Comment on peut avoir tant de haine pour des personnes qui ne t'ont rien fait, à croire qu'elle a tué un membre de ta famille pour que tu désires son suicide et des souffrances éternelles en enfer.
C'est vous les haineux qui détestez la morale, et j'ai dit purgatoire, pas enfer.
Mais bref débarrassez le plancher, laissez les gens vivre sainement, par pitié
Mais bref débarrassez le plancher, laissez les gens vivre sainement, par pitié
C'est vous les haineux qui détestez la morale, et j'ai dit purgatoire, pas enfer.
Mais bref débarrassez le plancher, laissez les gens vivre sainement, par pitié
Mais bref débarrassez le plancher, laissez les gens vivre sainement, par pitié
Comme s'il y avait besoin des religions pour voir que ce sôt des monstruosité ? T'es né d'un père et d'une mère mais t'arrive quand même à avoir de telles pratiques. L’amour c'est d'être une bonne personne, si tu es homosexuel, tu n'es pas une bonne personne.
Comme s'il y avait besoin des religions pour voir que ce sôt des monstruosité ? T'es né d'un père et d'une mère mais t'arrive quand même à avoir de telles pratiques. L’amour c'est d'être une bonne personne, si tu es homosexuel, tu n'es pas une bonne personne.
Je suis sûr que je t’envoie en chine, en Corée, ou même au pôle nord, là où y'a pas la morale abrahamique que tu te fais péter la figure quand même si t'as ce genre de penchants alors évite de venir raconter n'importe quoi
pk c'est un truc de taré de se couper le zgeg ?
Je suis sûr que je t’envoie en chine, en Corée, ou même au pôle nord, là où y'a pas la morale abrahamique que tu te fais péter la figure quand même si t'as ce genre de penchants alors évite de venir raconter n'importe quoi
En Europe oui
tu te limites à ça. Pourtant je suis sûr que même chez les esquimaux, ils te tolereront pas
frero moi je suis pour, + il y a de low iq qui se coupent le zgeg +les zgegs deviennent rare
ca fait nos affaires, on doit encourager ce genre de comportement
ca fait nos affaires, on doit encourager ce genre de comportement
En Europe oui
tu te limites à ça. Pourtant je suis sûr que même chez les esquimaux, ils te tolereront pas
Bah je vis en Europe et je suis Européen.
La majorité des civilisations dans l'histoire n'étaient pas hostile à l'homosexualité.
La majorité des civilisations dans l'histoire n'étaient pas hostile à l'homosexualité.
En Europe oui
tu te limites à ça. Pourtant je suis sûr que même chez les esquimaux, ils te tolereront pas
Sauf qu'on est en France
Si tu dois vivre ta vie selon ce que les autres peuples considèrent comme impur ou immoral, ce serait un enfer
Si tu dois vivre ta vie selon ce que les autres peuples considèrent comme impur ou immoral, ce serait un enfer
NOW YOU BOW TO ME !
You took my dreams BUT NOT MY NAME !!!
[ChatGPT]
Afrique
Égypte antique.
Dans l’Égypte des Pharaons, les indices restent ambigus. Quelques œuvres (statues ou fresques) représentent des couples du même sexe en posture affectueuse – par exemple la célèbre statue dite d’Idet et Ruiu, deux femmes assises côte à côte
https://en.wikipedia.org/[...]uples%2C%20Museo%20Egizio.
Cette posture est tout à fait celle des couples hétérosexuels dans l’iconographie égyptienne, ce qui amène certains à les interpréter comme un couple de femmes.
Par ailleurs, les deux hauts fonctionnaires Niankhkhnum et Khnumhotep, enterrés ensemble au IIIe millénaire, sont peints en train de se toucher de face (le nez contre le nez), geste habituellement vu comme un baiser royal.
https://en.wikipedia.org/[...]nkh-khnum_and_Khnum-hotep
Les spécialistes n’ont pas de preuve d’interdiction légale de l’homosexualité en Égypte : on pense que celle-ci était socialement mal vue (comme un désordre moral) mais jamais condamnée pénalement.
En résumé, l’attitude égyptienne était plutôt ambivalente – des relations homosexuelles existent dans l’art et la mythologie, mais elles n’étaient pas pour autant sanctionnées par la loi
https://czasopisma.kul.pl[...]t%20but%20not%20penalized
Peuples d’Afrique subsaharienne.
Les pratiques variaient selon les cultures. De manière générale, de nombreuses sociétés africaines traditionnelles avaient des conceptions de genre plus fluides qu’en Occident. Par exemple, dans certains royaumes d’Afrique de l’Ouest (Akan, Yoruba, etc.), on connaît le phénomène des « femmes-épouses » – des femmes assumant socialement le rôle d’homme époux d’une autre femme pour assurer la descendance patrimoniale. Les anthropologues parlent aussi de « mâles genrés » ou « femmes genrées », où le genre est vu comme construit et flexible
https://www.aaihs.org/did[...]w%20of%20Nwando,%E2%80%9D Globalement, les témoignages disponibles suggèrent que l’homosexualité n’était pas étiquetée comme taboue intrinsèque dans la plupart des sociétés africaines précoloniales, et qu’elle pouvait être intégrée dans des systèmes de parenté ou de genre élargis. (L’homophobie, telle qu’introduite par la loi coloniale anglaise ou française, est un héritage tardif.)
+
https://www.theguardian.c[...]omosexuality-christianity
L'homosexualité en Ouganda + le Roi Mwanga II qui était bisexuel:
https://en.wikipedia.org/[...]i/LGBTQ_history_in_Uganda
Les peintures d'orgie chez les San où les hommes s'amusent à se toucher le zizi.
Système pédérastique similaire à celui des grecs anciens au Congo:
https://en.wikipedia.org/wiki/LGBTQ_history#Azande
Afrique
Égypte antique.
Dans l’Égypte des Pharaons, les indices restent ambigus. Quelques œuvres (statues ou fresques) représentent des couples du même sexe en posture affectueuse – par exemple la célèbre statue dite d’Idet et Ruiu, deux femmes assises côte à côte
Cette posture est tout à fait celle des couples hétérosexuels dans l’iconographie égyptienne, ce qui amène certains à les interpréter comme un couple de femmes.
Par ailleurs, les deux hauts fonctionnaires Niankhkhnum et Khnumhotep, enterrés ensemble au IIIe millénaire, sont peints en train de se toucher de face (le nez contre le nez), geste habituellement vu comme un baiser royal.
Les spécialistes n’ont pas de preuve d’interdiction légale de l’homosexualité en Égypte : on pense que celle-ci était socialement mal vue (comme un désordre moral) mais jamais condamnée pénalement.
En résumé, l’attitude égyptienne était plutôt ambivalente – des relations homosexuelles existent dans l’art et la mythologie, mais elles n’étaient pas pour autant sanctionnées par la loi
Peuples d’Afrique subsaharienne.
Les pratiques variaient selon les cultures. De manière générale, de nombreuses sociétés africaines traditionnelles avaient des conceptions de genre plus fluides qu’en Occident. Par exemple, dans certains royaumes d’Afrique de l’Ouest (Akan, Yoruba, etc.), on connaît le phénomène des « femmes-épouses » – des femmes assumant socialement le rôle d’homme époux d’une autre femme pour assurer la descendance patrimoniale. Les anthropologues parlent aussi de « mâles genrés » ou « femmes genrées », où le genre est vu comme construit et flexible
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L'homosexualité en Ouganda + le Roi Mwanga II qui était bisexuel:
Historian Jack Driberg observed that some males amongst a group of agriculturalists north of Lake Kwania in Uganda were called “Mudoko Daka and treated as women but could carry as men.”[6] Colonial and post-colonial ethno-graphics texts suggest the existence of same-sex social and sexual relationships among several different Ugandan ethnic groups such as the Langi, The Iteso, The Baganda, The Bahima, and the Bunyoro which was quite common and practiced by other pastoral people groups.
The tension between religion and homosexuality in Uganda traces back to the contested historical event involving Buganda Kabaka (King) Mwanga and the Christian Martyrs. Mwanga the II ascended the throne in 1884 at the age of 17 and ruled from 1884 to 1897.He inherited a court that was sharply polarized between two different religious factions, each which stood in varying degrees of alliance with external powers vying for influence and encroaching on Buganda in the intense scramble for Africa.In 1886 Mwanga II executed forty-five of his male subjects/ pages, either by burning or beheading who become the Christian Martyrs. According to some historical accounts were executed by Mwanga in 1886, for refusing the sexual advance because of their newly adopted religion of Catholicism that “Taught that homosexuality was an abomination”.[7]
The tension between religion and homosexuality in Uganda traces back to the contested historical event involving Buganda Kabaka (King) Mwanga and the Christian Martyrs. Mwanga the II ascended the throne in 1884 at the age of 17 and ruled from 1884 to 1897.He inherited a court that was sharply polarized between two different religious factions, each which stood in varying degrees of alliance with external powers vying for influence and encroaching on Buganda in the intense scramble for Africa.In 1886 Mwanga II executed forty-five of his male subjects/ pages, either by burning or beheading who become the Christian Martyrs. According to some historical accounts were executed by Mwanga in 1886, for refusing the sexual advance because of their newly adopted religion of Catholicism that “Taught that homosexuality was an abomination”.[7]
Les peintures d'orgie chez les San où les hommes s'amusent à se toucher le zizi.
Système pédérastique similaire à celui des grecs anciens au Congo:
Among the Zande people of Congo, there was a social institution similar to pederasty in Ancient Greece. E. E. Evans-Pritchard also recorded that male Azande warriors routinely took on boy-wives between the ages of twelve and twenty, who helped with household tasks and participated in intercrural sex with their older husbands. The practice had died out by the early 20th century, after Europeans had gained control of African countries, but was recounted to Evans-Pritchard by the elders with whom he spoke.[108]
During the 1930s Evans-Pritchard recorded information about sexual relationships between women, based on reports from male Azande.[109]: 55 According to male Azande, women would take female lovers in order to seek out pleasure and that partners would penetrate each other using bananas or a food item carved into the shape of a phallus.[109]: 55 They also reported that the daughter of a ruler may be given a female slave as a sexual partner.[109]: 55 Evans-Pritchard also recorded that the male Azande were fearful of women taking on female lovers, as they might view men as unnecessary.[109]
During the 1930s Evans-Pritchard recorded information about sexual relationships between women, based on reports from male Azande.[109]: 55 According to male Azande, women would take female lovers in order to seek out pleasure and that partners would penetrate each other using bananas or a food item carved into the shape of a phallus.[109]: 55 They also reported that the daughter of a ruler may be given a female slave as a sexual partner.[109]: 55 Evans-Pritchard also recorded that the male Azande were fearful of women taking on female lovers, as they might view men as unnecessary.[109]
Ok Maître Gims.
T'insultes tes ancêtres en disant ça, eux aussi ils se touchaient le pipou t'inquiète pas.
Bah j’ai sorti des exemples, des faits historiques que t’as balayé par supremacisme noir, donc parler de connaissances…
J’y peux rien si t’as pas lu toute la partie sur l’Afrique subsaharienne.
frero moi je suis pour, + il y a de low iq qui se coupent le zgeg +les zgegs deviennent rare
ca fait nos affaires, on doit encourager ce genre de comportement
ca fait nos affaires, on doit encourager ce genre de comportement