Ils pensent qu'on peut dire une chose sans la penser, que sur le ton de l'humour on peut tout raconter
L'esprit ne comprend même pas la négation, il accepte tout ce qu'on lui présente comme vrai
Seul une partie de ce que l'on est est capable de telles nuances
Dans ce contexte, comment faire la différence entre la personne pas drôle, susceptible, l'autiste trop premier degré, et la personne consciente de ce qui s'échange psychiquement ?
On ne peut pas, du moins quand on est d'une intelligence et empathie inférieure
Ce sera l'autre qui est en tort, et tous les moyens seront bons pour se tenir à distance de notre culpabilité et du regard des autres
Parce qu'au fond ils savent le mal qu'ils font, l'excuse qu'ils emploient pour déverser la pourriture dont ils débordent sur les autres, ils sentent tout ça, mais ont un argument pour pouvoir se le permettre
La différence entre l'humain et l'animal pensez-y, une proie peut elle vraiment en vouloir au prédateur de suivre ses instincts ?
Je vois le cancer qu'est l'humain quand il se cache les yeux du mal qu'il fait aux autres, quand il choisit la facilité, puis met l'énergie qu'il a dans le fait de détourner le regard
On m'a toujours fait ressentir inconsciemment que les autistes étaient moins humains que les autres, je pensais en grandissant que j'avais trouvé une empathie et une sensibilité qui les rendait très humain au contraire, mais je me suis trompée
L'autiste a bien toutes ces qualités, mais ça ne le rend pas plus humain au contraire, ça l'éloigne du mensonge, de l'hypocrisie, de l'envie de faire souffrir l'autre
Être plus humain n'est pas se rapprocher de la vertu, mais de devenir une vitrine de ce que l'humain fait de mieux en terme d'innovation : de l'hypocrisie, une inconscience feinte, fausse, qui dissimule un besoin de nuire pour retrouver l'équilibre
Psychiquement c'est la jungle, les plus empathiques, les plus sensibles, les plus intelligents, souffrent des plus bêtes
L'être humain regarde des films d'horreur pour ne pas voir la vie d'horreur qu'il créé chaque jour
Accepter de le voir c'est limiter sa participation à ce cancer, le prix : ne plus être capable de ne pas le voir
L'esprit ne comprend même pas la négation, il accepte tout ce qu'on lui présente comme vrai
Seul une partie de ce que l'on est est capable de telles nuances
Dans ce contexte, comment faire la différence entre la personne pas drôle, susceptible, l'autiste trop premier degré, et la personne consciente de ce qui s'échange psychiquement ?
On ne peut pas, du moins quand on est d'une intelligence et empathie inférieure
Ce sera l'autre qui est en tort, et tous les moyens seront bons pour se tenir à distance de notre culpabilité et du regard des autres
Parce qu'au fond ils savent le mal qu'ils font, l'excuse qu'ils emploient pour déverser la pourriture dont ils débordent sur les autres, ils sentent tout ça, mais ont un argument pour pouvoir se le permettre
La différence entre l'humain et l'animal pensez-y, une proie peut elle vraiment en vouloir au prédateur de suivre ses instincts ?
Je vois le cancer qu'est l'humain quand il se cache les yeux du mal qu'il fait aux autres, quand il choisit la facilité, puis met l'énergie qu'il a dans le fait de détourner le regard
On m'a toujours fait ressentir inconsciemment que les autistes étaient moins humains que les autres, je pensais en grandissant que j'avais trouvé une empathie et une sensibilité qui les rendait très humain au contraire, mais je me suis trompée
L'autiste a bien toutes ces qualités, mais ça ne le rend pas plus humain au contraire, ça l'éloigne du mensonge, de l'hypocrisie, de l'envie de faire souffrir l'autre
Être plus humain n'est pas se rapprocher de la vertu, mais de devenir une vitrine de ce que l'humain fait de mieux en terme d'innovation : de l'hypocrisie, une inconscience feinte, fausse, qui dissimule un besoin de nuire pour retrouver l'équilibre
Psychiquement c'est la jungle, les plus empathiques, les plus sensibles, les plus intelligents, souffrent des plus bêtes
L'être humain regarde des films d'horreur pour ne pas voir la vie d'horreur qu'il créé chaque jour
Accepter de le voir c'est limiter sa participation à ce cancer, le prix : ne plus être capable de ne pas le voir
Je propose que l'on abandonne collectivement le langage naturel pour adopter un système formel avec une logique de prédicats.
Vēritās līberābit vōs
Ils pensent qu'on peut dire une chose sans la penser, que sur le ton de l'humour on peut tout raconter
L'esprit ne comprend même pas la négation, il accepte tout ce qu'on lui présente comme vrai
Seul une partie de ce que l'on est est capable de telles nuances
Dans ce contexte, comment faire la différence entre la personne pas drôle, susceptible, l'autiste trop premier degré, et la personne consciente de ce qui s'échange psychiquement ?
On ne peut pas, du moins quand on est d'une intelligence et empathie inférieure
Ce sera l'autre qui est en tort, et tous les moyens seront bons pour se tenir à distance de notre culpabilité et du regard des autres
Parce qu'au fond ils savent le mal qu'ils font, l'excuse qu'ils emploient pour déverser la pourriture dont ils débordent sur les autres, ils sentent tout ça, mais ont un argument pour pouvoir se le permettre
La différence entre l'humain et l'animal pensez-y, une proie peut elle vraiment en vouloir au prédateur de suivre ses instincts ?
Je vois le cancer qu'est l'humain quand il se cache les yeux du mal qu'il fait aux autres, quand il choisit la facilité, puis met l'énergie qu'il a dans le fait de détourner le regard
On m'a toujours fait ressentir inconsciemment que les autistes étaient moins humains que les autres, je pensais en grandissant que j'avais trouvé une empathie et une sensibilité qui les rendait très humain au contraire, mais je me suis trompée
L'autiste a bien toutes ces qualités, mais ça ne le rend pas plus humain au contraire, ça l'éloigne du mensonge, de l'hypocrisie, de l'envie de faire souffrir l'autre
Être plus humain n'est pas se rapprocher de la vertu, mais de devenir une vitrine de ce que l'humain fait de mieux en terme d'innovation : de l'hypocrisie, une inconscience feinte, fausse, qui dissimule un besoin de nuire pour retrouver l'équilibre
Psychiquement c'est la jungle, les plus empathiques, les plus sensibles, les plus intelligents, souffrent des plus bêtes
L'être humain regarde des films d'horreur pour ne pas voir la vie d'horreur qu'il créé chaque jour
Accepter de le voir c'est limiter sa participation à ce cancer, le prix : ne plus être capable de ne pas le voir
L'esprit ne comprend même pas la négation, il accepte tout ce qu'on lui présente comme vrai
Seul une partie de ce que l'on est est capable de telles nuances
Dans ce contexte, comment faire la différence entre la personne pas drôle, susceptible, l'autiste trop premier degré, et la personne consciente de ce qui s'échange psychiquement ?
On ne peut pas, du moins quand on est d'une intelligence et empathie inférieure
Ce sera l'autre qui est en tort, et tous les moyens seront bons pour se tenir à distance de notre culpabilité et du regard des autres
Parce qu'au fond ils savent le mal qu'ils font, l'excuse qu'ils emploient pour déverser la pourriture dont ils débordent sur les autres, ils sentent tout ça, mais ont un argument pour pouvoir se le permettre
La différence entre l'humain et l'animal pensez-y, une proie peut elle vraiment en vouloir au prédateur de suivre ses instincts ?
Je vois le cancer qu'est l'humain quand il se cache les yeux du mal qu'il fait aux autres, quand il choisit la facilité, puis met l'énergie qu'il a dans le fait de détourner le regard
On m'a toujours fait ressentir inconsciemment que les autistes étaient moins humains que les autres, je pensais en grandissant que j'avais trouvé une empathie et une sensibilité qui les rendait très humain au contraire, mais je me suis trompée
L'autiste a bien toutes ces qualités, mais ça ne le rend pas plus humain au contraire, ça l'éloigne du mensonge, de l'hypocrisie, de l'envie de faire souffrir l'autre
Être plus humain n'est pas se rapprocher de la vertu, mais de devenir une vitrine de ce que l'humain fait de mieux en terme d'innovation : de l'hypocrisie, une inconscience feinte, fausse, qui dissimule un besoin de nuire pour retrouver l'équilibre
Psychiquement c'est la jungle, les plus empathiques, les plus sensibles, les plus intelligents, souffrent des plus bêtes
L'être humain regarde des films d'horreur pour ne pas voir la vie d'horreur qu'il créé chaque jour
Accepter de le voir c'est limiter sa participation à ce cancer, le prix : ne plus être capable de ne pas le voir
AYAAAA JAI TROUÉ MON SLIP
Poutine et Trump en force
Les inconscients feraient mieux de manger un peu plus de Cheeseburger
j'ai tout lu c'est compliqué tout ça
je ne comprends pas où tu veux en venir et à quoi cette réflexion va servir
j'ai peut être le cerveau niqué jsp
je ne comprends pas où tu veux en venir et à quoi cette réflexion va servir
j'ai peut être le cerveau niqué jsp
Rejoignez notre serveur discord, le bistrot des kheys : https://mee6.xyz/i/7PEmAp5zvj
Le texte critique l’hypocrisie humaine, dénonçant l’usage de l’humour comme excuse pour blesser sans assumer. Il oppose la sincérité des personnes autistes à la cruauté inconsciente des autres, affirmant que la vraie empathie rend plus lucide mais aussi plus vulnérable dans une société où dominer passe par le mensonge. Voir cette réalité, c’est ne plus pouvoir l’ignorer.
Cimer chef chatte jay pétay
Cimer chef chatte jay pétay
Je propose que l'on abandonne collectivement le langage naturel pour adopter un système formel avec une logique de prédicats.
C'est à dire ?
Le texte critique l’hypocrisie humaine, dénonçant l’usage de l’humour comme excuse pour blesser sans assumer. Il oppose la sincérité des personnes autistes à la cruauté inconsciente des autres, affirmant que la vraie empathie rend plus lucide mais aussi plus vulnérable dans une société où dominer passe par le mensonge. Voir cette réalité, c’est ne plus pouvoir l’ignorer.
Cimer chef chatte jay pétay
Cimer chef chatte jay pétay
j'ai tout lu c'est compliqué tout ça
je ne comprends pas où tu veux en venir et à quoi cette réflexion va servir
j'ai peut être le cerveau niqué jsp
je ne comprends pas où tu veux en venir et à quoi cette réflexion va servir
j'ai peut être le cerveau niqué jsp
La réflexion sert d'autel personnel et collectif puisque je le partage, pour montrer l'intérêt d'ouvrir les yeux sur le mal rampant qui nous habite tous, et ainsi s'en libérer
La réflexion sert d'autel personnel et collectif puisque je le partage, pour montrer l'intérêt d'ouvrir les yeux sur le mal rampant qui nous habite tous, et ainsi s'en libérer
j'ai une autre solution, fermer les yeux et ignorer le mal jusqu'à ce qu'il apparaisse de lui même
c'est stupide ?
c'est stupide ?
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j'ai une autre solution, fermer les yeux et ignorer le mal jusqu'à ce qu'il apparaisse de lui même
c'est stupide ?
c'est stupide ?
Nous sommes le mal, il n'y a pas de mal sans nous
Fermer les yeux c'est l'autoriser, vers les autres mais aussi vers soi
Désolée mais la vie c'est marche ou crève, d'où l'intérêt de prendre soin de soi et de son prochain
Fermer les yeux c'est l'autoriser, vers les autres mais aussi vers soi
Désolée mais la vie c'est marche ou crève, d'où l'intérêt de prendre soin de soi et de son prochain
Ils pensent qu'on peut dire une chose sans la penser, que sur le ton de l'humour on peut tout raconter
L'esprit ne comprend même pas la négation, il accepte tout ce qu'on lui présente comme vrai
Seul une partie de ce que l'on est est capable de telles nuances
Dans ce contexte, comment faire la différence entre la personne pas drôle, susceptible, l'autiste trop premier degré, et la personne consciente de ce qui s'échange psychiquement ?
On ne peut pas, du moins quand on est d'une intelligence et empathie inférieure
Ce sera l'autre qui est en tort, et tous les moyens seront bons pour se tenir à distance de notre culpabilité et du regard des autres
Parce qu'au fond ils savent le mal qu'ils font, l'excuse qu'ils emploient pour déverser la pourriture dont ils débordent sur les autres, ils sentent tout ça, mais ont un argument pour pouvoir se le permettre
La différence entre l'humain et l'animal pensez-y, une proie peut elle vraiment en vouloir au prédateur de suivre ses instincts ?
Je vois le cancer qu'est l'humain quand il se cache les yeux du mal qu'il fait aux autres, quand il choisit la facilité, puis met l'énergie qu'il a dans le fait de détourner le regard
On m'a toujours fait ressentir inconsciemment que les autistes étaient moins humains que les autres, je pensais en grandissant que j'avais trouvé une empathie et une sensibilité qui les rendait très humain au contraire, mais je me suis trompée
L'autiste a bien toutes ces qualités, mais ça ne le rend pas plus humain au contraire, ça l'éloigne du mensonge, de l'hypocrisie, de l'envie de faire souffrir l'autre
Être plus humain n'est pas se rapprocher de la vertu, mais de devenir une vitrine de ce que l'humain fait de mieux en terme d'innovation : de l'hypocrisie, une inconscience feinte, fausse, qui dissimule un besoin de nuire pour retrouver l'équilibre
Psychiquement c'est la jungle, les plus empathiques, les plus sensibles, les plus intelligents, souffrent des plus bêtes
L'être humain regarde des films d'horreur pour ne pas voir la vie d'horreur qu'il créé chaque jour
Accepter de le voir c'est limiter sa participation à ce cancer, le prix : ne plus être capable de ne pas le voir
L'esprit ne comprend même pas la négation, il accepte tout ce qu'on lui présente comme vrai
Seul une partie de ce que l'on est est capable de telles nuances
Dans ce contexte, comment faire la différence entre la personne pas drôle, susceptible, l'autiste trop premier degré, et la personne consciente de ce qui s'échange psychiquement ?
On ne peut pas, du moins quand on est d'une intelligence et empathie inférieure
Ce sera l'autre qui est en tort, et tous les moyens seront bons pour se tenir à distance de notre culpabilité et du regard des autres
Parce qu'au fond ils savent le mal qu'ils font, l'excuse qu'ils emploient pour déverser la pourriture dont ils débordent sur les autres, ils sentent tout ça, mais ont un argument pour pouvoir se le permettre
La différence entre l'humain et l'animal pensez-y, une proie peut elle vraiment en vouloir au prédateur de suivre ses instincts ?
Je vois le cancer qu'est l'humain quand il se cache les yeux du mal qu'il fait aux autres, quand il choisit la facilité, puis met l'énergie qu'il a dans le fait de détourner le regard
On m'a toujours fait ressentir inconsciemment que les autistes étaient moins humains que les autres, je pensais en grandissant que j'avais trouvé une empathie et une sensibilité qui les rendait très humain au contraire, mais je me suis trompée
L'autiste a bien toutes ces qualités, mais ça ne le rend pas plus humain au contraire, ça l'éloigne du mensonge, de l'hypocrisie, de l'envie de faire souffrir l'autre
Être plus humain n'est pas se rapprocher de la vertu, mais de devenir une vitrine de ce que l'humain fait de mieux en terme d'innovation : de l'hypocrisie, une inconscience feinte, fausse, qui dissimule un besoin de nuire pour retrouver l'équilibre
Psychiquement c'est la jungle, les plus empathiques, les plus sensibles, les plus intelligents, souffrent des plus bêtes
L'être humain regarde des films d'horreur pour ne pas voir la vie d'horreur qu'il créé chaque jour
Accepter de le voir c'est limiter sa participation à ce cancer, le prix : ne plus être capable de ne pas le voir
« Pour moi vous ne souffrez pas encore assez ! Car c’est de vous que vous souffrez, vous n’avez pas encore souffert de l’homme. Vous mentiriez si vous disiez le contraire ! »
Ce qui nous fait le plus souffrir est ce qu'on aime le plus, et tu n'aimes encore que toi
Ce qui nous fait le plus souffrir est ce qu'on aime le plus, et tu n'aimes encore que toi
C'est à dire ?
Le problème c'est que le sens d'un mot n'est pas fixé par une forme logique mais par son usage dans un "jeu de langage". Nos usages sont multiples : décrire, ordonner, plaisanter, consoler, promettre... autant de fonctions qui ne se réduisent pas à la représentation logique.
Vēritās līberābit vōs
Nous sommes le mal, il n'y a pas de mal sans nous
Fermer les yeux c'est l'autoriser, vers les autres mais aussi vers soi
Désolée mais la vie c'est marche ou crève, d'où l'intérêt de prendre soin de soi et de son prochain
Fermer les yeux c'est l'autoriser, vers les autres mais aussi vers soi
Désolée mais la vie c'est marche ou crève, d'où l'intérêt de prendre soin de soi et de son prochain
raison de plus pour l'ignorer ou l'accepter puisqu'il est là et qu'il ne se barrera pas
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« Pour moi vous ne souffrez pas encore assez ! Car c’est de vous que vous souffrez, vous n’avez pas encore souffert de l’homme. Vous mentiriez si vous disiez le contraire ! »
Ce qui nous fait le plus souffrir est ce qu'on aime le plus, et tu n'aimes encore que toi
Ce qui nous fait le plus souffrir est ce qu'on aime le plus, et tu n'aimes encore que toi
Je ne peux pas aimer que moi en faisant l'effort de me purifier, de cette manière j'offre mon meilleur jour aux autres
Travaille que les égoïstes ne font pas
Travaille que les égoïstes ne font pas
Le problème c'est que le sens d'un mot n'est pas fixé par une forme logique mais par son usage dans un "jeu de langage". Nos usages sont multiples : décrire, ordonner, plaisanter, consoler, promettre... autant de fonctions qui ne se réduisent pas à la représentation logique.
Ah je vois, l'inverse du Japon un peu du coup ?
Je ne peux pas aimer que moi en faisant l'effort de me purifier, de cette manière j'offre mon meilleur jour aux autres
Travaille que les égoïstes ne font pas
Travaille que les égoïstes ne font pas
Si tu voulais vraiment te purifier tu les laisserais te crucifier
Ah je vois, l'inverse du Japon un peu du coup ?
raison de plus pour l'ignorer ou l'accepter puisqu'il est là et qu'il ne se barrera pas
Pour l'accepter il ne faut pas l'ignorer
Si tu ignore le mal parce que tu es incapable de l'accepter, alors tu devras te construire les illusions protectrices face à lui, qui se transformeront en mal et se rependront à leur tour sur les autres
Ignorer c'est résister et faire mal, accepter c'est faire l'effort de voir même dans la douleur, mais lâcher prise
Puisque c'est si dur, le mal demeure
Si tu ignore le mal parce que tu es incapable de l'accepter, alors tu devras te construire les illusions protectrices face à lui, qui se transformeront en mal et se rependront à leur tour sur les autres
Ignorer c'est résister et faire mal, accepter c'est faire l'effort de voir même dans la douleur, mais lâcher prise
Puisque c'est si dur, le mal demeure