Ce sujet a été résolu
Ce journal est mon kif, mon aschisch, mon opium. Ma drogue et mon vice. Au lieu d'écrire un roman je m'allonge avec un stylo et ce cahier, je rêve, je me laisse aller aux reflets brisés...
J'ai besoin de revivre ma vie dans le rêve, le rêve est ma vraie vie. Je vois dans les échos qu'il renvoie les seules transfigurations qui gardent à l'émerveillement sa pureté.
Ailleurs tout magie se perd. Ailleurs la vie révèle ses infirmités, la simplicité se change en rouille...
Il faut que tout ce qui est matériel soit ainsi fondu dans le creuset de mon vice car sinon la rouille de la vie ralentirait mon rythme pour en faire un sanglot.
La calcination correspond à un moment de crise où le moi se confronte à ses illusions. C’est l’acte de brûler les identifications, les défenses, l’image sociale. C’est un processus douloureux mais nécessaire à la renaissance intérieure.
Je regrette seulement que tous veuillent me priver de mon journal, qui est mon seul ami fidèle, le seul qui me fasse supporter la vie, car le bonheur que je trouve avec les humains est si précaire, et je suis si rarement en humeur de me confier que le moindre signe de désintérêt suffit à me réduire au silence.
Dans mon journal je suis à l'aise.

Mourir avec ce goût d’injustice… ou transformer cette rage en lumière ?
Car il n’y a pas de happy end, jamais.
Les dés sont pipés, le jeu est vide.
Quoi qu’on fasse, le mal survivra.
Mais on peut être un maillon,
un bug dans la matrice,
et créer ce qu'on veut voir.
Alors autant faire du bruit,
assez de feu pour passer le flambeau.
(méditons)
il y a un mois
KJ-Anima
1 mois
Ce journal est mon kif, mon aschisch, mon opium. Ma drogue et mon vice. Au lieu d'écrire un roman je m'allonge avec un stylo et ce cahier, je rêve, je me laisse aller aux reflets brisés...
J'ai besoin de revivre ma vie dans le rêve, le rêve est ma vraie vie. Je vois dans les échos qu'il renvoie les seules transfigurations qui gardent à l'émerveillement sa pureté.
Ailleurs tout magie se perd. Ailleurs la vie révèle ses infirmités, la simplicité se change en rouille...
Il faut que tout ce qui est matériel soit ainsi fondu dans le creuset de mon vice car sinon la rouille de la vie ralentirait mon rythme pour en faire un sanglot.
La calcination correspond à un moment de crise où le moi se confronte à ses illusions. C’est l’acte de brûler les identifications, les défenses, l’image sociale. C’est un processus douloureux mais nécessaire à la renaissance intérieure.
Je regrette seulement que tous veuillent me priver de mon journal, qui est mon seul ami fidèle, le seul qui me fasse supporter la vie, car le bonheur que je trouve avec les humains est si précaire, et je suis si rarement en humeur de me confier que le moindre signe de désintérêt suffit à me réduire au silence.
Dans mon journal je suis à l'aise.

Mourir avec ce goût d’injustice… ou transformer cette rage en lumière ?
Car il n’y a pas de happy end, jamais.
Les dés sont pipés, le jeu est vide.
Quoi qu’on fasse, le mal survivra.
Mais on peut être un maillon,
un bug dans la matrice,
et créer ce qu'on veut voir.
Alors autant faire du bruit,
assez de feu pour passer le flambeau.
(méditons)
Silence et DETER
il y a un mois
Silence et DETER
Deter pour sauter dans l'athanor mignon desu
あそびたい~つ !
il y a un mois
KJ-Anima
1 mois
Ce journal est mon kif, mon aschisch, mon opium. Ma drogue et mon vice. Au lieu d'écrire un roman je m'allonge avec un stylo et ce cahier, je rêve, je me laisse aller aux reflets brisés...
J'ai besoin de revivre ma vie dans le rêve, le rêve est ma vraie vie. Je vois dans les échos qu'il renvoie les seules transfigurations qui gardent à l'émerveillement sa pureté.
Ailleurs tout magie se perd. Ailleurs la vie révèle ses infirmités, la simplicité se change en rouille...
Il faut que tout ce qui est matériel soit ainsi fondu dans le creuset de mon vice car sinon la rouille de la vie ralentirait mon rythme pour en faire un sanglot.
La calcination correspond à un moment de crise où le moi se confronte à ses illusions. C’est l’acte de brûler les identifications, les défenses, l’image sociale. C’est un processus douloureux mais nécessaire à la renaissance intérieure.
Je regrette seulement que tous veuillent me priver de mon journal, qui est mon seul ami fidèle, le seul qui me fasse supporter la vie, car le bonheur que je trouve avec les humains est si précaire, et je suis si rarement en humeur de me confier que le moindre signe de désintérêt suffit à me réduire au silence.
Dans mon journal je suis à l'aise.

Mourir avec ce goût d’injustice… ou transformer cette rage en lumière ?
Car il n’y a pas de happy end, jamais.
Les dés sont pipés, le jeu est vide.
Quoi qu’on fasse, le mal survivra.
Mais on peut être un maillon,
un bug dans la matrice,
et créer ce qu'on veut voir.
Alors autant faire du bruit,
assez de feu pour passer le flambeau.
(méditons)
cul
il y a un mois
Deter pour sauter dans l'athanor mignon desu
Tu veux que je saute qui ?
il y a un mois
On a trouvé le nouveau Jonathan avec ses boucles gigantesques composées de copier/coller
il y a un mois
DoYouEvenPrayz
1 mois
On a trouvé le nouveau Jonathan avec ses boucles gigantesques composées de copier/coller
Ecrire c'est copier / coller à la main
Et oui c'est gigantesque comme ma
あそびたい~つ !
Et oui c'est gigantesque comme ma
il y a un mois
Tu racontes quoi encore, y'a pas un seul hétéro sur onche point org
あそびたい~つ !
il y a un mois
KJ-Anima
1 mois
Ce journal est mon kif, mon aschisch, mon opium. Ma drogue et mon vice. Au lieu d'écrire un roman je m'allonge avec un stylo et ce cahier, je rêve, je me laisse aller aux reflets brisés...
J'ai besoin de revivre ma vie dans le rêve, le rêve est ma vraie vie. Je vois dans les échos qu'il renvoie les seules transfigurations qui gardent à l'émerveillement sa pureté.
Ailleurs tout magie se perd. Ailleurs la vie révèle ses infirmités, la simplicité se change en rouille...
Il faut que tout ce qui est matériel soit ainsi fondu dans le creuset de mon vice car sinon la rouille de la vie ralentirait mon rythme pour en faire un sanglot.
La calcination correspond à un moment de crise où le moi se confronte à ses illusions. C’est l’acte de brûler les identifications, les défenses, l’image sociale. C’est un processus douloureux mais nécessaire à la renaissance intérieure.
Je regrette seulement que tous veuillent me priver de mon journal, qui est mon seul ami fidèle, le seul qui me fasse supporter la vie, car le bonheur que je trouve avec les humains est si précaire, et je suis si rarement en humeur de me confier que le moindre signe de désintérêt suffit à me réduire au silence.
Dans mon journal je suis à l'aise.

Mourir avec ce goût d’injustice… ou transformer cette rage en lumière ?
Car il n’y a pas de happy end, jamais.
Les dés sont pipés, le jeu est vide.
Quoi qu’on fasse, le mal survivra.
Mais on peut être un maillon,
un bug dans la matrice,
et créer ce qu'on veut voir.
Alors autant faire du bruit,
assez de feu pour passer le flambeau.
(méditons)
palu + im batu khan
Un visage sincère et plein d'empathie est le vrai visage de la " force"
il y a un mois
J’ai acheté un carnet chez Action dans lequel j’écris tout ce qui me passe par la tête. Je le considère comme une manière de me détendre et de partager mes pensées. Faute de pouvoir les confier à quelqu’un, je les couche sur le papier.
En revanche, je ne sais pas si je fais cela à cause de l’injustice du monde qui nous entoure, ou dans l’espoir d’opérer une forme de transformation intérieure.
À moins que je ne le fasse inconsciemment, sans même m’en rendre compte.
En revanche, je ne sais pas si je fais cela à cause de l’injustice du monde qui nous entoure, ou dans l’espoir d’opérer une forme de transformation intérieure.
À moins que je ne le fasse inconsciemment, sans même m’en rendre compte.
il y a un mois