Ce sujet a été résolu
Je suis loin d'être assez calé en physique pour pouvoir donner une réponse pertinente.
Peut-être que @Zardoz saura mieux te répondre.
Peut-être que @Zardoz saura mieux te répondre.
J'ai interrompu mes études de physique à bac+3 pour faire informatique donc ... COBOL ?
Certifié tous gaz.
il y a un mois
Jean, baron[1] Bourgain, né le 28 février 1954 à Ostende[2] et mort le 22 décembre 2018 à Bonheiden[3], est un mathématicien belge.
Après avoir été professeur à la Vrije Universiteit Brussel de 1981 à 1985, où Jean Bourgain réalise ses études et obtient son doctorat en 1977, il est nommé en 1985 à l'Institut des hautes études scientifiques (IHES) avant de partir en 1994 aux États-Unis, à l'Institute for Advanced Study de Princeton.
En 1990, Jean Bourgain est lauréat du prix Élie-Cartan. Il reçoit notamment la médaille Fields en 1994 [2] pour ses travaux sur les espaces de Banach, l'analyse harmonique et la théorie ergodique, et le prix Shaw de mathématiques en 2010.
Il est élu en 2000 membre associé de l'Académie des sciences et en 2009 membre de l'Académie royale des sciences de Suède[4].
En 2009, il est également récipiendaire de la médaille Vladimir-Vernadski remise par l'Académie des sciences d'Ukraine.
En 2016, il obtient concession de noblesse et du titre personnel de baron, accordée par le roi Philippe[1].
Il reçoit un doctorat honoris causa de la Vrije Universiteit Brussel, de l'université hébraïque de Jérusalem et de l'université Paris-Est-Marne-la-Vallée[5].
Après avoir été professeur à la Vrije Universiteit Brussel de 1981 à 1985, où Jean Bourgain réalise ses études et obtient son doctorat en 1977, il est nommé en 1985 à l'Institut des hautes études scientifiques (IHES) avant de partir en 1994 aux États-Unis, à l'Institute for Advanced Study de Princeton.
En 1990, Jean Bourgain est lauréat du prix Élie-Cartan. Il reçoit notamment la médaille Fields en 1994 [2] pour ses travaux sur les espaces de Banach, l'analyse harmonique et la théorie ergodique, et le prix Shaw de mathématiques en 2010.
Il est élu en 2000 membre associé de l'Académie des sciences et en 2009 membre de l'Académie royale des sciences de Suède[4].
En 2009, il est également récipiendaire de la médaille Vladimir-Vernadski remise par l'Académie des sciences d'Ukraine.
En 2016, il obtient concession de noblesse et du titre personnel de baron, accordée par le roi Philippe[1].
Il reçoit un doctorat honoris causa de la Vrije Universiteit Brussel, de l'université hébraïque de Jérusalem et de l'université Paris-Est-Marne-la-Vallée[5].
C'est que de l'amour putain !
il y a un mois
Je suis loin d'être assez calé en physique pour pouvoir donner une réponse pertinente.
Peut-être que @Zardoz saura mieux te répondre.
Peut-être que @Zardoz saura mieux te répondre.
Ah mais on parle de l'onde pilote ? Très séduisant, puisque ça enlève une partie du mystère de la théorie quantique en autorisant les variables cachées. Malheureusement, Bell et Aspect sont passés par là.
Certifié tous gaz.
il y a un mois
Praioven
1 mois
Le temps n'est pas nécessaire au fonctionnement de l'univers, sommes-nous d'accord ?
ta couleur préféré ?
il y a un mois
PatrickSebasti1
1 mois
Avez-vous des questions ?
T'as déjà créé une théorie ou un concept ?
La TEAM LAPIN domine le FOROMENT
il y a un mois
PatrickSebasti1
1 mois
Avez-vous des questions ?
il y a un mois
T'as déjà créé une théorie ou un concept ?
Non, mais il m'est arrivé de découvrir tout seul quelque chose à quoi un autre avait déjà pensé avant moi.
C'est que de l'amour putain !
il y a un mois
Non, mais il m'est arrivé de découvrir tout seul quelque chose à quoi un autre avait déjà pensé avant moi.
Moi aussi j'ai créé les pâtes au chorizo
Mais ça existait déjà
La TEAM LAPIN domine le FOROMENT
Mais ça existait déjà

il y a un mois
Ce que j'entends par cette question est que le temps ne peut pas être infini vers le passé puisque cela impliquerait que, pour arriver à aujourd'hui, il eut fallu traverser l'infini. Or, c'est impossible. Le temps a donc été créé à un moment et n'est pas une composante fondamentale et nécessaire de l'univers.
Donc, la question est la suivante : pourquoi et comment le temps a t-il été créé ?
Donc, la question est la suivante : pourquoi et comment le temps a t-il été créé ?
Le temps n'existe pas, il n'existe que de la causalité, une action qui impacte une réaction
Edit : je viens de voir que ca a déja été discuté
Edit : je viens de voir que ca a déja été discuté
il y a un mois
J'ai trouvé ça après une recherche rapide. Ça explique l'évolution du concept de temps entre la relativité restreinte et la relativité générale. 16 pages de lecture, ça va bien spasser. Et ça sera mieux que si je baragouine sur un sujet dont je ne suis pas spécialiste.
L'important est le caractère contingent de l'espace-temps. Pas un cadre prédéfini où se dérouleraient les évènements physique, mais plus une conséquence de ceux-ci (là je m'avance dééjà trop).
https://shs.hal.science/halshs-00004245/document
L'important est le caractère contingent de l'espace-temps. Pas un cadre prédéfini où se dérouleraient les évènements physique, mais plus une conséquence de ceux-ci (là je m'avance dééjà trop).
Merci pour ton lien, j'ai tout lu mais je doute avoir le même niveau en physique que toi, donc pardonne mes imprécisions et incompréhensions.
Dans ce passage, qui fait référence également à l'échelle de Planck dont je parlais précédemment, :
"Et l'on ne sait plus, en deçà du temps de Planck, ce que le temps signifie physiquement, puisqu'on ignore tout de la théorie qui correspond à ce domaine de dimensions spatiales extrêmement petites et d'énergies immenses, où la gravitation doit être quantifiée. A plus forte raison peut-on douter que la notion de "temps zéro" - et de point initial - de l'Univers ait un sens. Le temps, comme l'espace, nous est donné par les phénomènes physiques et par les théories qui les représentent, et l'on peut fort bien imaginer que, dans certaines conditions physiques comme celles des époques de l'Univers qui nous échappent, il ne soit même plus une grandeur physique pertinente." (Page 13, juste avant la partie 4).
M. Paty semble mettre en avant tous les doutes sur l'espace-temps et sa pertinence dans l'échelle de l'infiniment petit, ce qui est également avancé par Rovelli.
Son document est un historique très intéressant de l'évolution de la perception du temps et de l'espace ainsi que de leur influence sur le fonctionnement du monde et je ne peux m'empêcher de remarquer que l'évolution de la pensée physique nous mène à une remise en cause de la fondamentalité du temps.
J'ai un peu de mal à exprimer ce que je veux dire, mais de ce que j'ai compris, l'espace-temps est une sorte de prisme qui a été adapté au fur et à mesure de l'évolution de la physique pour observer la réalité et la matière. Mais ce prisme paraît être inadapté à l'observation de certaines strates de notre réalité. Donc, il est compréhensible de vouloir remettre en question son bienfondé.
J'ai l'impression que ton lien est contradictoire avec ton message précédent qui affirmait que "la relativité établit que l'espace-temps est une nécessité contingente à l'existence de matière". C'est là que je suis un peu perdu.
Dans ce passage, qui fait référence également à l'échelle de Planck dont je parlais précédemment, :
"Et l'on ne sait plus, en deçà du temps de Planck, ce que le temps signifie physiquement, puisqu'on ignore tout de la théorie qui correspond à ce domaine de dimensions spatiales extrêmement petites et d'énergies immenses, où la gravitation doit être quantifiée. A plus forte raison peut-on douter que la notion de "temps zéro" - et de point initial - de l'Univers ait un sens. Le temps, comme l'espace, nous est donné par les phénomènes physiques et par les théories qui les représentent, et l'on peut fort bien imaginer que, dans certaines conditions physiques comme celles des époques de l'Univers qui nous échappent, il ne soit même plus une grandeur physique pertinente." (Page 13, juste avant la partie 4).
M. Paty semble mettre en avant tous les doutes sur l'espace-temps et sa pertinence dans l'échelle de l'infiniment petit, ce qui est également avancé par Rovelli.
Son document est un historique très intéressant de l'évolution de la perception du temps et de l'espace ainsi que de leur influence sur le fonctionnement du monde et je ne peux m'empêcher de remarquer que l'évolution de la pensée physique nous mène à une remise en cause de la fondamentalité du temps.
J'ai un peu de mal à exprimer ce que je veux dire, mais de ce que j'ai compris, l'espace-temps est une sorte de prisme qui a été adapté au fur et à mesure de l'évolution de la physique pour observer la réalité et la matière. Mais ce prisme paraît être inadapté à l'observation de certaines strates de notre réalité. Donc, il est compréhensible de vouloir remettre en question son bienfondé.
J'ai l'impression que ton lien est contradictoire avec ton message précédent qui affirmait que "la relativité établit que l'espace-temps est une nécessité contingente à l'existence de matière". C'est là que je suis un peu perdu.
il y a un mois
Le temps est un grand mystère de la physique, à commencer par sa surprenante réduction à l'espace qui apparaît dans l'équation de l'intervalle dans un espace de Minkowsky (dx^2 + dy^2 + dz^2 - c^2.dt^2). L'affaire a troublé les plus grands physiciens. Je fais vite parce que c'est pas le coeur de sujet, quoique ...
La critique du lien entre relativité et spatialisation du temps : 1921-1928
https://shs.cairn.info/re[...]es-2018-1-page-79?lang=fr
La chose qui fait consensus est que, pas plus que l'espace, il ne pré-existe comme une scène de théâtre x,y,z,t où se joue la physique. Il apparaît plus comme un produit. J'ai utilisé le mot "contingence" mais ça traduit simplement mon ignorance.
Ça, c'est le grand ménage fait par la relativité, qui devrait être bien assimilé maintenant. Pas de contenant sans contenu. Pas d'espace-temps sans matière-énergie, et donc gravité.
Malheureusement ça se complique avec le quantique et ses "évènements qui auraient pu se produire mais qui ne se sont pas produits", qu'on trouve dans l'expérience de la gomme quantique à choix retardé. Qui nous invite à voir (peut-être faussement) une action du futur sur le passé et à parler de contrafactualité.
Le seule conclusion qu'on peut en tirer au jour d'aujourd'hui, c'est que le temps n'est pas du tout, mais alors pas du tout ce qu'on croyait, et qu'il va falloir un nouveau saut conceptuel.
La question est : En serons-nous capables ?
La critique du lien entre relativité et spatialisation du temps : 1921-1928
La chose qui fait consensus est que, pas plus que l'espace, il ne pré-existe comme une scène de théâtre x,y,z,t où se joue la physique. Il apparaît plus comme un produit. J'ai utilisé le mot "contingence" mais ça traduit simplement mon ignorance.
Ça, c'est le grand ménage fait par la relativité, qui devrait être bien assimilé maintenant. Pas de contenant sans contenu. Pas d'espace-temps sans matière-énergie, et donc gravité.
Malheureusement ça se complique avec le quantique et ses "évènements qui auraient pu se produire mais qui ne se sont pas produits", qu'on trouve dans l'expérience de la gomme quantique à choix retardé. Qui nous invite à voir (peut-être faussement) une action du futur sur le passé et à parler de contrafactualité.
Le seule conclusion qu'on peut en tirer au jour d'aujourd'hui, c'est que le temps n'est pas du tout, mais alors pas du tout ce qu'on croyait, et qu'il va falloir un nouveau saut conceptuel.
La question est : En serons-nous capables ?
Certifié tous gaz.
il y a un mois