On a attendu presque 2500 ans pour inventer la porte en bois ignifuge
Ahahaha allez ok
LabelConFort Kaguya-Hourai
Dans quelle mesure la distinction entre la grâce actuelle suffisante et la grâce efficace , telle qu’elle est comprise par les thomistes, peut-elle être conciliée avec la doctrine moliniste de la « science moyenne de Dieu, tout en restant fidèle au décret de la Congrégation de Auxiliis qui a suspendu toute condamnation formelle des deux thèses ?
@Corbeille2fruit répond-lui stp, je ne peux pas
OH NON PAS LUI! FUYEZ! 
LE RETOUR DE LA BOUCLE!
OH NON PAS LUI! FUYEZ!
Pourquoi
T’es nul à chier
Tu dois avoir 10 personnes en France qui peuvent répondre à cette question, n'abuse pas
Je suis la boucle
Tu dois avoir 10 personnes en France qui peuvent répondre à cette question, n'abuse pas
Moi je suis capable de formuler au moins un début de réponse
Moins complexe plus adapté à ton niveau
Comment concilier, dans une lecture strictement catholique, l’affirmation du Concile de Trente selon laquelle le sacrement de pénitence remet les péchés mortels, avec la thèse scolastique selon laquelle l’attrition peut devenir suffisante pour la justification par l’absolution sacramentelle, alors que le Catéchisme du Concile de Trente insiste en parallèle sur la nécessité d’une contrition parfaite pour la rémission des péchés hors du sacrement ?
Moins complexe plus adapté à ton niveau
Comment concilier, dans une lecture strictement catholique, l’affirmation du Concile de Trente selon laquelle le sacrement de pénitence remet les péchés mortels, avec la thèse scolastique selon laquelle l’attrition peut devenir suffisante pour la justification par l’absolution sacramentelle, alors que le Catéchisme du Concile de Trente insiste en parallèle sur la nécessité d’une contrition parfaite pour la rémission des péchés hors du sacrement ?
Le concile de Vatican II a été un véritable clou dans le cercueil du catholicisme.
Qui a bien pu promouvoir cela.
Qui a bien pu promouvoir cela.
Moi je suis capable de formuler au moins un début de réponse
Moins complexe plus adapté à ton niveau
Comment concilier, dans une lecture strictement catholique, l’affirmation du Concile de Trente selon laquelle le sacrement de pénitence remet les péchés mortels, avec la thèse scolastique selon laquelle l’attrition peut devenir suffisante pour la justification par l’absolution sacramentelle, alors que le Catéchisme du Concile de Trente insiste en parallèle sur la nécessité d’une contrition parfaite pour la rémission des péchés hors du sacrement ?
Moins complexe plus adapté à ton niveau
Comment concilier, dans une lecture strictement catholique, l’affirmation du Concile de Trente selon laquelle le sacrement de pénitence remet les péchés mortels, avec la thèse scolastique selon laquelle l’attrition peut devenir suffisante pour la justification par l’absolution sacramentelle, alors que le Catéchisme du Concile de Trente insiste en parallèle sur la nécessité d’une contrition parfaite pour la rémission des péchés hors du sacrement ?
Il me semble que la doctrine catholique actuelle ne soutient pas l'attrition, mais la contrition, vu que l'on pose un acte de contrition. Même la prière lors de la confession suppose une contrition parfaite. Je ne vois donc pas comment ce que tu appelles la thèse scolastique est suffisante. Bref, je ne suis manifestement pas au niveau, va lire des livres, Einstein
Le concile de Vatican II a été un véritable clou dans le cercueil du catholicisme.
Qui a bien pu promouvoir cela.
Qui a bien pu promouvoir cela.
Un clou qui ne pose aucune nouvelle doctrine, juste une pastorale. Le poids de Vatican 2 est bien léger
Il me semble que la doctrine catholique actuelle ne soutient pas l'attrition, mais la contrition, vu que l'on pose un acte de contrition. Même la prière lors de la confession suppose une contrition parfaite. Je ne vois donc pas comment ce que tu appelles la thèse scolastique est suffisante. Bref, je ne suis manifestement pas au niveau, va lire des livres, Einstein
Oui tu n’es pas au niveau
Le Concile de Trente (Session XIV, cap. 4 et 6) dit noir sur blanc que l’attrition suffit pour recevoir validement l’absolution
La contrition parfaite n’est pas exigée dans le sacrement. Donc non, ce n’est pas « ma thèse », c’est un dogme défini. Moi je cite Trente, toi tu cites ton ressenti
Je suis juste venu te piéger maintenant je me barre
Le Concile de Trente (Session XIV, cap. 4 et 6) dit noir sur blanc que l’attrition suffit pour recevoir validement l’absolution
La contrition parfaite n’est pas exigée dans le sacrement. Donc non, ce n’est pas « ma thèse », c’est un dogme défini. Moi je cite Trente, toi tu cites ton ressenti
Je suis juste venu te piéger maintenant je me barre
Est ce que tu sais qu'un dieu existe ou tu le crois ?
Oui tu n’es pas au niveau
Le Concile de Trente (Session XIV, cap. 4 et 6) dit noir sur blanc que l’attrition suffit pour recevoir validement l’absolution
La contrition parfaite n’est pas exigée dans le sacrement. Donc non, ce n’est pas « ma thèse », c’est un dogme défini. Moi je cite Trente, toi tu cites ton ressenti
Je suis juste venu te piéger maintenant je me barre
Le Concile de Trente (Session XIV, cap. 4 et 6) dit noir sur blanc que l’attrition suffit pour recevoir validement l’absolution
La contrition parfaite n’est pas exigée dans le sacrement. Donc non, ce n’est pas « ma thèse », c’est un dogme défini. Moi je cite Trente, toi tu cites ton ressenti
Je suis juste venu te piéger maintenant je me barre
Est ce que tu sais qu'un dieu existe ou tu le crois ?
Je le crois
J'ai bien compris que son existence, dans les termes actuels, supposait qu'il soit l'objet de l'expérience qui soit répétable et vérifiable
J'ai bien compris que son existence, dans les termes actuels, supposait qu'il soit l'objet de l'expérience qui soit répétable et vérifiable
Un clou qui ne pose aucune nouvelle doctrine, juste une pastorale. Le poids de Vatican 2 est bien léger
Cela achève un ralliement de soit disant modernisation initié par Léon XIII.
Qui imposait de revenir sur le dualisme : nature/surnature ou monde/Dieu.
Le concile a en quelque sorte symboliquement fait des hommes des dieux en brisant la distinction. Pas aussi léger que ça.
Benoît XVI : "
« Bien entendu, il faut ajouter que le climat de tout le processus était marqué de façon décisive par Gaudium et spes. Le sentiment qu’il ne devait vraiment plus y avoir de mur entre l’Église et le monde, que tout « dualisme » : corps-âme, Église-monde, grâce-nature et même, en fin de compte, Dieu-monde était nuisible : ce sentiment devint de plus en plus une force directrice pour l’ensemble »
Source : " Les principes de la théologie catholique "
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L'Eglise catholique a donc abandonné Dieu pour se consacrer à l'homme.
« Le culte s’adressait à Dieu comme un hommage, il s’adressera désormais à l’homme pour le consoler et l’éclairer. Le sacrifice occupait la première place, le sermon va le supplanter »
Luther
La doctrine de l'homme Dieu l'a remplacé.
La seule question légitime serait comment revenir sur ce concile.
Qui imposait de revenir sur le dualisme : nature/surnature ou monde/Dieu.
Le concile a en quelque sorte symboliquement fait des hommes des dieux en brisant la distinction. Pas aussi léger que ça.
Benoît XVI : "
« Bien entendu, il faut ajouter que le climat de tout le processus était marqué de façon décisive par Gaudium et spes. Le sentiment qu’il ne devait vraiment plus y avoir de mur entre l’Église et le monde, que tout « dualisme » : corps-âme, Église-monde, grâce-nature et même, en fin de compte, Dieu-monde était nuisible : ce sentiment devint de plus en plus une force directrice pour l’ensemble »
Source : " Les principes de la théologie catholique "
L'Eglise catholique a donc abandonné Dieu pour se consacrer à l'homme.
« Le culte s’adressait à Dieu comme un hommage, il s’adressera désormais à l’homme pour le consoler et l’éclairer. Le sacrifice occupait la première place, le sermon va le supplanter »
Luther
La doctrine de l'homme Dieu l'a remplacé.
La seule question légitime serait comment revenir sur ce concile.
Je le crois
J'ai bien compris que son existence, dans les termes actuels, supposait qu'il soit l'objet de l'expérience qui soit répétable et vérifiable
J'ai bien compris que son existence, dans les termes actuels, supposait qu'il soit l'objet de l'expérience qui soit répétable et vérifiable
Ou alors déduit