure, moins de 10 % des hommes furent équipés d’un gilet pare-balles, dont une quinzaine furent donnés par le Quartier-général de l’autodéfense du Maïdan de la région, à savoir par des bandéristes et néonazis des différentes formations politiques, Pravy Sektor, Parti National-Socialiste d’Ukraine, la Fondation des Patriotes Volhyniens, ou par des associations humanitaires ne faisant pas d’humanitaire, mais fournissant en réalité, argent, armes, et équipements aux bataillons de représailles (Volhyn-2014, Serdsia Volini, etc.). Il ne resta pas longtemps dans l’inaction. La situation tournant au vinaigre dans la bataille des frontières, il fut envoyé dans le Donbass, région de Donetsk, villes de Debaltsevo et d’Enakievo (septembre 2014-mars 2015).
Le bataillon fut engagé dans la bataille perdue de Debaltsevo, laissant des prisonniers aux mains des républicains (février 2015). L’indiscipline et les protestations se firent sentir dans ses rangs, par des plaintes au sujet qu’ils restèrent longuement en première ligne dans l’inconfort des tranchées, contrairement à d’autres unités (certains près de 100 jours). On constata même des cas de pneumonie, dont au moins un cas mortel. L’État-major tenta de leur faire signer un engagement dans un bataillon d’infanterie motorisé de l’armée régulière. Ce qui signifiait pour eux qui avaient été recrutés régionalement, être dispersés. La gronde monta encore d’un cran (22 octobre 2014), les mobilisés arrivant à terme de contrats pesaient lourd sur la faible motivation à se battre. Le commandant du groupe Nord, Anatoly Proshine déclarait à leur propos dans une interview : « ce bataillon est équipé à 100 % de casques en kevlar, de gilets pare-balles, d’armes légères, et l’état des véhicules blindés et des voitures est opérationnel à 100 %. Quelques-uns sont certes en réparation. Il n’y a pas de problèmes dans ce bataillon, il n’y a qu’un problème chez certains membres de l’unité qui ne veulent pas faire leur devoir » (28 février 2015). Une première démobilisation eut lieue (septembre 2015), au point qu’il ne restait plus qu’un tiers de l’effectif de départ, à savoir seulement les ultranationalistes et extrémistes engagés au début de la guerre (novembre). Le bataillon fut alors transformé en 99e bataillon d’infanterie motorisée, bientôt versé dans la 14e brigade mécanisée Prince Roman le Grand. Elle fut formée vers la fin de l’année 2014, avec les restes décimés des premières batailles du Donbass, de la 51e brigade mécanisée qui reçut le titre de Prince Roman le Grand (14 octobre 2019). Elle reçut la visite du métropolite Johan Yaremenko de l’Église orthodoxe ukrainienne (Patriarcat de Kiev, décembre).
La brigade fut par la suite engagée sur le front depuis l’opération spéciale russe, ayant combattu dans la région de Kiev, avec de lourdes pertes (mars-avril 2022). La propagande ukrainienne tenta d’inventer le mythe des invincibles « tueurs de chars », où trois équipages de la 14e brigade mécanisée auraient détruit 6 chars russes, pour un engin perdu (avec son équipage). Ce genre de faits héroïques militaires ayant été massivement inventés par la propagande ukrainienne, il est difficile de savoir le vrai du faux, l’idée étant de faire croire au peuple ukrainien que leurs soldats sont tous « des héros », et à l’opinion publique occidentale que « les Russes sont des nuls » et ont une armée obsolète, incapable, commandée par des imbéciles, sans armes modernes, et sans munitions (entre autre les vrais faux héros de l’île aux Serpents, le faux as de la chasse ukrainienne, la soit disant évacuation d’Azov à Marioupol, etc.).
Sources :
Source pour les prisonniers
Source pour l'interview :
Source pour la patriarcat de Kiev
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
Je te repose la question, en quoi les USA ont-ils agressé la Russie ? En la soutenant pendant les guerres de tchétchénie ?
En ce qui concerne ce bataillon, il se trouve qu'il fut l’un des bataillons de défense territoriale parmi les plus politisés et aussi l'un des plus brutaux du fait de son recrutement dans une région historique liée à l’UPA, ainsi qu'à la collaboration avec l’Allemagne nazie, avec le culte des héros ukrainiens, et la région abrita également parmi les derniers maquis de l’UPA dans les années 50. L’analyse de prosopographie montre toutefois des dysfonctionnements graves dans l’armée ukrainienne. Les quelques pertes avouées sont des hommes qui décédèrent dans les fameuses « circonstances tragiques » provoquées par l’alcoolisme, la prise de drogues, les comportements suicidaires, et l’on trouve même un cas où l’armée ukrainienne a caché à la famille du défunt les raisons de sa mort. Drame terrible qui en dit long sur les États-majors ukrainiens. Signalons aussi la mort de soldats qui furent atteints de formes graves de pneumonie, dans des conditions hivernales où les hommes n’avaient pas l’équipement hiver nécessaire pour bien se protéger du froid. Dans l’hiver 2014-2015, un certain nombre de soldats ukrainiens décédèrent de cette maladie et les médias ukrainiens communiquèrent sur ce scandale, citant aussi des cas de tuberculose.
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il y a 2 ans
Je te repose la question, en quoi les USA ont-ils agressé la Russie ? En la soutenant pendant les guerres de tchétchénie ?
Sergeï Bassitch (1971-2022), il naquit à Batoumi, en Géorgie soviétique, dans une famille de militaires, son père étant officier dans l’arme blindée. Il suivit une carrière professionnelle dans la communication et travailla pour un groupe en Ukraine. Il s’enrôla pour des raisons idéologiques dans l’armée ukrainienne (2015), bandériste convaincu, devenant commandant de char, grade de sergent chef (2018), servant dans la 14e brigade mécanisée. Il combattit dans la région de Kiev, village de Makarov où il détruisit un char T-72 russe, puis durant un combat de blindés où les Ukrainiens eurent l’avantage (8 mars 2022). Il fut tué ce jour-là dans une contre-attaque ukrainienne, où son char fut détruit par un projectile antichar, les munitions du blindé explosèrent tuant tout l’équipage d’un seul coup au but. Il laissait une veuve et des enfants en Géorgie. Il fut médaillé à titre posthume du titre « de Héros de l’Ukraine avec Étoile d’Or » par le Président Zelensky.
Source :
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il y a 2 ans