Ce sujet a été résolu
Torquemada
2 mois
Docteur Xavier Dor, Le Crime contre Dieu
« LES CONSÉQUENCES IMMÉDIATES
Outre celles de toute intervention, certaines sont spécifiques à l’avortement :
– La canule peut perforer le fond utérin et aspirer l’intestin dans l’utérus, ou au-delà. Si la perforation est latérale, elle peut blesser le pédicule vasculaire et provoquer une grave hémorragie. Le curetage est lui-même facteur direct d’hémorragie.
– Possibilité de rupture utérine, notamment par la prostaglandine.
– Lésion du col utérin qui a été forcé. Le danger est grand surtout chez la primipare.
– Envahissement du sang maternel par la solution saline injectée dans la cavité amniotique.
– Complications propres à la prostaglandine : rupture utérine, lacération du col, hémorragie, mort subite, embolie pulmonaire de liquide amniotique ou de caillots sanguins, convulsions.
– Infection du tractus génital.
– Rétention placentaire ou de fragments embryonnaires ou foetaux.
LES CONSÉQUENCES TARDIVES
– Stérilité par désertification de la muqueuse utérine ou par obstruction de la trompe. Elle est d’autant plus fréquente que les avortements sont répétés.
– Grossesse extra-utérine par infection et obturation de la trompe.
– Malposition placentaire.
– Conséquences liées à la béance du col utérin : avortement spontané, infection utérine, prématurité de l’enfant avec tous les risques de celle-ci (mortalité plus élevée, retard psychomoteur).
– Conséquences propres au stérilet : infection pelvienne à bas bruit, obturation des trompes, perforation de l’utérus et stérilité définitive (raison pour laquelle il ne peut être prescrit à une femme sans enfant).
Mais pour la mère, la blessure la plus grave est celle de l’âme. Même médicalisé, l’avortement, quand il est provoqué, reste un crime.
La détresse atteint d’abord la femme. Après l’enfant, elle est la première concernée. La décision en définitive ne dépend que d’elle. Le geste est irréparable et va à l’encontre de ce qui s’inscrit le plus profondément dans sa nature : l’amour maternel.
Un cardinal de la Curie demandait au docteur Maria Peters si toutes les femmes ayant fait un avortement en restaient marquées. « Toutes, répondit-elle, mais pas au même moment ». Ce sera à Noël, ou bien lors de la rentrée scolaire, lors de la vue d’un autre enfant, ou dans la douleur de la solitude, parfois sur le lit de mort. […]
Le 19 octobre 1991, la fête battait son plein. Elle avait été organisée par les associations familiales catholiques et l’AOCPA. L’endroit choisi était le parvis des droits de l’homme au Trocadéro. Ne pouvant supporter ces droits sans ceux de Dieu, j’étais venu avec une grande croix, presque de taille humaine. Il y avait des discours et des chants. Peu après, la fête s’était déplacée dans le bas, vers les jardins. On entendait dans le loin les haut-parleurs, les flonflons de la musique. La nuit tombait. Il faisait froid. Je restai seul sur le parvis avec la croix. Une femme de trente cinq ans environ s’est approchée, tenant une petite fille par la main. Elle ne disait encore rien, mais j’avais deviné. Elle écarta sa petite fille. Cette femme s’appelait Marie-Aude. Elle me déclara : « Cela s’est passé le 10 février dernier. On m’y a poussé. Même un prêtre [moderniste] m’avait dit que je pouvais. » Elle avait appelé son petit garçon Jean. Était-elle bien sûr que c’était un petit garçon ? (car on ne donne pas trop de détails dans une salle d’avortement). Elle pleurait.
Elle ne me connaissait pas, mais ce jour-là, à cet endroit, et avec cette croix elle voulait se confier à quelqu’un qui comprendrait ce qu’elle regrettait amèrement d’avoir fait. Je lui dis la phrase du Père Daniel Ange. Elle avait bien fait de donner un nom à son enfant. Elle pourrait lui demander pardon. Celui-ci, on pouvait le penser – heureux comme un roi dans la vie divine – lui pardonnerait aussitôt. Elle-même mourrait un jour et le premier à l’accueillir serait son petit garçon. Mais il fallait d’abord qu’elle demande pardon à Dieu qui voit dans les cœurs et qu’elle se confesse à un prêtre. Elle serait alors blanche comme neige, et même, comme dit le psaume, plus blanche que neige. Seule la religion peut ce miracle.
Jamais l’idée ne nous est venue d’ajouter à la détresse d’une femme ayant avorté. Comment et de quel droit aurions-nous cette cruauté ? Bien au contraire nous les embrassions. Non pour les féliciter, elles le savaient bien, mais par compassion. Blessées, nous les aimions et, comme elles, nous aimions et regrettions ces petites victimes.
La détresse post-abortive peut prendre toutes les formes : tristesse, sentiment de culpabilité, dépréciation de soi, dépression pouvant aller jusqu’au suicide, agressivité, alcoolisme, dépendance de la drogue ou des tranquillisants, troubles du sommeil. »
Sages paroles et bons rappels sur les risques de l'IVG
il y a 2 mois
Un vulgaire embryon de 1 semaine n’est pas un enfant
C est quoi ? Un dinosaure ?
il y a 2 mois
La plupart des trois sont heureux en plus
NON
ILS NE LE SONT PAS LE GROS FAF
ILS DOIVENT MOURIR POUR ÉCHAPPER À L'HORREUR DE LA VIE
♪♫ prt-prtprt prtprt-prtprt prtprt~
ILS NE LE SONT PAS LE GROS FAF
ILS DOIVENT MOURIR POUR ÉCHAPPER À L'HORREUR DE LA VIE
il y a 2 mois
FucktheLicorne
2 mois
Peine de mort pour cette grosse pute
Les thermes
Précis, efficace, rapide
Pas de chichi, pas de blabla, la vérité directement à la source
Tu as besoin qu on taille ta haie @FucktheLicorne arrive en char d assaut et défonce toutes tes merdes en 5 mn chrono
Précis, efficace, rapide
Pas de chichi, pas de blabla, la vérité directement à la source
Tu as besoin qu on taille ta haie @FucktheLicorne arrive en char d assaut et défonce toutes tes merdes en 5 mn chrono
il y a 2 mois
Ahi 1 avortement pour 3 naissances
Les blanches qui sont déterminés à exterminer notre peuple
les blanches qui sont nos pires ennemis

Les blanches qui sont déterminés à exterminer notre peuple


3 naissances dont 1 noir et 1 arabe

il y a 2 mois
gwendal56
2 mois
Préambule : si vous êtes contre l’IVG, merci de passer votre chemin et de vous abstenir de commenter.
J’ai 34 ans, et il y a deux semaines, j’ai fait une IVG médicamenteuse. Comme mon expérience diffère beaucoup de celle racontée dans ce post, j’ai décidé moi aussi de raconter comment tout s’était passé.
Mes règles étaient en retard, et je n’avais aucun des mes symptômes pré-menstruels habituels, donc j’ai commencé à m’inquiéter. Comme mon cycle peut varier de quelques jours j’ai attendu d’être sûre d’être à J+1 de la date présumée du début des règles pour faire un test de grossesse. Sans surprise, il était positif. Mon premier réflexe a été d’appeler mon partenaire pour le prévenir, et de prévenir aussi ma soeur et mes amis proches, qui savaient tous que je ne voulais pas d’enfants et que si je me retrouvais enceinte la décision serait d’avorter.
À ce moment, j’avais beau être bien renseignée sur le sujet, mes capacités de réflexion sont tombées à 0. J’étais juste là à me dire “ok je veux avorter, mais comment on fait ???” Je ne remercierait jamais assez l’amie qui m’a dit au téléphone “appelle le planning familial, ils te diront quoi faire”, et les 2 amies qui m’ont dit “si tu as besoin de quelqu’un pour t’accompagner, je lâche tout et je viens”.
Une fois le choc passé, je prends la première téléconsultation venue avec un gynécologue pour me faire prescrire un dosage de beta-HCG, l’hormone de grossesse, pour confirmer le test, et une fois l’ordonnance en poche je pars faire la prise de sang au labo. Ensuite, je passe bien 5 bonnes heures à essayer de joindre le planning familial le plus proche de chez moi. Ils ont beau avoir des permanences ce jour de la semaine, c’était pas gagné de les avoir au téléphone, ne vous découragez pas ! Vous pouvez aussi appeler le numéro vert 0 800 081 111. Je finis par avoir quelqu’un, j’explique mon cas et demande une IVG médicamenteuse à la maison et pas une procédure à l’hôpital, et après envoi du résultat du labo par mail, j’ai rdv pour le lundi suivant.
J’appelle aussi une amie qui était passé par là il y a quelques années dans un autre pays, qui me rassure, et sur ses conseils, je prends rdv avec la gynécologue qui me suit. Dans les jours qui suivent, je me renseigne sur la procédure et je fais le stock pour le jour J : maxi serviettes de nuit, trucs faciles à manger, etc. Je commence à avoir des gros coups de fatigue et je sens que j’ai les hormones en vrac.
Une semaine plus tard, le lundi, rdv au planning familial. Tout le monde arrive à 14h, on a droit à de longues explications sur la grossesse et l’avortement (plutôt bonne ambiance, pas du tout de culpabilisation ou de diabolisation), et ensuite c’est les rendez-vous. D’abord les suivis post-IVG, puis les rdv d’IVG, en mode “premier arrivé premier servi”. À 17h je rencontre enfin la gynéco. Très gentille, un peu insistante pour me prescrire tout de suite une contraception (je lui dis que je verrai la gynéco qui me suis), pas d’échographie de datation au vu du faible taux de bHCG. J’apprends d’ailleurs à cette occasion que si le taux le jour du rdv est de 70000 ou +, on n’a pas le droit de faire une IVG médicamenteuse à la maison.
Elle me fait prendre le 1er comprimé, qui dilate le col de l’utérus, me donne l’ordonnance pour le 2e medicament à prendre 2j plus tard (celui qui va déclencher les contractions), et une ordonnance d’Antadys (allergies à la morphine / codéine dans ma famille donc pas d’anti-douleurs super forts pour moi), et je rentre chez moi après un passage à la pharmacie. Elle m’autorise aussi à prendre du metoclopramide pour les nausées (le 2e médicament peut faire vomir), c’est sur ordonnance mais j’en ai déjà chez moi. Elle me parle de l’abondance possible des saignements, et que si on saigne vraiment beaucoup il faut aller à l’hôpital. Du coup pour celles qui se demanderaient : beaucoup c’est une serviette de nuit en une demi-heure…
Le lendemain, les nausées qui ont commencé la veille sont toujours là, et je commence à avoir mal aux seins. Le soir, j’ai quelques petits saignements (ça peut arriver suite au 1er médicament).
Le jour d’après, c’est le jour de prendre le médicament qui déclenche les contractions. Mon partenaire est présent. Je prends l’Antadys et le metoclopramide, je ne prends pas de Doliprane en me disant “l’Antadys ça marche trop bien j’en n’aurait pas besoin”. 1h plus tard je prends le médicament qui déclenche les contractions. On est censé le laisser fondre sous la joue, mais j’oublie et je le gobe. Je prends mon petit dej, je me prépare une bouillotte, et là BAM les contractions arrivent. A ce moment je regrette amèrement de pas avoir pris le Doliprane en plus, parce que la douleur est vénère et elle ne s’arrête pas peu importe la position dans laquelle je suis. J’ai giga mal pendant une bonne heure, et puis je dors un peu. Ça devient un peu plus supportable vers 13h (comprendre: j’arrive à sortir du lit), mais je me traîne comme une loque toute la journée. Je ne saigne pas, et le lendemain non plus (mais au moins la douleur est passée). J’ai toujours la nausée, je suis exténuée et j’ai toujours mal aux seins.
Finalement c’est le vendredi que les saignements arrivent. Comme je déteste porter des serviettes, j’ai le périnée contracté en permanence, donc c’est surtout quand je vais aux toilettes que ça sort. Je commence à me sentir un peu mieux. Les saignements dureront quelques jours de plus, un peu comme des règles (j’ai cru voir l’embryon sortir le samedi). Les symptômes de grossesse (fatigue, nausée, mal aux seins) disparaissent. Je pense que j’ai eu beaucoup de chance et que l’embryon était pas vraiment bien implanté ce qui explique que j’aie aussi peu saigné (autrement dit: j’étais probablement partie pour faire vite une fausse couche).
Le jeudi je vois la gynéco qui me suis, elle m’examine et me confirme que tout est bien parti. Le dosage de la bHCG le lendemain confirme aussi la fin de la grossesse. J’ai la visite de contrôle demain, cette fois, je penserai à arriver bien en avance… En tout cas, je me suis dit qu’on avait énormément de chance d’habiter dans un pays où l’IVG était légal et prise en charge (je n’ai rien payé, sauf la visite chez ma propre gynéco), et l’existence du planning familial a beaucoup facilité le processus. Je recommande 0 cette expérience, mais je suis reconnaissante que cette option existe. Merci de m’avoir lue et bonne soirée.
Ça ressemble à un meurtre avec préméditation.
Belgo-chasseur.
il y a 2 mois
Ananas
2 mois
Flemme de lire mais elle doit pas se sentir bien j'imagine
Pas pour ce qu'elle a fait mais parce qu'elle se sent juger
Faute au patriarcat et à l'extreme drouate
Faute au patriarcat et à l'extreme drouate
il y a 2 mois
Ça ressemble à un meurtre avec préméditation.
Cette époque me dégoûte à fond
J ai pas envie de faire société avec des merdes pareilles
J ai pas envie de faire société avec des merdes pareilles
il y a 2 mois
Quelle époque satanique j ai pas envie de commenter plus longuement
Je ne parle pas de femmes victimes mais assurément ce genre de femme iront en enfer comme dans la vision de notre dame de Fatima
Je ne parle pas de femmes victimes mais assurément ce genre de femme iront en enfer comme dans la vision de notre dame de Fatima
La seule IVG que je tolérerais serait dans le cadre de l'euthanasie de cette dame
Et encore
Si y'a moyen de sortir le bébé avant et d'être sûr de pouvoir lui accorder une enfance digne de ce nom
Et encore
Si y'a moyen de sortir le bébé avant et d'être sûr de pouvoir lui accorder une enfance digne de ce nom
il y a 2 mois
Cette époque me dégoûte à fond
J ai pas envie de faire société avec des merdes pareilles
J ai pas envie de faire société avec des merdes pareilles
Je me demande comment ça se passera en Angleterre avec la prise de pouvoir des musulmans. Est ce que ce sera la fin de l'IVG ?
Belgo-chasseur.
il y a 2 mois
C est quoi ? Un dinosaure ?
Un embryon
¡Esta serpiente marina MATÓ a un Celestino! https://streamable.com/fmjgjb 

il y a 2 mois
Tous les mecs sur ce topic qui feraient avorter leur copine si ils en avaient une mais subitement contre l’avortement

il y a 2 mois