Ce sujet a été résolu
Parlant une langue Indo-Européenne extrêmement proche du Latin, digne hériter des légionnaires romain, n'écoutez donc pas la propagande républicaine juive de dés-unification des européens. Le souvenir des Buonaparte a laisser un gout amère dans la bouche des républicuck, bien plus que dans celles des royalistes. Dcp pour discréditer le régime, il faut discréditer les racines de Napoléon et donc les corses déjà dans une positions de faiblesse après 100 ans de domination, organisation de pogrom sur les corses, les gauchistes veulent donner l'ile a l'Italie pour 1 franc. La France fait une propagande négative sur un peuple qu'elle a premièrement conquis, mais ensuite qu'elle a affamé pour détruit la culture au nom de l'idéal universaliste, après avoir appauvri autant les corses en les privant de tout, c'est facile de les traiter de sale mulâtre fainéants, et encore, les termes racistes sont facile a comprendre pour un français du nord qui n'a jamais vu un Corse de sa vie.
Je le répète, les corses sont des blancs indo-européens dont les rêves de libertés ont été souillés par le régime républicain pendant 1 siècle, la seul période favorable pour que l'industrie Corse se relance c'était sous Napoléon III avec l'essor économique.
Je le répète, les corses sont des blancs indo-européens dont les rêves de libertés ont été souillés par le régime républicain pendant 1 siècle, la seul période favorable pour que l'industrie Corse se relance c'était sous Napoléon III avec l'essor économique.
𝓑𝓸𝓲𝓪 𝓒𝓱𝓲 𝓜𝓸𝓵𝓵𝓪 ▐┛
il y a 3 mois
Il n'y a qu'un peuple d'aryen qui peux humilier l'armée du Roi de France en capturant 3000 soldat avec même pas 1000 hommes et sans en tuer aucun
𝓑𝓸𝓲𝓪 𝓒𝓱𝓲 𝓜𝓸𝓵𝓵𝓪 ▐┛
il y a 3 mois
Et c'est la même choses pour chaque régions française, bretagne, mais aussi le sud plus généralement et tout particularisme régional. Quand un juif socialiste vous dit que vous n'êtes pas blancs et un peuple de fainéants pauvres, ne l'écouter pas, le juif ment, il ment et il n'a que du mépris. Un vrai européen n'a du mépris pour aucun de ses confrères sur le plan juste racial, c'est absurde.
𝓑𝓸𝓲𝓪 𝓒𝓱𝓲 𝓜𝓸𝓵𝓵𝓪 ▐┛
il y a 3 mois
Ather
3 mois
Merci du up mais tout le monde savait que soral était un gros pd
𝓑𝓸𝓲𝓪 𝓒𝓱𝓲 𝓜𝓸𝓵𝓵𝓪 ▐┛
il y a 3 mois
Triss
3 mois
Les Corses sont des abrutis surtout

Si tu veux, pas autant que le français moyen qui croit a la propagande juive
𝓑𝓸𝓲𝓪 𝓒𝓱𝓲 𝓜𝓸𝓵𝓵𝓪 ▐┛
il y a 3 mois
bitOcul
3 mois
les corse sont mi-rital mi-arabe
Tu n'a jamais vu un Corse de ta vie, mais vraiment, ça devient grave a ce niveau si tu sais pas différencier des blancs a des putains de bougnoules, faut que tu consulte vite.
𝓑𝓸𝓲𝓪 𝓒𝓱𝓲 𝓜𝓸𝓵𝓵𝓪 ▐┛
il y a 3 mois
_N_
3 mois
Parlant une langue Indo-Européenne extrêmement proche du Latin, digne hériter des légionnaires romain, n'écoutez donc pas la propagande républicaine juive de dés-unification des européens. Le souvenir des Buonaparte a laisser un gout amère dans la bouche des républicuck, bien plus que dans celles des royalistes. Dcp pour discréditer le régime, il faut discréditer les racines de Napoléon et donc les corses déjà dans une positions de faiblesse après 100 ans de domination, organisation de pogrom sur les corses, les gauchistes veulent donner l'ile a l'Italie pour 1 franc. La France fait une propagande négative sur un peuple qu'elle a premièrement conquis, mais ensuite qu'elle a affamé pour détruit la culture au nom de l'idéal universaliste, après avoir appauvri autant les corses en les privant de tout, c'est facile de les traiter de sale mulâtre fainéants, et encore, les termes racistes sont facile a comprendre pour un français du nord qui n'a jamais vu un Corse de sa vie.
Je le répète, les corses sont des blancs indo-européens dont les rêves de libertés ont été souillés par le régime républicain pendant 1 siècle, la seul période favorable pour que l'industrie Corse se relance c'était sous Napoléon III avec l'essor économique.
Je le répète, les corses sont des blancs indo-européens dont les rêves de libertés ont été souillés par le régime républicain pendant 1 siècle, la seul période favorable pour que l'industrie Corse se relance c'était sous Napoléon III avec l'essor économique.
Tu parles de propagande républicaine en vomissant sur le régime tout en brandissant une rhétorique corsophile bancale, mais tu sembles oublier que le fantasme d’une Corse homogène, blanche, indo-européenne et fière est un mythe historique reconstitué de toute pièce à coup de romantisme post-napoléonien et de révisionnismes de bistrot, car si l’on suit ta logique sur la “souillure” républicaine, on devrait aussi revenir au féodalisme, aux vendettas de village et aux patriarcats de clans qui réglaient leurs dettes de sang à coups de fusil sur les chemins muletiers, ce qui serait peut-être cohérent avec ton délire d’identité ossifiée, mais sûrement pas avec une réalité moderne que tu refuses de regarder parce qu’elle te renvoie à l’échec de ta propre narration internalisée, qui ne tient que grâce à trois références historiques sorties de leur contexte, Napoléon, Napoléon III, et une haine viscérale de la République qui, si elle est effectivement coupable de centralisme parisien, n’a pas inventé l’oppression ni le racisme, et sûrement pas l’auto-victimisation identitaire dont tu fais l’étendard d’une Corse mythifiée à outrance, où la domination est toujours venue de l’extérieur, jamais du clan, jamais de l’intérieur, jamais de l’insularité mentalisée, mais toujours de l’autre, le Juif, le Gauche, le Nord, le Républicain, le Français de l’extérieur, comme si l’histoire de l’île pouvait être réduite à un éternel viol symbolique sans agency ni stratégie interne, ce qui est non seulement faux, mais surtout lâche intellectuellement.
Alain au bar !
il y a 3 mois
Tu n'a jamais vu un Corse de ta vie, mais vraiment, ça devient grave a ce niveau si tu sais pas différencier des blancs a des putains de bougnoules, faut que tu consulte vite.
c'est toi qui a jamais vu un corse de ta vie, ils sont bronzés comme des boukakes
sans parler de leur "culture" tribale
sans parler de leur "culture" tribale
il y a 3 mois
Tu parles de propagande républicaine en vomissant sur le régime tout en brandissant une rhétorique corsophile bancale, mais tu sembles oublier que le fantasme d’une Corse homogène, blanche, indo-européenne et fière est un mythe historique reconstitué de toute pièce à coup de romantisme post-napoléonien et de révisionnismes de bistrot, car si l’on suit ta logique sur la “souillure” républicaine, on devrait aussi revenir au féodalisme, aux vendettas de village et aux patriarcats de clans qui réglaient leurs dettes de sang à coups de fusil sur les chemins muletiers, ce qui serait peut-être cohérent avec ton délire d’identité ossifiée, mais sûrement pas avec une réalité moderne que tu refuses de regarder parce qu’elle te renvoie à l’échec de ta propre narration internalisée, qui ne tient que grâce à trois références historiques sorties de leur contexte, Napoléon, Napoléon III, et une haine viscérale de la République qui, si elle est effectivement coupable de centralisme parisien, n’a pas inventé l’oppression ni le racisme, et sûrement pas l’auto-victimisation identitaire dont tu fais l’étendard d’une Corse mythifiée à outrance, où la domination est toujours venue de l’extérieur, jamais du clan, jamais de l’intérieur, jamais de l’insularité mentalisée, mais toujours de l’autre, le Juif, le Gauche, le Nord, le Républicain, le Français de l’extérieur, comme si l’histoire de l’île pouvait être réduite à un éternel viol symbolique sans agency ni stratégie interne, ce qui est non seulement faux, mais surtout lâche intellectuellement.
J'ai jamais dis que ça ne venait pas de l'intérieur, il suffit de voir les hommes politiques, le banditisme et les règlements de compte en Corse . Je parle de l'idéal de liberté de Paoli surtout, que les corses oublient vites je crois.
𝓑𝓸𝓲𝓪 𝓒𝓱𝓲 𝓜𝓸𝓵𝓵𝓪 ▐┛
il y a 3 mois
J'ai jamais dis que ça ne venait pas de l'intérieur, il suffit de voir les hommes politiques, le banditisme et les règlements de compte en Corse . Je parle de l'idéal de liberté de Paoli surtout, que les corses oublient vites je crois.
Ah voilà que tu convoques Paoli comme un talisman idéologique, comme s’il suffisait d’agiter son nom pour effacer d’un revers de manche l’essentialisation racialiste et pleurnicharde à laquelle tu t’es livré quelques lignes plus haut, oubliant commodément que Paoli lui-même s’est construit dans un réseau complexe d’alliances, de négociations géopolitiques, de dépendances implicites à des puissances continentales comme la Grande-Bretagne, et que son idéal de liberté, loin d’être un bloc figé ou un cri pur de l’âme corse, était déjà parasité par des dynamiques de pouvoir internes, de clientélisme, de conflits de loyauté entre clans, et que son échec n’est pas seulement dû à l’arrivée des Français mais aussi à la réalité interne d’une île tiraillée entre rivalités endogènes et limites structurelles, alors venir nous expliquer que tu n’as jamais nié les responsabilités internes en te contentant d’un petit renvoi aux hommes politiques ou au banditisme, c’est un peu comme jeter une allumette sur un baril vide pour faire croire qu’on a mis le feu au système, c’est trop peu, trop tard, trop commode, car ce que tu fais, c’est toujours la même chose : tu poses un récit blessé, nostalgique, teinté d’un racialisme implicite, et tu viens ensuite l’habiller d’une référence historique vaguement noble pour lui donner un vernis d’intelligence, mais c’est de la peinture sur du carton, ça ne tient pas sous la pluie, surtout quand tu te contentes de mentionner Paoli comme un slogan alors que tu ne tires aucune leçon politique réelle de son parcours, aucun projet, aucune pensée structurée sur le présent, juste de l’incantation pour masquer le vide, ce qui est précisément le contraire de ce que Paoli faisait, lui qui cherchait à articuler une pensée constitutionnelle moderne à une réalité insulaire tiraillée, ce que tu refuses de faire parce que ce serait plus difficile que de pleurer sur les “rêves souillés” en boucle.
Alain au bar !
il y a 3 mois
c'est toi qui a jamais vu un corse de ta vie, ils sont bronzés comme des boukakes
sans parler de leur "culture" tribale
sans parler de leur "culture" tribale
Je suis aucunement bronzé, seul les gens des cote peuvent a la limite être un peu bronzés a cause du soleil, les véritables corses ont toujours vécu en montagnes jusqu'à récemment, le corse ne ressemble pas a un norvégien, mais il ressemble encore moins a un putain d'arabe. Soit c'est toi qui est extrêmement con, car je sais pas ou tu as vu ce genre de Corse, car je ne correspond absolument pas a ce genre de critère, mon père est blond au yeux bleu, je suis blond, et le restes de ma famille ont les cheveux bruns avec la peau très blanches et des traits typiquement blanc. Tu vis dans un putain de fantasme.
𝓑𝓸𝓲𝓪 𝓒𝓱𝓲 𝓜𝓸𝓵𝓵𝓪 ▐┛
il y a 3 mois
Ah voilà que tu convoques Paoli comme un talisman idéologique, comme s’il suffisait d’agiter son nom pour effacer d’un revers de manche l’essentialisation racialiste et pleurnicharde à laquelle tu t’es livré quelques lignes plus haut, oubliant commodément que Paoli lui-même s’est construit dans un réseau complexe d’alliances, de négociations géopolitiques, de dépendances implicites à des puissances continentales comme la Grande-Bretagne, et que son idéal de liberté, loin d’être un bloc figé ou un cri pur de l’âme corse, était déjà parasité par des dynamiques de pouvoir internes, de clientélisme, de conflits de loyauté entre clans, et que son échec n’est pas seulement dû à l’arrivée des Français mais aussi à la réalité interne d’une île tiraillée entre rivalités endogènes et limites structurelles, alors venir nous expliquer que tu n’as jamais nié les responsabilités internes en te contentant d’un petit renvoi aux hommes politiques ou au banditisme, c’est un peu comme jeter une allumette sur un baril vide pour faire croire qu’on a mis le feu au système, c’est trop peu, trop tard, trop commode, car ce que tu fais, c’est toujours la même chose : tu poses un récit blessé, nostalgique, teinté d’un racialisme implicite, et tu viens ensuite l’habiller d’une référence historique vaguement noble pour lui donner un vernis d’intelligence, mais c’est de la peinture sur du carton, ça ne tient pas sous la pluie, surtout quand tu te contentes de mentionner Paoli comme un slogan alors que tu ne tires aucune leçon politique réelle de son parcours, aucun projet, aucune pensée structurée sur le présent, juste de l’incantation pour masquer le vide, ce qui est précisément le contraire de ce que Paoli faisait, lui qui cherchait à articuler une pensée constitutionnelle moderne à une réalité insulaire tiraillée, ce que tu refuses de faire parce que ce serait plus difficile que de pleurer sur les “rêves souillés” en boucle.
Bravo pour ton utilisation de chatgpt Proprio, fait juste semblant de pas comprendre mon messages, je parle pas de l'état de la corse, mais de l'image de la corse et des corses depuis la propagande républicaine juive.
𝓑𝓸𝓲𝓪 𝓒𝓱𝓲 𝓜𝓸𝓵𝓵𝓪 ▐┛
il y a 3 mois