Ce sujet a été résolu
ça coûte combien un pain au chocolat en suisse ?
et une douzaine d'œufs plein air ?
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7 francs environ
Le pain au chocolat, je ne sais pas, ça fait très longtemps que je n'en ai pas commandé
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il y a 3 jours
Pour ceux qui sont intéressés :
https://www.sabrinazohar.[...]3-months-coaching-package
il y a 3 jours
7 francs environ
Le pain au chocolat, je ne sais pas, ça fait très longtemps que je n'en ai pas commandé
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Wayooooo c'est hyper cher pour des œufs
C'est moins de 4€ en France
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il y a 3 jours
i got it dont worry mate there is any problem
Trapvador a traduit page 3
il y a 3 jours
25% des mieux rémunrrés ?
Oui, en france ce qui touchent plus de 2600€ par mois feraient partis des 25% les mieux payés, après peut être que GPT se trompe.
Mais oublie pas que le smic c'est 1430€ snif
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il y a 3 jours
Source ?
Et ton "ressenti" ou "aperçu" ne compte pas comme source.
Parce que je sais que c'est pas vrai
Dans plusieurs études en Europe ou aux États-Unis, on trouve des ratios proches de 1:1, voire 1:1,5 en faveur des FTM.
Et ton "ressenti" ou "aperçu" ne compte pas comme source.
Parce que je sais que c'est pas vrai
Dans plusieurs études en Europe ou aux États-Unis, on trouve des ratios proches de 1:1, voire 1:1,5 en faveur des FTM.
L’interview je regrette de pas la trouver, le mec était assez cash derrière son air de petit gros à lunettes, tout sourire devant la présentatrice, limite à dire que les hommes deviendraient massivement pd donc que ça irait finalement, même la présentatrice était un peu choquée
Et personnellement ma source (HAS) pour les transitions est fiable, j’aimerais voir la tienne, ça n’a rien de surprenant que plus d’hommes que de femmes souhaitent changer de sexe.
Et personnellement ma source (HAS) pour les transitions est fiable, j’aimerais voir la tienne, ça n’a rien de surprenant que plus d’hommes que de femmes souhaitent changer de sexe.
il y a 3 jours
Oui, en france ce qui touchent plus de 2600€ par mois feraient partis des 25% les mieux payés, après peut être que GPT se trompe.
Mais oublie pas que le smic c'est 1430€ snif
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Purée les salaires sont vraiment à la traîne
il y a 3 jours
Euh... Je ne sais pas trop quoi répondre à ça, je t'avoue
Peut-être
Peut-être
Moi je vous imagine payer un ordi 2x moins cher comparé à nous. Le dream
il y a 3 jours
Partout dans les pays riches, de moins en moins de gens se mettent en couple ou emménagent ensemble.
Les réseaux sociaux, les applis de rencontre et la polarisation politique y contribuent.
« Je ne sors pas avec des hommes conservateurs ou modérés », dit Nancy Anteby, 30 ans, New-Yorkaise travaillant dans les médias sociaux. « Je ne sors qu’avec des hommes libéraux. » La politique n’est pas sa seule préoccupation. Elle veut aussi quelqu’un d’ambitieux, ayant une carrière stable, juif, et surtout partageant son envie de fonder une famille. Trouver un homme correspondant à tout cela n’est pas facile. « Très souvent, un homme te déçoit », déplore-t-elle. Mais elle a récemment réalisé qu’« elle n’a pas besoin d’un homme pour vivre la vie dont elle rêve ».
Mme Anteby est loin d’être un cas isolé. Aux États-Unis, 41 % des femmes et 50 % des hommes âgés de 25 à 34 ans étaient célibataires en 2023, soit deux fois plus qu’il y a cinquante ans. Et l’Amérique n’est pas une exception : entre 2010 et 2022, la proportion de personnes vivant seules (mesure imparfaite du célibat mais plus accessible statistiquement) a augmenté dans 26 des 30 pays de l’OCDE. Les taux de mariage chutent aussi dans une grande partie de l’Asie, notamment en Chine, en Inde, et surtout au Japon, en Corée du Sud et à Taïwan. En Europe, chaque nouvelle génération est moins susceptible d’être mariée ou en couple que la précédente au même âge.
Cette « récession des relations » touche autant ceux qui voudraient se marier ou emménager avec un partenaire stable que ceux qui cherchent un rendez-vous ou une aventure. Les jeunes sortent moins, ont moins de rendez-vous et commencent leur vie sexuelle plus tard que les générations précédentes. Ils ont aussi moins de relations sexuelles en général (comme la plupart d’entre nous, hélas).
Le sociologue Michael Rosenfeld (université Stanford) a estimé que la baisse des rencontres due au covid a produit 13,7 millions de célibataires supplémentaires aux États-Unis en 2022 par rapport au taux de 2017. The Economist extrapole que, sur dix ans, cela équivaut à au moins 100 millions de célibataires en plus dans le monde.
Deux, c’est déjà trop
Sortir ensemble, avoir des relations, se marier ou divorcer sont des choix intimes, mais leurs effets s’étendent à la société. Que davantage de gens puissent choisir le célibat, alors qu’autrefois la pression sociale et économique poussait au mariage, peut être vu comme une grande libération du dernier demi-siècle. Beaucoup ont été affranchis de mariages malheureux.
Mais tous les célibataires ne l’ont pas choisi. Une étude menée dans 14 pays montre que seulement 40 % des célibataires déclaraient ne pas vouloir de relation. Une enquête américaine (Pew Research Center, 2019) trouvait que 50 % ne voulaient pas sortir avec quelqu’un, mais seuls 27 % disaient aimer être célibataires. Les autres invoquaient le manque de temps, l’âge ou la peur de ne pas plaire. 34 % disaient vouloir un partenaire mais trouver « difficile d’en attirer un » ; 26 % se décrivaient « entre deux relations ». Le nombre de cœurs solitaires augmente.
Pas envie d’une bague
Le décalage entre hommes et femmes est marqué. Dans l’enquête Pew, 62 % des femmes célibataires ne voulaient pas sortir, contre seulement 37 % des hommes. Aux États-Unis et en Corée du Sud notamment, des mouvements d’hommes jeunes s’estimant privés d’opportunités amoureuses se multiplient. Partout, une forte proportion d’hommes jeunes non mariés est corrélée à davantage de violence et de criminalité.
Même de petites baisses du taux de mise en couple peuvent, à l’échelle d’un pays, avoir des effets profonds : baisse des naissances (les femmes mariées ayant plus d’enfants), pression sur l’immobilier (plus de logements individuels), et déséquilibres budgétaires (moins de dépenses pour les écoles, plus pour les maisons de retraite).
Le fait qu’une grande part des célibataires préféreraient être en couple suggère soit un dysfonctionnement du « marché » amoureux empêchant les compatibles de se trouver, soit une évolution sociétale rendant beaucoup de gens incompatibles. En pratique, c’est un peu les deux.
L’Asie en première ligne
En Asie, où le célibat progresse le plus vite, des changements démographiques et culturels creusent les écarts. La politique de l’enfant unique en Chine a créé un déséquilibre majeur : d’ici 2027, on comptera 119 hommes pour 100 femmes en âge de se marier, soit 30 à 50 millions « d’hommes en trop ». Ces célibataires se concentrent chez les hommes pauvres et peu éduqués, et chez les femmes très diplômées.
En Inde, les avortements sélectifs ont donné 111 garçons pour 100 filles en 2011 ; environ 20 millions d’hommes de plus que de femmes sont nés entre 2000 et 2015.
Les femmes, désormais plus éduquées et actives professionnellement, gagnent en indépendance financière. « Elles n’ont plus besoin d’un mari pour vivre », explique la sociologue Wei-Jun Jean Yeung (Université nationale de Singapour). Mais le coût social du mariage reste élevé : dans des sociétés patriarcales, les femmes assument l’essentiel des tâches domestiques et familiales. Beaucoup y voient un sacrifice de carrière.
Résultat : dans plusieurs pays asiatiques, les femmes les plus éduquées sont aussi les plus souvent célibataires. « Les femmes diplômées deviennent plus égalitaires dans leurs attitudes », dit Xiaoling Shu (Université de Californie, Davis). « Mais beaucoup d’hommes instruits restent hostiles au féminisme et voient ces femmes comme une menace personnelle. »
En Corée du Sud, l’écart entre ambitions féminines et attentes masculines sexistes est extrême : environ la moitié des jeunes hommes pensent être discriminés et 60 % estiment que le féminisme les rabaisse. Peu participent aux tâches domestiques. Les femmes, elles, se détournent du mariage.
Même schéma en Occident
Aux États-Unis et en Europe, malgré des rôles de genre plus souples, on observe la même dynamique. Jusqu’au milieu du XXᵉ siècle, les hommes étaient beaucoup plus nombreux à aller à l’université. Aujourd’hui, les femmes les ont dépassés : en 2019, 51 % des femmes de 25-34 ans dans l’OCDE avaient un diplôme universitaire, contre 39 % des hommes.
Cela rend difficile le modèle traditionnel où la femme « épouse vers le haut ». « Les femmes très éduquées qui veulent encore un mari plus diplômé n’en trouveront pas assez », observe Albert Esteve, directeur du Centre d’études démographiques de Barcelone. « La question devient : vont-elles accepter d’épouser un homme moins éduqué ? »
Si les mathématiques seules dominaient, la part de couples où la femme est plus diplômée aurait explosé. Mais la norme culturelle reste forte : en Allemagne, les chercheuses ont constaté que les femmes très éduquées de plus de 30 ans préféraient rester seules plutôt que d’épouser un homme moins instruit.
Les réseaux sociaux, les applis de rencontre et la polarisation politique y contribuent.
« Je ne sors pas avec des hommes conservateurs ou modérés », dit Nancy Anteby, 30 ans, New-Yorkaise travaillant dans les médias sociaux. « Je ne sors qu’avec des hommes libéraux. » La politique n’est pas sa seule préoccupation. Elle veut aussi quelqu’un d’ambitieux, ayant une carrière stable, juif, et surtout partageant son envie de fonder une famille. Trouver un homme correspondant à tout cela n’est pas facile. « Très souvent, un homme te déçoit », déplore-t-elle. Mais elle a récemment réalisé qu’« elle n’a pas besoin d’un homme pour vivre la vie dont elle rêve ».
Mme Anteby est loin d’être un cas isolé. Aux États-Unis, 41 % des femmes et 50 % des hommes âgés de 25 à 34 ans étaient célibataires en 2023, soit deux fois plus qu’il y a cinquante ans. Et l’Amérique n’est pas une exception : entre 2010 et 2022, la proportion de personnes vivant seules (mesure imparfaite du célibat mais plus accessible statistiquement) a augmenté dans 26 des 30 pays de l’OCDE. Les taux de mariage chutent aussi dans une grande partie de l’Asie, notamment en Chine, en Inde, et surtout au Japon, en Corée du Sud et à Taïwan. En Europe, chaque nouvelle génération est moins susceptible d’être mariée ou en couple que la précédente au même âge.
Cette « récession des relations » touche autant ceux qui voudraient se marier ou emménager avec un partenaire stable que ceux qui cherchent un rendez-vous ou une aventure. Les jeunes sortent moins, ont moins de rendez-vous et commencent leur vie sexuelle plus tard que les générations précédentes. Ils ont aussi moins de relations sexuelles en général (comme la plupart d’entre nous, hélas).
Le sociologue Michael Rosenfeld (université Stanford) a estimé que la baisse des rencontres due au covid a produit 13,7 millions de célibataires supplémentaires aux États-Unis en 2022 par rapport au taux de 2017. The Economist extrapole que, sur dix ans, cela équivaut à au moins 100 millions de célibataires en plus dans le monde.
Deux, c’est déjà trop
Sortir ensemble, avoir des relations, se marier ou divorcer sont des choix intimes, mais leurs effets s’étendent à la société. Que davantage de gens puissent choisir le célibat, alors qu’autrefois la pression sociale et économique poussait au mariage, peut être vu comme une grande libération du dernier demi-siècle. Beaucoup ont été affranchis de mariages malheureux.
Mais tous les célibataires ne l’ont pas choisi. Une étude menée dans 14 pays montre que seulement 40 % des célibataires déclaraient ne pas vouloir de relation. Une enquête américaine (Pew Research Center, 2019) trouvait que 50 % ne voulaient pas sortir avec quelqu’un, mais seuls 27 % disaient aimer être célibataires. Les autres invoquaient le manque de temps, l’âge ou la peur de ne pas plaire. 34 % disaient vouloir un partenaire mais trouver « difficile d’en attirer un » ; 26 % se décrivaient « entre deux relations ». Le nombre de cœurs solitaires augmente.
Pas envie d’une bague
Le décalage entre hommes et femmes est marqué. Dans l’enquête Pew, 62 % des femmes célibataires ne voulaient pas sortir, contre seulement 37 % des hommes. Aux États-Unis et en Corée du Sud notamment, des mouvements d’hommes jeunes s’estimant privés d’opportunités amoureuses se multiplient. Partout, une forte proportion d’hommes jeunes non mariés est corrélée à davantage de violence et de criminalité.
Même de petites baisses du taux de mise en couple peuvent, à l’échelle d’un pays, avoir des effets profonds : baisse des naissances (les femmes mariées ayant plus d’enfants), pression sur l’immobilier (plus de logements individuels), et déséquilibres budgétaires (moins de dépenses pour les écoles, plus pour les maisons de retraite).
Le fait qu’une grande part des célibataires préféreraient être en couple suggère soit un dysfonctionnement du « marché » amoureux empêchant les compatibles de se trouver, soit une évolution sociétale rendant beaucoup de gens incompatibles. En pratique, c’est un peu les deux.
L’Asie en première ligne
En Asie, où le célibat progresse le plus vite, des changements démographiques et culturels creusent les écarts. La politique de l’enfant unique en Chine a créé un déséquilibre majeur : d’ici 2027, on comptera 119 hommes pour 100 femmes en âge de se marier, soit 30 à 50 millions « d’hommes en trop ». Ces célibataires se concentrent chez les hommes pauvres et peu éduqués, et chez les femmes très diplômées.
En Inde, les avortements sélectifs ont donné 111 garçons pour 100 filles en 2011 ; environ 20 millions d’hommes de plus que de femmes sont nés entre 2000 et 2015.
Les femmes, désormais plus éduquées et actives professionnellement, gagnent en indépendance financière. « Elles n’ont plus besoin d’un mari pour vivre », explique la sociologue Wei-Jun Jean Yeung (Université nationale de Singapour). Mais le coût social du mariage reste élevé : dans des sociétés patriarcales, les femmes assument l’essentiel des tâches domestiques et familiales. Beaucoup y voient un sacrifice de carrière.
Résultat : dans plusieurs pays asiatiques, les femmes les plus éduquées sont aussi les plus souvent célibataires. « Les femmes diplômées deviennent plus égalitaires dans leurs attitudes », dit Xiaoling Shu (Université de Californie, Davis). « Mais beaucoup d’hommes instruits restent hostiles au féminisme et voient ces femmes comme une menace personnelle. »
En Corée du Sud, l’écart entre ambitions féminines et attentes masculines sexistes est extrême : environ la moitié des jeunes hommes pensent être discriminés et 60 % estiment que le féminisme les rabaisse. Peu participent aux tâches domestiques. Les femmes, elles, se détournent du mariage.
Même schéma en Occident
Aux États-Unis et en Europe, malgré des rôles de genre plus souples, on observe la même dynamique. Jusqu’au milieu du XXᵉ siècle, les hommes étaient beaucoup plus nombreux à aller à l’université. Aujourd’hui, les femmes les ont dépassés : en 2019, 51 % des femmes de 25-34 ans dans l’OCDE avaient un diplôme universitaire, contre 39 % des hommes.
Cela rend difficile le modèle traditionnel où la femme « épouse vers le haut ». « Les femmes très éduquées qui veulent encore un mari plus diplômé n’en trouveront pas assez », observe Albert Esteve, directeur du Centre d’études démographiques de Barcelone. « La question devient : vont-elles accepter d’épouser un homme moins éduqué ? »
Si les mathématiques seules dominaient, la part de couples où la femme est plus diplômée aurait explosé. Mais la norme culturelle reste forte : en Allemagne, les chercheuses ont constaté que les femmes très éduquées de plus de 30 ans préféraient rester seules plutôt que d’épouser un homme moins instruit.
Et elles elle se demandent pas si elles ne déçoivent pas les hommes aussi ?
Je suis le donut du forum
il y a 3 jours
Purée les salaires sont vraiment à la traîne
C'est pas les salaires c'est le viol sur le revenu
Venez voter au concours des citrouilles https://onche.org/topic/1[...]te-concours-de-citrouille #EE50B9
il y a 3 jours
Moi je vous imagine payer un ordi 2x moins cher comparé à nous. Le dream
En vrai, non. On n'a pas les 20% de TVA, du coup je commande en Suisse. Même quand j'habitais en France
il y a 3 jours
L’interview je regrette de pas la trouver, le mec était assez cash derrière son air de petit gros à lunettes, tout sourire devant la présentatrice, limite à dire que les hommes deviendraient massivement pd donc que ça irait finalement, même la présentatrice était un peu choquée
Et personnellement ma source (HAS) pour les transitions est fiable, j’aimerais voir la tienne, ça n’a rien de surprenant que plus d’hommes que de femmes souhaitent changer de sexe.
Et personnellement ma source (HAS) pour les transitions est fiable, j’aimerais voir la tienne, ça n’a rien de surprenant que plus d’hommes que de femmes souhaitent changer de sexe.
Le problème de ta source HAS c'est qu'ils prennent en compte seulement quand tu est identifié par l'ALD mais le parcours trans FTM peut-être pris en charge par la complémentaire santé dans sa totalité ce qui provoque de beaucoup de FTM ne vois pas l'intérêt de déclarer L'ALD
Je t'envoie ça promis quand j'ai vraiment 5 minutes
Je t'envoie ça promis quand j'ai vraiment 5 minutes
il y a 3 jours
Je suis tombé sur cette article très intéressant de The Economist qui parle de l'épidémie de célibat mondial
Ça parle de tout, de déséquilibre démographique jusqu'à l'émancipation des femmes en passant par la sur-sélectivité permise par les applications et pleins d'autres choses
En vrai si vous avez le temps, prenez le temps de tout lire parce que c'est très intérressant et ils ont une approche nuancée sans tomber dans un extrême ou l'autre
Pour les non anglophones traduction en FR de @Trapvador page 3
https://www.economist.com[...]7/2025&utm_id=2120234
Social media, dating apps and political polarisation all play a part
"I don’t date conservative or moderate men,” says Nancy Anteby, a 30-year-old New Yorker who works in social media. “I only date liberal men.” Politics is not her only concern. She is also looking for someone ambitious, with a stable career, who is Jewish and, perhaps most important, shares her desire to start a family. Finding dates who tick all of these boxes is not easy. “Very often a man will disappoint you,” she laments. Then again, she recently realised, “I don’t need to rely on a man to have the life that I dream of.”
Ms Anteby is far from unusual. Across America 41% of women and 50% of men in her age band (25-34) were single in 2023, a share that has doubled over the past five decades. Nor is America exceptional in this regard. Between 2010 and 2022 the share of people living alone (an admittedly imperfect measure of singlehood, but one for which data are more widely available) rose in 26 of the 30 members of the oecd, a club mostly of rich countries. Marriage rates are falling across much of Asia, including in China and India and especially Japan, South Korea and Taiwan. And singlehood is accelerating across different age cohorts. In Europe each new generation is less likely to be married or living with a partner than previous ones at the same age.
This relationship recession is hitting not just those wanting to marry or move in with a steady partner, but also those looking for a date or casual sex. Younger people are socialising less, dating less and starting to have sex later in life than previous generations. They are also having less sex in general (as, alas, are most of us).
Michael Rosenfeld, a sociologist at Stanford University, has found that the reduction in dating owing to the covid-19 pandemic produced 13.7m more singles in America in 2022 than if the singlehood rate (conservatively defined) had stayed at the level of 2017. To generate an estimate of the global increase in plus-nones, The Economist extrapolated from his data, while also taking into account sharp falls in marriage rates in a number of Asian countries, which predate the pandemic. We calculate that over the past decade such effects have swollen the ranks of single people around the world by at least 100m.
Two’s a crowd
Dating, sex, marriage and divorce are all intensely personal choices, and their effects are felt most directly by those making them. The fact that more people feel able to choose to be single now than in the past, when there was far greater social and economic pressure to marry, could be considered one of the great emancipations of the past half century. Untold numbers have been liberated from unhappy unions.
But not all those who remain single have chosen to do so. A study of singles in 14 countries found that only 40% said they were “not interested in being in a relationship”. A smaller survey of single Americans by the Pew Research Centre in 2019 did find that 50% were not interested in dating. Yet only 27% said they were not dating because they enjoyed being single. The rest gave reasons including being too busy, too old, or because no one would want to date them. No less than 34% of singles in the 14-country study said they did not want to be alone but found it “difficult to attract a mate”, with 26% describing themselves as “between relationships”. In short, there are growing numbers of lonely hearts, pining for a partner but unable to secure one.
Don’t want a ring on it
There is an alarming mismatch in this regard between women and men. In the Pew survey, 62% of single women did not want to date, whereas only 37% of single men felt the same way. America and South Korea, among other countries, have big, vocal movements of young men who feel they have been unfairly deprived of romantic opportunities. All over the world, a high proportion of unmarried young men is strongly associated with elevated levels of violence and crime.
Even relatively small shifts in coupling rates, when multiplied across a whole population, can have far-reaching effects on society as a whole. The biggest impact will be on fertility rates, since married women tend to have more children than single ones. This will be especially marked in East Asian countries such as Japan and South Korea, where only 2-4% of babies are born to unmarried mothers. All the world over, however, the rise of singlehood will be a further drag on already slowing birth rates. The effects will also be felt in property markets (more demand for housing, since more people will be living alone) and government finances (less public spending on maternity wards and schools and, in time, more on care homes).
The fact that a large proportion of single people would rather be in a relationship (whether they are still looking for one or have given up hope) suggests that either there is some sort of dating-market failure that is preventing compatible people from finding one another, or that society is changing in ways that are making large numbers of singles incompatible. In practice, it seems to be a bit of both.
In Asia, where singlehood is growing fastest, a mix of structural and cultural changes is increasing incompatibility. Start with demography. China’s one-child policy has created a huge imbalance in the ratio of men to women. When it comes to those of peak marriageable age, the country will have 119 men for every 100 women by 2027. In all, there may be 30m-50m “excess men” in China, reckons Xiaoling Shu of the University of California, Davis. Singlehood in China, like most places, is not evenly distributed. Instead, it is disproportionately concentrated among men who are poorer and poorly educated, and thus less attractive as mates, and among highly educated women (of which more later).
China’s one-child policy makes it an outlier, but heterosexual men in other countries with a strong cultural preference for sons will also struggle to find partners. Sex-selective abortions resulted in 111 boys being born in India in 2011 for every 100 girls, according to census data. The natural ratio is about 105. Although the distortion has since become less extreme, we calculate that around 20m more boys than girls were born in India in 2000-15.
Improved opportunities for women to go to university and enter the workplace are also fuelling the growth in singlehood in East Asia, argues Wei-Jun Jean Yeung of the National University of Singapore. As women gain financial independence, they no longer need a husband to support them. They also have more to lose by getting married. “There’s still a culture of patriarchy in Asia where women carry most of the responsibilities of caring for children and domestic housework,” says Dr Yeung. “The opportunity cost of getting married may be high: women think that if they get married they may have to give up working to take care of their in-laws, parents and children, plus do housework.”
One result of this is that well-educated women are also disproportionately likely to be single in a number of Asian countries. “The best-educated, urban, college-educated women are becoming more egalitarian in their gender attitudes,” says Dr Shu of women in China. “Many college-educated men are hostile towards feminist ideas or even feminists…[they] think these women are hurting their prospects and interests at a personal level.”
In South Korea the gap between women’s opportunities and men’s sexist expectations is particularly wide. Around half of young Korean men think they are discriminated against (other than having to do military service, they are not). Some 60% complain that feminism demeans them. They also tend to be terrible slouches when it comes to housework. Little wonder, then, that ambitious young women are far less keen on marriage than they are.
A similar pattern of singlehood pertains in America and Europe, despite their less ingrained gender roles. Until roughly the middle of the 20th century, far more men went to university than women. As a result there were far more couples in which the man was better educated than the other way round. More recently, however, women have surpassed men in studiousness. Across the oecd on average 51% of women aged 25-34 had a university degree in 2019, compared with 39% of men. That makes the old pattern impossible to sustain. “Highly educated women who still want to marry up won’t find enough candidates,” says Albert Esteve, the director of the Centre for Demographic Studies in Barcelona. “So the question is, are they going to start marrying down?”
If mathematics were the only driving force, rather than cultural norms, there would have been a big rise in the share of couples where the woman is better educated. Yet the expectation that women should marry up is hard to dispel. Researchers in Germany, for example, found that highly educated women over the age of 30 were more likely to remain single than settle for a man with less education.
[Suite en dessous]
Ça parle de tout, de déséquilibre démographique jusqu'à l'émancipation des femmes en passant par la sur-sélectivité permise par les applications et pleins d'autres choses
En vrai si vous avez le temps, prenez le temps de tout lire parce que c'est très intérressant et ils ont une approche nuancée sans tomber dans un extrême ou l'autre
Pour les non anglophones traduction en FR de @Trapvador page 3
All over the rich world, fewer people are hooking up and shacking up
Social media, dating apps and political polarisation all play a part
"I don’t date conservative or moderate men,” says Nancy Anteby, a 30-year-old New Yorker who works in social media. “I only date liberal men.” Politics is not her only concern. She is also looking for someone ambitious, with a stable career, who is Jewish and, perhaps most important, shares her desire to start a family. Finding dates who tick all of these boxes is not easy. “Very often a man will disappoint you,” she laments. Then again, she recently realised, “I don’t need to rely on a man to have the life that I dream of.”
Ms Anteby is far from unusual. Across America 41% of women and 50% of men in her age band (25-34) were single in 2023, a share that has doubled over the past five decades. Nor is America exceptional in this regard. Between 2010 and 2022 the share of people living alone (an admittedly imperfect measure of singlehood, but one for which data are more widely available) rose in 26 of the 30 members of the oecd, a club mostly of rich countries. Marriage rates are falling across much of Asia, including in China and India and especially Japan, South Korea and Taiwan. And singlehood is accelerating across different age cohorts. In Europe each new generation is less likely to be married or living with a partner than previous ones at the same age.
This relationship recession is hitting not just those wanting to marry or move in with a steady partner, but also those looking for a date or casual sex. Younger people are socialising less, dating less and starting to have sex later in life than previous generations. They are also having less sex in general (as, alas, are most of us).
Michael Rosenfeld, a sociologist at Stanford University, has found that the reduction in dating owing to the covid-19 pandemic produced 13.7m more singles in America in 2022 than if the singlehood rate (conservatively defined) had stayed at the level of 2017. To generate an estimate of the global increase in plus-nones, The Economist extrapolated from his data, while also taking into account sharp falls in marriage rates in a number of Asian countries, which predate the pandemic. We calculate that over the past decade such effects have swollen the ranks of single people around the world by at least 100m.
Two’s a crowd
Dating, sex, marriage and divorce are all intensely personal choices, and their effects are felt most directly by those making them. The fact that more people feel able to choose to be single now than in the past, when there was far greater social and economic pressure to marry, could be considered one of the great emancipations of the past half century. Untold numbers have been liberated from unhappy unions.
But not all those who remain single have chosen to do so. A study of singles in 14 countries found that only 40% said they were “not interested in being in a relationship”. A smaller survey of single Americans by the Pew Research Centre in 2019 did find that 50% were not interested in dating. Yet only 27% said they were not dating because they enjoyed being single. The rest gave reasons including being too busy, too old, or because no one would want to date them. No less than 34% of singles in the 14-country study said they did not want to be alone but found it “difficult to attract a mate”, with 26% describing themselves as “between relationships”. In short, there are growing numbers of lonely hearts, pining for a partner but unable to secure one.
Don’t want a ring on it
There is an alarming mismatch in this regard between women and men. In the Pew survey, 62% of single women did not want to date, whereas only 37% of single men felt the same way. America and South Korea, among other countries, have big, vocal movements of young men who feel they have been unfairly deprived of romantic opportunities. All over the world, a high proportion of unmarried young men is strongly associated with elevated levels of violence and crime.
Even relatively small shifts in coupling rates, when multiplied across a whole population, can have far-reaching effects on society as a whole. The biggest impact will be on fertility rates, since married women tend to have more children than single ones. This will be especially marked in East Asian countries such as Japan and South Korea, where only 2-4% of babies are born to unmarried mothers. All the world over, however, the rise of singlehood will be a further drag on already slowing birth rates. The effects will also be felt in property markets (more demand for housing, since more people will be living alone) and government finances (less public spending on maternity wards and schools and, in time, more on care homes).
The fact that a large proportion of single people would rather be in a relationship (whether they are still looking for one or have given up hope) suggests that either there is some sort of dating-market failure that is preventing compatible people from finding one another, or that society is changing in ways that are making large numbers of singles incompatible. In practice, it seems to be a bit of both.
In Asia, where singlehood is growing fastest, a mix of structural and cultural changes is increasing incompatibility. Start with demography. China’s one-child policy has created a huge imbalance in the ratio of men to women. When it comes to those of peak marriageable age, the country will have 119 men for every 100 women by 2027. In all, there may be 30m-50m “excess men” in China, reckons Xiaoling Shu of the University of California, Davis. Singlehood in China, like most places, is not evenly distributed. Instead, it is disproportionately concentrated among men who are poorer and poorly educated, and thus less attractive as mates, and among highly educated women (of which more later).
China’s one-child policy makes it an outlier, but heterosexual men in other countries with a strong cultural preference for sons will also struggle to find partners. Sex-selective abortions resulted in 111 boys being born in India in 2011 for every 100 girls, according to census data. The natural ratio is about 105. Although the distortion has since become less extreme, we calculate that around 20m more boys than girls were born in India in 2000-15.
Improved opportunities for women to go to university and enter the workplace are also fuelling the growth in singlehood in East Asia, argues Wei-Jun Jean Yeung of the National University of Singapore. As women gain financial independence, they no longer need a husband to support them. They also have more to lose by getting married. “There’s still a culture of patriarchy in Asia where women carry most of the responsibilities of caring for children and domestic housework,” says Dr Yeung. “The opportunity cost of getting married may be high: women think that if they get married they may have to give up working to take care of their in-laws, parents and children, plus do housework.”
One result of this is that well-educated women are also disproportionately likely to be single in a number of Asian countries. “The best-educated, urban, college-educated women are becoming more egalitarian in their gender attitudes,” says Dr Shu of women in China. “Many college-educated men are hostile towards feminist ideas or even feminists…[they] think these women are hurting their prospects and interests at a personal level.”
In South Korea the gap between women’s opportunities and men’s sexist expectations is particularly wide. Around half of young Korean men think they are discriminated against (other than having to do military service, they are not). Some 60% complain that feminism demeans them. They also tend to be terrible slouches when it comes to housework. Little wonder, then, that ambitious young women are far less keen on marriage than they are.
A similar pattern of singlehood pertains in America and Europe, despite their less ingrained gender roles. Until roughly the middle of the 20th century, far more men went to university than women. As a result there were far more couples in which the man was better educated than the other way round. More recently, however, women have surpassed men in studiousness. Across the oecd on average 51% of women aged 25-34 had a university degree in 2019, compared with 39% of men. That makes the old pattern impossible to sustain. “Highly educated women who still want to marry up won’t find enough candidates,” says Albert Esteve, the director of the Centre for Demographic Studies in Barcelona. “So the question is, are they going to start marrying down?”
If mathematics were the only driving force, rather than cultural norms, there would have been a big rise in the share of couples where the woman is better educated. Yet the expectation that women should marry up is hard to dispel. Researchers in Germany, for example, found that highly educated women over the age of 30 were more likely to remain single than settle for a man with less education.
[Suite en dessous]
Je fav pour lire plus tard
il y a 3 jours
C'est pas les salaires c'est le viol sur le revenu
Même en comptant les charges salariales et patronales ça fait environ 70K€ par an pour moi, pas encore au niveau des +80K€ de SilenceDeter
il y a 3 jours
En vrai, non. On n'a pas les 20% de TVA, du coup je commande en Suisse. Même quand j'habitais en France
Après c'est logique.. suis bête moi aussi
Les prix du marché pour les importations vont pas s'aligner sur le niveau de vie du pays
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il y a 3 jours
Après c'est logique.. suis bête moi aussi
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Les prix du marché pour les importations vont pas s'aligner sur le niveau de vie du pays
Tu n'es pas bête du tout mon khey
il y a 3 jours
Même en comptant les charges salariales et patronales ça fait environ 70K€ par an pour moi, pas encore au niveau des +80K€ de SilenceDeter
Faut ouvrir un onlyfans
Venez voter au concours des citrouilles https://onche.org/topic/1[...]te-concours-de-citrouille #EE50B9
il y a 3 jours
En vrai, non. On n'a pas les 20% de TVA, du coup je commande en Suisse. Même quand j'habitais en France
Et sinon vous avez aussi des problèmes de célibat de masse en Suisse ?
il y a 3 jours



























