[Officiel] Le blabla des Onchois et des Sardinonches

abominable

LE SERVEUR VEUT PAAAAS

REDEMARRER OHÉ OHÉ

j'ai pas d'expérience parentale mais j'ai un peu d'expérience pédagogique et je réfléchis pas mal à ça, dans l'idéal il faudrait toujours que l'enfant se sache et se sente aimé de telle façon à ce que la punition ce soit toujours davantage un regret que la punition proprement dite. il me semble que pour préparer à la vie il faut parvenir à donner une assurance par des certitudes et des acquis qu'on soit capables de justifier et dont on montre l'exemple, mais tout en ayant la souplesse de l'ouverture d'esprit et en donnant des éléments d'esprit critique et en expliquant avec mesure les erreurs et pourquoi elles sont erronées, de telle façon que son esprit soit assez solide pour avoir de la structure, mais pas si rigide qu'il soit complètement incapable d'adaptation, et qu'il ait les outils pour déterminer sagement ce qui est bon et ce qui ne l'est pas.
par rapport au sérieux, à la résilience, je pense que ça dépend beaucoup de l'enfant et de son rapport à ses éducateurs, il faut savoir punir mais punir mesurément pour éviter de dégoûter un enfant qui aura compris sa faute et la regrettera, ou pour éviter d'encourager un enfant qui serait dans une optique de test ou d'insouciance. la rigueur devrait s'acquérir par le travail je pense, il est bon qu'il y ait une éducation au travail pratique (dont je pense que les petits travaux agricoles sont les meilleurs représentants) et un travail d'étude qui serve de préparation à la vie (par l'apprentissage de l'histoire, des mathématiques, de quelques éléments de sciences de la nature, de la pensée dans les lettres et la philosophie, et par l'étude de quelques exemples illustres de civisme et de vertu (Plutarque, vies de saints), langue), en mesurant le tout pour laisser un temps de jeu (qui soit à la fois le repos et le dégourdissement du corps après le travail, tout en mettant en oeuvre ce que le travail a permis d'acquérir, et le repos et le dégourdissement de l'étude, tout en permettant de mettre en oeuvre ce que l'étude a offert).
je ne pense pas qu'il y ait besoin d'avoir souffert spécialement pour être vertueux et rayonnant, mais tout simplement qu'il faut avoir une constitution morale bien assise, consciente d'elle-même, et laborieuse, de telle façon que l'enfant puisse à la fois se défendre d'un revers du sort (par la méditation, la compréhension des choses, la spiritualité, la solidité de caractère, les exemples de civisme et de vertu) mais qu'il n'ait pas eu à subir des revers artificiels. il n'y a pas besoin d'imiter la radicalité spartiate, qui est toute martiale, mais il est parfaitement possible de l'adapter à nos besoins, parce qu'il faut bien quelque chose de martial à la vie dans l'austérité des moeurs, la capacité au sacrifice, et le sens du travail

j'ai pas d'expérience parentale mais j'ai un peu d'expérience pédagogique et je réfléchis pas mal à ça, dans l'idéal il faudrait toujours que l'enfant se sache et se sente aimé de telle façon à ce que la punition ce soit toujours davantage un regret que la punition proprement dite. il me semble que pour préparer à la vie il faut parvenir à donner une assurance par des certitudes et des acquis qu'on soit capables de justifier et dont on montre l'exemple, mais tout en ayant la souplesse de l'ouverture d'esprit et en donnant des éléments d'esprit critique et en expliquant avec mesure les erreurs et pourquoi elles sont erronées, de telle façon que son esprit soit assez solide pour avoir de la structure, mais pas si rigide qu'il soit complètement incapable d'adaptation, et qu'il ait les outils pour déterminer sagement ce qui est bon et ce qui ne l'est pas.
par rapport au sérieux, à la résilience, je pense que ça dépend beaucoup de l'enfant et de son rapport à ses éducateurs, il faut savoir punir mais punir mesurément pour éviter de dégoûter un enfant qui aura compris sa faute et la regrettera, ou pour éviter d'encourager un enfant qui serait dans une optique de test ou d'insouciance. la rigueur devrait s'acquérir par le travail je pense, il est bon qu'il y ait une éducation au travail pratique (dont je pense que les petits travaux agricoles sont les meilleurs représentants) et un travail d'étude qui serve de préparation à la vie (par l'apprentissage de l'histoire, des mathématiques, de quelques éléments de sciences de la nature, de la pensée dans les lettres et la philosophie, et par l'étude de quelques exemples illustres de civisme et de vertu (Plutarque, vies de saints), langue), en mesurant le tout pour laisser un temps de jeu (qui soit à la fois le repos et le dégourdissement du corps après le travail, tout en mettant en oeuvre ce que le travail a permis d'acquérir, et le repos et le dégourdissement de l'étude, tout en permettant de mettre en oeuvre ce que l'étude a offert).
je ne pense pas qu'il y ait besoin d'avoir souffert spécialement pour être vertueux et rayonnant, mais tout simplement qu'il faut avoir une constitution morale bien assise, consciente d'elle-même, et laborieuse, de telle façon que l'enfant puisse à la fois se défendre d'un revers du sort (par la méditation, la compréhension des choses, la spiritualité, la solidité de caractère, les exemples de civisme et de vertu) mais qu'il n'ait pas eu à subir des revers artificiels. il n'y a pas besoin d'imiter la radicalité spartiate, qui est toute martiale, mais il est parfaitement possible de l'adapter à nos besoins, parce qu'il faut bien quelque chose de martial à la vie dans l'austérité des moeurs, la capacité au sacrifice, et le sens du travail

C'est l'Abomible Holmes des neiges...
Qu'un amour de dessert ❤️

Petite blagueuse

C'est l'Abomible Holmes des neiges...
Qu'un amour de dessert ❤️

Je n'arrive plus à séparer la juxtaposition malheureuse de l'image de cette innocence jouisseuse et perverse de cette époque post soixante-huitarde d'avec la famille totalement décomposée et du fils de Lio qui s'est suicidé en s'auto-immolant, c'est terrible...

quoi

j'ai pas d'expérience parentale mais j'ai un peu d'expérience pédagogique et je réfléchis pas mal à ça, dans l'idéal il faudrait toujours que l'enfant se sache et se sente aimé de telle façon à ce que la punition ce soit toujours davantage un regret que la punition proprement dite. il me semble que pour préparer à la vie il faut parvenir à donner une assurance par des certitudes et des acquis qu'on soit capables de justifier et dont on montre l'exemple, mais tout en ayant la souplesse de l'ouverture d'esprit et en donnant des éléments d'esprit critique et en expliquant avec mesure les erreurs et pourquoi elles sont erronées, de telle façon que son esprit soit assez solide pour avoir de la structure, mais pas si rigide qu'il soit complètement incapable d'adaptation, et qu'il ait les outils pour déterminer sagement ce qui est bon et ce qui ne l'est pas.
par rapport au sérieux, à la résilience, je pense que ça dépend beaucoup de l'enfant et de son rapport à ses éducateurs, il faut savoir punir mais punir mesurément pour éviter de dégoûter un enfant qui aura compris sa faute et la regrettera, ou pour éviter d'encourager un enfant qui serait dans une optique de test ou d'insouciance. la rigueur devrait s'acquérir par le travail je pense, il est bon qu'il y ait une éducation au travail pratique (dont je pense que les petits travaux agricoles sont les meilleurs représentants) et un travail d'étude qui serve de préparation à la vie (par l'apprentissage de l'histoire, des mathématiques, de quelques éléments de sciences de la nature, de la pensée dans les lettres et la philosophie, et par l'étude de quelques exemples illustres de civisme et de vertu (Plutarque, vies de saints), langue), en mesurant le tout pour laisser un temps de jeu (qui soit à la fois le repos et le dégourdissement du corps après le travail, tout en mettant en oeuvre ce que le travail a permis d'acquérir, et le repos et le dégourdissement de l'étude, tout en permettant de mettre en oeuvre ce que l'étude a offert).
je ne pense pas qu'il y ait besoin d'avoir souffert spécialement pour être vertueux et rayonnant, mais tout simplement qu'il faut avoir une constitution morale bien assise, consciente d'elle-même, et laborieuse, de telle façon que l'enfant puisse à la fois se défendre d'un revers du sort (par la méditation, la compréhension des choses, la spiritualité, la solidité de caractère, les exemples de civisme et de vertu) mais qu'il n'ait pas eu à subir des revers artificiels. il n'y a pas besoin d'imiter la radicalité spartiate, qui est toute martiale, mais il est parfaitement possible de l'adapter à nos besoins, parce qu'il faut bien quelque chose de martial à la vie dans l'austérité des moeurs, la capacité au sacrifice, et le sens du travail

t'es pas d'accord avec moi mon toudouchou ?

Je n'arrive plus à séparer la juxtaposition malheureuse de l'image de cette innocence jouisseuse et perverse de cette époque post soixante-huitarde d'avec la famille totalement décomposée et du fils de Lio qui s'est suicidé en s'auto-immolant, c'est terrible...

J'ai survolé mais ça ne m'a pas l'air assez radical

normal il faut pas être trop radical, il n'existe pas de moule indépendant du caractère des enfants et des circonstances, il faut savoir s'adapter tout en gardant en vue les finalités de l'éducation, les meilleurs moyens de les atteindre, et l'équilibre de tous les rameaux qu'on cherche à développer

Tu veux combien d'enfants ?

3 ou 4 dans l'idéal mais plus si ça se passe assez bien avec les premiers

et toi ?

le pavelard