Ce sujet a été résolu
Tu parles de propagande républicaine en vomissant sur le régime tout en brandissant une rhétorique corsophile bancale, mais tu sembles oublier que le fantasme d’une Corse homogène, blanche, indo-européenne et fière est un mythe historique reconstitué de toute pièce à coup de romantisme post-napoléonien et de révisionnismes de bistrot, car si l’on suit ta logique sur la “souillure” républicaine, on devrait aussi revenir au féodalisme, aux vendettas de village et aux patriarcats de clans qui réglaient leurs dettes de sang à coups de fusil sur les chemins muletiers, ce qui serait peut-être cohérent avec ton délire d’identité ossifiée, mais sûrement pas avec une réalité moderne que tu refuses de regarder parce qu’elle te renvoie à l’échec de ta propre narration internalisée, qui ne tient que grâce à trois références historiques sorties de leur contexte, Napoléon, Napoléon III, et une haine viscérale de la République qui, si elle est effectivement coupable de centralisme parisien, n’a pas inventé l’oppression ni le racisme, et sûrement pas l’auto-victimisation identitaire dont tu fais l’étendard d’une Corse mythifiée à outrance, où la domination est toujours venue de l’extérieur, jamais du clan, jamais de l’intérieur, jamais de l’insularité mentalisée, mais toujours de l’autre, le Juif, le Gauche, le Nord, le Républicain, le Français de l’extérieur, comme si l’histoire de l’île pouvait être réduite à un éternel viol symbolique sans agency ni stratégie interne, ce qui est non seulement faux, mais surtout lâche intellectuellement.
J'ai jamais dis que ça ne venait pas de l'intérieur, il suffit de voir les hommes politiques, le banditisme et les règlements de compte en Corse . Je parle de l'idéal de liberté de Paoli surtout, que les corses oublient vites je crois.
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il y a 3 jours
J'ai jamais dis que ça ne venait pas de l'intérieur, il suffit de voir les hommes politiques, le banditisme et les règlements de compte en Corse . Je parle de l'idéal de liberté de Paoli surtout, que les corses oublient vites je crois.
Ah voilà que tu convoques Paoli comme un talisman idéologique, comme s’il suffisait d’agiter son nom pour effacer d’un revers de manche l’essentialisation racialiste et pleurnicharde à laquelle tu t’es livré quelques lignes plus haut, oubliant commodément que Paoli lui-même s’est construit dans un réseau complexe d’alliances, de négociations géopolitiques, de dépendances implicites à des puissances continentales comme la Grande-Bretagne, et que son idéal de liberté, loin d’être un bloc figé ou un cri pur de l’âme corse, était déjà parasité par des dynamiques de pouvoir internes, de clientélisme, de conflits de loyauté entre clans, et que son échec n’est pas seulement dû à l’arrivée des Français mais aussi à la réalité interne d’une île tiraillée entre rivalités endogènes et limites structurelles, alors venir nous expliquer que tu n’as jamais nié les responsabilités internes en te contentant d’un petit renvoi aux hommes politiques ou au banditisme, c’est un peu comme jeter une allumette sur un baril vide pour faire croire qu’on a mis le feu au système, c’est trop peu, trop tard, trop commode, car ce que tu fais, c’est toujours la même chose : tu poses un récit blessé, nostalgique, teinté d’un racialisme implicite, et tu viens ensuite l’habiller d’une référence historique vaguement noble pour lui donner un vernis d’intelligence, mais c’est de la peinture sur du carton, ça ne tient pas sous la pluie, surtout quand tu te contentes de mentionner Paoli comme un slogan alors que tu ne tires aucune leçon politique réelle de son parcours, aucun projet, aucune pensée structurée sur le présent, juste de l’incantation pour masquer le vide, ce qui est précisément le contraire de ce que Paoli faisait, lui qui cherchait à articuler une pensée constitutionnelle moderne à une réalité insulaire tiraillée, ce que tu refuses de faire parce que ce serait plus difficile que de pleurer sur les “rêves souillés” en boucle.
il y a 3 jours
c'est toi qui a jamais vu un corse de ta vie, ils sont bronzés comme des boukakes
sans parler de leur "culture" tribale
sans parler de leur "culture" tribale
Je suis aucunement bronzé, seul les gens des cote peuvent a la limite être un peu bronzés a cause du soleil, les véritables corses ont toujours vécu en montagnes jusqu'à récemment, le corse ne ressemble pas a un norvégien, mais il ressemble encore moins a un putain d'arabe. Soit c'est toi qui est extrêmement con, car je sais pas ou tu as vu ce genre de Corse, car je ne correspond absolument pas a ce genre de critère, mon père est blond au yeux bleu, je suis blond, et le restes de ma famille ont les cheveux bruns avec la peau très blanches et des traits typiquement blanc. Tu vis dans un putain de fantasme.
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il y a 3 jours
Ah voilà que tu convoques Paoli comme un talisman idéologique, comme s’il suffisait d’agiter son nom pour effacer d’un revers de manche l’essentialisation racialiste et pleurnicharde à laquelle tu t’es livré quelques lignes plus haut, oubliant commodément que Paoli lui-même s’est construit dans un réseau complexe d’alliances, de négociations géopolitiques, de dépendances implicites à des puissances continentales comme la Grande-Bretagne, et que son idéal de liberté, loin d’être un bloc figé ou un cri pur de l’âme corse, était déjà parasité par des dynamiques de pouvoir internes, de clientélisme, de conflits de loyauté entre clans, et que son échec n’est pas seulement dû à l’arrivée des Français mais aussi à la réalité interne d’une île tiraillée entre rivalités endogènes et limites structurelles, alors venir nous expliquer que tu n’as jamais nié les responsabilités internes en te contentant d’un petit renvoi aux hommes politiques ou au banditisme, c’est un peu comme jeter une allumette sur un baril vide pour faire croire qu’on a mis le feu au système, c’est trop peu, trop tard, trop commode, car ce que tu fais, c’est toujours la même chose : tu poses un récit blessé, nostalgique, teinté d’un racialisme implicite, et tu viens ensuite l’habiller d’une référence historique vaguement noble pour lui donner un vernis d’intelligence, mais c’est de la peinture sur du carton, ça ne tient pas sous la pluie, surtout quand tu te contentes de mentionner Paoli comme un slogan alors que tu ne tires aucune leçon politique réelle de son parcours, aucun projet, aucune pensée structurée sur le présent, juste de l’incantation pour masquer le vide, ce qui est précisément le contraire de ce que Paoli faisait, lui qui cherchait à articuler une pensée constitutionnelle moderne à une réalité insulaire tiraillée, ce que tu refuses de faire parce que ce serait plus difficile que de pleurer sur les “rêves souillés” en boucle.
Bravo pour ton utilisation de chatgpt Proprio, fait juste semblant de pas comprendre mon messages, je parle pas de l'état de la corse, mais de l'image de la corse et des corses depuis la propagande républicaine juive.
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il y a 3 jours
Je suis aucunement bronzé, seul les gens des cote peuvent a la limite être un peu bronzés a cause du soleil, les véritables corses ont toujours vécu en montagnes jusqu'à récemment, le corse ne ressemble pas a un norvégien, mais il ressemble encore moins a un putain d'arabe. Soit c'est toi qui est extrêmement con, car je sais pas ou tu as vu ce genre de Corse, car je ne correspond absolument pas a ce genre de critère, mon père est blond au yeux bleu, je suis blond, et le restes de ma famille ont les cheveux bruns avec la peau très blanches et des traits typiquement blanc. Tu vis dans un putain de fantasme.
t'es pas corse en fait ou alors exilé
prend pas ton cas pour une généralité
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il y a 3 jours
La langue que parlent les corses n'est pas la leur.
Les siciliens, sardes, et corses, étaient des peuples ibériques avant d'être colonisés par les italiques et les grecs, puis par les italiens, français, espagnols, normands, arabes etc.
En tant que peuples ibériques, leur origine était atlante.
Donc aryenne oui, au sens "blanche", au sens racial, mais au sens culturel, "indo-européen", non pas vraiment.
Les siciliens, sardes, et corses, étaient des peuples ibériques avant d'être colonisés par les italiques et les grecs, puis par les italiens, français, espagnols, normands, arabes etc.
En tant que peuples ibériques, leur origine était atlante.
Donc aryenne oui, au sens "blanche", au sens racial, mais au sens culturel, "indo-européen", non pas vraiment.
Je suis Seugondaire.
il y a 3 jours
t'es pas corse en fait ou alors exilé
prend pas ton cas pour une généralité
prend pas ton cas pour une généralité
Mon prénom est 100% Corse et mon nom de famille aussi, j'ai aussi des ancêtres allemands, mais la majorités du patrimoines génétique se trouve en Europe du sud, la corse et la botte italienne. Donne moi juste un exemple de corses qui ressemblent a de vrai magrébin et je te donnerais raison, la c'est juste de la provoc.
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il y a 3 jours
La langue que parlent les corses n'est pas la leur.
Les siciliens, sardes, et corses, étaient des peuples ibériques avant d'être colonisés par les italiques et les grecs, puis par les italiens, français, espagnols, normands, arabes etc.
En tant que peuples ibériques, leur origine était atlante.
Donc aryenne oui, au sens "blanche", au sens racial, mais au sens culturel, "indo-européen", non pas vraiment.
Les siciliens, sardes, et corses, étaient des peuples ibériques avant d'être colonisés par les italiques et les grecs, puis par les italiens, français, espagnols, normands, arabes etc.
En tant que peuples ibériques, leur origine était atlante.
Donc aryenne oui, au sens "blanche", au sens racial, mais au sens culturel, "indo-européen", non pas vraiment.
Tu as déjà étudié le néolithique khey ou c'est juste des théorie farfelu ?
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il y a 3 jours
Mon prénom est 100% Corse et mon nom de famille aussi, j'ai aussi des ancêtres allemands, mais la majorités du patrimoines génétique se trouve en Europe du sud, la corse et la botte italienne. Donne moi juste un exemple de corses qui ressemblent a de vrai magrébin et je te donnerais raison, la c'est juste de la provoc.
j'ai dit qu'ils étaient a mi-chemin entrre des italiens et des maghrebins, c'est pas tout a fait pareil
vu leur situation geographique ca n'a rien de surprenant d'ailleurs.
en revanche ils sont tout sauf germaniques
vu leur situation geographique ca n'a rien de surprenant d'ailleurs.
en revanche ils sont tout sauf germaniques
il y a 3 jours
Tu as déjà étudié le néolithique khey ou c'est juste des théorie farfelu ?
Oui j'ai """"étudié"""" le néolithique
Je suis Seugondaire.
il y a 3 jours
j'ai dit qu'ils étaient a mi-chemin entrre des italiens et des maghrebins, c'est pas tout a fait pareil
vu leur situation geographique ca n'a rien de surprenant d'ailleurs.
en revanche ils sont tout sauf germaniques
vu leur situation geographique ca n'a rien de surprenant d'ailleurs.
en revanche ils sont tout sauf germaniques
J'ai pas dis que c'est parce que je l'étais qu'il l'étaient tous, juste qu'ils n'ont rien a voir avec des magrébins, en corse l'envahisseur a toujours été l'envahisseur barbaresque, a part des razzia et des enlèvements, il n'y jamais eu de peuplement comme en Sicile.
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il y a 3 jours
Bravo pour ton utilisation de chatgpt Proprio, fait juste semblant de pas comprendre mon messages, je parle pas de l'état de la corse, mais de l'image de la corse et des corses depuis la propagande républicaine juive.
Classique du golem : dès qu’on te sert une réponse structurée qui te fait vaciller, t’aboies “ChatGPT” comme si c’était une carte piège qui annule le contenu, alors que tu t’es juste fait balayer parce que t’as confondu posture identitaire avec pensée politique, t’as RP Paoli pendant deux paragraphes comme un NPC romantique et maintenant que ça t’échappe, tu fais semblant d’avoir parlé uniquement “de l’image” pour esquiver ce que t’as toi-même charcuté dans ton message d’avant. T’es pas deep, t’es zoomé. Et balancer “république juive” entre deux envolées napoléoniennes, c’est pas un argument, c’est un cope en mode Ctrl+V de tes ressentiments, y’a rien derrière. Respire, relis, et si t’as un truc à dire, articule-le sans draguer les fantômes du XIXe à chaque virgule.
il y a 3 jours
Classique du golem : dès qu’on te sert une réponse structurée qui te fait vaciller, t’aboies “ChatGPT” comme si c’était une carte piège qui annule le contenu, alors que tu t’es juste fait balayer parce que t’as confondu posture identitaire avec pensée politique, t’as RP Paoli pendant deux paragraphes comme un NPC romantique et maintenant que ça t’échappe, tu fais semblant d’avoir parlé uniquement “de l’image” pour esquiver ce que t’as toi-même charcuté dans ton message d’avant. T’es pas deep, t’es zoomé. Et balancer “république juive” entre deux envolées napoléoniennes, c’est pas un argument, c’est un cope en mode Ctrl+V de tes ressentiments, y’a rien derrière. Respire, relis, et si t’as un truc à dire, articule-le sans draguer les fantômes du XIXe à chaque virgule.
C'est pas de ma faute si tu t'exprime comme un putain de chatbot. J'ai rien de plus a te dire, tu veux absolument démonter ce que je dis, une manière plus structuré de dire comme l'autre malade mental sur le topic que les corses sont des arabes. Oui la France est responsable en grande a 90% des malheurs de la Corse de 1769 jusqu'au milieu du 20 -ème siècle, aujourd'hui il y a un regain, mais l'état de la corse actuel est autant la faute de l'état français que des traitres corses. Oui je suis un idéaliste, pas au sens philosophique, mais politique, oui j'ai foi en l'avenir pour la corse et la prospérité de ses enfants.
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il y a 3 jours
C'est pas de ma faute si tu t'exprime comme un putain de chatbot. J'ai rien de plus a te dire, tu veux absolument démonter ce que je dis, une manière plus structuré de dire comme l'autre malade mental sur le topic que les corses sont des arabes. Oui la France est responsable en grande a 90% des malheurs de la Corse de 1769 jusqu'au milieu du 20 -ème siècle, aujourd'hui il y a un regain, mais l'état de la corse actuel est autant la faute de l'état français que des traitres corses. Oui je suis un idéaliste, pas au sens philosophique, mais politique, oui j'ai foi en l'avenir pour la corse et la prospérité de ses enfants.
Tu dis ne plus rien avoir à dire, et pourtant tu continues à écrire, ce qui est en soi déjà une forme de contradiction performative qui illustre exactement le décalage entre ce que tu affirmes et ce que tu fais, et qui rejoint assez précisément ce que je pointais déjà dans ta posture générale, à savoir ce besoin de poser des affirmations fortes, enveloppées d’un vernis de conviction idéologique, souvent présentées comme des constats indiscutables, tout en refusant d’assumer que ces affirmations-là s’inscrivent dans un système de représentation que tu ne veux ni exposer ni remettre en question, préférant passer pour mal compris plutôt que pour partiellement incohérent, ce qui t’amène d’ailleurs à convoquer successivement des figures d’autorité morale ou symbolique (Paoli, Napoléon III), des notions de trahison interne, des formulations mémorielles lourdement connotées, puis à glisser sans transition vers une posture de foi dans l’avenir et la prospérité des “enfants de la Corse”, ce qui pourrait être admirable si cette évolution rhétorique ne servait pas en réalité à esquiver la charge initiale de ton propos, que tu rétrogrades maintenant en simple commentaire sur “l’image des Corses” afin de désamorcer la lecture littérale de ce que tu écrivais toi-même deux messages plus tôt, et tout ça en utilisant comme ligne de fuite un procès d’intention fondé sur la forme de mes phrases, que tu qualifie de “chatbot”, comme si la simple capacité à articuler une réponse un minimum construite suffisait à disqualifier son contenu, ce qui est pratique, certes, mais révélateur surtout d’un inconfort avec l’idée qu’on puisse te répondre frontalement sans t’offrir une caricature à démonter, ce que tu sembles espérer en permanence, comme si tout débat devait inévitablement se réduire à un échange de punchlines, alors que là en l’occurrence tu te retrouves confronté non pas à une opposition simpliste, mais à une lecture plus rigoureuse que celle que ton propos pouvait supporter, ce qui t’a contraint à pivoter vers un registre pseudo-humble dans lequel tu déclares ta foi en l’idéal politique sans même te rendre compte que ce déplacement rhétorique ne résout rien du tout, puisqu’il ne fait que recouvrir ta pensée initiale d’un voile plus présentable, mais sans jamais en interroger les racines ou les implications, ni même en corriger les formulations les plus problématiques, que tu abandonnes là, en arrière-plan, sans jamais les révoquer ni les assumer, dans un no man’s land discursif où tu voudrais qu’on oublie ce que tu as dit dès qu’on t’en fait le miroir, ce qui constitue en soi une stratégie de débat assez répandue dans certains cercles de l’entre-soi idéologique, mais qui ne tient pas longtemps dès lors qu’on refuse de se laisser balader d’un registre à l’autre sans exigence de cohérence minimale, ce que je me suis contenté de faire ici, en soulignant que tu ne peux pas à la fois dénoncer une propagande extérieure d'effacement et construire ta propre mythologie insulaire comme s’il s’agissait d’un bloc historique pur, non entaché de tensions internes, d’ambiguïtés, de relectures, ou même de responsabilités partagées, et à partir de là, soit tu entres vraiment dans le politique, ce qui suppose de sortir du fantasme et de poser un projet, une analyse, une critique articulée, soit tu restes dans la nostalgie héroïque, ce qui est ton droit, mais il faudra alors assumer que ce que tu proposes n’est pas une lecture, mais un récit rituel, et qu’à ce titre, il n’est ni neutre, ni universel, ni à l’abri d’être critiqué, et que le traiter comme un dogme que toute contradiction transformerait en attaque personnelle ou en négation de ton idéal revient à le figer dans un entre-deux stérile, où tu attends qu’on t’écoute sans jamais vraiment répondre, parce que ce que tu cherches, au fond, ce n’est pas l’échange, mais la réaffirmation — et ça, c’est ton problème, pas le mien.
il y a 3 jours
Tu dis ne plus rien avoir à dire, et pourtant tu continues à écrire, ce qui est en soi déjà une forme de contradiction performative qui illustre exactement le décalage entre ce que tu affirmes et ce que tu fais, et qui rejoint assez précisément ce que je pointais déjà dans ta posture générale, à savoir ce besoin de poser des affirmations fortes, enveloppées d’un vernis de conviction idéologique, souvent présentées comme des constats indiscutables, tout en refusant d’assumer que ces affirmations-là s’inscrivent dans un système de représentation que tu ne veux ni exposer ni remettre en question, préférant passer pour mal compris plutôt que pour partiellement incohérent, ce qui t’amène d’ailleurs à convoquer successivement des figures d’autorité morale ou symbolique (Paoli, Napoléon III), des notions de trahison interne, des formulations mémorielles lourdement connotées, puis à glisser sans transition vers une posture de foi dans l’avenir et la prospérité des “enfants de la Corse”, ce qui pourrait être admirable si cette évolution rhétorique ne servait pas en réalité à esquiver la charge initiale de ton propos, que tu rétrogrades maintenant en simple commentaire sur “l’image des Corses” afin de désamorcer la lecture littérale de ce que tu écrivais toi-même deux messages plus tôt, et tout ça en utilisant comme ligne de fuite un procès d’intention fondé sur la forme de mes phrases, que tu qualifie de “chatbot”, comme si la simple capacité à articuler une réponse un minimum construite suffisait à disqualifier son contenu, ce qui est pratique, certes, mais révélateur surtout d’un inconfort avec l’idée qu’on puisse te répondre frontalement sans t’offrir une caricature à démonter, ce que tu sembles espérer en permanence, comme si tout débat devait inévitablement se réduire à un échange de punchlines, alors que là en l’occurrence tu te retrouves confronté non pas à une opposition simpliste, mais à une lecture plus rigoureuse que celle que ton propos pouvait supporter, ce qui t’a contraint à pivoter vers un registre pseudo-humble dans lequel tu déclares ta foi en l’idéal politique sans même te rendre compte que ce déplacement rhétorique ne résout rien du tout, puisqu’il ne fait que recouvrir ta pensée initiale d’un voile plus présentable, mais sans jamais en interroger les racines ou les implications, ni même en corriger les formulations les plus problématiques, que tu abandonnes là, en arrière-plan, sans jamais les révoquer ni les assumer, dans un no man’s land discursif où tu voudrais qu’on oublie ce que tu as dit dès qu’on t’en fait le miroir, ce qui constitue en soi une stratégie de débat assez répandue dans certains cercles de l’entre-soi idéologique, mais qui ne tient pas longtemps dès lors qu’on refuse de se laisser balader d’un registre à l’autre sans exigence de cohérence minimale, ce que je me suis contenté de faire ici, en soulignant que tu ne peux pas à la fois dénoncer une propagande extérieure d'effacement et construire ta propre mythologie insulaire comme s’il s’agissait d’un bloc historique pur, non entaché de tensions internes, d’ambiguïtés, de relectures, ou même de responsabilités partagées, et à partir de là, soit tu entres vraiment dans le politique, ce qui suppose de sortir du fantasme et de poser un projet, une analyse, une critique articulée, soit tu restes dans la nostalgie héroïque, ce qui est ton droit, mais il faudra alors assumer que ce que tu proposes n’est pas une lecture, mais un récit rituel, et qu’à ce titre, il n’est ni neutre, ni universel, ni à l’abri d’être critiqué, et que le traiter comme un dogme que toute contradiction transformerait en attaque personnelle ou en négation de ton idéal revient à le figer dans un entre-deux stérile, où tu attends qu’on t’écoute sans jamais vraiment répondre, parce que ce que tu cherches, au fond, ce n’est pas l’échange, mais la réaffirmation — et ça, c’est ton problème, pas le mien.
Putain j'ai jamais dis être neutre ou avoir une analyse digne d'un académicien, si je pouvais faire la propagande comme Goebbels je le ferait. Evidemment que c'est romancé, c'est le but, I-D-E-A-L-I-S-M-E
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il y a 3 jours
_N_
3j
Parlant une langue Indo-Européenne extrêmement proche du Latin, digne hériter des légionnaires romain, n'écoutez donc pas la propagande républicaine juive de dés-unification des européens. Le souvenir des Buonaparte a laisser un gout amère dans la bouche des républicuck, bien plus que dans celles des royalistes. Dcp pour discréditer le régime, il faut discréditer les racines de Napoléon et donc les corses déjà dans une positions de faiblesse après 100 ans de domination, organisation de pogrom sur les corses, les gauchistes veulent donner l'ile a l'Italie pour 1 franc. La France fait une propagande négative sur un peuple qu'elle a premièrement conquis, mais ensuite qu'elle a affamé pour détruit la culture au nom de l'idéal universaliste, après avoir appauvri autant les corses en les privant de tout, c'est facile de les traiter de sale mulâtre fainéants, et encore, les termes racistes sont facile a comprendre pour un français du nord qui n'a jamais vu un Corse de sa vie.
Je le répète, les corses sont des blancs indo-européens dont les rêves de libertés ont été souillés par le régime républicain pendant 1 siècle, la seul période favorable pour que l'industrie Corse se relance c'était sous Napoléon III avec l'essor économique.
Je le répète, les corses sont des blancs indo-européens dont les rêves de libertés ont été souillés par le régime républicain pendant 1 siècle, la seul période favorable pour que l'industrie Corse se relance c'était sous Napoléon III avec l'essor économique.
Les blancs sont à 70%EEF 10%WHG, 10%neolithic Iranien, et que 10% wsh(indo-européen)
Donc non se sont juste des méditerranéen comme les autres, même la majorité des Français est EEF, il y a juste la Bretagne,la Flandre et l'Alsace qui sont à majorité wsh, et les savoyard par le biais des burgondes.
Donc non se sont juste des méditerranéen comme les autres, même la majorité des Français est EEF, il y a juste la Bretagne,la Flandre et l'Alsace qui sont à majorité wsh, et les savoyard par le biais des burgondes.
il y a 3 jours
Folk
3j
On s'en branle des indo-européens ça n'a jamais existé
Aryen = qui descend de Japhet
Aryen = qui descend de Japhet
Si ça a bien existé, il vienne d'Ukraine et leurs signatures génétique se retrouve de partout sur la planète.
il y a 3 jours
Si ça a bien existé, il vienne d'Ukraine et leurs signatures génétique se retrouve de partout sur la planète.
Montre moi la photo de la signature génétique ou cancer des testicules
Gloire à Yakub
il y a 3 jours
Les blancs sont à 70%EEF 10%WHG, 10%neolithic Iranien, et que 10% wsh(indo-européen)
Donc non se sont juste des méditerranéen comme les autres, même la majorité des Français est EEF, il y a juste la Bretagne,la Flandre et l'Alsace qui sont à majorité wsh, et les savoyard par le biais des burgondes.
Donc non se sont juste des méditerranéen comme les autres, même la majorité des Français est EEF, il y a juste la Bretagne,la Flandre et l'Alsace qui sont à majorité wsh, et les savoyard par le biais des burgondes.
EEF ?
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il y a 3 jours