Ce sujet a été résolu
Mais pourquoi ? On va faire comment pour l'Autriche
J'aime le Christ Et l'argent
Moi
il y a 9 heures
C'est dommage, je l'aimais bien, c'était un brave type
il y a 9 heures
Il a post y a quelques minutes
il y a 8 heures
C'est dommage, je l'aimais bien, c'était un brave type
Il nous manqueras
il y a 8 heures
Ordivomi
8h
23h55 et non personne... ne fait de bilan
il y a 8 heures
Il est sur counter strike
il y a 8 heures
Chaque heure qui passe je deviens de plus en plus énervé
pourquoi ?
il y a 8 heures
Cinquième guerre d'Italie : @Lazuli @LaggronDeter @CielBleu
Après plusieurs années à se construire une armée puissante suite aux récentes défaites, le Roi de France s'estime prêt à reprendre les armes et réaffirmer ses prétentions sur le Duché de Milan. Il ne cache pas non plus son souhait de devenir Roi de Naples après cette campagne qu'il sait certainement difficile.
Depuis Gênes, la première armée française s'engage sur le théâtre Italien. Rapidement, le Doge de Venise mobilise aussi ses troupes et accompagne François Ier vers Pavie. La ville défendue seulement par une petite garnison tombe en un mois sous l'artillerie vénitienne forte en nombre.
Du côté Autrichien, l'ensemble des troupes se retranchent à proximité de la ville de Milan, attendant d'un pied ferme les assaillants. Lorsque le Roi de France s'approche de la ville afin d'y poser le siège, les armées Habsbourgeoises lui barrent la route, amenant inévitablement à une bataille entre les deux armées. Supérieures en nombre, l'armée franco-vénitienne défait les espagnols ainsi que les autrichiens. Le siège de Milan peut alors commencer.
Le mois suivant, le Doge reçoit une terrible nouvelle : les armées Autrichiennes attaquent le territoire et les mercenaires n'ont pas tenu face à l'offensive. La ville d'Udine tombe le mois suivant la nouvelle ainsi que Trévise. Le Doge doit retirer ses armées de Milan afin d'arrêter les Autrichiens. C'est chose faite devant Padoue où, n'ayant que trop peu d'artillerie, les Autrichiens s'épuisent sur la ville et ne parviennent pas à la capturer. Maximilien Ier bat en retraite jusqu'à Trévise.
Parallèlement au théâtre Italien, François Ier envoie une seconde armée en Catalogne afin de prendre la région et faire pression sur Charles Ier. Une grande bataille est livrée dans le Roussillon où l'armée française prend l'avantage et défait l'armée Habsbourgeoise facilement. Le champ est libre : Barcelone tombe deux mois plus tard et la Catalogne passe sous contrôle français.
A la fin d'année, le siège de Milan continue. Les forces de tous sont divisées et les souverains comprennent aisément que si l'un des fronts tombe, un effet domino fera inévitablement perdre la guerre.
Pertes :
Espagne : 6 000 fantassins ; 500 cavaliers
Autriche : 7 000 fantassins
Après plusieurs années à se construire une armée puissante suite aux récentes défaites, le Roi de France s'estime prêt à reprendre les armes et réaffirmer ses prétentions sur le Duché de Milan. Il ne cache pas non plus son souhait de devenir Roi de Naples après cette campagne qu'il sait certainement difficile.
Depuis Gênes, la première armée française s'engage sur le théâtre Italien. Rapidement, le Doge de Venise mobilise aussi ses troupes et accompagne François Ier vers Pavie. La ville défendue seulement par une petite garnison tombe en un mois sous l'artillerie vénitienne forte en nombre.
Du côté Autrichien, l'ensemble des troupes se retranchent à proximité de la ville de Milan, attendant d'un pied ferme les assaillants. Lorsque le Roi de France s'approche de la ville afin d'y poser le siège, les armées Habsbourgeoises lui barrent la route, amenant inévitablement à une bataille entre les deux armées. Supérieures en nombre, l'armée franco-vénitienne défait les espagnols ainsi que les autrichiens. Le siège de Milan peut alors commencer.
Le mois suivant, le Doge reçoit une terrible nouvelle : les armées Autrichiennes attaquent le territoire et les mercenaires n'ont pas tenu face à l'offensive. La ville d'Udine tombe le mois suivant la nouvelle ainsi que Trévise. Le Doge doit retirer ses armées de Milan afin d'arrêter les Autrichiens. C'est chose faite devant Padoue où, n'ayant que trop peu d'artillerie, les Autrichiens s'épuisent sur la ville et ne parviennent pas à la capturer. Maximilien Ier bat en retraite jusqu'à Trévise.
Parallèlement au théâtre Italien, François Ier envoie une seconde armée en Catalogne afin de prendre la région et faire pression sur Charles Ier. Une grande bataille est livrée dans le Roussillon où l'armée française prend l'avantage et défait l'armée Habsbourgeoise facilement. Le champ est libre : Barcelone tombe deux mois plus tard et la Catalogne passe sous contrôle français.
A la fin d'année, le siège de Milan continue. Les forces de tous sont divisées et les souverains comprennent aisément que si l'un des fronts tombe, un effet domino fera inévitablement perdre la guerre.
Pertes :
Espagne : 6 000 fantassins ; 500 cavaliers
Autriche : 7 000 fantassins
il y a 8 heures
Armouare
8h
Cinquième guerre d'Italie : @Lazuli @LaggronDeter @CielBleu
Après plusieurs années à se construire une armée puissante suite aux récentes défaites, le Roi de France s'estime prêt à reprendre les armes et réaffirmer ses prétentions sur le Duché de Milan. Il ne cache pas non plus son souhait de devenir Roi de Naples après cette campagne qu'il sait certainement difficile.
Depuis Gênes, la première armée française s'engage sur le théâtre Italien. Rapidement, le Doge de Venise mobilise aussi ses troupes et accompagne François Ier vers Pavie. La ville défendue seulement par une petite garnison tombe en un mois sous l'artillerie vénitienne forte en nombre.
Du côté Autrichien, l'ensemble des troupes se retranchent à proximité de la ville de Milan, attendant d'un pied ferme les assaillants. Lorsque le Roi de France s'approche de la ville afin d'y poser le siège, les armées Habsbourgeoises lui barrent la route, amenant inévitablement à une bataille entre les deux armées. Supérieures en nombre, l'armée franco-vénitienne défait les espagnols ainsi que les autrichiens. Le siège de Milan peut alors commencer.
Le mois suivant, le Doge reçoit une terrible nouvelle : les armées Autrichiennes attaquent le territoire et les mercenaires n'ont pas tenu face à l'offensive. La ville d'Udine tombe le mois suivant la nouvelle ainsi que Trévise. Le Doge doit retirer ses armées de Milan afin d'arrêter les Autrichiens. C'est chose faite devant Padoue où, n'ayant que trop peu d'artillerie, les Autrichiens s'épuisent sur la ville et ne parviennent pas à la capturer. Maximilien Ier bat en retraite jusqu'à Trévise.
Parallèlement au théâtre Italien, François Ier envoie une seconde armée en Catalogne afin de prendre la région et faire pression sur Charles Ier. Une grande bataille est livrée dans le Roussillon où l'armée française prend l'avantage et défait l'armée Habsbourgeoise facilement. Le champ est libre : Barcelone tombe deux mois plus tard et la Catalogne passe sous contrôle français.
A la fin d'année, le siège de Milan continue. Les forces de tous sont divisées et les souverains comprennent aisément que si l'un des fronts tombe, un effet domino fera inévitablement perdre la guerre.
Pertes :
Espagne : 6 000 fantassins ; 500 cavaliers
Autriche : 7 000 fantassins
Après plusieurs années à se construire une armée puissante suite aux récentes défaites, le Roi de France s'estime prêt à reprendre les armes et réaffirmer ses prétentions sur le Duché de Milan. Il ne cache pas non plus son souhait de devenir Roi de Naples après cette campagne qu'il sait certainement difficile.
Depuis Gênes, la première armée française s'engage sur le théâtre Italien. Rapidement, le Doge de Venise mobilise aussi ses troupes et accompagne François Ier vers Pavie. La ville défendue seulement par une petite garnison tombe en un mois sous l'artillerie vénitienne forte en nombre.
Du côté Autrichien, l'ensemble des troupes se retranchent à proximité de la ville de Milan, attendant d'un pied ferme les assaillants. Lorsque le Roi de France s'approche de la ville afin d'y poser le siège, les armées Habsbourgeoises lui barrent la route, amenant inévitablement à une bataille entre les deux armées. Supérieures en nombre, l'armée franco-vénitienne défait les espagnols ainsi que les autrichiens. Le siège de Milan peut alors commencer.
Le mois suivant, le Doge reçoit une terrible nouvelle : les armées Autrichiennes attaquent le territoire et les mercenaires n'ont pas tenu face à l'offensive. La ville d'Udine tombe le mois suivant la nouvelle ainsi que Trévise. Le Doge doit retirer ses armées de Milan afin d'arrêter les Autrichiens. C'est chose faite devant Padoue où, n'ayant que trop peu d'artillerie, les Autrichiens s'épuisent sur la ville et ne parviennent pas à la capturer. Maximilien Ier bat en retraite jusqu'à Trévise.
Parallèlement au théâtre Italien, François Ier envoie une seconde armée en Catalogne afin de prendre la région et faire pression sur Charles Ier. Une grande bataille est livrée dans le Roussillon où l'armée française prend l'avantage et défait l'armée Habsbourgeoise facilement. Le champ est libre : Barcelone tombe deux mois plus tard et la Catalogne passe sous contrôle français.
A la fin d'année, le siège de Milan continue. Les forces de tous sont divisées et les souverains comprennent aisément que si l'un des fronts tombe, un effet domino fera inévitablement perdre la guerre.
Pertes :
Espagne : 6 000 fantassins ; 500 cavaliers
Autriche : 7 000 fantassins
Putain
il y a 8 heures
Armouare
8h
Cinquième guerre d'Italie : @Lazuli @LaggronDeter @CielBleu
Après plusieurs années à se construire une armée puissante suite aux récentes défaites, le Roi de France s'estime prêt à reprendre les armes et réaffirmer ses prétentions sur le Duché de Milan. Il ne cache pas non plus son souhait de devenir Roi de Naples après cette campagne qu'il sait certainement difficile.
Depuis Gênes, la première armée française s'engage sur le théâtre Italien. Rapidement, le Doge de Venise mobilise aussi ses troupes et accompagne François Ier vers Pavie. La ville défendue seulement par une petite garnison tombe en un mois sous l'artillerie vénitienne forte en nombre.
Du côté Autrichien, l'ensemble des troupes se retranchent à proximité de la ville de Milan, attendant d'un pied ferme les assaillants. Lorsque le Roi de France s'approche de la ville afin d'y poser le siège, les armées Habsbourgeoises lui barrent la route, amenant inévitablement à une bataille entre les deux armées. Supérieures en nombre, l'armée franco-vénitienne défait les espagnols ainsi que les autrichiens. Le siège de Milan peut alors commencer.
Le mois suivant, le Doge reçoit une terrible nouvelle : les armées Autrichiennes attaquent le territoire et les mercenaires n'ont pas tenu face à l'offensive. La ville d'Udine tombe le mois suivant la nouvelle ainsi que Trévise. Le Doge doit retirer ses armées de Milan afin d'arrêter les Autrichiens. C'est chose faite devant Padoue où, n'ayant que trop peu d'artillerie, les Autrichiens s'épuisent sur la ville et ne parviennent pas à la capturer. Maximilien Ier bat en retraite jusqu'à Trévise.
Parallèlement au théâtre Italien, François Ier envoie une seconde armée en Catalogne afin de prendre la région et faire pression sur Charles Ier. Une grande bataille est livrée dans le Roussillon où l'armée française prend l'avantage et défait l'armée Habsbourgeoise facilement. Le champ est libre : Barcelone tombe deux mois plus tard et la Catalogne passe sous contrôle français.
A la fin d'année, le siège de Milan continue. Les forces de tous sont divisées et les souverains comprennent aisément que si l'un des fronts tombe, un effet domino fera inévitablement perdre la guerre.
Pertes :
Espagne : 6 000 fantassins ; 500 cavaliers
Autriche : 7 000 fantassins
Après plusieurs années à se construire une armée puissante suite aux récentes défaites, le Roi de France s'estime prêt à reprendre les armes et réaffirmer ses prétentions sur le Duché de Milan. Il ne cache pas non plus son souhait de devenir Roi de Naples après cette campagne qu'il sait certainement difficile.
Depuis Gênes, la première armée française s'engage sur le théâtre Italien. Rapidement, le Doge de Venise mobilise aussi ses troupes et accompagne François Ier vers Pavie. La ville défendue seulement par une petite garnison tombe en un mois sous l'artillerie vénitienne forte en nombre.
Du côté Autrichien, l'ensemble des troupes se retranchent à proximité de la ville de Milan, attendant d'un pied ferme les assaillants. Lorsque le Roi de France s'approche de la ville afin d'y poser le siège, les armées Habsbourgeoises lui barrent la route, amenant inévitablement à une bataille entre les deux armées. Supérieures en nombre, l'armée franco-vénitienne défait les espagnols ainsi que les autrichiens. Le siège de Milan peut alors commencer.
Le mois suivant, le Doge reçoit une terrible nouvelle : les armées Autrichiennes attaquent le territoire et les mercenaires n'ont pas tenu face à l'offensive. La ville d'Udine tombe le mois suivant la nouvelle ainsi que Trévise. Le Doge doit retirer ses armées de Milan afin d'arrêter les Autrichiens. C'est chose faite devant Padoue où, n'ayant que trop peu d'artillerie, les Autrichiens s'épuisent sur la ville et ne parviennent pas à la capturer. Maximilien Ier bat en retraite jusqu'à Trévise.
Parallèlement au théâtre Italien, François Ier envoie une seconde armée en Catalogne afin de prendre la région et faire pression sur Charles Ier. Une grande bataille est livrée dans le Roussillon où l'armée française prend l'avantage et défait l'armée Habsbourgeoise facilement. Le champ est libre : Barcelone tombe deux mois plus tard et la Catalogne passe sous contrôle français.
A la fin d'année, le siège de Milan continue. Les forces de tous sont divisées et les souverains comprennent aisément que si l'un des fronts tombe, un effet domino fera inévitablement perdre la guerre.
Pertes :
Espagne : 6 000 fantassins ; 500 cavaliers
Autriche : 7 000 fantassins
OK, rien n'est encore* perdu
il y a 8 heures
Chaque heure qui passe je deviens de plus en plus énervé
il y a 8 heures























