Non mais par contre tu viens de prouver le mythe de ta pucellerie
L'op brisé en mille morceaux
Oui bien sûr comme si tu y connaissais quelque chose avec ton badge homologuay oui bien sûr on y croit
me parle pas si t'es BLUEPILLED
le gars tout content de se faire pisser dessus par une meuf qui simule
me parle pas si t'es BLUEPILLED
L'op brisé en mille morceaux
brisé peut-être, mais bluepill surement pas
en rute
le gars tout content de se faire pisser dessus par une meuf qui simule
en rute
Vous ne savez juste pas baiser
Bordel ce stickers !
Oui bien sûr comme si tu y connaissais quelque chose avec ton badge homologuay oui bien sûr on y croit
attaque personnelle stupide
Je vous aime tous
Tu ne fais pas exception
l'auteur qui essaie de se rassurer parce que c'est un mauvais coup au lit
Faire un don https://ko-fi.com/kandira/
Non mais par contre tu viens de prouver le mythe de ta pucellerie
J'ai enculé Kimberley
attaque personnelle stupide
Quand je baise une meuf elle tremble du vagin à mort projette de la mouille et quand je suis en forme elle jouit tellement qu'elle ne sait plus marcher
l'auteur qui essaie de se rassurer parce que c'est un mauvais coup au lit
Oui bien sûr
à ton avis c'est qui qui essaie de se rassurer là
il est redpill et t'es not ready c'est tout
me parle pas si t'es BLUEPILLED
Un mythe par définition n'est pas un énoncé falsifiable
ce n'est pas une théorie scientifique
me parle pas si t'es BLUEPILLED
Quand je baise une meuf elle tremble du vagin à mort projette de la mouille et quand je suis en forme elle jouit tellement qu'elle ne sait plus marcher
Sérieusement y'a encore des Célestins pour croire à cette légende ?
Pour commencer l'absence de preuve observables direct :
Un phénomène réel doit pouvoir être observé, mesuré, reproduit. L’orgasme masculin répond à ces trois critères : il est visible (éjaculation), audible (gémissement souvent non feint), mesurable (détente immédiate). L’orgasme féminin, lui, ne présente aucune preuve matérielle claire. Il est décrit comme "intérieur", "vibratoire", "subtil". Cela le rend, de facto, invérifiable.
Aucun homme interrogé de manière indépendante ne peut affirmer avec certitude avoir vu un orgasme féminin. Il ne peut que se fier à des déclarations de la femme elle-même. C’est donc une preuve de seconde main, et donc scientifiquement invalide.
L'argument de l'intérêt caché :
Il existe un bénéfice psychologique et social pour certaines femmes à faire croire à l’existence de leur propre orgasme :
– Pour flatter l’égo de l’homme ("tu m’as fait jouir", donc il se sent puissant).
– Pour clore un rapport sexuel ("c’est bon, j’ai joui, arrête").
– Pour se conformer à une norme sociale ("toutes mes copines jouissent, je vais pas dire que non").
Dans ces conditions, l’existence de fausses déclarations d’orgasme est admise même par les féministes. Si on accepte que certaines simulent, comment distinguer le vrai du faux ? Et si le vrai n’était qu’un leurre conceptuel permettant à la simulation d’exister ?
La contradiction biologique :
Le plaisir sexuel féminin ne sert à rien sur le plan reproductif.
L’éjaculation masculine est indispensable pour la procréation, pas l’orgasme féminin. Dès lors, on peut se demander pourquoi l’évolution aurait maintenu un mécanisme inutile.
Il est plus parcimonieux (principe d’Occam) de considérer que l’orgasme féminin est une construction culturelle apparue a posteriori, comme l’hystérie ou l’amour romantique.
L’absence de consensus scientifique
Même les scientifiques ne s’accordent pas sur ce qu’est exactement un orgasme féminin.
Certains parlent de clitoris, d’autres de vagin, d’autres de zones internes mystérieuses. Le simple fait que la médecine moderne en 2025 n’ait pas défini précisément ce phénomène jette un doute sur son existence.
Quand on ne sait pas ce que c’est, comment être certain que ça existe ?
La conclusion LOGIQUE
En l’absence de preuve directe, de fonction biologique claire, de consensus scientifique, et en présence de fortes incitations sociales à simuler ou exagérer, la seule conclusion rationnelle est que l’orgasme féminin, tel qu’il est présenté dans les discours publics, est une fiction collective.
Pour commencer l'absence de preuve observables direct :
Un phénomène réel doit pouvoir être observé, mesuré, reproduit. L’orgasme masculin répond à ces trois critères : il est visible (éjaculation), audible (gémissement souvent non feint), mesurable (détente immédiate). L’orgasme féminin, lui, ne présente aucune preuve matérielle claire. Il est décrit comme "intérieur", "vibratoire", "subtil". Cela le rend, de facto, invérifiable.
Aucun homme interrogé de manière indépendante ne peut affirmer avec certitude avoir vu un orgasme féminin. Il ne peut que se fier à des déclarations de la femme elle-même. C’est donc une preuve de seconde main, et donc scientifiquement invalide.
L'argument de l'intérêt caché :
Il existe un bénéfice psychologique et social pour certaines femmes à faire croire à l’existence de leur propre orgasme :
– Pour flatter l’égo de l’homme ("tu m’as fait jouir", donc il se sent puissant).
– Pour clore un rapport sexuel ("c’est bon, j’ai joui, arrête").
– Pour se conformer à une norme sociale ("toutes mes copines jouissent, je vais pas dire que non").
Dans ces conditions, l’existence de fausses déclarations d’orgasme est admise même par les féministes. Si on accepte que certaines simulent, comment distinguer le vrai du faux ? Et si le vrai n’était qu’un leurre conceptuel permettant à la simulation d’exister ?
La contradiction biologique :
Le plaisir sexuel féminin ne sert à rien sur le plan reproductif.
L’éjaculation masculine est indispensable pour la procréation, pas l’orgasme féminin. Dès lors, on peut se demander pourquoi l’évolution aurait maintenu un mécanisme inutile.
Il est plus parcimonieux (principe d’Occam) de considérer que l’orgasme féminin est une construction culturelle apparue a posteriori, comme l’hystérie ou l’amour romantique.
L’absence de consensus scientifique
Même les scientifiques ne s’accordent pas sur ce qu’est exactement un orgasme féminin.
Certains parlent de clitoris, d’autres de vagin, d’autres de zones internes mystérieuses. Le simple fait que la médecine moderne en 2025 n’ait pas défini précisément ce phénomène jette un doute sur son existence.
Quand on ne sait pas ce que c’est, comment être certain que ça existe ?
La conclusion LOGIQUE
En l’absence de preuve directe, de fonction biologique claire, de consensus scientifique, et en présence de fortes incitations sociales à simuler ou exagérer, la seule conclusion rationnelle est que l’orgasme féminin, tel qu’il est présenté dans les discours publics, est une fiction collective.
Ayaaaa les femmes sont des êtres diaboliques, n'est-ce pas ?
Sérieusement y'a encore des Célestins pour croire à cette légende ?
Pour commencer l'absence de preuve observables direct :
Un phénomène réel doit pouvoir être observé, mesuré, reproduit. L’orgasme masculin répond à ces trois critères : il est visible (éjaculation), audible (gémissement souvent non feint), mesurable (détente immédiate). L’orgasme féminin, lui, ne présente aucune preuve matérielle claire. Il est décrit comme "intérieur", "vibratoire", "subtil". Cela le rend, de facto, invérifiable.
Aucun homme interrogé de manière indépendante ne peut affirmer avec certitude avoir vu un orgasme féminin. Il ne peut que se fier à des déclarations de la femme elle-même. C’est donc une preuve de seconde main, et donc scientifiquement invalide.
L'argument de l'intérêt caché :
Il existe un bénéfice psychologique et social pour certaines femmes à faire croire à l’existence de leur propre orgasme :
– Pour flatter l’égo de l’homme ("tu m’as fait jouir", donc il se sent puissant).
– Pour clore un rapport sexuel ("c’est bon, j’ai joui, arrête").
– Pour se conformer à une norme sociale ("toutes mes copines jouissent, je vais pas dire que non").
Dans ces conditions, l’existence de fausses déclarations d’orgasme est admise même par les féministes. Si on accepte que certaines simulent, comment distinguer le vrai du faux ? Et si le vrai n’était qu’un leurre conceptuel permettant à la simulation d’exister ?
La contradiction biologique :
Le plaisir sexuel féminin ne sert à rien sur le plan reproductif.
L’éjaculation masculine est indispensable pour la procréation, pas l’orgasme féminin. Dès lors, on peut se demander pourquoi l’évolution aurait maintenu un mécanisme inutile.
Il est plus parcimonieux (principe d’Occam) de considérer que l’orgasme féminin est une construction culturelle apparue a posteriori, comme l’hystérie ou l’amour romantique.
L’absence de consensus scientifique
Même les scientifiques ne s’accordent pas sur ce qu’est exactement un orgasme féminin.
Certains parlent de clitoris, d’autres de vagin, d’autres de zones internes mystérieuses. Le simple fait que la médecine moderne en 2025 n’ait pas défini précisément ce phénomène jette un doute sur son existence.
Quand on ne sait pas ce que c’est, comment être certain que ça existe ?
La conclusion LOGIQUE
En l’absence de preuve directe, de fonction biologique claire, de consensus scientifique, et en présence de fortes incitations sociales à simuler ou exagérer, la seule conclusion rationnelle est que l’orgasme féminin, tel qu’il est présenté dans les discours publics, est une fiction collective.
Pour commencer l'absence de preuve observables direct :
Un phénomène réel doit pouvoir être observé, mesuré, reproduit. L’orgasme masculin répond à ces trois critères : il est visible (éjaculation), audible (gémissement souvent non feint), mesurable (détente immédiate). L’orgasme féminin, lui, ne présente aucune preuve matérielle claire. Il est décrit comme "intérieur", "vibratoire", "subtil". Cela le rend, de facto, invérifiable.
Aucun homme interrogé de manière indépendante ne peut affirmer avec certitude avoir vu un orgasme féminin. Il ne peut que se fier à des déclarations de la femme elle-même. C’est donc une preuve de seconde main, et donc scientifiquement invalide.
L'argument de l'intérêt caché :
Il existe un bénéfice psychologique et social pour certaines femmes à faire croire à l’existence de leur propre orgasme :
– Pour flatter l’égo de l’homme ("tu m’as fait jouir", donc il se sent puissant).
– Pour clore un rapport sexuel ("c’est bon, j’ai joui, arrête").
– Pour se conformer à une norme sociale ("toutes mes copines jouissent, je vais pas dire que non").
Dans ces conditions, l’existence de fausses déclarations d’orgasme est admise même par les féministes. Si on accepte que certaines simulent, comment distinguer le vrai du faux ? Et si le vrai n’était qu’un leurre conceptuel permettant à la simulation d’exister ?
La contradiction biologique :
Le plaisir sexuel féminin ne sert à rien sur le plan reproductif.
L’éjaculation masculine est indispensable pour la procréation, pas l’orgasme féminin. Dès lors, on peut se demander pourquoi l’évolution aurait maintenu un mécanisme inutile.
Il est plus parcimonieux (principe d’Occam) de considérer que l’orgasme féminin est une construction culturelle apparue a posteriori, comme l’hystérie ou l’amour romantique.
L’absence de consensus scientifique
Même les scientifiques ne s’accordent pas sur ce qu’est exactement un orgasme féminin.
Certains parlent de clitoris, d’autres de vagin, d’autres de zones internes mystérieuses. Le simple fait que la médecine moderne en 2025 n’ait pas défini précisément ce phénomène jette un doute sur son existence.
Quand on ne sait pas ce que c’est, comment être certain que ça existe ?
La conclusion LOGIQUE
En l’absence de preuve directe, de fonction biologique claire, de consensus scientifique, et en présence de fortes incitations sociales à simuler ou exagérer, la seule conclusion rationnelle est que l’orgasme féminin, tel qu’il est présenté dans les discours publics, est une fiction collective.
Orange is the New Black à tout démontrer pourtant
L'éjaculation n'est pas forcément associée à un orgasme
Je suis le donut du forum
Ayaaaa les femmes sont des êtres diaboliques, n'est-ce pas ?
Je dis pas ça non j'aime bien les femmes
en rute