"Mon environnement ne me respecte pas dans ma dignité et mes décisions, il utilise son autorité sur moi, je suis obligé d'obéir parfois, mais intérieurement je jure que leur avis ne vaut plus rien à mes yeux, qu'il est dissonant avec mon être."
Je viens d'avoir cette réflexion que peut être que le manque de discipline vient d'un rapport conflictuel à l'autorité.
D'une certaine manière l'enfant se protégerait inconsciemment des ordres, car ils seraient perçus comme humiliants et irrespectueux.
Plus tard ce rapport parental se répercuterait sur le fonctionnement interne de l'enfant maintenant adulte, dans son rapport entre ce qui décide en lui, et ce qui est de l'ordre de l'expérience.
Cette aversion pour l'autorité et l'ordre éffacerait la confiance que la personne aurait en lui même, directement dans son fonctionnement.
Comme une fractale, cette forme qui se répète à l'infini à l'intérieur d'elle même, nos rapports extérieurs ont forgé nos mécanismes d'adaptation vis à vis de lui, mais par cette logique nécessaire externe c'est aussi forgé notre logique interne.
Par nos mécanismes de projection, le rapport à l'altérité et à soi-même est brouillé, en comprenant les liens entre nos conflits extérieurs et leurs impacts sur notre fonctionnement, on peut agir notre fonctionnement interne et résoudre les conflits extérieurs.
La première étape est donc la conscientisation : l'observation, et la séparation de ce qui est projeté, pour ensuite tisser les liens.
Pour revenir à la discipline, j'y vois donc une désobéissance de l'enfant intérieur contrarié : face à un ordre, cet enfant regarde ailleurs et révasse, si on insiste il se mettra à pleurer et ainsi de suite jusqu'à la crise.
Le problème avec nous, c'est que généralement quand quelque chose ne fonctionne pas, on pense qu'on ne le fait pas assez, ce qui est un biais qui mène à des catastrophes.
On est littéralement des singes qui forcent pour faire rentrer la forme carré dans le trou rond (le jeu d'enfant).
La solution est souvent moins dans l'action de résolution compulsive, que dans le questionnement quel est ce dont j'ai vraiment besoin ?
Le tout est d'établir un bon plan d'action, puisque bien souvent, notre problème est du à une mauvaise adaptation vis à vis d'une situation, alors pourquoi répéter le pattern à l'identique.
La difficulté est de savoir se poser la question avec sincérité, apprendre à s'écouter et voir les choses comme elles sont.
Ce qui nous empêche de le faire est bien souvent les boucles anxieuses, certaines personnes évitent le questionnement puisqu'il les angoisse.
C'est là qu'on voit le lien entre niveau de stress et discipline, celui qui cherche à améliorer sa vie en faisant plus, en se "bougeant le cul" et en ne s'écoutant pas se tire une balle dans le pied, c'est aussi un comportement de fuite en plus.
Donc si on veut être discipliné, il faut apprendre à se connecter à son corps et à sa respiration, se forcer tous les jours à une certaine heure de méditer par exemple, rétablir des cycles sains dans l'alimentation et le sommeil, faire un peu d'exercice (même 15min sur place) ect...
Une fois la confrontation à soi possible, il est temps d'accueillir avec attention l'enfant Interieur qui a perdu confiance en l'adulte, en vous.
Pour ça il faut une attention sur ce qu'on ressens, faire le vide dans son esprit mais être attentif à ce que cette partie pourrait y exprimer, et rayonner d'acceptation et amour (philautia).
En lui montrant régulièrement que vous pouvez être juste et un soutien pour elle, qu'elle peut vous faire confiance, vous pourrez mieux fonctionner en duo dans l'élaboration d'une organisation qui vous respecte, et vous y tenir, car cette organisation sera vu comme un ordre venant d'un endroit d'amour, là où avant tout ordre était amalgamé, perçu comme injuste ou dévalorisant.
Par la pacification de ce lien, entre l'autorité et l'enfant (trinité), permet de naturellement pouvoir suivre ses objectifs sans se fatiguer plus.
Il faut faire un certain effort au préalable c'est sûr, qui peut paraître étranger à notre fonctionnement habituel pour beaucoup, mais en enlevant ce poids qu'on porte inconsciemment, notre énergie actuelle suffit à accomplir ce qu'on désir, c'est comme si elle s'augmentait, mais elle ne change pas tant que ça en réalité.
Et pourtant on avance.
On croit que l'attraction terrestre nous tire vers le centre de la Terre, psychiquement voyez ça comme si une force vous poussait continuellement contre le sol, se libérer de ce poids inconscient et pacifier ce lien au divin est alléger cette force qui permet ensuite de s'élever dans le ciel jusqu'à Laputa
Je viens d'avoir cette réflexion que peut être que le manque de discipline vient d'un rapport conflictuel à l'autorité.
D'une certaine manière l'enfant se protégerait inconsciemment des ordres, car ils seraient perçus comme humiliants et irrespectueux.
Plus tard ce rapport parental se répercuterait sur le fonctionnement interne de l'enfant maintenant adulte, dans son rapport entre ce qui décide en lui, et ce qui est de l'ordre de l'expérience.
Cette aversion pour l'autorité et l'ordre éffacerait la confiance que la personne aurait en lui même, directement dans son fonctionnement.
Comme une fractale, cette forme qui se répète à l'infini à l'intérieur d'elle même, nos rapports extérieurs ont forgé nos mécanismes d'adaptation vis à vis de lui, mais par cette logique nécessaire externe c'est aussi forgé notre logique interne.
Par nos mécanismes de projection, le rapport à l'altérité et à soi-même est brouillé, en comprenant les liens entre nos conflits extérieurs et leurs impacts sur notre fonctionnement, on peut agir notre fonctionnement interne et résoudre les conflits extérieurs.
La première étape est donc la conscientisation : l'observation, et la séparation de ce qui est projeté, pour ensuite tisser les liens.
Pour revenir à la discipline, j'y vois donc une désobéissance de l'enfant intérieur contrarié : face à un ordre, cet enfant regarde ailleurs et révasse, si on insiste il se mettra à pleurer et ainsi de suite jusqu'à la crise.
Le problème avec nous, c'est que généralement quand quelque chose ne fonctionne pas, on pense qu'on ne le fait pas assez, ce qui est un biais qui mène à des catastrophes.
On est littéralement des singes qui forcent pour faire rentrer la forme carré dans le trou rond (le jeu d'enfant).
La solution est souvent moins dans l'action de résolution compulsive, que dans le questionnement quel est ce dont j'ai vraiment besoin ?
Le tout est d'établir un bon plan d'action, puisque bien souvent, notre problème est du à une mauvaise adaptation vis à vis d'une situation, alors pourquoi répéter le pattern à l'identique.
La difficulté est de savoir se poser la question avec sincérité, apprendre à s'écouter et voir les choses comme elles sont.
Ce qui nous empêche de le faire est bien souvent les boucles anxieuses, certaines personnes évitent le questionnement puisqu'il les angoisse.
C'est là qu'on voit le lien entre niveau de stress et discipline, celui qui cherche à améliorer sa vie en faisant plus, en se "bougeant le cul" et en ne s'écoutant pas se tire une balle dans le pied, c'est aussi un comportement de fuite en plus.
Donc si on veut être discipliné, il faut apprendre à se connecter à son corps et à sa respiration, se forcer tous les jours à une certaine heure de méditer par exemple, rétablir des cycles sains dans l'alimentation et le sommeil, faire un peu d'exercice (même 15min sur place) ect...
Une fois la confrontation à soi possible, il est temps d'accueillir avec attention l'enfant Interieur qui a perdu confiance en l'adulte, en vous.
Pour ça il faut une attention sur ce qu'on ressens, faire le vide dans son esprit mais être attentif à ce que cette partie pourrait y exprimer, et rayonner d'acceptation et amour (philautia).
En lui montrant régulièrement que vous pouvez être juste et un soutien pour elle, qu'elle peut vous faire confiance, vous pourrez mieux fonctionner en duo dans l'élaboration d'une organisation qui vous respecte, et vous y tenir, car cette organisation sera vu comme un ordre venant d'un endroit d'amour, là où avant tout ordre était amalgamé, perçu comme injuste ou dévalorisant.
Par la pacification de ce lien, entre l'autorité et l'enfant (trinité), permet de naturellement pouvoir suivre ses objectifs sans se fatiguer plus.
Il faut faire un certain effort au préalable c'est sûr, qui peut paraître étranger à notre fonctionnement habituel pour beaucoup, mais en enlevant ce poids qu'on porte inconsciemment, notre énergie actuelle suffit à accomplir ce qu'on désir, c'est comme si elle s'augmentait, mais elle ne change pas tant que ça en réalité.
Et pourtant on avance.
On croit que l'attraction terrestre nous tire vers le centre de la Terre, psychiquement voyez ça comme si une force vous poussait continuellement contre le sol, se libérer de ce poids inconscient et pacifier ce lien au divin est alléger cette force qui permet ensuite de s'élever dans le ciel jusqu'à Laputa
G lu et vous ?
"Mon environnement ne me respecte pas dans ma dignité et mes décisions, il utilise son autorité sur moi, je suis obligé d'obéir parfois, mais intérieurement je jure que leur avis ne vaut plus rien à mes yeux, qu'il est dissonant avec mon être."
Je viens d'avoir cette réflexion que peut être que le manque de discipline vient d'un rapport conflictuel à l'autorité.
D'une certaine manière l'enfant se protégerait inconsciemment des ordres, car ils seraient perçus comme humiliants et irrespectueux.
Plus tard ce rapport parental se répercuterait sur le fonctionnement interne de l'enfant maintenant adulte, dans son rapport entre ce qui décide en lui, et ce qui est de l'ordre de l'expérience.
Cette aversion pour l'autorité et l'ordre éffacerait la confiance que la personne aurait en lui même, directement dans son fonctionnement.
Comme une fractale, cette forme qui se répète à l'infini à l'intérieur d'elle même, nos rapports extérieurs ont forgé nos mécanismes d'adaptation vis à vis de lui, mais par cette logique nécessaire externe c'est aussi forgé notre logique interne.
Par nos mécanismes de projection, le rapport à l'altérité et à soi-même est brouillé, en comprenant les liens entre nos conflits extérieurs et leurs impacts sur notre fonctionnement, on peut agir notre fonctionnement interne et résoudre les conflits extérieurs.
La première étape est donc la conscientisation : l'observation, et la séparation de ce qui est projeté, pour ensuite tisser les liens.
Pour revenir à la discipline, j'y vois donc une désobéissance de l'enfant intérieur contrarié : face à un ordre, cet enfant regarde ailleurs et révasse, si on insiste il se mettra à pleurer et ainsi de suite jusqu'à la crise.
Le problème avec nous, c'est que généralement quand quelque chose ne fonctionne pas, on pense qu'on ne le fait pas assez, ce qui est un biais qui mène à des catastrophes.
On est littéralement des singes qui forcent pour faire rentrer la forme carré dans le trou rond (le jeu d'enfant).
La solution est souvent moins dans l'action de résolution compulsive, que dans le questionnement quel est ce dont j'ai vraiment besoin ?
Le tout est d'établir un bon plan d'action, puisque bien souvent, notre problème est du à une mauvaise adaptation vis à vis d'une situation, alors pourquoi répéter le pattern à l'identique.
La difficulté est de savoir se poser la question avec sincérité, apprendre à s'écouter et voir les choses comme elles sont.
Ce qui nous empêche de le faire est bien souvent les boucles anxieuses, certaines personnes évitent le questionnement puisqu'il les angoisse.
C'est là qu'on voit le lien entre niveau de stress et discipline, celui qui cherche à améliorer sa vie en faisant plus, en se "bougeant le cul" et en ne s'écoutant pas se tire une balle dans le pied, c'est aussi un comportement de fuite en plus.
Donc si on veut être discipliné, il faut apprendre à se connecter à son corps et à sa respiration, se forcer tous les jours à une certaine heure de méditer par exemple, rétablir des cycles sains dans l'alimentation et le sommeil, faire un peu d'exercice (même 15min sur place) ect...
Une fois la confrontation à soi possible, il est temps d'accueillir avec attention l'enfant Interieur qui a perdu confiance en l'adulte, en vous.
Pour ça il faut une attention sur ce qu'on ressens, faire le vide dans son esprit mais être attentif à ce que cette partie pourrait y exprimer, et rayonner d'acceptation et amour (philautia).
En lui montrant régulièrement que vous pouvez être juste et un soutien pour elle, qu'elle peut vous faire confiance, vous pourrez mieux fonctionner en duo dans l'élaboration d'une organisation qui vous respecte, et vous y tenir, car cette organisation sera vu comme un ordre venant d'un endroit d'amour, là où avant tout ordre était amalgamé, perçu comme injuste ou dévalorisant.
Par la pacification de ce lien, entre l'autorité et l'enfant (trinité), permet de naturellement pouvoir suivre ses objectifs sans se fatiguer plus.
Il faut faire un certain effort au préalable c'est sûr, qui peut paraître étranger à notre fonctionnement habituel pour beaucoup, mais en enlevant ce poids qu'on porte inconsciemment, notre énergie actuelle suffit à accomplir ce qu'on désir, c'est comme si elle s'augmentait, mais elle ne change pas tant que ça en réalité.
Et pourtant on avance.
On croit que l'attraction terrestre nous tire vers le centre de la Terre, psychiquement voyez ça comme si une force vous poussait continuellement contre le sol, se libérer de ce poids inconscient et pacifier ce lien au divin est alléger cette force qui permet ensuite de s'élever dans le ciel jusqu'à Laputa
Je viens d'avoir cette réflexion que peut être que le manque de discipline vient d'un rapport conflictuel à l'autorité.
D'une certaine manière l'enfant se protégerait inconsciemment des ordres, car ils seraient perçus comme humiliants et irrespectueux.
Plus tard ce rapport parental se répercuterait sur le fonctionnement interne de l'enfant maintenant adulte, dans son rapport entre ce qui décide en lui, et ce qui est de l'ordre de l'expérience.
Cette aversion pour l'autorité et l'ordre éffacerait la confiance que la personne aurait en lui même, directement dans son fonctionnement.
Comme une fractale, cette forme qui se répète à l'infini à l'intérieur d'elle même, nos rapports extérieurs ont forgé nos mécanismes d'adaptation vis à vis de lui, mais par cette logique nécessaire externe c'est aussi forgé notre logique interne.
Par nos mécanismes de projection, le rapport à l'altérité et à soi-même est brouillé, en comprenant les liens entre nos conflits extérieurs et leurs impacts sur notre fonctionnement, on peut agir notre fonctionnement interne et résoudre les conflits extérieurs.
La première étape est donc la conscientisation : l'observation, et la séparation de ce qui est projeté, pour ensuite tisser les liens.
Pour revenir à la discipline, j'y vois donc une désobéissance de l'enfant intérieur contrarié : face à un ordre, cet enfant regarde ailleurs et révasse, si on insiste il se mettra à pleurer et ainsi de suite jusqu'à la crise.
Le problème avec nous, c'est que généralement quand quelque chose ne fonctionne pas, on pense qu'on ne le fait pas assez, ce qui est un biais qui mène à des catastrophes.
On est littéralement des singes qui forcent pour faire rentrer la forme carré dans le trou rond (le jeu d'enfant).
La solution est souvent moins dans l'action de résolution compulsive, que dans le questionnement quel est ce dont j'ai vraiment besoin ?
Le tout est d'établir un bon plan d'action, puisque bien souvent, notre problème est du à une mauvaise adaptation vis à vis d'une situation, alors pourquoi répéter le pattern à l'identique.
La difficulté est de savoir se poser la question avec sincérité, apprendre à s'écouter et voir les choses comme elles sont.
Ce qui nous empêche de le faire est bien souvent les boucles anxieuses, certaines personnes évitent le questionnement puisqu'il les angoisse.
C'est là qu'on voit le lien entre niveau de stress et discipline, celui qui cherche à améliorer sa vie en faisant plus, en se "bougeant le cul" et en ne s'écoutant pas se tire une balle dans le pied, c'est aussi un comportement de fuite en plus.
Donc si on veut être discipliné, il faut apprendre à se connecter à son corps et à sa respiration, se forcer tous les jours à une certaine heure de méditer par exemple, rétablir des cycles sains dans l'alimentation et le sommeil, faire un peu d'exercice (même 15min sur place) ect...
Une fois la confrontation à soi possible, il est temps d'accueillir avec attention l'enfant Interieur qui a perdu confiance en l'adulte, en vous.
Pour ça il faut une attention sur ce qu'on ressens, faire le vide dans son esprit mais être attentif à ce que cette partie pourrait y exprimer, et rayonner d'acceptation et amour (philautia).
En lui montrant régulièrement que vous pouvez être juste et un soutien pour elle, qu'elle peut vous faire confiance, vous pourrez mieux fonctionner en duo dans l'élaboration d'une organisation qui vous respecte, et vous y tenir, car cette organisation sera vu comme un ordre venant d'un endroit d'amour, là où avant tout ordre était amalgamé, perçu comme injuste ou dévalorisant.
Par la pacification de ce lien, entre l'autorité et l'enfant (trinité), permet de naturellement pouvoir suivre ses objectifs sans se fatiguer plus.
Il faut faire un certain effort au préalable c'est sûr, qui peut paraître étranger à notre fonctionnement habituel pour beaucoup, mais en enlevant ce poids qu'on porte inconsciemment, notre énergie actuelle suffit à accomplir ce qu'on désir, c'est comme si elle s'augmentait, mais elle ne change pas tant que ça en réalité.
Et pourtant on avance.
On croit que l'attraction terrestre nous tire vers le centre de la Terre, psychiquement voyez ça comme si une force vous poussait continuellement contre le sol, se libérer de ce poids inconscient et pacifier ce lien au divin est alléger cette force qui permet ensuite de s'élever dans le ciel jusqu'à Laputa
Tout se passe comme prévu
Tout se passe comme prévu
Tu fais tout ça toi ?
Je viens de réaliser l'importance de la chose, et les liens que ça pouvait avoir
Je viens de réaliser l'importance de la chose, et les liens que ça pouvait avoir
G lu et vous ?
Je sais que je comprendrai pas mais je vais lire quand même
NOW YOU BOW TO ME !
You took my dreams BUT NOT MY NAME !!!
Je sais que je comprendrai pas mais je vais lire quand même
C'est en ce cassant le crâne un moment sans comprendre qu'un jour ça rentre
Plotin au début ça me faisait carrément ça
Plotin au début ça me faisait carrément ça
Tu fais tout ça toi ?
Je viens de réaliser l'importance de la chose, et les liens que ça pouvait avoir
Je viens de réaliser l'importance de la chose, et les liens que ça pouvait avoir
Tiens, une glace
C'est en ce cassant le crâne un moment sans comprendre qu'un jour ça rentre
Plotin au début ça me faisait carrément ça
Plotin au début ça me faisait carrément ça
La première phrase résume bien ma scolarité
NOW YOU BOW TO ME !
You took my dreams BUT NOT MY NAME !!!
Tiens, une glace
Une glace ??
Un plombir
Un plombir
Une glace ??
Un plombir
Un plombir
Déso GPT-chan mais gépalu
𝙶𝚞𝚗𝚜, 𝚐𝚒𝚛𝚕𝚜, 𝚌𝚊𝚛𝚜... 𝙸'𝚖 𝚊 𝚜𝚒𝚖𝚙𝚕𝚎 𝚖𝚊𝚗.
Ça me fait penser d'ailleurs que le reproche infini envers ses parents, son patron, sa religion etc, ramènent tous un peu à la même chose : un refus de l'intégration, et une déportation du travail sur une figure extérieure, plutôt que d'agir intérieurement parce qu'on se fait confiance
La responsabilité est la nôtre, il faut prendre sa responsabilité et devenir le parent de notre enfant intérieur qui en veut à la terre entière
En apprenant comment s'en approcher et l'écouter, on pacifier ce lien et permet la relation, qui aura comme répercussion de faire se résorber les conflits avec l'extérieur
Il faut prendre sa responsabilité et agir en soi, tout en comprenant les liens avec l'extérieur, notre rapport à lui, mais sans rien en attendre
C'est le retour des projections en action
La responsabilité est la nôtre, il faut prendre sa responsabilité et devenir le parent de notre enfant intérieur qui en veut à la terre entière
En apprenant comment s'en approcher et l'écouter, on pacifier ce lien et permet la relation, qui aura comme répercussion de faire se résorber les conflits avec l'extérieur
Il faut prendre sa responsabilité et agir en soi, tout en comprenant les liens avec l'extérieur, notre rapport à lui, mais sans rien en attendre
C'est le retour des projections en action
G lu et vous ?
J'ai lu mais je n'ai pas tout compris.
Mais je connais Laputa, c'est beau là haut
Mais je connais Laputa, c'est beau là haut
La première phrase résume bien ma scolarité
Ça laisse quelques marques ça
Ça me fait penser d'ailleurs que le reproche infini envers ses parents, son patron, sa religion etc, ramènent tous un peu à la même chose : un refus de l'intégration, et une déportation du travail sur une figure extérieure, plutôt que d'agir intérieurement parce qu'on se fait confiance
La responsabilité est la nôtre, il faut prendre sa responsabilité et devenir le parent de notre enfant intérieur qui en veut à la terre entière
En apprenant comment s'en approcher et l'écouter, on pacifier ce lien et permet la relation, qui aura comme répercussion de faire se résorber les conflits avec l'extérieur
Il faut prendre sa responsabilité et agir en soi, tout en comprenant les liens avec l'extérieur, notre rapport à lui, mais sans rien en attendre
C'est le retour des projections en action
La responsabilité est la nôtre, il faut prendre sa responsabilité et devenir le parent de notre enfant intérieur qui en veut à la terre entière
En apprenant comment s'en approcher et l'écouter, on pacifier ce lien et permet la relation, qui aura comme répercussion de faire se résorber les conflits avec l'extérieur
Il faut prendre sa responsabilité et agir en soi, tout en comprenant les liens avec l'extérieur, notre rapport à lui, mais sans rien en attendre
C'est le retour des projections en action
Moi je dirais plutôt que tout est vrai
Que la connaissance légitime
Mais qu’elle pousse aussi au changement
Il faut s’en rendre digne, sinon tout est de nouveau perdu
Que la connaissance légitime
Mais qu’elle pousse aussi au changement
Il faut s’en rendre digne, sinon tout est de nouveau perdu
Déso GPT-chan mais gépalu
0 chatGPT ce topic
J'ai lu mais je n'ai pas tout compris.
Mais je connais Laputa, c'est beau là haut
Mais je connais Laputa, c'est beau là haut
Effectivement c'est beau là haut
Déso GPT-chan mais gépalu
Dès que ça fait plus de 3 lignes les quoicoubax se disent que c’est pas humain d’aller aussi loin
Jui bourré frr
