"Vivre c'est choisir", m'a-t-on dit. Je ne peux pas être plus d'accord que d'accord.
Quand on tombe malade, on fait face à des choix. Tenter d'apaiser ses souffrances, et faire durer la maladie. Ou ne pas intervenir pour que ça passe plus vite, au risque d'y passer.
Rester au lit, ou sortir chercher du bois pour alimenter le feu ?
Manger, ou ne pas manger ?
Etc.
Quand on se vaccine, ces choix, parfois vitaux même à notre époque, ne se posent plus à nous. Une épreuve de moins. Une occasion de moins de manifester notre vibration. Plus de choix, plus de vie, notre âme régresse.
Les vaccins, même en admettant qu'ils n'empoisonneraient pas physiquement, "zombifient" en effet les gens.
Quand j'attrape la grippe, je ne prends pas d'anti-inflammatoire, même naturel. Je suis jeune. J'ai chaud, j'ai froid, en 3 à 5 jours, je guéris. Les golems eux, passent deux semaines à un mois pour guérir. Mais en plus et surtout, ils ne sont confontés à aucun choix d'importance. Ils vont au plus facile. Des cailloux ont finalement plus de vie qu'eux.
Je suis Seugondaire.
