[FIC] Tout donne raison à ERIC ZEMMOUR 🇫🇷

Excellent, vraiment très bien, hyper safe, beaucoup de monde, mais on a vu tout ce qu'on voulait voir !

Franchement, je ne suis pas fan de Sarko, un traître comme la droite sait si bien en faire.

Mais les juges rouges ne l'ont pas loupé ces enfoirés !

En effet mais je veux dire qu'il est aussi en prison dans la fic ou pas ?

Déjà on est en juillet 2025, donc à voir à l'avenir.

Hâte de voir la suite

1) C'est une fic

2) Merci pour le Up

3) Vous tournez en boucle

En plus on pourrait même continuer après 2032 même si Zemmour se retire de la vie politique

C'est prévu et le successeur est toute désignée

J'essaie de mettre la suite ce soir promis

Hôtel Matignon, Paris, le jeudi 31 juillet 2025 à 10h05

La Première ministre Sarah Knafo n’a pas mâché ses mots. Depuis Matignon, devant un parterre de journalistes médusés, elle a annoncé ce que beaucoup pressentaient : l’Agence française de développement (AFD), longtemps perçue comme l’instrument privilégié du « soft power » français, est devenue en réalité celui du « woke power ». Et l’heure des comptes a sonné. En 2023, l’aide publique au développement a coûté 15,96 milliards d’euros aux contribuables français, soit davantage que le budget de la Justice (12,2 milliards) ou celui de l’Agriculture (6,7 milliards). « Ce n’est plus tenable », a tranché la cheffe du gouvernement.



Inspirée par les réformes de Donald Trump et d’Elon Musk aux États-Unis contre l’USAID, Sarah Knafo a annoncé un plan de licenciements massifs : les effectifs de l’AFD seront réduits des deux tiers (sur 3 000 employés actuels). Quant au budget, il sera drastiquement diminué : de 14 milliards à 4 milliards dès demain, 1er août. Fini les largesses tous azimuts : les pays hostiles ou ayant chassé la France – Mali, Burkina Faso, Niger, Centrafrique, Afghanistan – où encore ceux qui ne veulent pas reprendre leurs ressortissants expulsés du territoire français – Algérie, Comores, Surinam, Dominique, Guyana – seront rayés de la carte des bénéficiaires. À l’inverse, les « pays amis » (l’Arménie est citée, les partenaires francophones et francophones comme le Cambodge ou Madagascar, nations accueillant des minorités chrétiennes persécutées comme le Liban, ou l'Egypte) resteront prioritaires.



La Première ministre a frappé fort en dévoilant une liste de quelques projets qu’elle juge « ahurissants, déconnectés et idéologiques » :
- 51 millions d’euros pour « le renforcement de l’égalité femmes-hommes dans l’accès aux opportunités économiques en Albanie » : supprimé.
- 650 000 € pour « la lutte contre l’insécurité menstruelle au Liban » : supprimé.
- 350 000 € pour un projet de rugby féminin à Madagascar : supprimé.
- 151 millions d’euros pour la « budgétisation sensible au genre en Jordanie » : supprimé.
- Et la palme : la troupe de cirque Zip Zap, en Afrique du Sud, soutenue pour accompagner 2 000 jeunes vulnérables du Cap… « On a payé des clowns, littéralement, pendant que l’on ferme des classes en Creuse et en Lozère », a lancé Sarah Knafo, déclenchant quelques sourires du côté de Valeurs Actuelles et de Frontières.

Rémy Rioux licencié sur-le-champ

https://x.com/knafo_sarah/status/1894855955751321748

La Première ministre Sarah Knafo a aussi annoncé le licenciement immédiat de Rémy Rioux, directeur général de l’Agence française de développement (AFD) depuis 2016. Celui que l’on présentait dans les cercles parisiens comme un « grand commis de l’État » a surtout laissé derrière lui une agence surendettée, dispendieuse et rongée par l’idéologie.

Pour remercier Monsieur Rioux de son zèle, l’État lui versait 17 500 euros par mois, hors primes et avantages. Tout cela pour une gestion dont le résultat est clair : 60 milliards d’euros de dette, dont 10 milliards ajoutés en seulement deux ans. Rémy Rioux se plaisait à répéter : « Avec 2 milliards, on investit 12 milliards ». En réalité, l’AFD reçoit 2 milliards de l’État, puis emprunte 10. C’est comme un salarié au SMIC qui, chaque mois, prendrait un crédit de 13 000 euros et claironnerait : « Avec 1300 euros, je fais 13 000 ! » Il ne multiplie rien : il s’endette. Et c’est la France qui paie la facture. Et pour quel résultat ? Financer « l’éducation à l’égalité des sexes en Irak », « le développement écoresponsable du ylang ylang aux Comores », ou encore « analyser l’impact du Covid sur les inégalités au Togo ». Pendant ce temps, les classes ferment en Creuse, en Lozère, en Dordogne… Voilà où est parti l’argent des Français.

Dans son bureau flambant neuf désert, Rémy Rioux contemplait ses cartons déjà préparés. Le roi de l’AFD tombait en une matinée.



De nouveaux projets et une réorientation géostratégique

Malgré cette cure d’austérité, plusieurs projets ciblés sont maintenus ou renforcés, illustrant une nouvelle doctrine sélective fondée sur trois piliers : francophonie, chrétienté et sécurité.

🇸🇸 Soudan du Sud : 120 millions d’euros sur trois ans seront alloués à une aide humanitaire d’urgence, avec un fort partenariat avec les réseaux religieux sur place.

🇰🇭🇱🇦 Cambodge et Laos : 150 millions d’euros financeront la construction et le soutien d’écoles francophones, dans une stratégie de reconquête culturelle en Asie du Sud-Est.

🇸🇻 Salvador : 80 millions d’euros sont consacrés au soutien à la politique sécuritaire de Nayib Bukele, considérée comme exemplaire dans la lutte contre la criminalité de masse.

🇪🇹 Éthiopie : 30 millions d’euros seront dirigés vers la restauration du patrimoine chrétien éthiopien, notamment les églises rupestres de Lalibela.

🇿🇦 Afrique du Sud : une mesure hautement symbolique et polémique a été annoncée : la création d’un fonds d’aide pour les fermiers boers, victimes d'un génocide sur leurs propres terres dans l'indifférence générale, reprenant les termes du président américain Donald Trump. Le dispositif, d’un montant encore non précisé mais estimé à une cinquantaine de millions d’euros, doit permettre de financer des mesures de protection, d’assurance et d’équipement sécuritaire.
« C'est un génocide dont vous ne voulez pas parler. Des agriculteurs sont tués. Et les journaux, les médias et la télévision n'en parlent même pas. Si c'est l'inverse, ils en parlent. C'est même la seule chose dont ils parlent. Je me fous de savoir qui ils sont, je sais juste que des gens en Afrique du Sud me disent que ce qui se passe est terrible. Nous n’abandonnerons pas les Boers, héritiers d’une civilisation européenne, face à la violence et à l’indifférence internationale », a déclaré la ministre.

Cette décision a immédiatement déclenché une vague de critiques au Parlement, notamment à gauche, où elle est qualifiée de « politique identitaire dangereuse » et d’« ingérence idéologique dans les affaires africaines ».
Le gouvernement Zemmour assume cependant pleinement cette ligne : selon l’entourage présidentiel, la France « choisit désormais à qui elle tend la main », dans une logique de civilisation plutôt que d’universalisme abstrait.

Blaye (Gironde), le samedi 2 août 2025 à 10h05



C’est lors d’un déplacement à Blaye en Gironde que la Première ministre Sarah Knafo, décidément omniprésente en ce début de mandat, a annoncé ce lundi le retour généralisé à la limitation de vitesse de 90 km/h sur l’ensemble des routes départementales françaises, mettant ainsi un terme à la réforme d’Édouard Philippe qui, en 2018, avait abaissé la vitesse maximale à 80 km/h sur les routes départementales à deux voies sans séparateur central.


Cette mesure, l’une des plus impopulaires du quinquennat Macron, avait été en partie assouplie en 2019, chaque département pouvant décider de relever ou non la limite à 90 km/h. Aujourd’hui, l’exécutif met fin à ce « patchwork » réglementaire : « La règle sera la même pour tous les Français, de la Gironde à l’Alsace, du Pas-de-Calais à l'Ariège », a souligné Sarah Knafo, entourée de la députée girondine du RN Edwige Diaz.


Cette annonce, très attendue par les automobilistes et les associations d’usagers de la route, est interprétée comme un signal fort en direction de la France rurale et populaire, qui avait été au cœur du mouvement des Gilets jaunes. « Ce retour au 90 km/h est une mesure de bon sens, réclamée par nos compatriotes depuis des années », a insisté la Première ministre, rappelant que l’abaissement de la vitesse avait été vécu comme « une punition injuste pour ceux qui n’ont pas d’alternative à la voiture ».


Les associations de sécurité routière regrettent toutefois cette décision. Pour Chantal Perrichon, présidente de la Ligue contre la violence routière, « c’est un retour en arrière dramatique : la baisse à 80 km/h avait permis d’éviter des centaines de morts sur les routes chaque année ». Le gouvernement assure de son côté que d’autres leviers (radars mobiles, lutte contre l’alcool et les stupéfiants au volant) seront renforcés afin de maintenir la baisse de la mortalité routière.

Knafo ? Si c'est le cas, je veux Knafo Le Pen au second tour rien que pour le débat

Elle est première dame et première ministre en même temps ?

Et oui

C'est tellement légendaire et au niveau de Brigitte

Désormais tu peux m'inclure dans la liste

C'est bien sympa à lire pour cette première page !

N’hésite pas à continuer ta lecture je fais essayer de reprendre la suite dans la semaine