Ce sujet a été résolu
Russie sous contrôle total : Poutine verrouille internet, la toile mondiale à genoux sur le territoire Russe
L’annonce glaciale d’une aube sans liberté Un décret, une signature, et tout vacille. Vladimir Poutine a tranché : désormais, le contrôle d’internet en Russie passe à la vitesse supérieure. Surveillance généralisée, censure étendue, traque algorithmique des dissidents – la moindre parcelle de la société numérique s’effondre. L’opinion bascule dans un silence épais, la peur infiltre chaque conversation, la Russie modernise son Goulag numérique avec la froideur d’une technologie dernière génération. Depuis Moscou jusqu’à Vladivostok, la nouvelle se répand, s’immisce dans les veines des serveurs, des téléphones, des rêves piégés. Les internautes respirent à peine, guettant, à chaque rafraîchissement d’écran, l’éventualité de la disparition d’un site, la mort d’une voix libre. Des mots qui craquent, des vies qui se tendent Il n’aura fallu que quelques lignes dans le “Rossiskaya Gazeta” pour changer la règle du jeu : “Afin d’assurer la sécurité nationale, toute information jugée extrémiste, mensongère, ou portant atteinte à la stabilité institutionnelle, peut être supprimée sans délai”. Traduction : l’État se dote d’un droit de vie et de mort sur la moindre expression. Les plateformes occidentales s’alignent ou quittent le pays, les blogs tombent, les VPN, traqués, deviennent derniers bastions d’une République des ombres. Les entreprises digitales étrangères, tétanisées, s’enfoncent dans la géopolitique du compromis ou du retrait. C’est moins la censure d’hier que la surveillance froide, constante, invisible, qui bouleverse le quotidien. Éruption de colère, résignation ou peur muette ? Ce matin-là, les forums clandestins ruissellent de colère et de sarcasme. “Bienvenue en 1984.ru !” lance un programmeur anonyme. Mais très vite, le ton se fige. Les arrestations expéditives des anciens militants Navalny le rappellent : il suffit d’un mot-clé, d’un gif malvenu, pour se retrouver sous le feu des mouchards numériques. Les familles effacent des chats entiers, brûlent des souvenirs digitaux. C’est la Russie laveuse d’écran, qui préfère l’oubli à la prison, la servilité à la délation. Plus que jamais, le doigt tremble sur le clavier, et l’espoir d’un contournement technologiquement ingénieux s’étiole devant la toute-puissance des organismes de contrôle.
Poutine façonne le “runet” : anatomie d’une loi implacable
Un arsenal technologique au service de la répression La nouvelle loi, promulguée en fanfare par le président, érige la Russie en forteresse numérique. Désormais, chaque fournisseur d’accès doit installer à ses frais des boîtiers “d’inspection profonde des paquets” : traducteurs du moindre octet en suspects potentiels, gardiens de la pureté idéologique. Tout, des emails aux messages instantanés, des vidéos TikTok aux commentaires sous les posts, peut être analysé, coupé, bloqué. Si le FSB l’ordonne, la connexion saute. Si Roskomnadzor s’irrite, le site disparaît. Les serveurs sont localisés obligatoirement sur le territoire – toute tentative de transit via un cloud étranger est assimilée à une trahison soft. Cloisonnement, isolement, souveraineté numérique proclamée La doctrine Poutine 2025 : “souveraineté informationnelle”. La Russie érige son propre DNS, construit ses alternatives à Google, Facebook, WhatsApp, débranche au besoin le “runet” du web mondial, comme on coupe l’électricité dans une zone d’opération spéciale. En cas de “menace”, l’intégralité des communications peut être déroutée par des filtres d’État. Pour le Kremlin, c’est la condition de la survie face à la “guerre hybride occidentale”, la parade ultime contre la “déstabilisation colorée à distance”. Pour les ONG, c’est l’enfermement méthodique, la trahison de l’esprit même d’internet. Répression préventive : le rôle clé du FSB L’application est brutale : raids matinaux chez les développeurs “suspects”, fermetures éclairs de médias indépendants, contrôle des plateformes de financement participatif, obligation pour chaque blogueur suivi par plus de 3 000 personnes de s’enregistrer auprès du régulateur. Un tweet critique ? Interdiction bancaire. Une collecte pour une victime de la répression ? Accusation d’extrémisme. Les juges condamnent, les policiers exécutent, la peur percole dans la société numérique, ruine les solidarités, disperse les collectifs. L’intimité elle-même n’est plus qu’un souvenir fugitif.
Chronique d’une traque : médias, opposants, lanceurs d’alerte broyés
La chasse aux mots, la mort du journalisme libre En vertu de la nouvelle législation, tout média “fomentant de la haine” envers les autorités est passible de suspension immédiate. La répression ne s’arrête pas à la fermeture d’un titre. Journalistes traqués, rédactions exilées, hébergeurs intimidés : la censure se fait proactive, anticipant, effaçant les contenus “avant même qu’ils ne mettent en danger la stabilité du pays”. La désinformation officielle devient norme – on promeut le succès militaire, on tait les pertes, on glorifie le sacrifice, on enfouit les contestations dans la faille du code RBK. Violence algorithmique, bannissement social Les plateformes sociales (VK, Telegram, Rutube) sont mises au pas : listes noires, shadow bans, retraits automatiques de comptes. Les influenceurs sont “éduqués”, sommés de relayer les communiqués du ministère – ou bien chassés. Pour ceux qui persistent, c’est la “mort civile” : fichage, interdiction de travailler, liquidation patrimoniale, parfois même la disparition pure et simple. Le web russe devient terrain miné, où la prudence s’apprend dans l’effacement plus que dans la résistance. Insécurité numérique, soupçon généralisé Chaque citoyen russe apprend la double vie : une pour l’État, une pour le cercle très restreint d’amis sûrs. Le télétravail, la scolarité en ligne, les forums de passionnés – tout s’incline devant le regard du gardien numérique. Même la messagerie cryptée n’est plus garantie : des backdoors sont perçues, parfois même revendiquées par les autorités pour “prévenir le terrorisme”. L’isolement mental s’ajoute à la solitude politique, le silence pèse plus fort que l’appel à la dissidence.
Contournement ou capitulation : ingénierie, hacking, VPN sur la sellette
Nouvelle ruée vers les VPN – la résistance dans la technique Face à la chape de plomb, la première réaction a été l’explosion des installations de VPN, Tor, proxies exotiques ou serveurs privés. Des milliers de tutoriels circulent, la désobéissance numérique devient l’art populaire. Certains geeks russes créent des outils sur mesure, déploient des réseaux clandestins pour “gruger” Roskomnadzor. Les serveurs de contournement explosent au Kazakhstan, en Géorgie, en Estonie, en quête de relais poreux. Le bras de fer technologique s’intensifie. Vague de répression sur les outils libres Mais l’État s’adapte. Il interdit les VPN non agréés, bloque les sites publics de téléchargement, trace les transactions liées aux abonnements obscurs. Qui contourne est fiché, parfois arrêté. Les développeurs open-source, soudain suspects d’activisme, disparaissent dans la clandestinité ou l’exil. Les familles encaissent, le quotidien se fragmente à mesure que les liens faciles deviennent impossibles. Ce qui hier était “bidouillage” devient, aujourd’hui, acte de résistance à haut risque. Crypto, dark web, la fin de l’anonymat illusoire Les plus aguerris se réfugient sur les réseaux parallèles : forums du dark web, cryptomonnaies, serveurs cachés. Mais la répression est sans limite : chantages, infiltrations, fuites organisées, pièges numériques. Le moindre paiement en crypto attire désormais l’œil de l’État. On ne surfe plus “incognito” ; on glisse en funambule au-dessus du gouffre de la répression.
Impact social, quotidien étouffé, réinventer la peur
L’école à la botte du ministère, surveillance chez les jeunes La réforme numérique s’invite jusque dans la cour de l’école : tablettes contrôlées, plateformes éducatives “nettoyées” de toute opinion divergent, devoirs surveillés, interaction étouffée. Les jeunes Russes découvrent non seulement la précarité de la connexion, mais aussi la fragilité de la pensée critique. Dès la maternelle, la prudence devient réflexe collectif – la gêne, l’autocensure, l’humiliation du doute. Le piège se referme sur des générations entières promises à l’obéissance connectée. Famille fracturée, génération égarée La fracture numérique traverse aussi les familles. Les grands-parents, attachés à la télévision d’État, voient d’un bon œil le retour à l’ordre ; les enfants, privés de leurs réseaux, sombrent dans la torpeur, le fatalisme, l’addiction au faux semblant. Les disputes sur le “vrai”, le “faux”, la peur de la dénonciation intérieure, creusent le fossé générationnel. Le repli sur soi, l’effondrement de la confiance tissent le quotidien. Santé mentale, isolement, repli sur la propagande d’État Les psys tirent la sonnette d’alarme : burn-out, anxiété, paranoïa généralisée. L’enfermement numérique aggrave l’enfermement physique – les vagues de répression des manifestations laissent des traces indélébiles. La dépendance à la propagande d’État agit comme sédatif : un shoot d’oubli, un consensus acheté à la peur. Le dialogue se brise, la société russe glisse doucement dans la résignation.
PS: Je dois finir l'article en screen, car plus assez de caractère :
La dystopie orwellienne est en marche, même si en Occident il y a une forme de modération, rien n'est de ce niveau.
Critiquer Macron ne mène pas à se faire soulever à 6h de mat alors qu'en Russie la question va se poser...
L’annonce glaciale d’une aube sans liberté Un décret, une signature, et tout vacille. Vladimir Poutine a tranché : désormais, le contrôle d’internet en Russie passe à la vitesse supérieure. Surveillance généralisée, censure étendue, traque algorithmique des dissidents – la moindre parcelle de la société numérique s’effondre. L’opinion bascule dans un silence épais, la peur infiltre chaque conversation, la Russie modernise son Goulag numérique avec la froideur d’une technologie dernière génération. Depuis Moscou jusqu’à Vladivostok, la nouvelle se répand, s’immisce dans les veines des serveurs, des téléphones, des rêves piégés. Les internautes respirent à peine, guettant, à chaque rafraîchissement d’écran, l’éventualité de la disparition d’un site, la mort d’une voix libre. Des mots qui craquent, des vies qui se tendent Il n’aura fallu que quelques lignes dans le “Rossiskaya Gazeta” pour changer la règle du jeu : “Afin d’assurer la sécurité nationale, toute information jugée extrémiste, mensongère, ou portant atteinte à la stabilité institutionnelle, peut être supprimée sans délai”. Traduction : l’État se dote d’un droit de vie et de mort sur la moindre expression. Les plateformes occidentales s’alignent ou quittent le pays, les blogs tombent, les VPN, traqués, deviennent derniers bastions d’une République des ombres. Les entreprises digitales étrangères, tétanisées, s’enfoncent dans la géopolitique du compromis ou du retrait. C’est moins la censure d’hier que la surveillance froide, constante, invisible, qui bouleverse le quotidien. Éruption de colère, résignation ou peur muette ? Ce matin-là, les forums clandestins ruissellent de colère et de sarcasme. “Bienvenue en 1984.ru !” lance un programmeur anonyme. Mais très vite, le ton se fige. Les arrestations expéditives des anciens militants Navalny le rappellent : il suffit d’un mot-clé, d’un gif malvenu, pour se retrouver sous le feu des mouchards numériques. Les familles effacent des chats entiers, brûlent des souvenirs digitaux. C’est la Russie laveuse d’écran, qui préfère l’oubli à la prison, la servilité à la délation. Plus que jamais, le doigt tremble sur le clavier, et l’espoir d’un contournement technologiquement ingénieux s’étiole devant la toute-puissance des organismes de contrôle.
Poutine façonne le “runet” : anatomie d’une loi implacable
Un arsenal technologique au service de la répression La nouvelle loi, promulguée en fanfare par le président, érige la Russie en forteresse numérique. Désormais, chaque fournisseur d’accès doit installer à ses frais des boîtiers “d’inspection profonde des paquets” : traducteurs du moindre octet en suspects potentiels, gardiens de la pureté idéologique. Tout, des emails aux messages instantanés, des vidéos TikTok aux commentaires sous les posts, peut être analysé, coupé, bloqué. Si le FSB l’ordonne, la connexion saute. Si Roskomnadzor s’irrite, le site disparaît. Les serveurs sont localisés obligatoirement sur le territoire – toute tentative de transit via un cloud étranger est assimilée à une trahison soft. Cloisonnement, isolement, souveraineté numérique proclamée La doctrine Poutine 2025 : “souveraineté informationnelle”. La Russie érige son propre DNS, construit ses alternatives à Google, Facebook, WhatsApp, débranche au besoin le “runet” du web mondial, comme on coupe l’électricité dans une zone d’opération spéciale. En cas de “menace”, l’intégralité des communications peut être déroutée par des filtres d’État. Pour le Kremlin, c’est la condition de la survie face à la “guerre hybride occidentale”, la parade ultime contre la “déstabilisation colorée à distance”. Pour les ONG, c’est l’enfermement méthodique, la trahison de l’esprit même d’internet. Répression préventive : le rôle clé du FSB L’application est brutale : raids matinaux chez les développeurs “suspects”, fermetures éclairs de médias indépendants, contrôle des plateformes de financement participatif, obligation pour chaque blogueur suivi par plus de 3 000 personnes de s’enregistrer auprès du régulateur. Un tweet critique ? Interdiction bancaire. Une collecte pour une victime de la répression ? Accusation d’extrémisme. Les juges condamnent, les policiers exécutent, la peur percole dans la société numérique, ruine les solidarités, disperse les collectifs. L’intimité elle-même n’est plus qu’un souvenir fugitif.
Chronique d’une traque : médias, opposants, lanceurs d’alerte broyés
La chasse aux mots, la mort du journalisme libre En vertu de la nouvelle législation, tout média “fomentant de la haine” envers les autorités est passible de suspension immédiate. La répression ne s’arrête pas à la fermeture d’un titre. Journalistes traqués, rédactions exilées, hébergeurs intimidés : la censure se fait proactive, anticipant, effaçant les contenus “avant même qu’ils ne mettent en danger la stabilité du pays”. La désinformation officielle devient norme – on promeut le succès militaire, on tait les pertes, on glorifie le sacrifice, on enfouit les contestations dans la faille du code RBK. Violence algorithmique, bannissement social Les plateformes sociales (VK, Telegram, Rutube) sont mises au pas : listes noires, shadow bans, retraits automatiques de comptes. Les influenceurs sont “éduqués”, sommés de relayer les communiqués du ministère – ou bien chassés. Pour ceux qui persistent, c’est la “mort civile” : fichage, interdiction de travailler, liquidation patrimoniale, parfois même la disparition pure et simple. Le web russe devient terrain miné, où la prudence s’apprend dans l’effacement plus que dans la résistance. Insécurité numérique, soupçon généralisé Chaque citoyen russe apprend la double vie : une pour l’État, une pour le cercle très restreint d’amis sûrs. Le télétravail, la scolarité en ligne, les forums de passionnés – tout s’incline devant le regard du gardien numérique. Même la messagerie cryptée n’est plus garantie : des backdoors sont perçues, parfois même revendiquées par les autorités pour “prévenir le terrorisme”. L’isolement mental s’ajoute à la solitude politique, le silence pèse plus fort que l’appel à la dissidence.
Contournement ou capitulation : ingénierie, hacking, VPN sur la sellette
Nouvelle ruée vers les VPN – la résistance dans la technique Face à la chape de plomb, la première réaction a été l’explosion des installations de VPN, Tor, proxies exotiques ou serveurs privés. Des milliers de tutoriels circulent, la désobéissance numérique devient l’art populaire. Certains geeks russes créent des outils sur mesure, déploient des réseaux clandestins pour “gruger” Roskomnadzor. Les serveurs de contournement explosent au Kazakhstan, en Géorgie, en Estonie, en quête de relais poreux. Le bras de fer technologique s’intensifie. Vague de répression sur les outils libres Mais l’État s’adapte. Il interdit les VPN non agréés, bloque les sites publics de téléchargement, trace les transactions liées aux abonnements obscurs. Qui contourne est fiché, parfois arrêté. Les développeurs open-source, soudain suspects d’activisme, disparaissent dans la clandestinité ou l’exil. Les familles encaissent, le quotidien se fragmente à mesure que les liens faciles deviennent impossibles. Ce qui hier était “bidouillage” devient, aujourd’hui, acte de résistance à haut risque. Crypto, dark web, la fin de l’anonymat illusoire Les plus aguerris se réfugient sur les réseaux parallèles : forums du dark web, cryptomonnaies, serveurs cachés. Mais la répression est sans limite : chantages, infiltrations, fuites organisées, pièges numériques. Le moindre paiement en crypto attire désormais l’œil de l’État. On ne surfe plus “incognito” ; on glisse en funambule au-dessus du gouffre de la répression.
Impact social, quotidien étouffé, réinventer la peur
L’école à la botte du ministère, surveillance chez les jeunes La réforme numérique s’invite jusque dans la cour de l’école : tablettes contrôlées, plateformes éducatives “nettoyées” de toute opinion divergent, devoirs surveillés, interaction étouffée. Les jeunes Russes découvrent non seulement la précarité de la connexion, mais aussi la fragilité de la pensée critique. Dès la maternelle, la prudence devient réflexe collectif – la gêne, l’autocensure, l’humiliation du doute. Le piège se referme sur des générations entières promises à l’obéissance connectée. Famille fracturée, génération égarée La fracture numérique traverse aussi les familles. Les grands-parents, attachés à la télévision d’État, voient d’un bon œil le retour à l’ordre ; les enfants, privés de leurs réseaux, sombrent dans la torpeur, le fatalisme, l’addiction au faux semblant. Les disputes sur le “vrai”, le “faux”, la peur de la dénonciation intérieure, creusent le fossé générationnel. Le repli sur soi, l’effondrement de la confiance tissent le quotidien. Santé mentale, isolement, repli sur la propagande d’État Les psys tirent la sonnette d’alarme : burn-out, anxiété, paranoïa généralisée. L’enfermement numérique aggrave l’enfermement physique – les vagues de répression des manifestations laissent des traces indélébiles. La dépendance à la propagande d’État agit comme sédatif : un shoot d’oubli, un consensus acheté à la peur. Le dialogue se brise, la société russe glisse doucement dans la résignation.
PS: Je dois finir l'article en screen, car plus assez de caractère :
La dystopie orwellienne est en marche, même si en Occident il y a une forme de modération, rien n'est de ce niveau.
Critiquer Macron ne mène pas à se faire soulever à 6h de mat alors qu'en Russie la question va se poser...
il y a un mois
chez nous spotify va demander la verification de l'identité c'est zinzin ce qu'il se passe
il y a un mois
walterJR
1 mois
chez nous spotify va demander la verification de l'identité c'est zinzin ce qu'il se passe
Effectivement, ça devient n'importe quoi.
Mais le mieux c'est de déserter Spotify.
La perte de fréquentations va automatiquement faire qu'ils voudront revoir leur politique.
Seuls les golems vont accepter cela en donnant leur identité.
Mais le mieux c'est de déserter Spotify.
La perte de fréquentations va automatiquement faire qu'ils voudront revoir leur politique.
Seuls les golems vont accepter cela en donnant leur identité.
il y a un mois
DeLattre
1 mois
Le ton de l'article
Ben dans l'absolu l'interdiction des VPN c'est quand même chaud.
il y a un mois
Effectivement, ça devient n'importe quoi.
Mais le mieux c'est de déserter Spotify.
La perte de fréquentations va automatiquement faire qu'ils voudront revoir leur politique.
Seuls les golems vont accepter cela en donnant leur identité.
Mais le mieux c'est de déserter Spotify.
La perte de fréquentations va automatiquement faire qu'ils voudront revoir leur politique.
Seuls les golems vont accepter cela en donnant leur identité.
non khey c'est global c'est visa et mastercard qui imposent ces connerie à TOUT LE MONDE les plateformes sont obligés de de mettre raccord
il faut une alternative crypto tout de suite
il faut une alternative crypto tout de suite
il y a un mois
Ben dans l'absolu l'interdiction des VPN c'est quand même chaud.
Évidemment mais là c'est grossier quand même
Ce sera plus compliqué à faire qu'en Chine où internet a toujours été pensé comme ça, dommage pour nos amis russes
Ce sera plus compliqué à faire qu'en Chine où internet a toujours été pensé comme ça, dommage pour nos amis russes
Ôi chúa của tôi, mon Capitaine, il a cassé, n'a pas payé.
il y a un mois
non khey c'est global c'est visa et mastercard qui imposent ces connerie à TOUT LE MONDE les plateformes sont obligés de de mettre raccord
il faut une alternative crypto tout de suite
il faut une alternative crypto tout de suite
Au pire moi, je ne n'utilise pas Spotify, donc j'OSEF.
Mais oui ça va pousser les gens sur des plateformes pirates, ils sont trop cons.
Mais oui ça va pousser les gens sur des plateformes pirates, ils sont trop cons.
il y a un mois
Au pire moi, je ne n'utilise pas Spotify, donc j'OSEF.
Mais oui ça va pousser les gens sur des plateformes pirates, ils sont trop cons.
Mais oui ça va pousser les gens sur des plateformes pirates, ils sont trop cons.
mais peu importe ca va arriver absolument DE PARTOUT
meme onche va probablement falloir une api d'identification
meme onche va probablement falloir une api d'identification
il y a un mois
J'aurais bien aimé m'informer a ce sujet et il y a clairement des critiques a faire sur cette loi + interdiction des vpn = idiotie sans nom
mais le ton apocalyptique de l'article, romancée a outrance, pas du tout neutre , langage totalement partisan , champ lexical de la peur est bon pour les golem impressionnable a 10 de qi.
Next, va faire ta propagande ailleurs
mais le ton apocalyptique de l'article, romancée a outrance, pas du tout neutre , langage totalement partisan , champ lexical de la peur est bon pour les golem impressionnable a 10 de qi.
Next, va faire ta propagande ailleurs
Maybe I just want to maybe...
il y a un mois
non khey c'est global c'est visa et mastercard qui imposent ces connerie à TOUT LE MONDE les plateformes sont obligés de de mettre raccord
il faut une alternative crypto tout de suite
il faut une alternative crypto tout de suite
Tout service qui me demande ma carte d'identité sera résilié pour ma part
Ça me fera plus d'argent à la fin du mois temps pis pour eux
Ça me fera plus d'argent à la fin du mois temps pis pour eux
il y a un mois
DeLattre
1 mois
Le ton de l'article
c'est exactement ce que je me disais, dès les premiers lignes tu sens que le mec se branle en faisant des phrases
ma réaction quand je lis ça
yarien
ma réaction quand je lis ça

il y a un mois
Lysaelia
1 mois
J'aurais bien aimé m'informer a ce sujet et il y a clairement des critiques a faire sur cette loi + interdiction des vpn = idiotie sans nom
mais le ton apocalyptique de l'article, romancée a outrance, pas du tout neutre , langage totalement partisan , champ lexical de la peur est bon pour les golem impressionnable a 10 de qi.
Next, va faire ta propagande ailleurs
mais le ton apocalyptique de l'article, romancée a outrance, pas du tout neutre , langage totalement partisan , champ lexical de la peur est bon pour les golem impressionnable a 10 de qi.
Next, va faire ta propagande ailleurs
Ce n'est pas moi qui aie écrit l'article...
Par ailleurs, que l'article soit "romancé" avec une inclinaison critique de la Russie de Poutine ne change rien à ce qui est dit, c'est la stricte vérité...
Par ailleurs, que l'article soit "romancé" avec une inclinaison critique de la Russie de Poutine ne change rien à ce qui est dit, c'est la stricte vérité...
il y a un mois
mais peu importe ca va arriver absolument DE PARTOUT
meme onche va probablement falloir une api d'identification
meme onche va probablement falloir une api d'identification
Je ne crois pas que ça ira jusque-là, sinon l'Europe ne pourra pas dire que les autres sont des dictatures en appliquant elle-même ces mêmes restrictions numériques...
il y a un mois
groschibrax
1 mois
Ils sont ou les poutinolatre
C'est quand même grâce à lui que l'essence est pas trop cher par chez nous, perso je dis vite Poutine
Ôi chúa của tôi, mon Capitaine, il a cassé, n'a pas payé.
il y a un mois
Tout service qui me demande ma carte d'identité sera résilié pour ma part
Ça me fera plus d'argent à la fin du mois temps pis pour eux
Ça me fera plus d'argent à la fin du mois temps pis pour eux
t'as pas l'air de comprendre, meme si c'est gratuit , les plateformes qui ont besoin d'un financement pour vivre vont devoir ce plier à cette legislation de visa et mastercard
il y a un mois
Tout service qui me demande ma carte d'identité sera résilié pour ma part
Ça me fera plus d'argent à la fin du mois temps pis pour eux
Ça me fera plus d'argent à la fin du mois temps pis pour eux
Le seul problème c'est que ces fils de putes comptent ensuite voler cet argent épargné

il y a un mois
Je ne crois pas que ça ira jusque-là, sinon l'Europe ne pourra pas dire que les autres sont des dictatures en appliquant elle-même ces mêmes restrictions numériques...
mais c'est en train de se passer en ce moment meme , moi meme j'en paie les frais
il y a un mois