InscriptionConnexion
Malchance... Fin la probabilité est très élevé sous cette société.
:glurp:
il y a 2 mois
Tohru
Tohru
2 mois
Malchance... Fin la probabilité est très élevé sous cette société.
:glurp:
les probabilités sont une doctrine maçonnique, les apôtres n'ont jamais parlé de statistiques
:elyale:
il y a 2 mois
Epstein qui nomme son avion le lolita express quand même
:AAHkj:

C'est comme si les nazis appelaient leur train "l'étoile Filante" ou une stupidité du genre
:AAHkj:

Incroyable comme les riches en ont plus rien à faire tellement ils ont d'impunité
:AAHkj:
Maybe I just want to maybe...
il y a 2 mois
ce sont des méchants mais ils existent
il y a 2 mois
oui malheureusement certaines personne ne fonctionnent qu'en faisant souffrir les autres
:RitsuSad:
Maybe I just want to maybe...
il y a 2 mois
Oui
Gardez mémoire de moi, non point tel que j’ai failli, mais tel que j’étais.
il y a 2 mois
il y a ça dans simone weil, je ne sais pas si ça te parlera




Mécanique humaine. Quiconque souffre cherche à communiquer sa souffrance – soit en maltraitant, soit en provoquant la pitié – afin de la diminuer, et il la diminue vraiment ainsi. Celui qui est tout en bas, que personne ne plaint, qui n’a le pouvoir de maltraiter personne (s’il n’a pas d’enfant ou d’être qui l’aime), sa souffrance reste en lui et l’empoisonne.

Cela est impérieux comme la pesanteur. Comment s’en délivre-t-on ? Comment se délivre-t-on de ce qui est comme la pesanteur ?

Tendance à répandre le mal hors de soi : je l’ai encore ! Les êtres et les choses ne me sont pas assez sacrés. Puissé-je ne rien souiller, quand je serais entièrement transformée en boue. Ne rien souiller même dans ma pensée. Même dans les pires moments je ne détruirais pas une statue grecque ou une fresque de Giotto. Pourquoi donc autre chose ? Pourquoi par exemple un instant de la vie d’un être humain qui pourrait être un instant heureux ?

Impossible de pardonner à qui nous a fait du mal, si ce mal nous abaisse. Il faut penser qu’il ne nous a pas abaissés, mais a révélé notre vrai niveau.

Désir de voir autrui souffrir ce qu’on souffre, exactement. C’est pourquoi, sauf dans les périodes d’instabilité sociale, les rancunes des misérables se portent sur leurs pareils.

C’est là un facteur de stabilité sociale. Tendance à répandre la souffrance hors de soi. Si, par excès de faiblesse, on ne peut ni provoquer la pitié ni faire du mal à autrui, on fait du mal à la représentation de l’univers en soi.

Toute chose belle et bonne est alors comme une injure. Faire du mal à autrui, c’est en recevoir quelque chose. Quoi ? Qu’a-t-on gagné (et qu’il faudra repayer) quand on a fait du mal ? On s’est accru. On est étendu. On a comblé un vide en soi en le créant chez autrui

Pouvoir faire impunément du mal à autrui – par exemple passer sa colère sur un inférieur et qu’il soit forcé de se taire – c’est s’épargner une dépense d’énergie, dépense que l’autre doit assumer. De même pour la satisfaction illégitime d’un désir quelconque. L’énergie qu’on économise ainsi est aussitôt dégradée.

Pardonner. On ne peut pas. Quand quelqu’un nous a fait du mal, il se crée en nous des réactions. Le désir de la vengeance est un désir d’équilibre essentiel. Chercher l’équilibre sur un autre plan. Il faut aller par soi-même jusqu’à cette limite. Là on touche le vide. (Aide-toi, le ciel t’aidera…)

Ne pas juger. Toutes les fautes sont égales. Il n’y a qu’une faute : ne pas avoir la capacité de se nourrir de lumière. Car cette capacité étant abolie, toutes les fautes sont possibles.
il y a 2 mois
Lys
Lys
2 mois
les probabilités sont une doctrine maçonnique, les apôtres n'ont jamais parlé de statistiques
:elyale:
Les apôtres n'ont pas eu besoin de parler de statistiques, car ils ont eu des données concrètes venant de Dieu.
:chat_zieute:


Et en plus tu diffame sûrement le Catholique qui doit être derrière les statistiques... Car contrairement à ce qui est dit l'Eglise n'a jamais été obscurantiste.
:chat_zieute:
il y a 2 mois
sainte pourquoi tu me réponds rarement quand j'te demande un truc ?
Gardez mémoire de moi, non point tel que j’ai failli, mais tel que j’étais.
il y a 2 mois
t'en fais pas mon tidi si y'en a qui t'aimes pas je t'aimerais pour eux
Gardez mémoire de moi, non point tel que j’ai failli, mais tel que j’étais.
il y a 2 mois
sainte pourquoi tu me réponds rarement quand j'te demande un truc ?
mes suggestions youtube sont crazy Image
:AAHkj:
Maybe I just want to maybe...
il y a 2 mois
Mais le plaisir, le bonheur, la prospérité, si on sait y reconnaître ce qui vient du dehors, (du hasard, des circonstances, etc.), témoignent aussi de la misère humaine. En faire aussi cet usage. Et même la grâce, en tant que phénomène sensible…

L’innocence heureuse. Quelque chose aussi d’infiniment précieux. Mais c’est un bonheur précaire, fragile, un bonheur de hasard. Fleurs de pommier. Le bonheur n’est pas lié à l’innocence.
il y a 2 mois
Image
Image
il y a 2 mois
Lysaelia
Lysaelia
2 mois
mes suggestions youtube sont crazy Image
:AAHkj:
WTF
:risitas-mdr:
Gardez mémoire de moi, non point tel que j’ai failli, mais tel que j’étais.
il y a 2 mois
Au moins j'aurais essayé
:Dubitatif2:
Gardez mémoire de moi, non point tel que j’ai failli, mais tel que j’étais.
il y a 2 mois
pardonne moi de pas être assez bien pour toi mon tidi
:Dubitatif2:
Gardez mémoire de moi, non point tel que j’ai failli, mais tel que j’étais.
il y a 2 mois
moi non plus je ne crois pas au bonheur, seulement à la mélancolie, l'oscillation perpétuelle entre joie et atrophie de l'espérance
il y a 2 mois
Au fond, je crois que j'ai un peu d'anxiété en moi
:bebe_yoda_boit:
Image
il y a 2 mois
Je suis le plus heureux du forum
:glurp:
il y a 2 mois
C'est parce que je suis limité intellectuellement...?
:Dubitatif2:
Gardez mémoire de moi, non point tel que j’ai failli, mais tel que j’étais.
il y a 2 mois