Ce sujet a été résolu
Ici on retrouve des trucs et astuces pour aider à produire de la musique dans le domaine ingé son plus tôt que composition
bien sûr il y a déjà des milliers de ressources et vidéos sur internet à propos de chaque sujet, je ne compte pas réinventer la roue mais simplement faire des petits résumés et guides en rapport au mixage audio.
Le but des posts n'est pas de donner des cours approfondis mais de donner des astuces ou vous donner envie d'essayer des choses, et des petites synthèses si vous n'avez pas envie de vous taper 20 minutes de vidéos d'un type qui vous raconte le bullshit habituel:
"Voici le trick ULTIME des INGES SONS GRAMMY AWARDS pour Mixer des VOIX RAP en moins de 5 MINUTES !!"
Si vous avez des questions ou suggestions de sujet, n'hésitez pas
Sommaire :
Traitement dynamique:
Les différents types de compresseur :
part1
https://onche.org/topic/8[...]-genre/1#message_16816794
part2
https://onche.org/topic/8[...]-genre/1#message_16816809
les compresseurs optique:
LA-2A
https://onche.org/topic/8[...]-genre/1#message_16596039
304C
https://onche.org/topic/8[...]-genre/1#message_16521458
les compresseurs FET:
1176
https://onche.org/topic/8[...]-genre/1#message_16692635
les compresseurs VCA:
les compresseurs Vari-Mu:
Le Fairchild 660
https://onche.org/topic/8[...]ut-genre#message_16703694
Le Fairchild 670
https://onche.org/topic/8[...]t-genre/#message_17034020
part1
part2
les compresseurs optique:
LA-2A
304C
les compresseurs FET:
1176
les compresseurs VCA:
les compresseurs Vari-Mu:
Le Fairchild 660
Le Fairchild 670
Traitement fréquentiel:
Harmonique:
Les effets:
la pédale BOSS CE-1
Autres:
raccourcis utiles (PRO TOOLS)
https://onche.org/topic/8[...]-genre/1#message_16518517
Petit guide pour mixer une voix seule et simple sur une instru
https://onche.org/topic/6[...]trer-et-mixer-une-musique
Petit guide pour mixer une voix seule et simple sur une instru
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il y a 2 mois
AUTRES : Liste de raccourcis utiles pour PRO TOOLS
Alt+Shift+ action
si vous voulez envoyez plusieurs piste dans un bus, ou supprimer toutes leurs entrée, après avoir sélectionné chaque piste, il suffit de faire : Alt + Shift + actions que vous souhaitez réaliser ( ici, clique sur une des sorties, choisir un bus )
Ça vous évite d'assigner chaque piste une à une mais de tout faire en même temps
Ça vous évite d'assigner chaque piste une à une mais de tout faire en même temps
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il y a 2 mois
TRAITEMENT DYNAMIQUE : Le compresseur 304C sur Pro Tools
Le compresseur 304C est conçu uniquement comme un compresseur d'effets. Son but est de changer la façon dont l'oreille perçoit le son ; son action modifie la clarté, l'équilibre et même la sensation rythmique de la musique.
Voilà la définition succincte donnée par Avid.
A première vue on pourrait penser que c'est un compresseur osef random. En gros c'est une émulation d'un compresseur crée par en hommage aux travaux de Joe Meek, pour pallier au fait que les compresseur VCA ne sonnerait pas assez musicaux et chaud. Il ressemble à ça:
Il possède des contrôles d'input, d'output, attack et release classique mais les points particuliers sont compression et slope.
Compression c'est en fait le réglage du treshold, et slope est apparenté au ratio mais avec des réglages bien précis.
Par exemple, il est surtout utilisé pour créer de bon effets de pompe si on met le ratio sur 5
On peut aussi Overshoot ce qui fait que le compresseur va surcompresser pendant un court instant ce qui crée un léger creux dans le signal juste apres le début d'une note. Pour cela il faut mettre le slope sur 5 et une attaque et relâchement sur fast.
Résumé:
bon compresseur qui peut créer des bons effets de pompe qui sonne de manière musicale, mais aussi fonctionnel avec un slope plus léger, peut fonctionner sur des drum bus, ou des pistes simples comme voix, basse...
j'ai fouillé internet et il est pas disponible gratuitement en vst par contre
j'ai fouillé internet et il est pas disponible gratuitement en vst par contre
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il y a 2 mois
TRAITEMENT DYNAMIQUE : Le Compresseur Teletronix LA-2A
L'un des compresseurs optiques les plus connus. Comment il sonne :
Fonctionnement :
allez au numéro 2, sur les compresseurs optiques.
Utilisation :
Il est plutôt lent et très bien sur les pistes vocales, les guitares, basses, sa lenteur permet de garder le punch avant de réduire le volume.
Comp/Lim : On peut choisir entre compresseur et limiteur. Le ratio est environ 3:1 en compression et 12:1 en mode limiteur.
Pour l'utiliser
1. Level match en mettant le contrôle de peak réduction à zéro
2. Ajuster l'input gain pour que le volume soit le meme qu'en bypassant le compresseur
3. Utiliser le peak reduction qui modifie le treshold jusqu'a atteindre le réglage voulu, et ensuite utiliser l'input comme make up gain.
A quoi ça ressemble IRL :
Normalement votre DAW dispose d'une émulation LA-2A, si ce n'est pas le cas, il existe des versions gratuites ( ou semi gratuites ) disponibles légalement :
Petit résumé historique seulement pour ceux qui le souhaitent :
Le LA-2A, légendaire compresseur audio, a été créé au début des années 60 par Jim Lawrence, fondateur de Teletronix à Pasadena. Issu de son premier modèle, le LA-1, et inspiré par son expérience militaire avec des capteurs optiques, Lawrence a conçu le LA-2A avec une innovation majeure : le T4, un atténuateur optique (panneau électroluminescent + photorésistances) qui donne sa compression douce et musicale. Sorti en 1962, il a séduit CBS et RCA pour son caractère chaleureux, idéal pour les voix et basses. Teletronix est racheté par Babcock en 1965, puis par Studio Electronics (UREI) en 1967. Trois versions existent jusqu’en 1969. Universal Audio le réédite en 2000, fidèle à l’original, et il reste un standard en studio.
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il y a 2 mois
TRAITEMENT DYNAMIQUE : Le Compresseur 1176

L'un des compresseurs FET les plus connus. Comment il sonne :
L'un des compresseurs FET les plus connus. Comment il sonne :
Fonctionnement :
allez au numéro 3, sur les compresseurs FET.
Utilisation :
C'est un compresseur très rapide ( son attaque descend à 20 micro secondes ) et peut être utilisé sur n'importe qu'elle piste, voix, batterie, guitare, synthés.... Avec des réglages ultra rapides ou le mode
Le potentiomètre INPUT règle le treshold et le niveau du signal qui rentre dans le compresseur en même temps. En gros, augmenter l'Input sur un 1176 a le même effet que diminuer le contrôle Threshold sur d'autres types de compresseurs.
Sa spécificité : les potentiomètres d'attaque et de release fonctionnent à l'envers des autres compresseurs, pour avoir des réglages rapides, il faut tourner dans le sens des aiguilles d'une montre et aller sur 7
en appuyant sur les 4 boutons en même temps de ratio, le compresseur agit différemment avec un ratio entre 12 et 20, des temps d'attack et release différent, et une courbe de compression qui ressemble à un plateau.
Avec des réglages ultra rapides ou ce mode, il peut avoir tendance a distordre le son, ce qui peut être voulu comme effet, ou pas
Pour l'utiliser
1. Mettre sur GAIN REDUCTION, régler l'input pour avoir 0 réduction de gain
2. Mettre le meter sur -18, REGLER l'output pour avoir un son qui sonne à la même puissance que si le compresseur n'était pas actif
normalement les boutons devraient être a peu près sur une position qui ressemble vaguement à ça :
3. Ensuite vous pouvez commencer a choisir le ratio, régler l'attack et la release et modifier l'input pour que la réduction de gain commence à s'appliquer
une astuce consiste a régler les deux potentiomètre en même temps, Input et Output, pour bien entendre seulement la compression alors que le son reste a un niveau équivalent ( tourner l'input dans le sens des aiguilles d'une montre pendant que l'output va dans le sens inverse des aiguilles d'une montre )
A quoi ça ressemble IRL :
Normalement votre DAW dispose d'une émulation 1176, si ce n'est pas le cas, il existe des versions gratuites ( ou semi gratuites ) disponibles légalement :
Petit résumé historique seulement pour ceux qui le souhaitent :
Le 1176, compresseur légendaire, naît en 1967 sous l’impulsion de Bill Putnam Sr., pionnier de l’enregistrement dès les années 1930 et fondateur d’Universal Audio dans les 1950s. Après ses préamplis et compresseurs à lampes (175 & 176), Putnam passe aux FET pour créer le 1176, une révolution dans la limitation audio. Son grain brillant et énergique, avec une chaleur dans les médiums, en fait un favori, notamment pour les voix de Michael Jackson ( ingé son Bruce Swedien) et divers instruments.
Évolutions : la Rev A (1967, SN 101-125) utilise des FET, une bande bleue et plus de distorsion harmonique.
La Rev AB (1967) améliore stabilité et bruit.
La Rev B (1968) passe aux transistors bipolaires.
En 1970, la Rev C introduit un circuit "low-noise" (LN) encapsulé, avec faceplate noire.
Les Rev D à F (1970-1973) intègrent le LN sur la carte principale, ajoutent un switch 220V et passent à une config push-pull (class-AB).
La Rev G (fin des Blackface) remplace le transfo d’entrée par un op-amp.
La Rev H (post-7652) adopte une faceplate alu et un logo bleu UREI.
En 2000, UA relance l’1176, proche de la Rev E.
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il y a 2 mois
LES EFFETS : la BOSS CE-1 Chorus
C'est un pédale de chorus. La première crée au monde. Très utile pour les guitaristes, surtout si vous voulez un petit coté année 80, vintage, mais vous pouvez aussi l'utiliser pour des synthés ou autres, comme vous voulez ! Comment elle sonne:
C'est un pédale de chorus. La première crée au monde. Très utile pour les guitaristes, surtout si vous voulez un petit coté année 80, vintage, mais vous pouvez aussi l'utiliser pour des synthés ou autres, comme vous voulez ! Comment elle sonne:
Fonctionnement :
Le Boss CE-1 est un chorus à 2 voix. Cela signifie qu'il dispose d'un signal dry combiné à un signal qui est retardé et modulé. La modulation du signal retardé entraîne une oscillation de la hauteur du signal, ce qui produit ce son caractéristique qu'on appelle chorus.
Utilisation :
Cette pédale à très peu de réglages, pour le mode chorus on peut juste régler l'intensité et la vitesse du chorus.
pour le mode vibrato le signal d'origine est coupée et l'on entend que le signal modulé, auquel on peut modifier la vitesse du vibrato et sa puissance.
pour le mode vibrato le signal d'origine est coupée et l'on entend que le signal modulé, auquel on peut modifier la vitesse du vibrato et sa puissance.
A quoi ça ressemble IRL :
le boitier bleu à droite est une ré édition moderne de la CE-1.
Normalement votre DAW dispose forcément d'un chorus, peut-être qu'il n'émulera pas spécifiquement cette pédale, mais les effets ne devraient pas être difficiles à reproduire. si ce n'est pas le cas, il existe des versions gratuites ( ou semi gratuites ) disponibles légalement :
Petit résumé historique seulement pour ceux qui le souhaitent :
La BOSS CE-1 Chorus Ensemble, lancée en 1976, est la première pédale d’effet de BOSS, dérivée du chorus intégré à l’ampli Roland Jazz Chorus JC-120. Conçue par Roland/BOSS au Japon, elle utilise un circuit analogique à base de BBD (Bucket-Brigade Device) pour produire un effet de chorus riche et vibrant, avec une modulation stéréo chaleureuse. Elle offrait deux modes : chorus (doux et ondulant) et vibrato (plus intense). Son boîtier robuste, alimenté en 12V, et ses réglages simples (rate, depth) en ont fait un standard pour guitares, claviers et même voix. Adorée par des artistes comme Andy Summers (The Police), elle est devenue culte malgré son arrêt en 1982. BOSS a réédité des versions modernes (CE-2, CE-5) et une réplique Waza Craft en 2016.
et pour finir un autre extrait de beaux sons de chorus
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il y a 2 mois
Le modèle 660 de FAIRCHILD est un compresseur/limiteur Vari-mu qui a été utilisé sur de nombreux enregistrements classiques tout au long de l'histoire. Il est très rare et coute très cher, plus de 30 000€
( heureusement que les plugin et clones existent
) Comment il sonne :
( heureusement que les plugin et clones existent
Fonctionnement :
allez au numéro 1, sur les compresseurs Vari-Mu.
Utilisation :
Son attaque est ultra rapide, c'est un compresseur qui était utilisé à l'origine en tant que limiter de mastering pour produire les vinyles, surtout avec le fairchild 670 qui a deux canaux.
Sur l'appareil originel ou sur certain plugin, il y a peu de réglages, sur d'autres, des options sont parfois ajoutés. je ne vais parler que des réglages principaux.
L'input gain sert à régler le niveau du signal qui rentre dans le compresseur ainsi que le threshold réduisant les pics. plus on rentre fort, plus on réduira de signal
Treshold détermine le niveau de compression à appliquer au signal. Tourner dans le sens des aiguilles d'une montre pour augmenter la compression, et abaisser le treshold.
Le degré de compression du signal est déterminé par les commandes Input Gain et Threshold. Si l'une est augmentée et l'autre diminuée, les caractéristiques de compression ne changeront pas beaucoup, mais les caractéristiques de distorsion, elles, changeront.
En gros : Pour obtenir moins de distorsion avec la même quantité de compression par exemple, il suffit de diminuer l'Input et augmentez le Treshold
Time constant sert à choisir des réglages fixes d'attaques et de release, plus l'on augmente en valeur, plus l'attaque et la release sont courtes.
Vous l'aurez remarqué, sur le plugin Avid, il y a un Time Constant 7 et 8 :
Ce sont des réglages de time constant supplémentaires , des version du Time constant 2 mais avec un relâchement plus long, utile pour compresser des voix.
Pour l'utiliser
1.Mettre le treshold au minimum
2. Régler l'Input Gain pour que le signal soit équivalent, ni plus fort, ni moins fort, au signal d'origine.
3.Augmenter le treshold jusqu'a avoir une réduction du signal qui s'applique
4. Choisir un time constant
5. jouer avec le treshold et l'input gain pour obtenir la compression qui vous sied
À quoi ça ressemble IRL :
Votre DAW dispose peut-être d'une émulation d'un fairchild 660, si ce n'est pas le cas, il existe il existe des versions gratuites ( ou semi gratuites ) disponibles légalement :
Petit résumé historique seulement pour ceux qui le souhaitent :
Le Fairchild 660, compresseur à lampes mono, est inventé en 1959 par Rein Narma pour la Fairchild Recording Equipment Corporation. Conçu à l’origine pour Les Paul, qui cherchait un limiteur après avoir collaboré avec Narma sur une console 8-pistes, il est licencié par Sherman Fairchild, qui embauche Narma comme ingénieur en chef. Premier compresseur à contrôle de volume automatique intelligent, il utilise plusieurs tubes et un design push-pull pour un son chaud, sans distorsion audible, avec une attaque ultra-rapide (1/10 000e de seconde) et six courbes de release, dont trois automatiques. Utilisé par Abbey Road (notamment sur les Beatles par Geoff Emerick pour les drums et voix), sa rareté (environ 1000 unités) en fait un Graal, valant 20 000 € ou plus aujourd’hui.
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il y a 2 mois
RealCalliopa
2 mois
Tu n'as pas une astuce pour les fréquences 432 Hz et 528 Hz?
Je n'ai pas compris ta question
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il y a 2 mois
TRAITEMENT DYNAMIQUE : Les différents types de compresseur classée par ordre chronologique (partie 1)
1: Les compresseurs Variable-Mu (fin des années 1930 - début 1940)
Origine :
Les premiers compresseurs à lampes, initialement appelés Delta-Mu, émergent dans les studios de radio et d’enregistrement pour contrôler les dynamiques.
Fonctionnement technique :
Un compresseur Variable-Mu (ou Vari-Mu) utilise des tubes à vide (lampes) pour contrôler la réduction de gain. Le terme “Mu” fait référence au “coefficient d’amplification” des lampes, qui varie en fonction du signal. Voici le mécanisme en détail pour ceux qui le souhaitent :
Le signal audio passe à travers un circuit de détection (sidechain) qui analyse son amplitude. Quand le signal devient trop fort, le circuit envoie un voltage de contrôle aux lampes.
Les lampes agissent comme des ampli/atténuateurs variables. En ajustant leur polarisation (via le voltage de contrôle), elles modifient leur résistance interne, réduisant ainsi le gain du signal audio. C’est comme si les lampes “étouffaient” doucement le volume quand il devient trop intense. Ce processus est progressif, ce qui donne une compression fluide et musicale.
Les lampes ajoutent des harmoniques paires (douces et chaleureuses) au signal, même sans compression forte, ce qui enrichit le son. La réponse est lente (attaque et release mesurés en millisecondes), ce qui évite d’écraser les transitoires brusques.
Imaginez un chef d’orchestre (les lampes) qui baisse doucement le volume des musiciens (le signal) quand ils jouent trop fort, tout en ajoutant une touche de velours à leur son. Le résultat est harmonieux, comme une couverture chaude sur le mix.
Les lampes agissent comme des ampli/atténuateurs variables. En ajustant leur polarisation (via le voltage de contrôle), elles modifient leur résistance interne, réduisant ainsi le gain du signal audio. C’est comme si les lampes “étouffaient” doucement le volume quand il devient trop intense. Ce processus est progressif, ce qui donne une compression fluide et musicale.
Les lampes ajoutent des harmoniques paires (douces et chaleureuses) au signal, même sans compression forte, ce qui enrichit le son. La réponse est lente (attaque et release mesurés en millisecondes), ce qui évite d’écraser les transitoires brusques.
Imaginez un chef d’orchestre (les lampes) qui baisse doucement le volume des musiciens (le signal) quand ils jouent trop fort, tout en ajoutant une touche de velours à leur son. Le résultat est harmonieux, comme une couverture chaude sur le mix.
Caractéristiques :
Les lampes contrôlent la dynamique, offrant un son doux, riche et chaleureux sans artefacts. l'attaque est lente, similaire aux compresseurs optiques.
Usages :
Ils sont Idéaux pour “gluer” des pistes sur un mix bus ou master bus. Ils amplifient les éléments fins (instruments discrets) et ajoutent de la couleur. Ils sont moins agressif que les VCA ou les FET ( et pas feet
Particularité :
Contrairement aux FET, qui réagissent en microsecondes, les Vari-Mu sont plus lents et moins précis, mais leur douceur et leur coloration en font des outils idéaux pour “gluer” un mix.
Quelques exemples emblématiques :
le Fairchild 660 (1959, mono) et 670 (1960, stéréo).
2: Les compresseurs optiques (début des années 1960)
Origine :
Ils sont apparus avec l’utilisation de cellules photoélectriques et de sources lumineuses pour moduler la compression. Introduits par Teletronix avec un design innovant basé sur la lumière. Ils sont conçus pour les studios d’enregistrement, et offrent une compression douce et musicale, notamment pour les voix.
Fonctionnement technique :
Un compresseur Opto utilise une cellule photoélectrique couplée à une source lumineuse (généralement une lampe ou une LED) pour moduler la réduction de gain. Voici le mécanisme en détail pour ceux qui le souhaitent :
Le signal audio est envoyé à un circuit de détection (sidechain) qui mesure son intensité. Ce circuit contrôle une source lumineuse (comme une petite ampoule ou une LED).
La lumière émise varie en intensité selon la force du signal : plus le signal est fort, plus la lumière brille. Une cellule photoélectrique (sensible à la lumière) capte cette variation et ajuste la résistance électrique, ce qui réduit le gain du signal audio. Plus la lumière est intense, plus la cellule “ferme” le passage du signal, comme une valve qui se resserre.
La réponse de la cellule photoélectrique est lente (attaque de 10-50 ms, release parfois jusqu’à 1 seconde), car elle dépend de la vitesse physique de la lumière et de la cellule. Cela donne une compression douce et musicale, avec une légère coloration due aux composants analogiques (souvent des lampes dans le circuit d’amplification).
Imaginez un tuyau d’eau (le signal) avec un bouchon percé (la cellule photoélectrique) contrôlé par une lampe torche (la source lumineuse). Plus l’eau pousse fort, plus la lampe éclaire, et le bouchon se resserre pour limiter le débit, mais tout ça se fait en douceur, sans à-coups.
La lenteur de la cellule photoélectrique crée une compression organique, idéale pour des sources fluides (voix, cuivres), mais moins efficace pour des transitoires rapides comme les hi-hats.
La lumière émise varie en intensité selon la force du signal : plus le signal est fort, plus la lumière brille. Une cellule photoélectrique (sensible à la lumière) capte cette variation et ajuste la résistance électrique, ce qui réduit le gain du signal audio. Plus la lumière est intense, plus la cellule “ferme” le passage du signal, comme une valve qui se resserre.
La réponse de la cellule photoélectrique est lente (attaque de 10-50 ms, release parfois jusqu’à 1 seconde), car elle dépend de la vitesse physique de la lumière et de la cellule. Cela donne une compression douce et musicale, avec une légère coloration due aux composants analogiques (souvent des lampes dans le circuit d’amplification).
Imaginez un tuyau d’eau (le signal) avec un bouchon percé (la cellule photoélectrique) contrôlé par une lampe torche (la source lumineuse). Plus l’eau pousse fort, plus la lampe éclaire, et le bouchon se resserre pour limiter le débit, mais tout ça se fait en douceur, sans à-coups.
La lenteur de la cellule photoélectrique crée une compression organique, idéale pour des sources fluides (voix, cuivres), mais moins efficace pour des transitoires rapides comme les hi-hats.
Caractéristiques :
Ils utilisent une cellule photoélectrique et une source lumineuse pour moduler la réduction de gain. La compression est douce et lente, avec un son chaleureux et musical. Plus le signal est fort, plus la lumière captée par la cellule augmente, intensifiant la compression.
Usages :
Ils sont parfait pour les voix, cuivres, synthés ( pads ) et le bus master où une compression subtile et musicale est souhaitée. Ils sont moins adapté aux sources très transitoires comme des hi-hats, et batteries.
Particularité :
Ils sont capable de forte réduction de gain sans artefacts, le tout avec un caractère doux et organique.
Quelques exemples emblématiques :
Teletronix LA-2A (1962)
LA-3A.
3: Les compresseurs FET (Field Effect Transistor) (fin des années 1960)
Origine :
Ils sont Introduits avec l’utilisation des transistors à effet de champ pour une attaque rapide et un son coloré. Universal Audio a popularisé ce type de compresseurs avec le passage des lampes aux FET. Ils viennent en réponse à la demande de compresseurs plus réactifs pour la musique pop/rock.
Fonctionnement technique :
Un compresseur FET utilise un transistor à effet de champ (FET) comme élément clé pour contrôler la réduction de gain. Le FET agit comme une vanne électrique qui ajuste le volume du signal audio en fonction de son intensité. Voici comment ça marche en détail :
Le signal audio entrant est analysé par un circuit de détection (appelé “sidechain”). Ce circuit mesure l’amplitude du signal et envoie un voltage de contrôle au FET.
Le FET fonctionne comme une résistance variable. Quand le signal est trop fort (par exemple, un pic de volume sur une frappe de caisse claire), le voltage de contrôle “pince” le FET, qui réduit instantanément le gain en limitant le passage du signal, comme si on baissais rapidement le volume d’une enceinte. Cette réduction est ultra-rapide, d’où l’attaque éclair des FET.
Le FET introduit une légère distorsion harmonique, surtout quand il est poussé fort, ce qui donne ce son “punchy” et coloré, souvent décrit comme agressif ou vivant.
Imaginez un videur de boîte de nuit (le FET) qui laisse entrer les gens (le signal audio). Si la foule devient trop bruyante ou dense (pics de volume), le videur ferme partiellement la porte en un clin d’œil, limitant le flux. Cette réactivité donne un caractère énergique au son.
Le FET fonctionne comme une résistance variable. Quand le signal est trop fort (par exemple, un pic de volume sur une frappe de caisse claire), le voltage de contrôle “pince” le FET, qui réduit instantanément le gain en limitant le passage du signal, comme si on baissais rapidement le volume d’une enceinte. Cette réduction est ultra-rapide, d’où l’attaque éclair des FET.
Le FET introduit une légère distorsion harmonique, surtout quand il est poussé fort, ce qui donne ce son “punchy” et coloré, souvent décrit comme agressif ou vivant.
Imaginez un videur de boîte de nuit (le FET) qui laisse entrer les gens (le signal audio). Si la foule devient trop bruyante ou dense (pics de volume), le videur ferme partiellement la porte en un clin d’œil, limitant le flux. Cette réactivité donne un caractère énergique au son.
Caractéristiques :
Ils utilisent des transistors à effet de champ pour une attaque ultra-rapide et un son punchy. La compression est colorée, ajoutant du caractère.
Usages :
Ils sont Idéaux pour les sources à dynamique rapide (batterie, hi-hats, guitares, voix agressives). Parfait pour de la compression parallèle pour ajouter de l’énergie sans écraser le signal d'origine. Ils sont cependant moins adaptés pour un bus master en raison de leurs coloration prononcée.
Quelques exemples emblématiques :
Universal Audio 1176 (1967) , connu pour son grain distinct et son attaque fulgurante.
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il y a 2 mois
TRAITEMENT DYNAMIQUE : Les différents types de compresseur classée par ordre chronologique (partie 2)
4: Les compresseurs VCA (Voltage Controlled Amplifier) (début des années 1970)
Origine :
Ils sont développés avec des circuits intégrés permettant un contrôle précis de la compression. Ils sont popularisés par des marques comme dbx et SSL ( Solid State Logic ) pour leur polyvalence et propreté.
Fonctionnement technique :
Un compresseur VCA utilise un circuit intégré (souvent appelé puce VCA) pour contrôler la réduction de gain en fonction d’un voltage. Voici le mécanisme en détail pour ceux qui le souhaitent :
Le signal audio entrant est analysé par un circuit de détection (appelé sidechain), qui mesure son amplitude. Quand le signal dépasse un seuil défini, le sidechain génère un voltage de contrôle proportionnel à l’intensité du signal.
La puce VCA agit comme un potentiomètre électronique automatisé. Elle ajuste le gain (le volume) du signal audio en fonction du voltage de contrôle reçu. Si le signal est trop fort, le VCA réduit le gain en atténuant le signal, comme si tu tournais rapidement une molette de volume pour baisser le son. Ce processus est précis et rapide, avec des temps d’attaque et de release réglables (souvent de 0,1 ms à 100 ms).
Les VCA sont conçus pour être propres et transparents, avec très peu de distorsion intentionnelle. Cependant, certains modèles (comme l’API 2500) peuvent ajouter une légère coloration en fonction des composants annexes (transformateurs, par exemple). La précision du circuit intégré permet un contrôle fin, ce qui le distingue des compresseurs plus “caractériels” comme les FET ou Diode Bridge.
Imaginez un ingénieur du son ultra-réactif (le VCA) assis à une table de mixage avec une fader de volume. Dès que le signal devient trop fort (détecté par le sidechain), il baisse la fader avec une précision chirurgicale, selon les réglages que tu lui as donnés au préalable (attaque, release, ratio). Pas de chichi, pas de grain ajouté, juste un contrôle net et efficace.
La force du VCA réside dans sa polyvalence et sa précision. Les réglages d’attaque et de release sont souvent très flexibles, permettant de sculpter la compression pour des sources variées, contrairement aux Opto ou Vari-Mu, qui ont des réponses plus fixes.
La puce VCA agit comme un potentiomètre électronique automatisé. Elle ajuste le gain (le volume) du signal audio en fonction du voltage de contrôle reçu. Si le signal est trop fort, le VCA réduit le gain en atténuant le signal, comme si tu tournais rapidement une molette de volume pour baisser le son. Ce processus est précis et rapide, avec des temps d’attaque et de release réglables (souvent de 0,1 ms à 100 ms).
Les VCA sont conçus pour être propres et transparents, avec très peu de distorsion intentionnelle. Cependant, certains modèles (comme l’API 2500) peuvent ajouter une légère coloration en fonction des composants annexes (transformateurs, par exemple). La précision du circuit intégré permet un contrôle fin, ce qui le distingue des compresseurs plus “caractériels” comme les FET ou Diode Bridge.
Imaginez un ingénieur du son ultra-réactif (le VCA) assis à une table de mixage avec une fader de volume. Dès que le signal devient trop fort (détecté par le sidechain), il baisse la fader avec une précision chirurgicale, selon les réglages que tu lui as donnés au préalable (attaque, release, ratio). Pas de chichi, pas de grain ajouté, juste un contrôle net et efficace.
La force du VCA réside dans sa polyvalence et sa précision. Les réglages d’attaque et de release sont souvent très flexibles, permettant de sculpter la compression pour des sources variées, contrairement aux Opto ou Vari-Mu, qui ont des réponses plus fixes.
Caractéristiques :
Les réglages d’attaque et de release sont précis, la compression est propre, avec peu de distorsion intentionnelle.
Usages :
Pour des réduction de gain agressive, ils sont idéaux pour contrôler les pics (guitares solo, batteries, voix).Ils conviennent aux sources avec une forte dynamique.
Particularité :
Ils sont utilisés comme atténuateurs pour réduire le volume plutôt qu’amplificateurs, et axés sur la précision.
Quelques exemples emblématiques :
le SSL G-Series Bus Compressor
le dbx 160
le Focusrite Red 3
et l'API 2500
5: Les compresseurs diode bridge (fin des années 1960 - début 1970)
Origine :
Ils utilisent des ponts de diodes pour leur réduction de gain, offrant une forte coloration et une distorsion harmonique. Ils ont étés popularisés par Neve dans les consoles de studio.
Fonctionnement technique :
Un compresseur à pont de diodes utilise un réseau de diodes (des composants électroniques qui laissent passer le courant dans une seule direction) pour réduire le gain. Voici le mécanisme en détail pour ceux qui le souhaitent :
Comme pour le FET, un circuit de détection (sidechain) analyse l’amplitude du signal audio. Quand le signal dépasse un certain seuil, le circuit envoie un voltage au pont de diodes.
Les diodes forment un “pont” qui agit comme un atténuateur. Quand le voltage de contrôle augmente, les diodes deviennent plus résistantes, réduisant le passage du signal audio, ce qui baisse le volume. Ce processus ajoute une distorsion harmonique naturelle, car les diodes ne réagissent pas de manière parfaitement linéaire.
La distorsion des diodes donne un son riche, chaleureux et “crunchy”, souvent décrit comme ayant une texture ou une “patine”. C’est l’un des compresseurs les plus colorés, car les diodes introduisent des harmoniques qui enrichissent le signal.
Imaginez un vieux robinet rouillé (les diodes) dans une canalisation (le signal audio). Quand l’eau (le signal) coule trop fort, le robinet se resserre pour limiter le débit, mais il “grince” un peu, ajoutant une texture unique à l’eau qui sort. Ce grincement, c’est la coloration harmonique.
Les diodes forment un “pont” qui agit comme un atténuateur. Quand le voltage de contrôle augmente, les diodes deviennent plus résistantes, réduisant le passage du signal audio, ce qui baisse le volume. Ce processus ajoute une distorsion harmonique naturelle, car les diodes ne réagissent pas de manière parfaitement linéaire.
La distorsion des diodes donne un son riche, chaleureux et “crunchy”, souvent décrit comme ayant une texture ou une “patine”. C’est l’un des compresseurs les plus colorés, car les diodes introduisent des harmoniques qui enrichissent le signal.
Imaginez un vieux robinet rouillé (les diodes) dans une canalisation (le signal audio). Quand l’eau (le signal) coule trop fort, le robinet se resserre pour limiter le débit, mais il “grince” un peu, ajoutant une texture unique à l’eau qui sort. Ce grincement, c’est la coloration harmonique.
Caractéristiques :
Ce sont les compresseurs les plus colorés, à cause du matériel utilisé. Ils ajoutent une distorsion harmonique marquée, enrichissant le son.
Usages :
Polyvalents, ils sont adaptés à presque tout (voix, batteries, bus). Idéaux pour ajouter du caractère et de la texture.
Particularité :
Leur forte coloration en fait un bon choix pour des sons expressifs et chaleureux.
Quelques exemples emblématiques :
Le Neve 33609
le Neve 2254
6: Les compresseurs PWM (Pulse Width Modulation) (années 1980)
Origine :
C'est un type de compression utilisant la modulation de largeur d’impulsion, apparu plus tard pour répondre au besoin de transparence dans les productions modernes.
Fonctionnement technique :
Un compresseur PWM utilise la modulation de largeur d’impulsion pour contrôler la réduction de gain. C’est une technique plus moderne et sophistiquée, qui repose sur des impulsions électroniques rapides pour ajuster le volume. Voici le mécanisme en détail pour ceux qui le souhaitent :
Comme pour les autres compresseurs, un circuit de détection (sidechain) analyse l’amplitude du signal audio entrant. Quand le signal dépasse un seuil défini, le sidechain génère un signal de contrôle qui pilote le circuit PWM.
La modulation de largeur d’impulsion fonctionne en découpant le signal audio en une série d’impulsions électriques ultra-rapides (comme un interrupteur qui s’allume et s’éteint des milliers de fois par seconde). La largeur (durée) de ces impulsions varie en fonction de l’intensité du signal : plus le signal est fort, plus les impulsions sont courtes, ce qui réduit le gain. C’est comme si le signal était “haché” de manière contrôlée pour baisser son volume, mais de façon si rapide que l’oreille ne perçoit pas les coupures.
Les PWM sont conçus pour être extrêmement transparents, ne produisant presque aucune distorsion harmonique. Leur fonctionnement numérique-like (même en analogique) permet de préserver la fidélité du signal original, contrairement aux FET ou Diode Bridge qui ajoutent du caractère. Les temps d’attaque et de release peuvent être très rapides (jusqu’à 50 microsecondes pour l’attaque) et sont souvent réglables.
Imaginez un chef cuisinier (le circuit PWM) qui hache finement un ingrédient (le signal audio) avec un couteau ultra-rapide. Quand le son devient trop “épais” (trop fort), il hache plus vite et plus fin pour réduire la quantité, mais sans changer le goût (pas de coloration). Le tout est si rapide que le plat (le son) reste lisse et naturel.
Les PWM sont parmi les compresseurs les plus neutres, idéaux pour des applications où la transparence est cruciale. Leur complexité électronique rend leur émulation en plug-in rare, car il est difficile de reproduire fidèlement la modulation d’impulsion en logiciel.
La modulation de largeur d’impulsion fonctionne en découpant le signal audio en une série d’impulsions électriques ultra-rapides (comme un interrupteur qui s’allume et s’éteint des milliers de fois par seconde). La largeur (durée) de ces impulsions varie en fonction de l’intensité du signal : plus le signal est fort, plus les impulsions sont courtes, ce qui réduit le gain. C’est comme si le signal était “haché” de manière contrôlée pour baisser son volume, mais de façon si rapide que l’oreille ne perçoit pas les coupures.
Les PWM sont conçus pour être extrêmement transparents, ne produisant presque aucune distorsion harmonique. Leur fonctionnement numérique-like (même en analogique) permet de préserver la fidélité du signal original, contrairement aux FET ou Diode Bridge qui ajoutent du caractère. Les temps d’attaque et de release peuvent être très rapides (jusqu’à 50 microsecondes pour l’attaque) et sont souvent réglables.
Imaginez un chef cuisinier (le circuit PWM) qui hache finement un ingrédient (le signal audio) avec un couteau ultra-rapide. Quand le son devient trop “épais” (trop fort), il hache plus vite et plus fin pour réduire la quantité, mais sans changer le goût (pas de coloration). Le tout est si rapide que le plat (le son) reste lisse et naturel.
Les PWM sont parmi les compresseurs les plus neutres, idéaux pour des applications où la transparence est cruciale. Leur complexité électronique rend leur émulation en plug-in rare, car il est difficile de reproduire fidèlement la modulation d’impulsion en logiciel.
Caractéristiques :
La compression est extrêmement propre, sans coloration intentionnelle, et ils sont plus neutre que les VCA.
Usages :
Très utiles quand la transparence est essentielle, pour préserver le signal d'origine. Toutefois, ils sont rarement émulés en plug-in en raison de la complexité de leur circuits.
Particularité :
Leur neutralité les rend parfaits pour le mastering ou les sources délicates.
Quelques exemples emblématiques :
Le Distressor (mode PWM)
le PWM 501
Voilà, merci beaucoup d'avoir lu
Maybe I just want to maybe...
il y a 2 mois
[i]C'est la version stéréo du 660. Il sonne un peu différamment
Utilisation :
c'est le même fonctionnement que le 660.
Les différences :
Headroom: Si vous avez ce bouton il peut vous permettre de baisser les niveaux internes du plugin, ça peut être utile si par exemple votre signal est trop fort et que vous ne pouvez pas bien utiliser l'input et le treshold
Balance: Ca permet de modifier les transients, avec le bouton tourne dans le sens horaire, on laisse passer plus de transient que le bouton tourné dans l'autre sens
AGC : ça permet de choisir entre gauche droite et Lateral / Vertical , ce qui peut se rapporter a Sid et Mid
Link / Unlink: on peut choisir d'unlik le sidechain, pour avoir par exemple plus de compression avec le treshold au mid par rapport aux side. attention, si on unlink en mode Lat/Vert, il ne faut pas toucher au Left et Right Input car ils ne deviennent pas des boutons Mid Side mais restent gauche droite
voilà
Maybe I just want to maybe...
il y a un mois