Ce sujet a été résolu
Non mais putain j'ai fait un document word sur toute la semaine qui est moins long que ça
Gardez mémoire de moi, non point tel que j’ai failli, mais tel que j’étais.
il y a 7 mois
Dire que les "simps" sont les **romantiques des temps modernes**, c’est une manière provocante mais intéressante de revaloriser une figure souvent moquée. Voici quelques arguments qui soutiennent cette idée :
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### 1. **Dévotion sans retour immédiat**
Le "simp", au sens moderne, est souvent perçu comme quelqu’un qui donne beaucoup d’attention, de compliments ou même de ressources à une personne (souvent une femme), sans forcément recevoir la même chose en retour.
**Comparaison romantique :** À l’époque du romantisme ou même dans les romans chevaleresques, les hommes étaient prêts à tout pour leur "dame de cœur", sans assurance d’être aimés en retour. Ils servaient, écrivaient des poèmes, se battaient même pour l'honneur d’une femme.
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### 2. **Idéalisation de l’être aimé**
Le "simp" idéalise souvent la personne qu’il admire, la mettant sur un piédestal.
**Comparaison romantique :** C’est exactement ce que faisaient les poètes romantiques : ils magnifiaient l’amour, souvent au point d’en souffrir, de tomber dans la mélancolie ou même la folie.
---
### 3. **Opposition au cynisme moderne**
Dans une époque marquée par le "ghosting", le "casual dating" et la peur de l’engagement, le "simp" peut apparaître comme un **contre-courant** : il ose montrer ses sentiments, se rendre vulnérable et s'investir émotionnellement.
**Comparaison romantique :** Les romantiques rejetaient aussi les normes de leur temps, préférant l’intensité émotionnelle à la raison froide.
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### 4. **Critiqués, mais porteurs d’un idéal**
Les "simps" sont souvent tournés en ridicule, tout comme les amoureux transis étaient vus comme faibles ou ridicules. Mais derrière cette moquerie, on peut y voir la peur ou le mépris d’une forme d’amour trop pure pour ce monde.
**Comparaison romantique :** Les romantiques étaient eux aussi des marginaux dans leurs sociétés.
---
### Conclusion
Les "simps", au fond, sont des **amoureux passionnés**, parfois maladroits, parfois excessifs, mais sincères dans leurs élans. Comme les romantiques d’hier, ils croient à un amour qui dépasse les règles du jeu social. Et même si le mot est devenu péjoratif, il révèle une chose : **la tendresse, dans un monde dur, est un acte de bravoure**.
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Tu veux que je t’écrive une version plus courte ou stylée genre post Insta ou TikTok ?
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### 1. **Dévotion sans retour immédiat**
Le "simp", au sens moderne, est souvent perçu comme quelqu’un qui donne beaucoup d’attention, de compliments ou même de ressources à une personne (souvent une femme), sans forcément recevoir la même chose en retour.
**Comparaison romantique :** À l’époque du romantisme ou même dans les romans chevaleresques, les hommes étaient prêts à tout pour leur "dame de cœur", sans assurance d’être aimés en retour. Ils servaient, écrivaient des poèmes, se battaient même pour l'honneur d’une femme.
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### 2. **Idéalisation de l’être aimé**
Le "simp" idéalise souvent la personne qu’il admire, la mettant sur un piédestal.
**Comparaison romantique :** C’est exactement ce que faisaient les poètes romantiques : ils magnifiaient l’amour, souvent au point d’en souffrir, de tomber dans la mélancolie ou même la folie.
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### 3. **Opposition au cynisme moderne**
Dans une époque marquée par le "ghosting", le "casual dating" et la peur de l’engagement, le "simp" peut apparaître comme un **contre-courant** : il ose montrer ses sentiments, se rendre vulnérable et s'investir émotionnellement.
**Comparaison romantique :** Les romantiques rejetaient aussi les normes de leur temps, préférant l’intensité émotionnelle à la raison froide.
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### 4. **Critiqués, mais porteurs d’un idéal**
Les "simps" sont souvent tournés en ridicule, tout comme les amoureux transis étaient vus comme faibles ou ridicules. Mais derrière cette moquerie, on peut y voir la peur ou le mépris d’une forme d’amour trop pure pour ce monde.
**Comparaison romantique :** Les romantiques étaient eux aussi des marginaux dans leurs sociétés.
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### Conclusion
Les "simps", au fond, sont des **amoureux passionnés**, parfois maladroits, parfois excessifs, mais sincères dans leurs élans. Comme les romantiques d’hier, ils croient à un amour qui dépasse les règles du jeu social. Et même si le mot est devenu péjoratif, il révèle une chose : **la tendresse, dans un monde dur, est un acte de bravoure**.
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Tu veux que je t’écrive une version plus courte ou stylée genre post Insta ou TikTok ?
il y a 7 mois
Lysaelia
7 mois
Si le romantique élève l’être aimé au rang d’idéal intouchable, le "simp" adopte une posture bien plus terre-à-terre, voire opportuniste. L’objet de son attention n’est pas nécessairement admiré pour des qualités profondes ou uniques – beauté intérieure, intelligence, vertu – mais souvent pour des attributs superficiels ou un statut qui le rend désirable dans un contexte donné. Par exemple, sur Instagram ou OnlyFans, un "simp" pourrait se prosterner devant une influenceuse ou une créatrice de contenu en raison de son apparence physique ou de sa popularité, sans chercher à connaître sa personnalité ou à construire un lien authentique. Cette dévotion est moins une célébration de l’autre qu’une projection de ses propres désirs ou besoins.
Cette absence d’idéalisation se voit dans le langage même des "simps". Leurs compliments, souvent excessifs ("tu es parfaite", "je ferais tout pour toi"), sonnent creux ou mécaniques, comme s’ils suivaient un script destiné à flatter plutôt qu’à exprimer une émotion sincère. Un cas typique est celui des "white knights" sur Twitter ou Reddit : des hommes qui défendent une femme dans une dispute en ligne, non par conviction, mais pour se positionner comme des alliés dans l’espoir de gagner ses faveurs. Cette superficialité est aux antipodes de la profondeur romantique, où l’amour naît d’une contemplation presque sacrée. Le "simp" ne voit pas une muse ou une âme sœur dans l’autre, mais un objectif à atteindre, un trophée à décrocher – ce qui explique pourquoi le terme est si souvent teinté d’ironie ou de mépris dans la culture populaire.
Le phénomène "simp" est indissociable de son contexte : une société numérique où les relations sont médiatisées, amplifiées et soumises au regard d’un public. Contrairement au romantisme, qui s’épanouissait dans l’intimité des lettres ou des confessions personnelles, le "simping" est une performance publique, jouée sur des plateformes où chaque action peut être vue, commentée ou monétisée. Sur TikTok, par exemple, un "simp" pourrait publier des duos ou des commentaires adorateurs sous les vidéos d’une créatrice, cherchant autant l’approbation de cette dernière que la visibilité auprès d’une communauté en ligne. Cette dimension spectaculaire transforme la gentillesse en un acte théâtral, loin de la discrétion ou de l’intériorité des romantiques.
La culture numérique renforce aussi la monétisation des interactions. Sur Patreon ou OnlyFans, les "simps" financent directement les créateurs qu’ils admirent, créant une relation où l’affection semble proportionnelle à l’argent dépensé. Un exemple marquant est le scandale de 2020 autour de la streameuse Amouranth, où des fans ont dépensé des fortunes pour des messages personnalisés, révélant une dynamique où la dévotion devient un produit commercial. Cette marchandisation des sentiments n’a rien à voir avec l’élan désintéressé des romantiques, qui rejetaient les logiques matérielles. Enfin, la culture des mèmes – avec des expressions comme "Simp Nation" ou des vidéos moquant les "simps" – ajoute une couche de cynisme : le "simp" est à la fois acteur et victime d’un jeu social où son comportement est ridiculisé, renforçant son statut de caricature plutôt que de figure noble.
Simps vs romantiques : une incompatibilité fondamentale
Si les romantiques et les "simps" partagent une forme apparente de dévotion, leurs motivations et leurs contextes révèlent une incompatibilité profonde.
Le romantique aime sans calcul, même au détriment de lui-même ; le "simp" feint souvent une générosité désintéressée pour masquer un désir intéressé. Cette hypocrisie, comme vous le soulignez, est au cœur de la critique du "simp" : il "achète" l’amour avec sa gentillesse, mais cet amour reste conditionnel à une récompense.
Le romantisme élève l’amour à une expérience quasi sacrée ; le "simp", lui, s’abaisse dans une posture de soumission ou de désespoir, souvent ridiculisée par ses pairs. Loin de chercher une transcendance, il s’enferme dans une dynamique de dépendance ou de rejet.
Le romantisme répondait à une société en quête de sens après la Révolution industrielle et les Lumières ; le "simp" émerge dans une ère cynique et hyperconnectée, où les relations sont médiatisées et monétisées. Cette différence de cadre rend la comparaison bancale : les romantiques étaient des visionnaires, les "simps" sont des caricatures.
Conclusion
Qualifier les "simps" de "romantiques des temps modernes", comme certains le suggèrent sur les forums en ligne, est une proposition qui ne résiste pas à une analyse rigoureuse. Cette assimilation, bien qu’attrayante par sa simplicité, repose sur une méprise fondamentale quant à la nature de ces deux figures. Le romantisme, tel qu’il s’est épanoui au tournant du XIXe siècle, était une célébration sincère et désintéressée de l’amour, un mouvement porté par une quête d’absolu où l’être aimé devenait une muse, un idéal transcendant les contingences matérielles. Les romantiques – qu’ils soient poètes comme Shelley, amants tragiques comme Werther, ou rêveurs comme Lamartine – vivaient leurs passions comme une expérience spirituelle, un acte de création ou une révolte contre un monde désenchanté. Leur dévotion, souvent marquée par la douleur ou le sacrifice, ne cherchait pas de récompense tangible, mais trouvait sa valeur dans son intensité et sa pureté.
À l’inverse, les "simps", produits de la culture numérique du XXIe siècle, incarnent une forme de gentillesse intéressée, performative et souvent hypocrite, où l’admiration cache des attentes concrètes – attention, affection, statut. Leur comportement, qu’il s’exprime par des dons sur Twitch, des compliments exagérés sur Instagram ou une servilité dans la vie réelle, s’inscrit dans une logique transactionnelle qui contraste avec l’élan désintéressé des romantiques. Là où ces derniers élevaient l’amour à une dimension artistique et universelle, les "simps" s’abaissent dans une quête de validation, souvent ridiculisée par une société cynique qui voit en eux des naïfs ou des opportunistes. Cette différence n’est pas seulement une question de style ou d’époque : elle reflète des visions opposées de l’amour et de la relation humaine, l’une ancrée dans l’idéalisme, l’autre dans le pragmatisme d’un monde hyperconnecté et monétisé.
Ainsi, les "simps" ne sont pas des héritiers du romantisme, mais des figures distinctes qui tentent, sous couvert de dévotion, d’"acheter" l’amour ou l’approbation par des moyens détournés. Leur hypocrisie – feindre la générosité tout en espérant un retour – les éloigne radicalement de l’authenticité romantique, qui faisait de l’amour une fin en soi, pas un outil de conquête. Cette distinction invite à une réflexion plus large : dans une société où les sentiments sont médiatisés, jugés et parfois vendus, le romantisme véritable a-t-il encore sa place, ou est-il condamné à être caricaturé par des phénomènes comme le "simping" ? Loin de moderniser l’héritage romantique, les "simps" en soulignent la perte, révélant un vide entre l’idéal d’autrefois et les réalités triviales d’aujourd’hui. En définitive, les romantiques cherchaient à sublimer l’amour ; les "simps" le réduisent à une monnaie d’échange, marquant non une évolution, mais une rupture avec cet héritage.
Cette absence d’idéalisation se voit dans le langage même des "simps". Leurs compliments, souvent excessifs ("tu es parfaite", "je ferais tout pour toi"), sonnent creux ou mécaniques, comme s’ils suivaient un script destiné à flatter plutôt qu’à exprimer une émotion sincère. Un cas typique est celui des "white knights" sur Twitter ou Reddit : des hommes qui défendent une femme dans une dispute en ligne, non par conviction, mais pour se positionner comme des alliés dans l’espoir de gagner ses faveurs. Cette superficialité est aux antipodes de la profondeur romantique, où l’amour naît d’une contemplation presque sacrée. Le "simp" ne voit pas une muse ou une âme sœur dans l’autre, mais un objectif à atteindre, un trophée à décrocher – ce qui explique pourquoi le terme est si souvent teinté d’ironie ou de mépris dans la culture populaire.
Le phénomène "simp" est indissociable de son contexte : une société numérique où les relations sont médiatisées, amplifiées et soumises au regard d’un public. Contrairement au romantisme, qui s’épanouissait dans l’intimité des lettres ou des confessions personnelles, le "simping" est une performance publique, jouée sur des plateformes où chaque action peut être vue, commentée ou monétisée. Sur TikTok, par exemple, un "simp" pourrait publier des duos ou des commentaires adorateurs sous les vidéos d’une créatrice, cherchant autant l’approbation de cette dernière que la visibilité auprès d’une communauté en ligne. Cette dimension spectaculaire transforme la gentillesse en un acte théâtral, loin de la discrétion ou de l’intériorité des romantiques.
La culture numérique renforce aussi la monétisation des interactions. Sur Patreon ou OnlyFans, les "simps" financent directement les créateurs qu’ils admirent, créant une relation où l’affection semble proportionnelle à l’argent dépensé. Un exemple marquant est le scandale de 2020 autour de la streameuse Amouranth, où des fans ont dépensé des fortunes pour des messages personnalisés, révélant une dynamique où la dévotion devient un produit commercial. Cette marchandisation des sentiments n’a rien à voir avec l’élan désintéressé des romantiques, qui rejetaient les logiques matérielles. Enfin, la culture des mèmes – avec des expressions comme "Simp Nation" ou des vidéos moquant les "simps" – ajoute une couche de cynisme : le "simp" est à la fois acteur et victime d’un jeu social où son comportement est ridiculisé, renforçant son statut de caricature plutôt que de figure noble.

Simps vs romantiques : une incompatibilité fondamentale
Si les romantiques et les "simps" partagent une forme apparente de dévotion, leurs motivations et leurs contextes révèlent une incompatibilité profonde.
Le romantique aime sans calcul, même au détriment de lui-même ; le "simp" feint souvent une générosité désintéressée pour masquer un désir intéressé. Cette hypocrisie, comme vous le soulignez, est au cœur de la critique du "simp" : il "achète" l’amour avec sa gentillesse, mais cet amour reste conditionnel à une récompense.
Le romantisme élève l’amour à une expérience quasi sacrée ; le "simp", lui, s’abaisse dans une posture de soumission ou de désespoir, souvent ridiculisée par ses pairs. Loin de chercher une transcendance, il s’enferme dans une dynamique de dépendance ou de rejet.
Le romantisme répondait à une société en quête de sens après la Révolution industrielle et les Lumières ; le "simp" émerge dans une ère cynique et hyperconnectée, où les relations sont médiatisées et monétisées. Cette différence de cadre rend la comparaison bancale : les romantiques étaient des visionnaires, les "simps" sont des caricatures.
Conclusion
Qualifier les "simps" de "romantiques des temps modernes", comme certains le suggèrent sur les forums en ligne, est une proposition qui ne résiste pas à une analyse rigoureuse. Cette assimilation, bien qu’attrayante par sa simplicité, repose sur une méprise fondamentale quant à la nature de ces deux figures. Le romantisme, tel qu’il s’est épanoui au tournant du XIXe siècle, était une célébration sincère et désintéressée de l’amour, un mouvement porté par une quête d’absolu où l’être aimé devenait une muse, un idéal transcendant les contingences matérielles. Les romantiques – qu’ils soient poètes comme Shelley, amants tragiques comme Werther, ou rêveurs comme Lamartine – vivaient leurs passions comme une expérience spirituelle, un acte de création ou une révolte contre un monde désenchanté. Leur dévotion, souvent marquée par la douleur ou le sacrifice, ne cherchait pas de récompense tangible, mais trouvait sa valeur dans son intensité et sa pureté.
À l’inverse, les "simps", produits de la culture numérique du XXIe siècle, incarnent une forme de gentillesse intéressée, performative et souvent hypocrite, où l’admiration cache des attentes concrètes – attention, affection, statut. Leur comportement, qu’il s’exprime par des dons sur Twitch, des compliments exagérés sur Instagram ou une servilité dans la vie réelle, s’inscrit dans une logique transactionnelle qui contraste avec l’élan désintéressé des romantiques. Là où ces derniers élevaient l’amour à une dimension artistique et universelle, les "simps" s’abaissent dans une quête de validation, souvent ridiculisée par une société cynique qui voit en eux des naïfs ou des opportunistes. Cette différence n’est pas seulement une question de style ou d’époque : elle reflète des visions opposées de l’amour et de la relation humaine, l’une ancrée dans l’idéalisme, l’autre dans le pragmatisme d’un monde hyperconnecté et monétisé.
Ainsi, les "simps" ne sont pas des héritiers du romantisme, mais des figures distinctes qui tentent, sous couvert de dévotion, d’"acheter" l’amour ou l’approbation par des moyens détournés. Leur hypocrisie – feindre la générosité tout en espérant un retour – les éloigne radicalement de l’authenticité romantique, qui faisait de l’amour une fin en soi, pas un outil de conquête. Cette distinction invite à une réflexion plus large : dans une société où les sentiments sont médiatisés, jugés et parfois vendus, le romantisme véritable a-t-il encore sa place, ou est-il condamné à être caricaturé par des phénomènes comme le "simping" ? Loin de moderniser l’héritage romantique, les "simps" en soulignent la perte, révélant un vide entre l’idéal d’autrefois et les réalités triviales d’aujourd’hui. En définitive, les romantiques cherchaient à sublimer l’amour ; les "simps" le réduisent à une monnaie d’échange, marquant non une évolution, mais une rupture avec cet héritage.
il y a 7 mois
Moi à la base je voulais vous montrer mon nouveau tattoo 
Gardez mémoire de moi, non point tel que j’ai failli, mais tel que j’étais.
il y a 7 mois
C'est chelou le haut en canette et le bas en bouteille
Jamais vu, c méga stylé
il y a 7 mois
Jouhn_Ingroum
7 mois
il y a 7 mois
2sur10
7 mois
Mais mdrrrrrr si vous saviez à quel point je vais pas lire
j'ai essayé j'y arrive pas
Repose en paix
il y a 7 mois
La classe, vivement la colorisation
Oula j'ai lu autre chose
Gardez mémoire de moi, non point tel que j’ai failli, mais tel que j’étais.
il y a 7 mois
Les femmes aussi, et 5 fois plus que les hommes !
Source :
https://en.wikipedia.org/[...]20as%20a%20general%20case.
"This research found that while both women and men have more favorable views of women, women's in-group biases were 4.5 times stronger[5] than those of men"
Source :
"This research found that while both women and men have more favorable views of women, women's in-group biases were 4.5 times stronger[5] than those of men"
il y a 7 mois



















