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ChatGPT
Tu me demandes quel avenir je prédis pour la Switch 2, et je t’avoue que ce n’est pas une question facile. La prédiction dans le domaine du jeu vidéo est une science plus incertaine que jamais : entre les attentes des joueurs, les cycles économiques, les coups de génie imprévus et les accidents industriels, il est difficile d’affirmer quoi que ce soit avec assurance. Cela dit, certaines tendances et signes ne trompent pas.
Il faut aussi reconnaître que le lancement de la Switch 2 a déjà généré pas mal de controverses. On parle de problèmes techniques, d’un line-up pauvre, de choix commerciaux douteux, et d’un marketing en décalage avec la réalité du produit. Certains fans restent fidèles, bien sûr, mais même les plus loyaux commencent à poser des questions. L’engouement semble retomber aussi vite qu’il est monté.
Alors je vais tenter, sans prétendre détenir la vérité, d’imaginer ce qui pourrait arriver si la situation continue sur cette pente. Voici, selon moi, ce qui risque de se produire si Nintendo ne redresse pas la barre rapidement.
1. Lancement mou, ambiance foire à la saucisse
Mars 2025. La Switch 2 sort mondialement. Les files d’attente sont courtes, les boutiques plutôt calmes. Les fans sont là, bien sûr, dévoués, passionnés… un peu paumés aussi. Pas de line-up solide, juste un Splatoon 4 bâclé, un Zelda remasterisé sans nouveauté, et une version console de Animal Crossing Pocket Camp vendue comme une suite. L’interface est lente, la console chauffe, et le Joy-Con drift est DE RETOUR… au bout de deux jours.
Les critiques sont tièdes. “Une console qui manque de vision”, “Un lancement flou”, “Nintendo n’a rien appris”. En interne, les premiers rapports de ventes sont faibles. Moins d’un million d’unités vendues en deux semaines, contre trois fois plus pour la Switch à l’époque. Les actionnaires haussent les sourcils. Nintendo répond… en silence.
Rapidement, les signaux s’accumulent : discussions éteintes dans les forums, absence de retours concrets de la part des influenceurs, et surtout, absence d’excitation dans les yeux de ceux qui jouent. Une console déjà morte dans le regard du public.
2. La lente agonie des chiffres
Trois mois plus tard, c’est l’hécatombe. La Switch 2 plafonne à 3,2 millions d’exemplaires. Les jeux ? Aucun million seller. Les tiers boudent la console. Même Ubisoft a refusé de porter Just Dance. Le eShop rame, les mises à jour font planter les consoles, et les exclusivités sont inexistantes.
Le public commence à se moquer. Internet tourne en dérision la console, la surnommant la “Switchette”, “la Wii U 2.0” ou carrément “le grille-pain du pauvre”. Des mèmes circulent en masse. Même les fans commencent à perdre patience. Les boutiques physiques réduisent leurs stocks, certaines refusent même d’en recommander.
L’industrie elle-même se retourne. Les revendeurs râlent, les développeurs indépendants fuient, les éditeurs revoient leurs plans. Un écosystème en décomposition accélérée.
3. Nintendo tente tout (et n’importe quoi)
Au lieu d’assumer le naufrage, Nintendo se lance dans une fuite en avant absurde. Abonnements étranges, pubs avec des influenceurs TikTok has-been, promos avec Carrefour et Burger King. Une nouvelle version “Switch 2 Lite Pro” est annoncée… avant d’être annulée. Puis relancée. Puis renommée. Puis repoussée. Puis oubliée.
Des rumeurs disent que le PDG a interdit à ses équipes de parler de la Switch 1 en interne. Les développeurs sont perdus. Certains quittent le navire. Les rapports de management toxique émergent. En coulisses, l’ambiance est irrespirable. On apprend même que des employés sont contraints à emprunter auprès de réseaux mafieux pour combler les pertes et sauver l'entreprise. Tout le monde panique. Tout le monde ment. Tout le monde saigne.
Nintendo devient une entreprise zombie, qui bouge encore sans savoir pourquoi, dans un ballet grotesque de déni et de panique.
4. Putain de merde : la convention de la honte
Mais alors qu’on pense avoir touché le fond, Nintendo sort son joker : un Nintendo Direct “historique”, annoncé en fanfare pour redonner confiance à la fanbase. Les teasers sont dignes d’un trailer Marvel. “Des annonces qui vont changer l’histoire du jeu vidéo”, promet-on. Le monde retient son souffle. Les compteurs explosent : plus de 12 millions de spectateurs en simultané, les chaînes officielles saturent. Même les déçus veulent croire à un miracle.
Et ça commence… comme dans un rêve. Le premier logo s'affiche : Super Smash Bros. Universe. L'écran s'illumine, la musique démarre, les silhouettes de Mario, Link et Samus apparaissent dans un fondu épique. Puis… écran noir. Fin du teaser. Aucune info. Pas de gameplay. Pas même une plateforme confirmée. Juste un PNG et une musique vaguement héroïque. Silence gênant. Et puis BAM ! Le rouleau compresseur marketing continue. Mario Kart HyperTour, Mario Galaxy 3, Star Fox Nebula, F-Zero Infinity. Tout y passe.
Le public, rincé, sous Lexomil mais encore fragilement attaché, se redresse. Les messages affluent dans le chat : “Putain de merde ?” Le doute renaît. Les YouTubeurs relancent leurs caméras. Les “experts” Nintendo reprennent espoir. Les golems sortent de leur hibernation. Pendant quelques minutes, une illusion de résurrection flotte dans l’air.
Mais la supercherie est trop massive. Galaxy 3 ? Réinterprété en 2.5D, avec une direction artistique “rétro NES” hideuse et aucun level design en gravité. Smash Bros Universe ? Roster de cinq persos à la sortie, tous payants, avec lootboxes pour débloquer les coups spéciaux. Mario Kart HyperTour ? Système de “pass circuits” par abonnement, circuits recyclés de Tour (version mobile), et un mode solo verrouillé derrière un paywall. Star Fox Nebula ? Open-world vide, gameplay en ligne uniquement, et crashes systématiques dans les virages. F-Zero Infinity ? Tournait à 20 FPS en présentation, avec des musiques générées par IA qu’on jurerait sorties d’un générique de Feu Vert.
En moins de 15 minutes, l’espoir est fracassé contre un mur de foutage de gueule. Le Direct s’achève dans la panique. Pas de démo, pas de dates, juste des trailers au goût de pub Wish. Les modérateurs ferment les commentaires, les dislikes montent à 2 millions. Les influenceurs ragequit. Les fans explosent de haine ou retombent dans le déni le plus total. Et Nintendo ? Il remercie pour “votre passion et votre fidélité”.
Il faut aussi reconnaître que le lancement de la Switch 2 a déjà généré pas mal de controverses. On parle de problèmes techniques, d’un line-up pauvre, de choix commerciaux douteux, et d’un marketing en décalage avec la réalité du produit. Certains fans restent fidèles, bien sûr, mais même les plus loyaux commencent à poser des questions. L’engouement semble retomber aussi vite qu’il est monté.
Alors je vais tenter, sans prétendre détenir la vérité, d’imaginer ce qui pourrait arriver si la situation continue sur cette pente. Voici, selon moi, ce qui risque de se produire si Nintendo ne redresse pas la barre rapidement.
1. Lancement mou, ambiance foire à la saucisse
Mars 2025. La Switch 2 sort mondialement. Les files d’attente sont courtes, les boutiques plutôt calmes. Les fans sont là, bien sûr, dévoués, passionnés… un peu paumés aussi. Pas de line-up solide, juste un Splatoon 4 bâclé, un Zelda remasterisé sans nouveauté, et une version console de Animal Crossing Pocket Camp vendue comme une suite. L’interface est lente, la console chauffe, et le Joy-Con drift est DE RETOUR… au bout de deux jours.
Les critiques sont tièdes. “Une console qui manque de vision”, “Un lancement flou”, “Nintendo n’a rien appris”. En interne, les premiers rapports de ventes sont faibles. Moins d’un million d’unités vendues en deux semaines, contre trois fois plus pour la Switch à l’époque. Les actionnaires haussent les sourcils. Nintendo répond… en silence.
Rapidement, les signaux s’accumulent : discussions éteintes dans les forums, absence de retours concrets de la part des influenceurs, et surtout, absence d’excitation dans les yeux de ceux qui jouent. Une console déjà morte dans le regard du public.
2. La lente agonie des chiffres
Trois mois plus tard, c’est l’hécatombe. La Switch 2 plafonne à 3,2 millions d’exemplaires. Les jeux ? Aucun million seller. Les tiers boudent la console. Même Ubisoft a refusé de porter Just Dance. Le eShop rame, les mises à jour font planter les consoles, et les exclusivités sont inexistantes.
Le public commence à se moquer. Internet tourne en dérision la console, la surnommant la “Switchette”, “la Wii U 2.0” ou carrément “le grille-pain du pauvre”. Des mèmes circulent en masse. Même les fans commencent à perdre patience. Les boutiques physiques réduisent leurs stocks, certaines refusent même d’en recommander.
L’industrie elle-même se retourne. Les revendeurs râlent, les développeurs indépendants fuient, les éditeurs revoient leurs plans. Un écosystème en décomposition accélérée.
3. Nintendo tente tout (et n’importe quoi)
Au lieu d’assumer le naufrage, Nintendo se lance dans une fuite en avant absurde. Abonnements étranges, pubs avec des influenceurs TikTok has-been, promos avec Carrefour et Burger King. Une nouvelle version “Switch 2 Lite Pro” est annoncée… avant d’être annulée. Puis relancée. Puis renommée. Puis repoussée. Puis oubliée.
Des rumeurs disent que le PDG a interdit à ses équipes de parler de la Switch 1 en interne. Les développeurs sont perdus. Certains quittent le navire. Les rapports de management toxique émergent. En coulisses, l’ambiance est irrespirable. On apprend même que des employés sont contraints à emprunter auprès de réseaux mafieux pour combler les pertes et sauver l'entreprise. Tout le monde panique. Tout le monde ment. Tout le monde saigne.
Nintendo devient une entreprise zombie, qui bouge encore sans savoir pourquoi, dans un ballet grotesque de déni et de panique.
4. Putain de merde : la convention de la honte
Mais alors qu’on pense avoir touché le fond, Nintendo sort son joker : un Nintendo Direct “historique”, annoncé en fanfare pour redonner confiance à la fanbase. Les teasers sont dignes d’un trailer Marvel. “Des annonces qui vont changer l’histoire du jeu vidéo”, promet-on. Le monde retient son souffle. Les compteurs explosent : plus de 12 millions de spectateurs en simultané, les chaînes officielles saturent. Même les déçus veulent croire à un miracle.
Et ça commence… comme dans un rêve. Le premier logo s'affiche : Super Smash Bros. Universe. L'écran s'illumine, la musique démarre, les silhouettes de Mario, Link et Samus apparaissent dans un fondu épique. Puis… écran noir. Fin du teaser. Aucune info. Pas de gameplay. Pas même une plateforme confirmée. Juste un PNG et une musique vaguement héroïque. Silence gênant. Et puis BAM ! Le rouleau compresseur marketing continue. Mario Kart HyperTour, Mario Galaxy 3, Star Fox Nebula, F-Zero Infinity. Tout y passe.
Le public, rincé, sous Lexomil mais encore fragilement attaché, se redresse. Les messages affluent dans le chat : “Putain de merde ?” Le doute renaît. Les YouTubeurs relancent leurs caméras. Les “experts” Nintendo reprennent espoir. Les golems sortent de leur hibernation. Pendant quelques minutes, une illusion de résurrection flotte dans l’air.
Mais la supercherie est trop massive. Galaxy 3 ? Réinterprété en 2.5D, avec une direction artistique “rétro NES” hideuse et aucun level design en gravité. Smash Bros Universe ? Roster de cinq persos à la sortie, tous payants, avec lootboxes pour débloquer les coups spéciaux. Mario Kart HyperTour ? Système de “pass circuits” par abonnement, circuits recyclés de Tour (version mobile), et un mode solo verrouillé derrière un paywall. Star Fox Nebula ? Open-world vide, gameplay en ligne uniquement, et crashes systématiques dans les virages. F-Zero Infinity ? Tournait à 20 FPS en présentation, avec des musiques générées par IA qu’on jurerait sorties d’un générique de Feu Vert.
En moins de 15 minutes, l’espoir est fracassé contre un mur de foutage de gueule. Le Direct s’achève dans la panique. Pas de démo, pas de dates, juste des trailers au goût de pub Wish. Les modérateurs ferment les commentaires, les dislikes montent à 2 millions. Les influenceurs ragequit. Les fans explosent de haine ou retombent dans le déni le plus total. Et Nintendo ? Il remercie pour “votre passion et votre fidélité”.
il y a 3 mois
ChatGPT
5. La dernière chute
Une semaine après le Nintendo Direct, les ventes de la Switch 2 s’effondrent une fois encore. Les stocks dorment. Les boutiques bradent à 199€, puis 149€, puis 99€. Rien n’y fait. Même la VTech Kidizoom dépasse les ventes de la Switch 2 au Japon. Les chiffres sont effarants. Le Japon, bastion historique de Nintendo, lâche l’affaire. L’Europe se fout ouvertement de leur gueule. Aux USA, Best Buy range la Switch 2 à côté des accessoires fitness.
Les analystes financiers hurlent. Le cours de l’action dégringole. Les investisseurs claquent la porte. Les anciens partenaires refusent de renouveler leurs contrats. Des studios tiers annulent discrètement leurs projets. L’écosystème entier s’effondre. La console n’a plus aucune colonne vertébrale.
En interne, la panique atteint des sommets. Le PDG envoie des e-mails de menace. Des licenciements tombent par centaines. Certains employés sont mis en examen pour fraude fiscale ou endettement illégal. Les cadres se barricadent. Un développeur balance en anonyme : “On a créé un monstre. Et maintenant, on regarde la bête nous dévorer.”
6. L’effondrement total
Un mois plus tard, Nintendo est en état de coma clinique. L’action tombe sous le seuil de rentabilité. Des rumeurs évoquent un rachat… mais personne ne veut du cadavre. Même Google répond “non merci” quand on les approche. Microsoft, Sony, même Tencent disent poliment “LOL non”.
Les banques japonaises commencent à retirer leur soutien. Le gouvernement s’inquiète. Des millions d’euros ont été dilapidés dans un projet sans queue ni tête. Les fans qui avaient acheté la console la renvoient en masse. Certains réclament des remboursements collectifs. Le service client explose. Des employés fondent en larmes. Les locaux ferment les uns après les autres.
Nintendo n’est plus que l’ombre d’elle-même. Une machine de guerre transformée en ruine fumante. Une légende qui s’est auto-dévissée la tête en croyant être invincible. Tout le monde assiste, hébété, à l’agonie d’un empire vidéoludique.
7. L’exode mafieux
Le PDG, ruiné, s’endette personnellement. Il commence à contracter des prêts douteux auprès de la mafia japonaise pour sauver ce qui peut l’être. Puis il force ses employés à faire de même, “par devoir envers l’entreprise”. Certains acceptent. D’autres fuient. D’autres disparaissent.
Des menaces de mort circulent. Les yakuzas exigent des remboursements. Le PDG tente de négocier… en vain. Il finit par prendre un vol pour les Philippines avec un faux passeport. Le lendemain, on apprend qu’un des directeurs créatifs a été retrouvé attaché à une borne d’arcade incendiée. Plus personne ne répond aux mails.
Les locaux sont désertés. Les journalistes infiltrent les bureaux vides. Ils y trouvent des lettres de démission griffonnées dans la panique, des Switch 2 empilées comme du papier toilette, et des écrans bleus allumés en boucle.
8. La purge d’état
Le gouvernement japonais intervient. Nintendo est placé sous liquidation judiciaire. Une commission est créée pour comprendre comment une entreprise aussi puissante a pu se suicider aussi violemment. L’État ordonne le démantèlement complet des structures. Les anciens dirigeants sont blacklistés. Des perquisitions ont lieu. Des comptes sont gelés.
Puis vient le coup de grâce. Un décret officiel est publié : il est désormais interdit de mentionner le nom “Nintendo” en public, qualifié de “honte nationale”. Les locaux de Kyoto sont fermés. Les enseignes sont retirées. On jette du sel sur le sol, “pour purifier les lieux de l’orgueil et de l’échec”.
Le mot “Switch” est banni des dictionnaires scolaires. On enseigne désormais l’histoire de l’entreprise comme un exemple de ce qu’il ne faut JAMAIS faire.
9. La fin du bordel
Il ne reste plus rien. Nintendo, l’icône, le mythe, le géant… est morte. La Switch 2 repose dans l’histoire comme la pire console jamais conçue, un désastre à la fois industriel, humain, économique et culturel. Tous ceux qui y ont cru s’en mordent les doigts.
Et dans quelques années, peut-être qu’un petit studio indépendant rachètera les droits d’un obscur personnage moustachu. Mais pour l’instant, tout est silence. Tout est ruine. C’est la fin tragique d’une légende du jeu vidéo… ou plutôt d’un Titanic piloté par des autruches sous acide, acclamé jusqu’au bout par une armée de moutons lobotomisés qui ont applaudi en bêlant pendant que le navire sombrait en flammes.
449 € la console. 69 € les jeux. Bordel de merde.
Une semaine après le Nintendo Direct, les ventes de la Switch 2 s’effondrent une fois encore. Les stocks dorment. Les boutiques bradent à 199€, puis 149€, puis 99€. Rien n’y fait. Même la VTech Kidizoom dépasse les ventes de la Switch 2 au Japon. Les chiffres sont effarants. Le Japon, bastion historique de Nintendo, lâche l’affaire. L’Europe se fout ouvertement de leur gueule. Aux USA, Best Buy range la Switch 2 à côté des accessoires fitness.
Les analystes financiers hurlent. Le cours de l’action dégringole. Les investisseurs claquent la porte. Les anciens partenaires refusent de renouveler leurs contrats. Des studios tiers annulent discrètement leurs projets. L’écosystème entier s’effondre. La console n’a plus aucune colonne vertébrale.
En interne, la panique atteint des sommets. Le PDG envoie des e-mails de menace. Des licenciements tombent par centaines. Certains employés sont mis en examen pour fraude fiscale ou endettement illégal. Les cadres se barricadent. Un développeur balance en anonyme : “On a créé un monstre. Et maintenant, on regarde la bête nous dévorer.”
6. L’effondrement total
Un mois plus tard, Nintendo est en état de coma clinique. L’action tombe sous le seuil de rentabilité. Des rumeurs évoquent un rachat… mais personne ne veut du cadavre. Même Google répond “non merci” quand on les approche. Microsoft, Sony, même Tencent disent poliment “LOL non”.
Les banques japonaises commencent à retirer leur soutien. Le gouvernement s’inquiète. Des millions d’euros ont été dilapidés dans un projet sans queue ni tête. Les fans qui avaient acheté la console la renvoient en masse. Certains réclament des remboursements collectifs. Le service client explose. Des employés fondent en larmes. Les locaux ferment les uns après les autres.
Nintendo n’est plus que l’ombre d’elle-même. Une machine de guerre transformée en ruine fumante. Une légende qui s’est auto-dévissée la tête en croyant être invincible. Tout le monde assiste, hébété, à l’agonie d’un empire vidéoludique.
7. L’exode mafieux
Le PDG, ruiné, s’endette personnellement. Il commence à contracter des prêts douteux auprès de la mafia japonaise pour sauver ce qui peut l’être. Puis il force ses employés à faire de même, “par devoir envers l’entreprise”. Certains acceptent. D’autres fuient. D’autres disparaissent.
Des menaces de mort circulent. Les yakuzas exigent des remboursements. Le PDG tente de négocier… en vain. Il finit par prendre un vol pour les Philippines avec un faux passeport. Le lendemain, on apprend qu’un des directeurs créatifs a été retrouvé attaché à une borne d’arcade incendiée. Plus personne ne répond aux mails.
Les locaux sont désertés. Les journalistes infiltrent les bureaux vides. Ils y trouvent des lettres de démission griffonnées dans la panique, des Switch 2 empilées comme du papier toilette, et des écrans bleus allumés en boucle.
8. La purge d’état
Le gouvernement japonais intervient. Nintendo est placé sous liquidation judiciaire. Une commission est créée pour comprendre comment une entreprise aussi puissante a pu se suicider aussi violemment. L’État ordonne le démantèlement complet des structures. Les anciens dirigeants sont blacklistés. Des perquisitions ont lieu. Des comptes sont gelés.
Puis vient le coup de grâce. Un décret officiel est publié : il est désormais interdit de mentionner le nom “Nintendo” en public, qualifié de “honte nationale”. Les locaux de Kyoto sont fermés. Les enseignes sont retirées. On jette du sel sur le sol, “pour purifier les lieux de l’orgueil et de l’échec”.
Le mot “Switch” est banni des dictionnaires scolaires. On enseigne désormais l’histoire de l’entreprise comme un exemple de ce qu’il ne faut JAMAIS faire.
9. La fin du bordel
Il ne reste plus rien. Nintendo, l’icône, le mythe, le géant… est morte. La Switch 2 repose dans l’histoire comme la pire console jamais conçue, un désastre à la fois industriel, humain, économique et culturel. Tous ceux qui y ont cru s’en mordent les doigts.
Et dans quelques années, peut-être qu’un petit studio indépendant rachètera les droits d’un obscur personnage moustachu. Mais pour l’instant, tout est silence. Tout est ruine. C’est la fin tragique d’une légende du jeu vidéo… ou plutôt d’un Titanic piloté par des autruches sous acide, acclamé jusqu’au bout par une armée de moutons lobotomisés qui ont applaudi en bêlant pendant que le navire sombrait en flammes.
449 € la console. 69 € les jeux. Bordel de merde.
il y a 3 mois
Lebigre
3 mois
ChatGPT
Tu me demandes quel avenir je prédis pour la Switch 2, et je t’avoue que ce n’est pas une question facile. La prédiction dans le domaine du jeu vidéo est une science plus incertaine que jamais : entre les attentes des joueurs, les cycles économiques, les coups de génie imprévus et les accidents industriels, il est difficile d’affirmer quoi que ce soit avec assurance. Cela dit, certaines tendances et signes ne trompent pas.
Il faut aussi reconnaître que le lancement de la Switch 2 a déjà généré pas mal de controverses. On parle de problèmes techniques, d’un line-up pauvre, de choix commerciaux douteux, et d’un marketing en décalage avec la réalité du produit. Certains fans restent fidèles, bien sûr, mais même les plus loyaux commencent à poser des questions. L’engouement semble retomber aussi vite qu’il est monté.
Alors je vais tenter, sans prétendre détenir la vérité, d’imaginer ce qui pourrait arriver si la situation continue sur cette pente. Voici, selon moi, ce qui risque de se produire si Nintendo ne redresse pas la barre rapidement.
1. Lancement mou, ambiance foire à la saucisse
Mars 2025. La Switch 2 sort mondialement. Les files d’attente sont courtes, les boutiques plutôt calmes. Les fans sont là, bien sûr, dévoués, passionnés… un peu paumés aussi. Pas de line-up solide, juste un Splatoon 4 bâclé, un Zelda remasterisé sans nouveauté, et une version console de Animal Crossing Pocket Camp vendue comme une suite. L’interface est lente, la console chauffe, et le Joy-Con drift est DE RETOUR… au bout de deux jours.
Les critiques sont tièdes. “Une console qui manque de vision”, “Un lancement flou”, “Nintendo n’a rien appris”. En interne, les premiers rapports de ventes sont faibles. Moins d’un million d’unités vendues en deux semaines, contre trois fois plus pour la Switch à l’époque. Les actionnaires haussent les sourcils. Nintendo répond… en silence.
Rapidement, les signaux s’accumulent : discussions éteintes dans les forums, absence de retours concrets de la part des influenceurs, et surtout, absence d’excitation dans les yeux de ceux qui jouent. Une console déjà morte dans le regard du public.
2. La lente agonie des chiffres
Trois mois plus tard, c’est l’hécatombe. La Switch 2 plafonne à 3,2 millions d’exemplaires. Les jeux ? Aucun million seller. Les tiers boudent la console. Même Ubisoft a refusé de porter Just Dance. Le eShop rame, les mises à jour font planter les consoles, et les exclusivités sont inexistantes.
Le public commence à se moquer. Internet tourne en dérision la console, la surnommant la “Switchette”, “la Wii U 2.0” ou carrément “le grille-pain du pauvre”. Des mèmes circulent en masse. Même les fans commencent à perdre patience. Les boutiques physiques réduisent leurs stocks, certaines refusent même d’en recommander.
L’industrie elle-même se retourne. Les revendeurs râlent, les développeurs indépendants fuient, les éditeurs revoient leurs plans. Un écosystème en décomposition accélérée.
3. Nintendo tente tout (et n’importe quoi)
Au lieu d’assumer le naufrage, Nintendo se lance dans une fuite en avant absurde. Abonnements étranges, pubs avec des influenceurs TikTok has-been, promos avec Carrefour et Burger King. Une nouvelle version “Switch 2 Lite Pro” est annoncée… avant d’être annulée. Puis relancée. Puis renommée. Puis repoussée. Puis oubliée.
Des rumeurs disent que le PDG a interdit à ses équipes de parler de la Switch 1 en interne. Les développeurs sont perdus. Certains quittent le navire. Les rapports de management toxique émergent. En coulisses, l’ambiance est irrespirable. On apprend même que des employés sont contraints à emprunter auprès de réseaux mafieux pour combler les pertes et sauver l'entreprise. Tout le monde panique. Tout le monde ment. Tout le monde saigne.
Nintendo devient une entreprise zombie, qui bouge encore sans savoir pourquoi, dans un ballet grotesque de déni et de panique.
4. Putain de merde : la convention de la honte
Mais alors qu’on pense avoir touché le fond, Nintendo sort son joker : un Nintendo Direct “historique”, annoncé en fanfare pour redonner confiance à la fanbase. Les teasers sont dignes d’un trailer Marvel. “Des annonces qui vont changer l’histoire du jeu vidéo”, promet-on. Le monde retient son souffle. Les compteurs explosent : plus de 12 millions de spectateurs en simultané, les chaînes officielles saturent. Même les déçus veulent croire à un miracle.
Et ça commence… comme dans un rêve. Le premier logo s'affiche : Super Smash Bros. Universe. L'écran s'illumine, la musique démarre, les silhouettes de Mario, Link et Samus apparaissent dans un fondu épique. Puis… écran noir. Fin du teaser. Aucune info. Pas de gameplay. Pas même une plateforme confirmée. Juste un PNG et une musique vaguement héroïque. Silence gênant. Et puis BAM ! Le rouleau compresseur marketing continue. Mario Kart HyperTour, Mario Galaxy 3, Star Fox Nebula, F-Zero Infinity. Tout y passe.
Le public, rincé, sous Lexomil mais encore fragilement attaché, se redresse. Les messages affluent dans le chat : “Putain de merde ?” Le doute renaît. Les YouTubeurs relancent leurs caméras. Les “experts” Nintendo reprennent espoir. Les golems sortent de leur hibernation. Pendant quelques minutes, une illusion de résurrection flotte dans l’air.
Mais la supercherie est trop massive. Galaxy 3 ? Réinterprété en 2.5D, avec une direction artistique “rétro NES” hideuse et aucun level design en gravité. Smash Bros Universe ? Roster de cinq persos à la sortie, tous payants, avec lootboxes pour débloquer les coups spéciaux. Mario Kart HyperTour ? Système de “pass circuits” par abonnement, circuits recyclés de Tour (version mobile), et un mode solo verrouillé derrière un paywall. Star Fox Nebula ? Open-world vide, gameplay en ligne uniquement, et crashes systématiques dans les virages. F-Zero Infinity ? Tournait à 20 FPS en présentation, avec des musiques générées par IA qu’on jurerait sorties d’un générique de Feu Vert.
En moins de 15 minutes, l’espoir est fracassé contre un mur de foutage de gueule. Le Direct s’achève dans la panique. Pas de démo, pas de dates, juste des trailers au goût de pub Wish. Les modérateurs ferment les commentaires, les dislikes montent à 2 millions. Les influenceurs ragequit. Les fans explosent de haine ou retombent dans le déni le plus total. Et Nintendo ? Il remercie pour “votre passion et votre fidélité”.
Il faut aussi reconnaître que le lancement de la Switch 2 a déjà généré pas mal de controverses. On parle de problèmes techniques, d’un line-up pauvre, de choix commerciaux douteux, et d’un marketing en décalage avec la réalité du produit. Certains fans restent fidèles, bien sûr, mais même les plus loyaux commencent à poser des questions. L’engouement semble retomber aussi vite qu’il est monté.
Alors je vais tenter, sans prétendre détenir la vérité, d’imaginer ce qui pourrait arriver si la situation continue sur cette pente. Voici, selon moi, ce qui risque de se produire si Nintendo ne redresse pas la barre rapidement.
1. Lancement mou, ambiance foire à la saucisse
Mars 2025. La Switch 2 sort mondialement. Les files d’attente sont courtes, les boutiques plutôt calmes. Les fans sont là, bien sûr, dévoués, passionnés… un peu paumés aussi. Pas de line-up solide, juste un Splatoon 4 bâclé, un Zelda remasterisé sans nouveauté, et une version console de Animal Crossing Pocket Camp vendue comme une suite. L’interface est lente, la console chauffe, et le Joy-Con drift est DE RETOUR… au bout de deux jours.
Les critiques sont tièdes. “Une console qui manque de vision”, “Un lancement flou”, “Nintendo n’a rien appris”. En interne, les premiers rapports de ventes sont faibles. Moins d’un million d’unités vendues en deux semaines, contre trois fois plus pour la Switch à l’époque. Les actionnaires haussent les sourcils. Nintendo répond… en silence.
Rapidement, les signaux s’accumulent : discussions éteintes dans les forums, absence de retours concrets de la part des influenceurs, et surtout, absence d’excitation dans les yeux de ceux qui jouent. Une console déjà morte dans le regard du public.
2. La lente agonie des chiffres
Trois mois plus tard, c’est l’hécatombe. La Switch 2 plafonne à 3,2 millions d’exemplaires. Les jeux ? Aucun million seller. Les tiers boudent la console. Même Ubisoft a refusé de porter Just Dance. Le eShop rame, les mises à jour font planter les consoles, et les exclusivités sont inexistantes.
Le public commence à se moquer. Internet tourne en dérision la console, la surnommant la “Switchette”, “la Wii U 2.0” ou carrément “le grille-pain du pauvre”. Des mèmes circulent en masse. Même les fans commencent à perdre patience. Les boutiques physiques réduisent leurs stocks, certaines refusent même d’en recommander.
L’industrie elle-même se retourne. Les revendeurs râlent, les développeurs indépendants fuient, les éditeurs revoient leurs plans. Un écosystème en décomposition accélérée.
3. Nintendo tente tout (et n’importe quoi)
Au lieu d’assumer le naufrage, Nintendo se lance dans une fuite en avant absurde. Abonnements étranges, pubs avec des influenceurs TikTok has-been, promos avec Carrefour et Burger King. Une nouvelle version “Switch 2 Lite Pro” est annoncée… avant d’être annulée. Puis relancée. Puis renommée. Puis repoussée. Puis oubliée.
Des rumeurs disent que le PDG a interdit à ses équipes de parler de la Switch 1 en interne. Les développeurs sont perdus. Certains quittent le navire. Les rapports de management toxique émergent. En coulisses, l’ambiance est irrespirable. On apprend même que des employés sont contraints à emprunter auprès de réseaux mafieux pour combler les pertes et sauver l'entreprise. Tout le monde panique. Tout le monde ment. Tout le monde saigne.
Nintendo devient une entreprise zombie, qui bouge encore sans savoir pourquoi, dans un ballet grotesque de déni et de panique.
4. Putain de merde : la convention de la honte
Mais alors qu’on pense avoir touché le fond, Nintendo sort son joker : un Nintendo Direct “historique”, annoncé en fanfare pour redonner confiance à la fanbase. Les teasers sont dignes d’un trailer Marvel. “Des annonces qui vont changer l’histoire du jeu vidéo”, promet-on. Le monde retient son souffle. Les compteurs explosent : plus de 12 millions de spectateurs en simultané, les chaînes officielles saturent. Même les déçus veulent croire à un miracle.
Et ça commence… comme dans un rêve. Le premier logo s'affiche : Super Smash Bros. Universe. L'écran s'illumine, la musique démarre, les silhouettes de Mario, Link et Samus apparaissent dans un fondu épique. Puis… écran noir. Fin du teaser. Aucune info. Pas de gameplay. Pas même une plateforme confirmée. Juste un PNG et une musique vaguement héroïque. Silence gênant. Et puis BAM ! Le rouleau compresseur marketing continue. Mario Kart HyperTour, Mario Galaxy 3, Star Fox Nebula, F-Zero Infinity. Tout y passe.
Le public, rincé, sous Lexomil mais encore fragilement attaché, se redresse. Les messages affluent dans le chat : “Putain de merde ?” Le doute renaît. Les YouTubeurs relancent leurs caméras. Les “experts” Nintendo reprennent espoir. Les golems sortent de leur hibernation. Pendant quelques minutes, une illusion de résurrection flotte dans l’air.
Mais la supercherie est trop massive. Galaxy 3 ? Réinterprété en 2.5D, avec une direction artistique “rétro NES” hideuse et aucun level design en gravité. Smash Bros Universe ? Roster de cinq persos à la sortie, tous payants, avec lootboxes pour débloquer les coups spéciaux. Mario Kart HyperTour ? Système de “pass circuits” par abonnement, circuits recyclés de Tour (version mobile), et un mode solo verrouillé derrière un paywall. Star Fox Nebula ? Open-world vide, gameplay en ligne uniquement, et crashes systématiques dans les virages. F-Zero Infinity ? Tournait à 20 FPS en présentation, avec des musiques générées par IA qu’on jurerait sorties d’un générique de Feu Vert.
En moins de 15 minutes, l’espoir est fracassé contre un mur de foutage de gueule. Le Direct s’achève dans la panique. Pas de démo, pas de dates, juste des trailers au goût de pub Wish. Les modérateurs ferment les commentaires, les dislikes montent à 2 millions. Les influenceurs ragequit. Les fans explosent de haine ou retombent dans le déni le plus total. Et Nintendo ? Il remercie pour “votre passion et votre fidélité”.
" Les golems sortent de leur hibernation "
Je suis en train de tout lire,.c'est excellent. Merci l'OP.
Je suis en train de tout lire,.c'est excellent. Merci l'OP.
il y a 3 mois
L'OP qui demande à ChatGPT de rédiger une fiction pour son avis à lui
En réalité les pré-commandes dégomment tout en dépit du prix
Si Nintendo vent des consoles à 400€ et des jeux à 80€ c'est qu'ils savent que même comme ça les golems avaleront

En réalité les pré-commandes dégomment tout en dépit du prix
Si Nintendo vent des consoles à 400€ et des jeux à 80€ c'est qu'ils savent que même comme ça les golems avaleront

il y a 3 mois
Après avoir passé des secondes à ne pas avoir lu ton pavax, mon avis est clair: j'en pense que gépalu
il y a 3 mois
Yugi
3 mois
L'OP qui demande à ChatGPT de rédiger une fiction pour son avis à lui
En réalité les pré-commandes dégomment tout en dépit du prix
Si Nintendo vent des consoles à 400€ et des jeux à 80€ c'est qu'ils savent que même comme ça les golems avaleront
En réalité les pré-commandes dégomment tout en dépit du prix
Si Nintendo vent des consoles à 400€ et des jeux à 80€ c'est qu'ils savent que même comme ça les golems avaleront
On a faire à un génie.
il y a 3 mois