Ce sujet a été résolu
Expérience :
prendre un souvenir heureux et important pour soi, et le rendre sombre et horrible, dénué d'amour
prendre un souvenir heureux et important pour soi, et le rendre sombre et horrible, dénué d'amour
J'ai eu une réflexion sur la capacité à revivre les expériences heureuses par la mémoire, c'est assez transcendant de plonger complètement à l'intérieur
Mais si on peut revivre les expériences on peut aussi en changer le cours, notre rapport à elles, les transformer
Donc l'intuition ou la première mémoire qui arrivera quand on aura posé une intention comme traiter une problématique, sera le choix inconscient de notre mémoire sélective pour agir sur ce qui est le plus important, le guide
Pour ça il est aussi important d'écouter le souhait de l'âme pour ne pas le contrarier inutilement, et appuyer là démarche pour diriger son attention où il faut
Et donc pour revenir à l'expérience, vu que notre esprit est fort pour détruire notre présent en nous rabachant nos échecs passés et notre angoisse du futur, pourquoi ne pas utiliser cette capacité de déployer notre énergie négative là où subsiste un peu de lumière pure ?
Ça peut sembler contre intuitif mais voilà ma logique : si un souvenir heureux est revisité de manière triste, alors l'esprit conscient se rendra compte de sa capacité à agir lui même sur son rapport au souvenir, et de le changer
Beaucoup sont bloqués dans la négativité et ne peuvent pas entrer en lien avec l'amour nécessaire à la réparation, c'est une méthode utilisant la négativité contre elle même
Je peux détruire une chose belle,
Donc elle n'est pas absolue,
Donc je suis libre de créer autre chose,
Donc je ne suis pas prisonnier des traces du passé.
Emerge alors le moi transcendantal, défusionné des pensées programmés, c'est de là qu'émerge l'amour, d'un arrêt des réactions à ses propres souvenirs ~
C'est une rééducation et une prise de conscience de notre rapport à la mémoire, quand on voit sur quoi on peut agir on peut transformer notre rapport à la mémoire, et donc se transformer soi-même.
Attention tout de même, c'est un jeu dangereux qui demande préparation, surtout si tu as des blessures non cicatrisées qui reposent sur l’idéalisation, si tu n’as pas de rituel de sortie (pour "refermer" la mémoire), et si tu es dans un état dépressif ou dissociatif.
J'ai déclenché des crises psychotiques assez violentes en essayant de maitriser les arcanes de cette confrontation à l'ombre, prudence
C'est pour ça qu'il faut se protéger en travaillant d'abord avec des techniques de défusion plus simples, et apprendre à diriger son attention avec un peu de méditation tous les jours par exemple
Défusion -->
Sans la pourriture, le jus reste simple ; seul le ferment de la mort en fait un élixir
Juste à l’instant, une grenouille a sauté dans les buissons
Je me suis élancée dans les herbes qui dansaient
Une goutte de rosée reflétait un paysage tout en fraîcheur
Même la musique semble venir du souffle du vent
(Jouons) de petits souvenirs (d’hier)
Sont des graines pour demain (j’y vais)
Quand je suis seule, ils éclosent
Et m’offrent un bouquet de lumière
« Je suis rentrée » — ce simple mot du quotidien
Accueilli par un sourire doux
Les sentiments tournent comme les saisons : si beaux
Si je peux revenir, alors je peux changer
Ciel dégagé, passons ensemble un temps sans fin
Je chante encore aujourd’hui, près de la verdure apaisante
Le soleil joue à cache-cache
Il est temps d’inviter la poupée de papier à appeler le beau temps
Le ciel après la pluie révèle les constellations
Comme s’il me disait : “On pourra toujours se revoir”
(Bonjour) il ne s’est rien passé aujourd’hui (à bientôt)
C’était (bonne nuit) une journée normale et paisible (nyanpasu~)
Je ne m’en rendais pas compte…
Que les jours, qu’ils soient bons ou mauvais,
Étaient si précieux
Le printemps a commencé au bout de mes pieds,
Se faufilant dans le vent doux de l’hiver
J’ai trouvé un nouveau voyage — coloré, joyeux
Toujours là, pour moi
Même chemin, autre ciel — même oiseau, autre vie
Un coin ensoleillé dans mon cœur est toujours là, comme d’habitude
Qui décide de la frontière entre les saisons ?
Les couleurs des fleurs, la température de l’eau, l’odeur du vent me le soufflent
Doucement… prenons les choses avec douceur
« Je suis rentrée » et « Bienvenue chez toi »
Ces mots me font grandir, jour après jour
À bientôt ici
J’ai entendu : « Reviens ici encore »
Jours adorables (non-stop !)
Je vis au rythme de « Je suis rentrée », simplement tournée vers demain
Trésors précieux de jours ordinaires
Si je peux rentrer, alors je peux changer
Ciel dégagé, passons ensemble un temps sans fin
Et je chante, aujourd’hui encore, au bord de cette verdure paisible ~
il y a 17 jours
Rituel plus guidé créé par chatGPT avec comme prompt le topic :
Vous devez être au niveau 1 pour voir ce message.
il y a 17 jours
Faut être alchimiste
il y a 17 jours
Lys chan nyanpasu ~
trop cool ton topic même si je comprends rien comme d'hab
c'est pas bien de détruire des trucs beaux à part si c'est des idoles
c'est pas bien de détruire des trucs beaux à part si c'est des idoles
il y a 17 jours
KJ-Anima
17j
Expérience :
prendre un souvenir heureux et important pour soi, et le rendre sombre et horrible, dénué d'amour
prendre un souvenir heureux et important pour soi, et le rendre sombre et horrible, dénué d'amour
J'ai eu une réflexion sur la capacité à revivre les expériences heureuses par la mémoire, c'est assez transcendant de plonger complètement à l'intérieur
Mais si on peut revivre les expériences on peut aussi en changer le cours, notre rapport à elles, les transformer
Donc l'intuition ou la première mémoire qui arrivera quand on aura posé une intention comme traiter une problématique, sera le choix inconscient de notre mémoire sélective pour agir sur ce qui est le plus important, le guide
Pour ça il est aussi important d'écouter le souhait de l'âme pour ne pas le contrarier inutilement, et appuyer là démarche pour diriger son attention où il faut
Et donc pour revenir à l'expérience, vu que notre esprit est fort pour détruire notre présent en nous rabachant nos échecs passés et notre angoisse du futur, pourquoi ne pas utiliser cette capacité de déployer notre énergie négative là où subsiste un peu de lumière pure ?
Ça peut sembler contre intuitif mais voilà ma logique : si un souvenir heureux est revisité de manière triste, alors l'esprit conscient se rendra compte de sa capacité à agir lui même sur son rapport au souvenir, et de le changer
Beaucoup sont bloqués dans la négativité et ne peuvent pas entrer en lien avec l'amour nécessaire à la réparation, c'est une méthode utilisant la négativité contre elle même
Je peux détruire une chose belle,
Donc elle n'est pas absolue,
Donc je suis libre de créer autre chose,
Donc je ne suis pas prisonnier des traces du passé.
Emerge alors le moi transcendantal, défusionné des pensées programmés, c'est de là qu'émerge l'amour, d'un arrêt des réactions à ses propres souvenirs ~
C'est une rééducation et une prise de conscience de notre rapport à la mémoire, quand on voit sur quoi on peut agir on peut transformer notre rapport à la mémoire, et donc se transformer soi-même.
Attention tout de même, c'est un jeu dangereux qui demande préparation, surtout si tu as des blessures non cicatrisées qui reposent sur l’idéalisation, si tu n’as pas de rituel de sortie (pour "refermer" la mémoire), et si tu es dans un état dépressif ou dissociatif.
J'ai déclenché des crises psychotiques assez violentes en essayant de maitriser les arcanes de cette confrontation à l'ombre, prudence
C'est pour ça qu'il faut se protéger en travaillant d'abord avec des techniques de défusion plus simples, et apprendre à diriger son attention avec un peu de méditation tous les jours par exemple
Défusion -->
Sans la pourriture, le jus reste simple ; seul le ferment de la mort en fait un élixir
Juste à l’instant, une grenouille a sauté dans les buissons
Je me suis élancée dans les herbes qui dansaient
Une goutte de rosée reflétait un paysage tout en fraîcheur
Même la musique semble venir du souffle du vent
(Jouons) de petits souvenirs (d’hier)
Sont des graines pour demain (j’y vais)
Quand je suis seule, ils éclosent
Et m’offrent un bouquet de lumière
« Je suis rentrée » — ce simple mot du quotidien
Accueilli par un sourire doux
Les sentiments tournent comme les saisons : si beaux
Si je peux revenir, alors je peux changer
Ciel dégagé, passons ensemble un temps sans fin
Je chante encore aujourd’hui, près de la verdure apaisante
Le soleil joue à cache-cache
Il est temps d’inviter la poupée de papier à appeler le beau temps
Le ciel après la pluie révèle les constellations
Comme s’il me disait : “On pourra toujours se revoir”
(Bonjour) il ne s’est rien passé aujourd’hui (à bientôt)
C’était (bonne nuit) une journée normale et paisible (nyanpasu~)
Je ne m’en rendais pas compte…
Que les jours, qu’ils soient bons ou mauvais,
Étaient si précieux
Le printemps a commencé au bout de mes pieds,
Se faufilant dans le vent doux de l’hiver
J’ai trouvé un nouveau voyage — coloré, joyeux
Toujours là, pour moi
Même chemin, autre ciel — même oiseau, autre vie
Un coin ensoleillé dans mon cœur est toujours là, comme d’habitude
Qui décide de la frontière entre les saisons ?
Les couleurs des fleurs, la température de l’eau, l’odeur du vent me le soufflent
Doucement… prenons les choses avec douceur
« Je suis rentrée » et « Bienvenue chez toi »
Ces mots me font grandir, jour après jour
À bientôt ici
J’ai entendu : « Reviens ici encore »
Jours adorables (non-stop !)
Je vis au rythme de « Je suis rentrée », simplement tournée vers demain
Trésors précieux de jours ordinaires
Si je peux rentrer, alors je peux changer
Ciel dégagé, passons ensemble un temps sans fin
Et je chante, aujourd’hui encore, au bord de cette verdure paisible ~
C’est intéressant, mais on voit très vite le mécanisme.
T’as besoin de produire une complexité pseudo-mystique autour de la douleur parce que c’est là que tu obtiens une forme d’attention et de statut.
Tu thématises ta propre souffrance pour qu’elle devienne intéressante, et tu appelles ça de l’alchimie.
Mais au fond, ce n’est pas un chemin de libération, c’est un cercle fermé où tu rejoues toujours la même chose, avec un vernis plus poétique à chaque tour.
T’as besoin de produire une complexité pseudo-mystique autour de la douleur parce que c’est là que tu obtiens une forme d’attention et de statut.
Tu thématises ta propre souffrance pour qu’elle devienne intéressante, et tu appelles ça de l’alchimie.
Mais au fond, ce n’est pas un chemin de libération, c’est un cercle fermé où tu rejoues toujours la même chose, avec un vernis plus poétique à chaque tour.
il y a 17 jours
trop cool ton topic même si je comprends rien comme d'hab
c'est pas bien de détruire des trucs beaux à part si c'est des idoles
c'est pas bien de détruire des trucs beaux à part si c'est des idoles
Merci, je m'exprime vraiment de manière bizarre alors ahi
Nos mémoires / pensées négatives sont des idoles, en détruisant le beau on se sépare de ces idoles mécaniquement
Et quand on s'en sépare on peut agir dessus, et en agissant dessus tout redevient beau, parce que le vrai beau atteignable par l'être après sa purification ne peut pas être perverti
Le beau émerge par la disparition du mal révélé par le mal, mais cette expérience du mal est amour puisque à destination d'une libération
C'est contre intuitif certes
Nos mémoires / pensées négatives sont des idoles, en détruisant le beau on se sépare de ces idoles mécaniquement
Et quand on s'en sépare on peut agir dessus, et en agissant dessus tout redevient beau, parce que le vrai beau atteignable par l'être après sa purification ne peut pas être perverti
Le beau émerge par la disparition du mal révélé par le mal, mais cette expérience du mal est amour puisque à destination d'une libération
C'est contre intuitif certes
il y a 17 jours
C’est intéressant, mais on voit très vite le mécanisme.
T’as besoin de produire une complexité pseudo-mystique autour de la douleur parce que c’est là que tu obtiens une forme d’attention et de statut.
Tu thématises ta propre souffrance pour qu’elle devienne intéressante, et tu appelles ça de l’alchimie.
Mais au fond, ce n’est pas un chemin de libération, c’est un cercle fermé où tu rejoues toujours la même chose, avec un vernis plus poétique à chaque tour.
T’as besoin de produire une complexité pseudo-mystique autour de la douleur parce que c’est là que tu obtiens une forme d’attention et de statut.
Tu thématises ta propre souffrance pour qu’elle devienne intéressante, et tu appelles ça de l’alchimie.
Mais au fond, ce n’est pas un chemin de libération, c’est un cercle fermé où tu rejoues toujours la même chose, avec un vernis plus poétique à chaque tour.
C'est ce que j'ai toujours fait, et ça a marché pour m'individuer et avancer sur beaucoup de problématiques dont j'ai hérité
Donc oui, mais a chaque tour j'apprend et transforme, en même temps que j'apprend à transformer, là où d'autres enterrent et restent inconscients
C'est du masochisme psychique, que je transforme en art, et ça sert mon développement donc je continue
Donc oui, mais a chaque tour j'apprend et transforme, en même temps que j'apprend à transformer, là où d'autres enterrent et restent inconscients
C'est du masochisme psychique, que je transforme en art, et ça sert mon développement donc je continue
il y a 17 jours
Faut pas prendre la mouche comme ça khey
il y a 17 jours