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Oui enfin là c'est juste une photo de moi quand même
:chat-mirroir:
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il y a un jour
Vous vivez tous dans une caverne

l'âme immobile, enchaînés par les pieds et le cou. Vous êtes forcés de rester immobile est de regarder la paroi de la caverne en voyant des ombres passer.

Vous êtes des esclaves


Nous vivons dans une dictature, c'est la première vérité quand on devient philosophe et que l'âme se libère.

Les Universitaires sont les Sophistes qui vous maintient dans l'ignorance.

La véritable amitié est impossible quand on est esclave, votre âme est inexistante.

Vous n'êtes pas vous-même, votre moi est bloqué dans l'inconscient.

Vous vous mentez à vous-même et vous agressez tous ceux qui sont moraux.

Vous considérez le tyran comme l'homme le plus beau de l'humanité, inversion des valeurs


Ressaisissez vous
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il y a un jour
Vous vivez tous dans une caverne

l'âme immobile, enchaînés par les pieds et le cou. Vous êtes forcés de rester immobile est de regarder la paroi de la caverne en voyant des ombres passer.

Vous êtes des esclaves


Nous vivons dans une dictature, c'est la première vérité quand on devient philosophe et que l'âme se libère.

Les Universitaires sont les Sophistes qui vous maintient dans l'ignorance.

La véritable amitié est impossible quand on est esclave, votre âme est inexistante.

Vous n'êtes pas vous-même, votre moi est bloqué dans l'inconscient.

Vous vous mentez à vous-même et vous agressez tous ceux qui sont moraux.

Vous considérez le tyran comme l'homme le plus beau de l'humanité, inversion des valeurs


Ressaisissez vous
Ta vision présuppose que l’intelligibilité du changement doit se fonder sur une orientation vers une fin, une forme qui prédétermine le processus. Mais Hegel montre que c'est une illusion de la réflexion abstraite qui sépare le résultat de la genèse et le but de son processus réel. Dans le devenir logique, ce que tu appelles "fin" n’est pas extérieur au processus, c’est son résultat; un résultat qui ne peut exister qu’en se posant comme tel c’est-à-dire en étant produit. Dès le tout début de la Logique, Hegel montre comment l'être pur se nie lui-même et devient le néant et que c’est cette contradiction même, être égal à lui-même qui n’est que vide, qui engendre le devenir. Il ne s’agit donc pas d’un passage d’un "en soi" potentiel vers une forme déjà pensée comme acte mais d’un mouvement où la chose devient ce qu’elle est en devenant autre.

En ce sens, réduire le devenir à un passage ordonné de la puissance à l’acte c’est manquer la dialectique. C’est donc s’arrêter à une logique formelle incapable de penser l’unité des contraires. Le principe de non-contradiction que tu invoques n’est chez Hegel ni réfuté ni affirmé tel quel : il est suspendu/dépassé/conservé (aufhebung, toujours) dans une logique plus haute, celle de la contradiction spéculative. Il ne s'agit pas de dire qu’une chose "est et n’est pas" au même moment dans le même respect (ce qui serait absurde formellement) mais que l’être, pour être effectif doit intégrer sa propre négation, sa propre altérité, en lui-même. Sans cela, il n’y a que fixité abstraite donc pas de mouvement. Et pas de mouvement = pas d’histoire, pas de vie.

Quand tu dis que la finalité est nécessaire pour comprendre un processus, tu restaures une téléologie métaphysique que Hegel a justement renversée. Ce que tu appelles "finalité" dans le vivant ou le chimique est pour Hegel une totalité immanente c’est-à-dire une forme d’organisation qui ne précède pas son développement mais en résulte. Dans la Logique, au moment de la "finalité externe" et de la "finalité interne", Hegel montre que le téléologisme classique ne suffit pas : il faut passer à la finalité réalisée où sujet et fin ne font plus qu’un. Ce n'est pas "la forme" qui gouverne la matière, comme un plan divin ou une cause supérieure, mais la matière elle-même qui, dans son mouvement propre, produit ses formes, ses médiations, ses contradictions internes.

Dire que "voir là où un processus aboutit" implique une orientation donc une finalité, c'est exactement l’inverse de ce que Hegel démontre. Cela revient à confondre résultat et cause finale et à projeter sur le réel un schéma finaliste externe alors que le devenir est auto-téléologique, auto-déterminé. Ce que la dialectique nous apprend, c’est que le sens d’un processus n’est pas fixé d’avance mais résulte de son mouvement. Le but n’est pas là au départ, il est posé a posteriori comme moment de la totalité. C’est ça, l’immanence du développement chez Hegel contre toute téléologie fixiste : le concept devient ce qu’il est dans et par le processus qui l'accomplit.

Tu dis enfin que sans finalité, comprendre un processus est une illusion. Mais c’est précisément parce que tu refuses de penser que le processus est lui-même porteur de sa propre norme, de sa propre structure interne, que tu te crois obligé d’invoquer une "forme" extérieure, une cause finale qui rendrait le tout intelligible. Mais cette forme, tu la poses arbitrairement et tu la supposes alors que pour Hegel, ce qui est rationnel, c'est le réel effectif. Donc le réel qui se fait, qui se produit et dont la pensée ne suit pas un plan extérieur mais les médiations internes.

En somme, ce n'est pas le matérialiste marxiste qui "réduit l’être au devenir", c’est la dialectique qui montre que l’être est le devenir et que ce devenir ne suppose aucune cause extérieure ni aucun but préalable. Vouloir sauver la finalité au nom d’une intelligibilité supérieure, c’est refuser la pensée du procès réel. Donc c'est refuser la contradiction comme moteur du monde et c’est se réfugier dans une métaphysique morte qui croit comprendre parce qu’elle projette ses propres catégories sur un réel vivant qu’elle refuse de rencontrer.
il y a un jour
C'est quand même bien présomptueux
:Serie2:



Cela te fait un point d'accord avec e-penser
:Serie2:
non il est gros et juif et moche
:Serie2:
il y a un jour
Lys
Lys
1j
non il est gros et juif et moche
:Serie2:
Derrière ce compte :
:Nezpenser:
il y a un jour
Oui, c'est bien ce qu'il me semblait

De toute façon il y a une continuité, donc pourquoi sauter le big A ?
:Ariana3:
ARISTOTE a le QI d'une moule et il est bas de plafond

aristote ce cassos


et platon qui est ami avec ce low

la philosophie qui est morte après la mort de socrate
La honte après sa mort.

Aristote le low : "Je préfère la vérité que l'amitié"

alors que seul l'amitié permet de réfléchir en philosophie, enfin bref


désormais aristote est la coqueluche des sophistes à l'université et il serait surement content tellement il était bas de plafond.

Parlons en au passé, il n'est pas au Paradis ce cassos
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il y a un jour
il y a un jour
Lys
Lys
1j
non il est gros et juif et moche
:Serie2:
Bah voilà le niveau des gens qui disent que Aristote ne sert à rien
:Serie2:
il y a un jour
Lys
Lys
1j
non il est gros et juif et moche
:Serie2:
T
Image
il y a un jour
Derrière ce compte :
:Nezpenser:
va te travestir toi
:maomao:
il y a un jour
Lys
Lys
1j
va te travestir toi
:maomao:
On reconnaît bien là le Juif
:amechanfume:
il y a un jour
Bah voilà le niveau des gens qui disent que Aristote ne sert à rien
:Serie2:
la plus intelligente du blabla
:Serie2:
il y a un jour
sainte cabre en kawasaki ninja à porte de Saint-Ouen elle se snap en faisant des ballons harcheum
:Chaton_fou:
gniiiiiiiik
:gobelino:
il y a un jour
Lys
Lys
1j
la plus intelligente du blabla
:Serie2:
T
:tonytony:
Fatigué fatigué fatigué Image
il y a un jour
Lys
Lys
1j
la plus intelligente du blabla
:Serie2:
Bien en-dessous de Lydra, nez en moins.
:Serie2:
il y a un jour
La musique préférée de Lys :
il y a un jour
Lys
Lys
1j
va te travestir toi
:maomao:
Oui pitié dis lui
Image
il y a un jour
T
:tonytony:
dis un truc intelligent pour voir
:Serie2:
il y a un jour
Lys
Lys
1j
dis un truc intelligent pour voir
:Serie2:
Tu sous-entendu qu'il ne l'est pas ?
il y a un jour
La musique préférée de Lys :
C'est quand même pas le même lion qui dit Allah, si ?

Putain ils se sont fait avoir si c'est le cas
:rire:
il y a un jour