Ce sujet a été résolu
Le master mind, la queen
Il est pas Empereur et marionnettiste pour rien
il y a 5 jours
Tu vas attaquer le serg affaibli ? Heu je vois pas là
il y a 5 jours
Armouare
5j
Bon je fais la simu en Italie et après dodo
il y a 5 jours
Armouare
5j
Bon je fais la simu en Italie et après dodo
la qualité de mon sommeil dépendra donc de la simu
Le dragon de @Tocka 
il y a 5 jours
Inutile de prendre des terres, je me tape révolte et malus d’impôt
Ah oui
ralala mais qui finance secrètement tout ce bordel
il y a 5 jours
Il est pas Empereur et marionnettiste pour rien
il y a 5 jours
Ah oui
ralala mais qui finance secrètement tout ce bordel
il y a 5 jours
la qualité de mon sommeil dépendra donc de la simu
Paralysie du sommeil incoming
il y a 5 jours
Ah oui
ralala mais qui finance secrètement tout ce bordel
il y a 5 jours
Cinquième guerre d'Italie : @LaggronDeter @Lazuli
Après une année précédente incertaine, les combats reprennent aussitôt sur les deux front que composent cette guerre. François Ier fait appel à de nombreux mercenaires afin de continuer le siège de Milan et privilégie son armée professionnelle en Espagne. Côté impérial, de nombreuses pièces d'artilleries sont déployées sur le front vénitien pour ne pas reproduire les erreurs de l'an dernier.
A Milan, le siège continue entre français et coalisés. La ville, vaillamment défendue par des dizaines de milliers d'hommes, ressent les premiers problèmes liés à la tenue d'un siège long de plus d'un semestre. Les murs commencent à flancher et les pénuries sont de plus en plus importantes.
Du côté vénitien, l'armée du Doge subit de peu une première défaite face aux forces autrichiennes. Le vrai tournant s'opère dans le second siège de Padoue où l'apport d'artillerie permet un siège aisé de la ville qui est prise en seulement deux mois. La voie est libre vers le siège Véronne qui, après une seconde bataille remportée contre les armées vénitiennes, débute enfin.
En Espagne, la situation n'est pas aussi favorable. Malgré les mesures défensives, l'armée Française avance sans peine et défait une première fois les troupes de Charles Ier qui sont contraintes de se replier vers Saragosse. Cinq longs mois d'échanges intenses résultent par la prise de la ville par les Français. Deux cités importantes sont déjà sous le contrôle de François Ier qui semble inarrêtable sur le front ibérique. Son prochain objectif est Madrid.
En fin d'année, Milan tombe enfin après une année de siège continue. Les mercenaires enrôlés par le Roi de France ont permis de tenir en respect l'adversaire qui, après une tentative d'attaque du camp de siège, est rapidement repoussé. L'ambition de François Ier le pousse à avancer pour mettre le siège sur Bergame mais il subit une première défaite et doit se contenter de ce maigre résultat pour l'année. A Venise, Véronne plie sous l'armée autrichienne et la Terre Ferme est quasiment sous le contrôle entier de Ferdinand Ier.
Les conséquences de cette guerre sont lourdes, les pertes humaines inquiètent les monarques européens et surtout les princes Italiens. Le Roi de France ainsi que le Doge de Venise se disent prêts à venir à la table des négociations pour conclure une paix durable et humble.
Pertes :
Portugal : 3 000 fantassins
Autriche : 8 000 fantassins ; 1 000 cavaliers ; 10 canons de campagne
Espagne : 11 000 fantassins ; 500 cavaliers
Après une année précédente incertaine, les combats reprennent aussitôt sur les deux front que composent cette guerre. François Ier fait appel à de nombreux mercenaires afin de continuer le siège de Milan et privilégie son armée professionnelle en Espagne. Côté impérial, de nombreuses pièces d'artilleries sont déployées sur le front vénitien pour ne pas reproduire les erreurs de l'an dernier.
A Milan, le siège continue entre français et coalisés. La ville, vaillamment défendue par des dizaines de milliers d'hommes, ressent les premiers problèmes liés à la tenue d'un siège long de plus d'un semestre. Les murs commencent à flancher et les pénuries sont de plus en plus importantes.
Du côté vénitien, l'armée du Doge subit de peu une première défaite face aux forces autrichiennes. Le vrai tournant s'opère dans le second siège de Padoue où l'apport d'artillerie permet un siège aisé de la ville qui est prise en seulement deux mois. La voie est libre vers le siège Véronne qui, après une seconde bataille remportée contre les armées vénitiennes, débute enfin.
En Espagne, la situation n'est pas aussi favorable. Malgré les mesures défensives, l'armée Française avance sans peine et défait une première fois les troupes de Charles Ier qui sont contraintes de se replier vers Saragosse. Cinq longs mois d'échanges intenses résultent par la prise de la ville par les Français. Deux cités importantes sont déjà sous le contrôle de François Ier qui semble inarrêtable sur le front ibérique. Son prochain objectif est Madrid.
En fin d'année, Milan tombe enfin après une année de siège continue. Les mercenaires enrôlés par le Roi de France ont permis de tenir en respect l'adversaire qui, après une tentative d'attaque du camp de siège, est rapidement repoussé. L'ambition de François Ier le pousse à avancer pour mettre le siège sur Bergame mais il subit une première défaite et doit se contenter de ce maigre résultat pour l'année. A Venise, Véronne plie sous l'armée autrichienne et la Terre Ferme est quasiment sous le contrôle entier de Ferdinand Ier.
Les conséquences de cette guerre sont lourdes, les pertes humaines inquiètent les monarques européens et surtout les princes Italiens. Le Roi de France ainsi que le Doge de Venise se disent prêts à venir à la table des négociations pour conclure une paix durable et humble.
Pertes :
Portugal : 3 000 fantassins
Autriche : 8 000 fantassins ; 1 000 cavaliers ; 10 canons de campagne
Espagne : 11 000 fantassins ; 500 cavaliers
il y a 5 jours
il y a 5 jours
Armouare
5j
Cinquième guerre d'Italie : @LaggronDeter @Lazuli
Après une année précédente incertaine, les combats reprennent aussitôt sur les deux front que composent cette guerre. François Ier fait appel à de nombreux mercenaires afin de continuer le siège de Milan et privilégie son armée professionnelle en Espagne. Côté impérial, de nombreuses pièces d'artilleries sont déployées sur le front vénitien pour ne pas reproduire les erreurs de l'an dernier.
A Milan, le siège continue entre français et coalisés. La ville, vaillamment défendue par des dizaines de milliers d'hommes, ressent les premiers problèmes liés à la tenue d'un siège long de plus d'un semestre. Les murs commencent à flancher et les pénuries sont de plus en plus importantes.
Du côté vénitien, l'armée du Doge subit de peu une première défaite face aux forces autrichiennes. Le vrai tournant s'opère dans le second siège de Padoue où l'apport d'artillerie permet un siège aisé de la ville qui est prise en seulement deux mois. La voie est libre vers le siège Véronne qui, après une seconde bataille remportée contre les armées vénitiennes, débute enfin.
En Espagne, la situation n'est pas aussi favorable. Malgré les mesures défensives, l'armée Française avance sans peine et défait une première fois les troupes de Charles Ier qui sont contraintes de se replier vers Saragosse. Cinq longs mois d'échanges intenses résultent par la prise de la ville par les Français. Deux cités importantes sont déjà sous le contrôle de François Ier qui semble inarrêtable sur le front ibérique. Son prochain objectif est Madrid.
En fin d'année, Milan tombe enfin après une année de siège continue. Les mercenaires enrôlés par le Roi de France ont permis de tenir en respect l'adversaire qui, après une tentative d'attaque du camp de siège, est rapidement repoussé. L'ambition de François Ier le pousse à avancer pour mettre le siège sur Bergame mais il subit une première défaite et doit se contenter de ce maigre résultat pour l'année. A Venise, Véronne plie sous l'armée autrichienne et la Terre Ferme est quasiment sous le contrôle entier de Ferdinand Ier.
Les conséquences de cette guerre sont lourdes, les pertes humaines inquiètent les monarques européens et surtout les princes Italiens. Le Roi de France ainsi que le Doge de Venise se disent prêts à venir à la table des négociations pour conclure une paix durable et humble.
Pertes :
Portugal : 3 000 fantassins
Autriche : 8 000 fantassins ; 1 000 cavaliers ; 10 canons de campagne
Espagne : 11 000 fantassins ; 500 cavaliers
Après une année précédente incertaine, les combats reprennent aussitôt sur les deux front que composent cette guerre. François Ier fait appel à de nombreux mercenaires afin de continuer le siège de Milan et privilégie son armée professionnelle en Espagne. Côté impérial, de nombreuses pièces d'artilleries sont déployées sur le front vénitien pour ne pas reproduire les erreurs de l'an dernier.
A Milan, le siège continue entre français et coalisés. La ville, vaillamment défendue par des dizaines de milliers d'hommes, ressent les premiers problèmes liés à la tenue d'un siège long de plus d'un semestre. Les murs commencent à flancher et les pénuries sont de plus en plus importantes.
Du côté vénitien, l'armée du Doge subit de peu une première défaite face aux forces autrichiennes. Le vrai tournant s'opère dans le second siège de Padoue où l'apport d'artillerie permet un siège aisé de la ville qui est prise en seulement deux mois. La voie est libre vers le siège Véronne qui, après une seconde bataille remportée contre les armées vénitiennes, débute enfin.
En Espagne, la situation n'est pas aussi favorable. Malgré les mesures défensives, l'armée Française avance sans peine et défait une première fois les troupes de Charles Ier qui sont contraintes de se replier vers Saragosse. Cinq longs mois d'échanges intenses résultent par la prise de la ville par les Français. Deux cités importantes sont déjà sous le contrôle de François Ier qui semble inarrêtable sur le front ibérique. Son prochain objectif est Madrid.
En fin d'année, Milan tombe enfin après une année de siège continue. Les mercenaires enrôlés par le Roi de France ont permis de tenir en respect l'adversaire qui, après une tentative d'attaque du camp de siège, est rapidement repoussé. L'ambition de François Ier le pousse à avancer pour mettre le siège sur Bergame mais il subit une première défaite et doit se contenter de ce maigre résultat pour l'année. A Venise, Véronne plie sous l'armée autrichienne et la Terre Ferme est quasiment sous le contrôle entier de Ferdinand Ier.
Les conséquences de cette guerre sont lourdes, les pertes humaines inquiètent les monarques européens et surtout les princes Italiens. Le Roi de France ainsi que le Doge de Venise se disent prêts à venir à la table des négociations pour conclure une paix durable et humble.
Pertes :
Portugal : 3 000 fantassins
Autriche : 8 000 fantassins ; 1 000 cavaliers ; 10 canons de campagne
Espagne : 11 000 fantassins ; 500 cavaliers
il y a 5 jours
Tu dors ?
Je suis au lit
Tu veux continuer le rpq c'est ça ?
Tu veux continuer le rpq c'est ça ?
il y a 5 jours
Armouare
5j
Cinquième guerre d'Italie : @LaggronDeter @Lazuli
Après une année précédente incertaine, les combats reprennent aussitôt sur les deux front que composent cette guerre. François Ier fait appel à de nombreux mercenaires afin de continuer le siège de Milan et privilégie son armée professionnelle en Espagne. Côté impérial, de nombreuses pièces d'artilleries sont déployées sur le front vénitien pour ne pas reproduire les erreurs de l'an dernier.
A Milan, le siège continue entre français et coalisés. La ville, vaillamment défendue par des dizaines de milliers d'hommes, ressent les premiers problèmes liés à la tenue d'un siège long de plus d'un semestre. Les murs commencent à flancher et les pénuries sont de plus en plus importantes.
Du côté vénitien, l'armée du Doge subit de peu une première défaite face aux forces autrichiennes. Le vrai tournant s'opère dans le second siège de Padoue où l'apport d'artillerie permet un siège aisé de la ville qui est prise en seulement deux mois. La voie est libre vers le siège Véronne qui, après une seconde bataille remportée contre les armées vénitiennes, débute enfin.
En Espagne, la situation n'est pas aussi favorable. Malgré les mesures défensives, l'armée Française avance sans peine et défait une première fois les troupes de Charles Ier qui sont contraintes de se replier vers Saragosse. Cinq longs mois d'échanges intenses résultent par la prise de la ville par les Français. Deux cités importantes sont déjà sous le contrôle de François Ier qui semble inarrêtable sur le front ibérique. Son prochain objectif est Madrid.
En fin d'année, Milan tombe enfin après une année de siège continue. Les mercenaires enrôlés par le Roi de France ont permis de tenir en respect l'adversaire qui, après une tentative d'attaque du camp de siège, est rapidement repoussé. L'ambition de François Ier le pousse à avancer pour mettre le siège sur Bergame mais il subit une première défaite et doit se contenter de ce maigre résultat pour l'année. A Venise, Véronne plie sous l'armée autrichienne et la Terre Ferme est quasiment sous le contrôle entier de Ferdinand Ier.
Les conséquences de cette guerre sont lourdes, les pertes humaines inquiètent les monarques européens et surtout les princes Italiens. Le Roi de France ainsi que le Doge de Venise se disent prêts à venir à la table des négociations pour conclure une paix durable et humble.
Pertes :
Portugal : 3 000 fantassins
Autriche : 8 000 fantassins ; 1 000 cavaliers ; 10 canons de campagne
Espagne : 11 000 fantassins ; 500 cavaliers
Après une année précédente incertaine, les combats reprennent aussitôt sur les deux front que composent cette guerre. François Ier fait appel à de nombreux mercenaires afin de continuer le siège de Milan et privilégie son armée professionnelle en Espagne. Côté impérial, de nombreuses pièces d'artilleries sont déployées sur le front vénitien pour ne pas reproduire les erreurs de l'an dernier.
A Milan, le siège continue entre français et coalisés. La ville, vaillamment défendue par des dizaines de milliers d'hommes, ressent les premiers problèmes liés à la tenue d'un siège long de plus d'un semestre. Les murs commencent à flancher et les pénuries sont de plus en plus importantes.
Du côté vénitien, l'armée du Doge subit de peu une première défaite face aux forces autrichiennes. Le vrai tournant s'opère dans le second siège de Padoue où l'apport d'artillerie permet un siège aisé de la ville qui est prise en seulement deux mois. La voie est libre vers le siège Véronne qui, après une seconde bataille remportée contre les armées vénitiennes, débute enfin.
En Espagne, la situation n'est pas aussi favorable. Malgré les mesures défensives, l'armée Française avance sans peine et défait une première fois les troupes de Charles Ier qui sont contraintes de se replier vers Saragosse. Cinq longs mois d'échanges intenses résultent par la prise de la ville par les Français. Deux cités importantes sont déjà sous le contrôle de François Ier qui semble inarrêtable sur le front ibérique. Son prochain objectif est Madrid.
En fin d'année, Milan tombe enfin après une année de siège continue. Les mercenaires enrôlés par le Roi de France ont permis de tenir en respect l'adversaire qui, après une tentative d'attaque du camp de siège, est rapidement repoussé. L'ambition de François Ier le pousse à avancer pour mettre le siège sur Bergame mais il subit une première défaite et doit se contenter de ce maigre résultat pour l'année. A Venise, Véronne plie sous l'armée autrichienne et la Terre Ferme est quasiment sous le contrôle entier de Ferdinand Ier.
Les conséquences de cette guerre sont lourdes, les pertes humaines inquiètent les monarques européens et surtout les princes Italiens. Le Roi de France ainsi que le Doge de Venise se disent prêts à venir à la table des négociations pour conclure une paix durable et humble.
Pertes :
Portugal : 3 000 fantassins
Autriche : 8 000 fantassins ; 1 000 cavaliers ; 10 canons de campagne
Espagne : 11 000 fantassins ; 500 cavaliers
Euhh mitigé
Le dragon de @Tocka 
il y a 5 jours






















