Ce sujet a été résolu
Avec toi je partage les lasagnes
Avec lui de phlegmon
Et avec sog le cul de cmoon
Allez c plié cette affaire
Avec lui de phlegmon
Et avec sog le cul de cmoon
Allez c plié cette affaire
Alors ça c'est de la poésie
il y a 3 mois
Jouhn_Ingroum
3 mois
J'ai réalisé ça en jouant à Max Payne 1 2 et 3, j'ai repensé à ma vie, et tout ce que je peux dire c'est que Max Payne a bouleversé ma perception de la réalité. Depuis que j’ai replongé dans l’histoire de Max, je vois tout autrement. Chaque ruelle sombre, chaque éclair de néon, chaque coup de feu résonne en moi comme un écho de cette douleur insondable. Je ne vois plus le monde comme avant, tout est devenu flou, distordu, comme une scène sous l’effet de la pluie battante d’un New York en ruine.
Je me sens épuisé, fatigué de ce système qui écrase tout sur son passage. Ce monde est une guerre sans fin, une guerre qu’on mène sans savoir pourquoi, une guerre où chaque décision mène à une nouvelle trahison. J’ai l’impression de vivre dans une lente descente aux enfers, un peu comme Max. Chaque petit moment de paix, chaque illusion de tranquillité, est vite brisé par un coup de feu ou une promesse de vengeance.
J’ai cette rage en moi, cette même rage qui dévore Max à chaque étape. La perte, la trahison, la douleur, c’est tout ce que je connais maintenant. Je me noie dans les mêmes habitudes qu’il a adoptées : alcool, cigarettes, et ces pensées sombres qui n’arrêtent jamais de tourner dans ma tête. Parfois, je me demande si je suis encore moi-même, ou si je suis juste une silhouette floue dans un monde qui n’a plus de sens.
Les rues sont mon terrain de jeu, la violence est ma seule vérité. Je vois ce monde comme Max : un endroit où il n'y a plus d'innocence, juste des masques de faux-semblants. La justice est une illusion, la rédemption, une farce. Max Payne, c’est moi, c’est toi, c’est nous tous qui cherchons à échapper à un destin qui nous échappe. Mais peut-on vraiment fuir quand la douleur est tatouée sur notre peau ? Peut-on vraiment s’échapper de l’enfer quand il vit déjà en nous ?
Peu importe où je vais, la pluie continue de tomber. Je continue de courir, mais je sais que je n’échapperai jamais à cette vengeance intérieure. La guerre est dans mon âme, et je suis prêt à tout pour voir la fin, même si la fin n’est qu’un autre commencement...

Je me sens épuisé, fatigué de ce système qui écrase tout sur son passage. Ce monde est une guerre sans fin, une guerre qu’on mène sans savoir pourquoi, une guerre où chaque décision mène à une nouvelle trahison. J’ai l’impression de vivre dans une lente descente aux enfers, un peu comme Max. Chaque petit moment de paix, chaque illusion de tranquillité, est vite brisé par un coup de feu ou une promesse de vengeance.

J’ai cette rage en moi, cette même rage qui dévore Max à chaque étape. La perte, la trahison, la douleur, c’est tout ce que je connais maintenant. Je me noie dans les mêmes habitudes qu’il a adoptées : alcool, cigarettes, et ces pensées sombres qui n’arrêtent jamais de tourner dans ma tête. Parfois, je me demande si je suis encore moi-même, ou si je suis juste une silhouette floue dans un monde qui n’a plus de sens.

Les rues sont mon terrain de jeu, la violence est ma seule vérité. Je vois ce monde comme Max : un endroit où il n'y a plus d'innocence, juste des masques de faux-semblants. La justice est une illusion, la rédemption, une farce. Max Payne, c’est moi, c’est toi, c’est nous tous qui cherchons à échapper à un destin qui nous échappe. Mais peut-on vraiment fuir quand la douleur est tatouée sur notre peau ? Peut-on vraiment s’échapper de l’enfer quand il vit déjà en nous ?

Peu importe où je vais, la pluie continue de tomber. Je continue de courir, mais je sais que je n’échapperai jamais à cette vengeance intérieure. La guerre est dans mon âme, et je suis prêt à tout pour voir la fin, même si la fin n’est qu’un autre commencement...

J’ai réalisé ça en massacrant mes ennemis dans Attack on Titan, j’ai repensé à ma vie, et tout ce que je peux dire, c’est que je suis devenu tellement comme Eren Jaeger que c’en est effrayant. Depuis que j’ai plongé dans sa quête, je ne vois plus le monde de la même façon. Chaque mur qui m’entoure, chaque cri de guerre, chaque goutte de sang me rappelle que je suis né pour me battre. Le monde est une cage, une prison où les faibles se cachent derrière des illusions de paix, et je refuse d’être l’un d’eux.
Je porte des manteaux noirs, je fixe les gens dans les yeux en murmurant "Tatake, tatake" (ce qui veut dire "bats-toi, bats-toi" en français, au cas où vous seriez des Eldiens ignorants). J’ai laissé pousser mes cheveux pour qu’ils tombent en chignon négligé, parce que je me fiche de ce que pensent les autres ! Je me coupe la main exprès pour laisser une cicatrice bien visible, et je la montre à tout le monde pour qu’ils sachent que je contrôle mon destin. Quand je vois des chiens en laisse, je m’énerve – pourquoi ne sont-ils pas libres comme moi, libres de détruire leurs ennemis ?
Je ne peux plus parler à ma copine sans lui demander de porter une écharpe rouge comme Mikasa ou une couronne comme Historia, parce qu’elles me rappellent… eh bien, moi-même, dans un sens. Quand je suis dans un immeuble, je hurle à tout le monde qu’il y a des civils en dessous, juste pour qu’ils comprennent l’enjeu. Je bois mon café noir, amer, comme ma haine pour ce monde corrompu.
Les rues sont mon champ de bataille, la violence est mon seul langage. Je vois ce monde comme Eren : un endroit où l’innocence n’existe pas, juste des murs à abattre. La justice ? Une blague. La paix ? Un mensonge. Je suis Eren Jaeger, et je continue d’avancer, jusqu’à ce que mes ennemis soient réduits en cendres. Peu importe où je vais, le grondement de la terre me suit. Je cours vers la liberté, mais je sais que la liberté a un prix – et je suis prêt à tout détruire pour l’obtenir, même si ça signifie détruire qui je suis.

Je porte des manteaux noirs, je fixe les gens dans les yeux en murmurant "Tatake, tatake" (ce qui veut dire "bats-toi, bats-toi" en français, au cas où vous seriez des Eldiens ignorants). J’ai laissé pousser mes cheveux pour qu’ils tombent en chignon négligé, parce que je me fiche de ce que pensent les autres ! Je me coupe la main exprès pour laisser une cicatrice bien visible, et je la montre à tout le monde pour qu’ils sachent que je contrôle mon destin. Quand je vois des chiens en laisse, je m’énerve – pourquoi ne sont-ils pas libres comme moi, libres de détruire leurs ennemis ?

Je ne peux plus parler à ma copine sans lui demander de porter une écharpe rouge comme Mikasa ou une couronne comme Historia, parce qu’elles me rappellent… eh bien, moi-même, dans un sens. Quand je suis dans un immeuble, je hurle à tout le monde qu’il y a des civils en dessous, juste pour qu’ils comprennent l’enjeu. Je bois mon café noir, amer, comme ma haine pour ce monde corrompu.

Les rues sont mon champ de bataille, la violence est mon seul langage. Je vois ce monde comme Eren : un endroit où l’innocence n’existe pas, juste des murs à abattre. La justice ? Une blague. La paix ? Un mensonge. Je suis Eren Jaeger, et je continue d’avancer, jusqu’à ce que mes ennemis soient réduits en cendres. Peu importe où je vais, le grondement de la terre me suit. Je cours vers la liberté, mais je sais que la liberté a un prix – et je suis prêt à tout détruire pour l’obtenir, même si ça signifie détruire qui je suis.

Maybe I just want to maybe...
il y a 3 mois
Toi je partage tes dessins avec tlm parce que tu as trop de talent pour rester caché
ᶻ 𝘇 𐰁
il y a 3 mois
J’ai réalisé ça en massacrant mes ennemis dans Attack on Titan, j’ai repensé à ma vie, et tout ce que je peux dire, c’est que je suis devenu tellement comme Eren Jaeger que c’en est effrayant. Depuis que j’ai plongé dans sa quête, je ne vois plus le monde de la même façon. Chaque mur qui m’entoure, chaque cri de guerre, chaque goutte de sang me rappelle que je suis né pour me battre. Le monde est une cage, une prison où les faibles se cachent derrière des illusions de paix, et je refuse d’être l’un d’eux.
Je porte des manteaux noirs, je fixe les gens dans les yeux en murmurant "Tatake, tatake" (ce qui veut dire "bats-toi, bats-toi" en français, au cas où vous seriez des Eldiens ignorants). J’ai laissé pousser mes cheveux pour qu’ils tombent en chignon négligé, parce que je me fiche de ce que pensent les autres ! Je me coupe la main exprès pour laisser une cicatrice bien visible, et je la montre à tout le monde pour qu’ils sachent que je contrôle mon destin. Quand je vois des chiens en laisse, je m’énerve – pourquoi ne sont-ils pas libres comme moi, libres de détruire leurs ennemis ?
Je ne peux plus parler à ma copine sans lui demander de porter une écharpe rouge comme Mikasa ou une couronne comme Historia, parce qu’elles me rappellent… eh bien, moi-même, dans un sens. Quand je suis dans un immeuble, je hurle à tout le monde qu’il y a des civils en dessous, juste pour qu’ils comprennent l’enjeu. Je bois mon café noir, amer, comme ma haine pour ce monde corrompu.
Les rues sont mon champ de bataille, la violence est mon seul langage. Je vois ce monde comme Eren : un endroit où l’innocence n’existe pas, juste des murs à abattre. La justice ? Une blague. La paix ? Un mensonge. Je suis Eren Jaeger, et je continue d’avancer, jusqu’à ce que mes ennemis soient réduits en cendres. Peu importe où je vais, le grondement de la terre me suit. Je cours vers la liberté, mais je sais que la liberté a un prix – et je suis prêt à tout détruire pour l’obtenir, même si ça signifie détruire qui je suis.

Je porte des manteaux noirs, je fixe les gens dans les yeux en murmurant "Tatake, tatake" (ce qui veut dire "bats-toi, bats-toi" en français, au cas où vous seriez des Eldiens ignorants). J’ai laissé pousser mes cheveux pour qu’ils tombent en chignon négligé, parce que je me fiche de ce que pensent les autres ! Je me coupe la main exprès pour laisser une cicatrice bien visible, et je la montre à tout le monde pour qu’ils sachent que je contrôle mon destin. Quand je vois des chiens en laisse, je m’énerve – pourquoi ne sont-ils pas libres comme moi, libres de détruire leurs ennemis ?

Je ne peux plus parler à ma copine sans lui demander de porter une écharpe rouge comme Mikasa ou une couronne comme Historia, parce qu’elles me rappellent… eh bien, moi-même, dans un sens. Quand je suis dans un immeuble, je hurle à tout le monde qu’il y a des civils en dessous, juste pour qu’ils comprennent l’enjeu. Je bois mon café noir, amer, comme ma haine pour ce monde corrompu.

Les rues sont mon champ de bataille, la violence est mon seul langage. Je vois ce monde comme Eren : un endroit où l’innocence n’existe pas, juste des murs à abattre. La justice ? Une blague. La paix ? Un mensonge. Je suis Eren Jaeger, et je continue d’avancer, jusqu’à ce que mes ennemis soient réduits en cendres. Peu importe où je vais, le grondement de la terre me suit. Je cours vers la liberté, mais je sais que la liberté a un prix – et je suis prêt à tout détruire pour l’obtenir, même si ça signifie détruire qui je suis.

il y a 3 mois
Toi je partage tes dessins avec tlm parce que tu as trop de talent pour rester caché
T
il y a 3 mois
Je partage tes photos sur Pinterest avec toutes les bandeuses de takumi (prépare toi à recevoir plein de lettres d'amour de leur part
)
ᶻ 𝘇 𐰁
il y a 3 mois
TismeySucrey
3 mois
@Faux- tu fais des trucs de choses ou pas??
wesh wesh mon frère, je peux pas trop en parler tu connais vivons heureux vivons cachés
quand les cœurs s'embrasent
il y a 3 mois
Toi je partage tes dessins avec tlm parce que tu as trop de talent pour rester caché
T
il y a 3 mois