InscriptionConnexion
Lys
Lys
12h
les probabilités sont une doctrine maçonnique, les apôtres n'ont jamais parlé de statistiques
:elyale:
Post ou jette un œil sur mes scriptum -> @Anchwatt
il y a 12 heures
Epstein qui nomme son avion le lolita express quand même
:AAHkj:

C'est comme si les nazis appelaient leur train "l'étoile Filante" ou une stupidité du genre
:AAHkj:

Incroyable comme les riches en ont plus rien à faire tellement ils ont d'impunité
:AAHkj:
Maybe I just want to maybe...
il y a 12 heures
Vous pensez que ça existe vraiment des gens qui jouent avec les sentiments des autres et que ça amuse ensuite de les voir souffrir ?
ce sont des méchants mais ils existent
il y a 12 heures
Lys
Lys
12h
ce sont des méchants mais ils existent
Mais pourquoi ils font ça en fait ?
il y a 12 heures
Mais pourquoi ils font ça en fait ?
Cerveau déréglé
:Sora_vent:
Post ou jette un œil sur mes scriptum -> @Anchwatt
il y a 12 heures
Cerveau déréglé
:Sora_vent:
C'est juste de la cruauté je vois pas d'autre explication
il y a 12 heures
Vous pensez que ça existe vraiment des gens qui jouent avec les sentiments des autres et que ça amuse ensuite de les voir souffrir ?
oui malheureusement certaines personne ne fonctionnent qu'en faisant souffrir les autres
:RitsuSad:
Maybe I just want to maybe...
il y a 12 heures
Vous pensez que ça existe vraiment des gens qui jouent avec les sentiments des autres et que ça amuse ensuite de les voir souffrir ?
Oui
il y a 12 heures
Mais pourquoi ils font ça en fait ?
il y a ça dans simone weil, je ne sais pas si ça te parlera




Mécanique humaine. Quiconque souffre cherche à communiquer sa souffrance – soit en maltraitant, soit en provoquant la pitié – afin de la diminuer, et il la diminue vraiment ainsi. Celui qui est tout en bas, que personne ne plaint, qui n’a le pouvoir de maltraiter personne (s’il n’a pas d’enfant ou d’être qui l’aime), sa souffrance reste en lui et l’empoisonne.

Cela est impérieux comme la pesanteur. Comment s’en délivre-t-on ? Comment se délivre-t-on de ce qui est comme la pesanteur ?

Tendance à répandre le mal hors de soi : je l’ai encore ! Les êtres et les choses ne me sont pas assez sacrés. Puissé-je ne rien souiller, quand je serais entièrement transformée en boue. Ne rien souiller même dans ma pensée. Même dans les pires moments je ne détruirais pas une statue grecque ou une fresque de Giotto. Pourquoi donc autre chose ? Pourquoi par exemple un instant de la vie d’un être humain qui pourrait être un instant heureux ?

Impossible de pardonner à qui nous a fait du mal, si ce mal nous abaisse. Il faut penser qu’il ne nous a pas abaissés, mais a révélé notre vrai niveau.

Désir de voir autrui souffrir ce qu’on souffre, exactement. C’est pourquoi, sauf dans les périodes d’instabilité sociale, les rancunes des misérables se portent sur leurs pareils.

C’est là un facteur de stabilité sociale. Tendance à répandre la souffrance hors de soi. Si, par excès de faiblesse, on ne peut ni provoquer la pitié ni faire du mal à autrui, on fait du mal à la représentation de l’univers en soi.

Toute chose belle et bonne est alors comme une injure. Faire du mal à autrui, c’est en recevoir quelque chose. Quoi ? Qu’a-t-on gagné (et qu’il faudra repayer) quand on a fait du mal ? On s’est accru. On est étendu. On a comblé un vide en soi en le créant chez autrui

Pouvoir faire impunément du mal à autrui – par exemple passer sa colère sur un inférieur et qu’il soit forcé de se taire – c’est s’épargner une dépense d’énergie, dépense que l’autre doit assumer. De même pour la satisfaction illégitime d’un désir quelconque. L’énergie qu’on économise ainsi est aussitôt dégradée.

Pardonner. On ne peut pas. Quand quelqu’un nous a fait du mal, il se crée en nous des réactions. Le désir de la vengeance est un désir d’équilibre essentiel. Chercher l’équilibre sur un autre plan. Il faut aller par soi-même jusqu’à cette limite. Là on touche le vide. (Aide-toi, le ciel t’aidera…)

Ne pas juger. Toutes les fautes sont égales. Il n’y a qu’une faute : ne pas avoir la capacité de se nourrir de lumière. Car cette capacité étant abolie, toutes les fautes sont possibles.
il y a 12 heures
Lys
Lys
12h
les probabilités sont une doctrine maçonnique, les apôtres n'ont jamais parlé de statistiques
:elyale:
Les apôtres n'ont pas eu besoin de parler de statistiques, car ils ont eu des données concrètes venant de Dieu.
:chat_zieute:


Et en plus tu diffame sûrement le Catholique qui doit être derrière les statistiques... Car contrairement à ce qui est dit l'Eglise n'a jamais été obscurantiste.
:chat_zieute:
il y a 12 heures
sainte pourquoi tu me réponds rarement quand j'te demande un truc ?
il y a 12 heures
Lys
Lys
12h
il y a ça dans simone weil, je ne sais pas si ça te parlera




Mécanique humaine. Quiconque souffre cherche à communiquer sa souffrance – soit en maltraitant, soit en provoquant la pitié – afin de la diminuer, et il la diminue vraiment ainsi. Celui qui est tout en bas, que personne ne plaint, qui n’a le pouvoir de maltraiter personne (s’il n’a pas d’enfant ou d’être qui l’aime), sa souffrance reste en lui et l’empoisonne.

Cela est impérieux comme la pesanteur. Comment s’en délivre-t-on ? Comment se délivre-t-on de ce qui est comme la pesanteur ?

Tendance à répandre le mal hors de soi : je l’ai encore ! Les êtres et les choses ne me sont pas assez sacrés. Puissé-je ne rien souiller, quand je serais entièrement transformée en boue. Ne rien souiller même dans ma pensée. Même dans les pires moments je ne détruirais pas une statue grecque ou une fresque de Giotto. Pourquoi donc autre chose ? Pourquoi par exemple un instant de la vie d’un être humain qui pourrait être un instant heureux ?

Impossible de pardonner à qui nous a fait du mal, si ce mal nous abaisse. Il faut penser qu’il ne nous a pas abaissés, mais a révélé notre vrai niveau.

Désir de voir autrui souffrir ce qu’on souffre, exactement. C’est pourquoi, sauf dans les périodes d’instabilité sociale, les rancunes des misérables se portent sur leurs pareils.

C’est là un facteur de stabilité sociale. Tendance à répandre la souffrance hors de soi. Si, par excès de faiblesse, on ne peut ni provoquer la pitié ni faire du mal à autrui, on fait du mal à la représentation de l’univers en soi.

Toute chose belle et bonne est alors comme une injure. Faire du mal à autrui, c’est en recevoir quelque chose. Quoi ? Qu’a-t-on gagné (et qu’il faudra repayer) quand on a fait du mal ? On s’est accru. On est étendu. On a comblé un vide en soi en le créant chez autrui

Pouvoir faire impunément du mal à autrui – par exemple passer sa colère sur un inférieur et qu’il soit forcé de se taire – c’est s’épargner une dépense d’énergie, dépense que l’autre doit assumer. De même pour la satisfaction illégitime d’un désir quelconque. L’énergie qu’on économise ainsi est aussitôt dégradée.

Pardonner. On ne peut pas. Quand quelqu’un nous a fait du mal, il se crée en nous des réactions. Le désir de la vengeance est un désir d’équilibre essentiel. Chercher l’équilibre sur un autre plan. Il faut aller par soi-même jusqu’à cette limite. Là on touche le vide. (Aide-toi, le ciel t’aidera…)

Ne pas juger. Toutes les fautes sont égales. Il n’y a qu’une faute : ne pas avoir la capacité de se nourrir de lumière. Car cette capacité étant abolie, toutes les fautes sont possibles.
Il faut toujours s'éteindre et s'oublier dans l'idéal avec ces casuistiques du malheur. Pourtant je regarde autour de moi, et du bonheur, j'en vois
il y a 12 heures
t'en fais pas mon tidi si y'en a qui t'aimes pas je t'aimerais pour eux
il y a 12 heures
sainte pourquoi tu me réponds rarement quand j'te demande un truc ?
mes suggestions youtube sont crazy Image
:AAHkj:
Maybe I just want to maybe...
il y a 12 heures
Il faut toujours s'éteindre et s'oublier dans l'idéal avec ces casuistiques du malheur. Pourtant je regarde autour de moi, et du bonheur, j'en vois
Mais le plaisir, le bonheur, la prospérité, si on sait y reconnaître ce qui vient du dehors, (du hasard, des circonstances, etc.), témoignent aussi de la misère humaine. En faire aussi cet usage. Et même la grâce, en tant que phénomène sensible…

L’innocence heureuse. Quelque chose aussi d’infiniment précieux. Mais c’est un bonheur précaire, fragile, un bonheur de hasard. Fleurs de pommier. Le bonheur n’est pas lié à l’innocence.
il y a 12 heures
Image
Grande fantaisie
il y a 12 heures
mes suggestions youtube sont crazy Image
:AAHkj:
WTF
:risitas-mdr:
il y a 12 heures
Lys
Lys
12h
Mais le plaisir, le bonheur, la prospérité, si on sait y reconnaître ce qui vient du dehors, (du hasard, des circonstances, etc.), témoignent aussi de la misère humaine. En faire aussi cet usage. Et même la grâce, en tant que phénomène sensible…

L’innocence heureuse. Quelque chose aussi d’infiniment précieux. Mais c’est un bonheur précaire, fragile, un bonheur de hasard. Fleurs de pommier. Le bonheur n’est pas lié à l’innocence.
Je n'entends rien de ce que tu me dis
il y a 12 heures
t'en fais pas mon tidi si y'en a qui t'aimes pas je t'aimerais pour eux
C'est gentil mais hélas ça ne change rien
il y a 12 heures
C'est gentil mais hélas ça ne change rien
Au moins j'aurais essayé
:Dubitatif2:
il y a 12 heures