Ou plutôt déportation de l'inconscient qui est de nature chaotique. Son entrée dans le champ conscient serait une conséquence d'une fuite du sujet vers lui, une coupure avec la source inconsciente, une chute vers l'extérieur du cercle en quelque sorte, passage nécessaire de l'âme dans la matière, sans négociation ou contrôle.
https://onche.org/topic/743787/confusion
Notre mode de vie est relativement aliénant, pour tenir le rythme on expédie rapidement certaines questions, on pense et trouve des solutions. Mais il arrive que certaines questions sont trop vite écartées par manque de temps, ou qu'on utilise ses pensées comme un établi, dans lequel on oublierait de sortir. A l'extérieur de l'établi se trouverait notre femme qui s'impatienterait à force de ne pas nous voir rentrer. A un moment, à force de frapper à la porte sans réponse, peut-être qu'accompagnée de voisin elle défoncerait la porte pour nous retrouver.
Cette déconnexion avec la nature, en préférant le confort de nos pensées prévisibles et rassurantes, créerait plusieurs royaume dans l'esprit, qui rentreraient forcément à un moment en guerre à cause de déséquilibre créé par l'orientation consciente.
Ne pas embrasser notre nature entièrement, ne pas la reconnaitre et lui empêcher tout espace d'expression, la force à s'exprimer ailleurs, en envahissant notre champ conscient, mais d'une manière qui ne facilite pas son intégration, juste sa reconnaissance.
Notre problème moderne est que l'environnement semble nous précipiter vers une conséquence complexe, il nous conditionne à y répondre de la pire des manières.
Ce que j'appelle le capitalisme mental, c'est de se confondre avec sa fonction, et de s'attribuer du sens et de la valeur par rapport à notre tâche, notre production ou contribution à la machine globale.
L'effet de ce capitalisme sur la psyché est de se forcer à être toujours productif, sans faille, à ne pas s'écouter, parce qu'un machine n'a pas d'émotions.
C'est là que se trouve l'orientation consciente qui nous pousse à la déconnexion et le clivage, au contraire il faudrait savoir intuitivement que pour récupérer sa force il faut lâcher sa tâche et embrasser sa nature chaotique entière un moment, jusqu'à l'équilibre et la récupération du bien être et de l'énergie vitale nécessaire à la machine.
La méditation sert à ça aussi, entrainer l'esprit à ce chemin de retour vers soi, d'acceptation complète de l'être et d'écoute, place d'expression et symbiose.
La guerre des sexes et la fracture entre ceux ci contribue à une partie exagérée de la masculinité qui, dans ses excès, même à la coupure en renforçant l'orientation consciente, qui mal dirigée se transforme en fuite aggravant la situation jusqu'au drame.
La consommation et la féminisation de la société mène aussi à une fonction compensatrice, une réponse masculine qui dévient exagérée et très vite toxique. Parce que évidemment c'est pas le féminin ou le masculin qui pose problème, mais le manque de lien et d'équilibre entre les deux. Un équilibre mal respecté engendrera toujours des drames punissant le développement de ses qualités masculines et féminines, ce qui fait que malgré la fracture et son côté exagéré ou archétypal en hausse, les hommes deviennent de moins en moins des hommes et les femmes de moins en moins des femmes. L'authentique se substitue avec ce masque pour compenser cette chute, et la frustration de ne pas y correspondre fait régner un mensonge nécessaire auquel tout le monde veut adhérer pour se rassurer lui-même.
Tout ça pour dire qu'un juste retour à soi et connexion à son authentique et complet être est nécessaire, de ça dépend notre énergie et est la plus importante des résistances face à un monde qui s'aliène tout seul jour après jour.
https://onche.org/topic/7[...]1/reenchantement-du-monde
https://onche.org/topic/791014/anima-juste-retour
https://onche.org/topic/9[...]64/la-persuasion-negative
https://onche.org/topic/918500/desobeissance
Notre mode de vie est relativement aliénant, pour tenir le rythme on expédie rapidement certaines questions, on pense et trouve des solutions. Mais il arrive que certaines questions sont trop vite écartées par manque de temps, ou qu'on utilise ses pensées comme un établi, dans lequel on oublierait de sortir. A l'extérieur de l'établi se trouverait notre femme qui s'impatienterait à force de ne pas nous voir rentrer. A un moment, à force de frapper à la porte sans réponse, peut-être qu'accompagnée de voisin elle défoncerait la porte pour nous retrouver.
Cette déconnexion avec la nature, en préférant le confort de nos pensées prévisibles et rassurantes, créerait plusieurs royaume dans l'esprit, qui rentreraient forcément à un moment en guerre à cause de déséquilibre créé par l'orientation consciente.
Ne pas embrasser notre nature entièrement, ne pas la reconnaitre et lui empêcher tout espace d'expression, la force à s'exprimer ailleurs, en envahissant notre champ conscient, mais d'une manière qui ne facilite pas son intégration, juste sa reconnaissance.
Notre problème moderne est que l'environnement semble nous précipiter vers une conséquence complexe, il nous conditionne à y répondre de la pire des manières.
Ce que j'appelle le capitalisme mental, c'est de se confondre avec sa fonction, et de s'attribuer du sens et de la valeur par rapport à notre tâche, notre production ou contribution à la machine globale.
L'effet de ce capitalisme sur la psyché est de se forcer à être toujours productif, sans faille, à ne pas s'écouter, parce qu'un machine n'a pas d'émotions.
C'est là que se trouve l'orientation consciente qui nous pousse à la déconnexion et le clivage, au contraire il faudrait savoir intuitivement que pour récupérer sa force il faut lâcher sa tâche et embrasser sa nature chaotique entière un moment, jusqu'à l'équilibre et la récupération du bien être et de l'énergie vitale nécessaire à la machine.
La méditation sert à ça aussi, entrainer l'esprit à ce chemin de retour vers soi, d'acceptation complète de l'être et d'écoute, place d'expression et symbiose.
La guerre des sexes et la fracture entre ceux ci contribue à une partie exagérée de la masculinité qui, dans ses excès, même à la coupure en renforçant l'orientation consciente, qui mal dirigée se transforme en fuite aggravant la situation jusqu'au drame.
La consommation et la féminisation de la société mène aussi à une fonction compensatrice, une réponse masculine qui dévient exagérée et très vite toxique. Parce que évidemment c'est pas le féminin ou le masculin qui pose problème, mais le manque de lien et d'équilibre entre les deux. Un équilibre mal respecté engendrera toujours des drames punissant le développement de ses qualités masculines et féminines, ce qui fait que malgré la fracture et son côté exagéré ou archétypal en hausse, les hommes deviennent de moins en moins des hommes et les femmes de moins en moins des femmes. L'authentique se substitue avec ce masque pour compenser cette chute, et la frustration de ne pas y correspondre fait régner un mensonge nécessaire auquel tout le monde veut adhérer pour se rassurer lui-même.
Tout ça pour dire qu'un juste retour à soi et connexion à son authentique et complet être est nécessaire, de ça dépend notre énergie et est la plus importante des résistances face à un monde qui s'aliène tout seul jour après jour.
Ou plutôt déportation de l'inconscient qui est de nature chaotique. Son entrée dans le champ conscient serait une conséquence d'une fuite du sujet vers lui, une coupure avec la source inconsciente, une chute vers l'extérieur du cercle en quelque sorte, passage nécessaire de l'âme dans la matière, sans négociation ou contrôle.
https://onche.org/topic/743787/confusion
Notre mode de vie est relativement aliénant, pour tenir le rythme on expédie rapidement certaines questions, on pense et trouve des solutions. Mais il arrive que certaines questions sont trop vite écartées par manque de temps, ou qu'on utilise ses pensées comme un établi, dans lequel on oublierait de sortir. A l'extérieur de l'établi se trouverait notre femme qui s'impatienterait à force de ne pas nous voir rentrer. A un moment, à force de frapper à la porte sans réponse, peut-être qu'accompagnée de voisin elle défoncerait la porte pour nous retrouver.
Cette déconnexion avec la nature, en préférant le confort de nos pensées prévisibles et rassurantes, créerait plusieurs royaume dans l'esprit, qui rentreraient forcément à un moment en guerre à cause de déséquilibre créé par l'orientation consciente.
Ne pas embrasser notre nature entièrement, ne pas la reconnaitre et lui empêcher tout espace d'expression, la force à s'exprimer ailleurs, en envahissant notre champ conscient, mais d'une manière qui ne facilite pas son intégration, juste sa reconnaissance.
Notre problème moderne est que l'environnement semble nous précipiter vers une conséquence complexe, il nous conditionne à y répondre de la pire des manières.
Ce que j'appelle le capitalisme mental, c'est de se confondre avec sa fonction, et de s'attribuer du sens et de la valeur par rapport à notre tâche, notre production ou contribution à la machine globale.
L'effet de ce capitalisme sur la psyché est de se forcer à être toujours productif, sans faille, à ne pas s'écouter, parce qu'un machine n'a pas d'émotions.
C'est là que se trouve l'orientation consciente qui nous pousse à la déconnexion et le clivage, au contraire il faudrait savoir intuitivement que pour récupérer sa force il faut lâcher sa tâche et embrasser sa nature chaotique entière un moment, jusqu'à l'équilibre et la récupération du bien être et de l'énergie vitale nécessaire à la machine.
La méditation sert à ça aussi, entrainer l'esprit à ce chemin de retour vers soi, d'acceptation complète de l'être et d'écoute, place d'expression et symbiose.
La guerre des sexes et la fracture entre ceux ci contribue à une partie exagérée de la masculinité qui, dans ses excès, même à la coupure en renforçant l'orientation consciente, qui mal dirigée se transforme en fuite aggravant la situation jusqu'au drame.
La consommation et la féminisation de la société mène aussi à une fonction compensatrice, une réponse masculine qui dévient exagérée et très vite toxique. Parce que évidemment c'est pas le féminin ou le masculin qui pose problème, mais le manque de lien et d'équilibre entre les deux. Un équilibre mal respecté engendrera toujours des drames punissant le développement de ses qualités masculines et féminines, ce qui fait que malgré la fracture et son côté exagéré ou archétypal en hausse, les hommes deviennent de moins en moins des hommes et les femmes de moins en moins des femmes. L'authentique se substitue avec ce masque pour compenser cette chute, et la frustration de ne pas y correspondre fait régner un mensonge nécessaire auquel tout le monde veut adhérer pour se rassurer lui-même.
Tout ça pour dire qu'un juste retour à soi et connexion à son authentique et complet être est nécessaire, de ça dépend notre énergie et est la plus importante des résistances face à un monde qui s'aliène tout seul jour après jour.
https://onche.org/topic/7[...]1/reenchantement-du-monde
https://onche.org/topic/791014/anima-juste-retour
https://onche.org/topic/9[...]64/la-persuasion-negative
https://onche.org/topic/918500/desobeissance
Notre mode de vie est relativement aliénant, pour tenir le rythme on expédie rapidement certaines questions, on pense et trouve des solutions. Mais il arrive que certaines questions sont trop vite écartées par manque de temps, ou qu'on utilise ses pensées comme un établi, dans lequel on oublierait de sortir. A l'extérieur de l'établi se trouverait notre femme qui s'impatienterait à force de ne pas nous voir rentrer. A un moment, à force de frapper à la porte sans réponse, peut-être qu'accompagnée de voisin elle défoncerait la porte pour nous retrouver.
Cette déconnexion avec la nature, en préférant le confort de nos pensées prévisibles et rassurantes, créerait plusieurs royaume dans l'esprit, qui rentreraient forcément à un moment en guerre à cause de déséquilibre créé par l'orientation consciente.
Ne pas embrasser notre nature entièrement, ne pas la reconnaitre et lui empêcher tout espace d'expression, la force à s'exprimer ailleurs, en envahissant notre champ conscient, mais d'une manière qui ne facilite pas son intégration, juste sa reconnaissance.
Notre problème moderne est que l'environnement semble nous précipiter vers une conséquence complexe, il nous conditionne à y répondre de la pire des manières.
Ce que j'appelle le capitalisme mental, c'est de se confondre avec sa fonction, et de s'attribuer du sens et de la valeur par rapport à notre tâche, notre production ou contribution à la machine globale.
L'effet de ce capitalisme sur la psyché est de se forcer à être toujours productif, sans faille, à ne pas s'écouter, parce qu'un machine n'a pas d'émotions.
C'est là que se trouve l'orientation consciente qui nous pousse à la déconnexion et le clivage, au contraire il faudrait savoir intuitivement que pour récupérer sa force il faut lâcher sa tâche et embrasser sa nature chaotique entière un moment, jusqu'à l'équilibre et la récupération du bien être et de l'énergie vitale nécessaire à la machine.
La méditation sert à ça aussi, entrainer l'esprit à ce chemin de retour vers soi, d'acceptation complète de l'être et d'écoute, place d'expression et symbiose.
La guerre des sexes et la fracture entre ceux ci contribue à une partie exagérée de la masculinité qui, dans ses excès, même à la coupure en renforçant l'orientation consciente, qui mal dirigée se transforme en fuite aggravant la situation jusqu'au drame.
La consommation et la féminisation de la société mène aussi à une fonction compensatrice, une réponse masculine qui dévient exagérée et très vite toxique. Parce que évidemment c'est pas le féminin ou le masculin qui pose problème, mais le manque de lien et d'équilibre entre les deux. Un équilibre mal respecté engendrera toujours des drames punissant le développement de ses qualités masculines et féminines, ce qui fait que malgré la fracture et son côté exagéré ou archétypal en hausse, les hommes deviennent de moins en moins des hommes et les femmes de moins en moins des femmes. L'authentique se substitue avec ce masque pour compenser cette chute, et la frustration de ne pas y correspondre fait régner un mensonge nécessaire auquel tout le monde veut adhérer pour se rassurer lui-même.
Tout ça pour dire qu'un juste retour à soi et connexion à son authentique et complet être est nécessaire, de ça dépend notre énergie et est la plus importante des résistances face à un monde qui s'aliène tout seul jour après jour.
SpiderPhoque à la rescousse
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Mercredi : le romfo est fatigué
Moi la première