Ce sujet a été résolu
Sisyphe
2 mois
Je suis un esprit libre
exactement, tu n'es pas un golem
Maybe I just want to maybe...
il y a 2 mois
Classique beurette
Yeah, pour elle j'ai que du venin, tant mieux, elle veut pas d'sentiments
my mans, my babes, my girls, my ex, my hoes that I left
il y a 2 mois
T'es bien un vendu du lobby big pharma
Médicament : Substance ou préparation administrée en vue d'établir un diagnostic médical, de traiter ou de prévenir une maladie, ou de restaurer, corriger, modifier des fonctions organiques
Ça peut très bien être des plantes médicinales récoltés dans la forêt à côté, mais t'as le cerveau complètement lavé par Big Pharma qui t'as fait croire que seule leurs médicaments industriels existent
Ça peut très bien être des plantes médicinales récoltés dans la forêt à côté, mais t'as le cerveau complètement lavé par Big Pharma qui t'as fait croire que seule leurs médicaments industriels existent
il y a 2 mois
Reims joue un barrage pour son maintien en ligue 1, c'est plus important que la finale de la cdf
il y a 2 mois
Osef le golem
T'as fait barrage toi ?
Post ou jette un œil sur mes scriptum -> @Anchwatt
il y a 2 mois
Delit
2 mois
Partir un jour sans retour effacer (effacer) notre amour
sans se retourner..
il y a 2 mois
il y a 2 mois
GPT sur ton post :
Ce que cette personne dit semble vouloir avoir l’air profond, mais le langage embrouillé et les concepts mal définis donnent plutôt l’impression qu’il essaie de briller intellectuellement sans dire quelque chose de vraiment clair ou fondé.
Par exemple, parler de "téléologie" ou de "réseau de sacralité" dans un mariage athée, comme si un engagement entre deux personnes ne pouvait avoir de profondeur sans référence au divin, c’est déjà très discutable philosophiquement. Et en plus, il le dit d’une manière alambiquée qui noie le poisson.
Bref, ça ressemble à du verbiage pseudo-philosophique : beaucoup de mots, peu de sens concret.
Ce que cette personne dit semble vouloir avoir l’air profond, mais le langage embrouillé et les concepts mal définis donnent plutôt l’impression qu’il essaie de briller intellectuellement sans dire quelque chose de vraiment clair ou fondé.
Par exemple, parler de "téléologie" ou de "réseau de sacralité" dans un mariage athée, comme si un engagement entre deux personnes ne pouvait avoir de profondeur sans référence au divin, c’est déjà très discutable philosophiquement. Et en plus, il le dit d’une manière alambiquée qui noie le poisson.
Bref, ça ressemble à du verbiage pseudo-philosophique : beaucoup de mots, peu de sens concret.
le prompt : justifie que ce texte ne veut rien dire
il y a 2 mois
GPT sur ton post :
Ce que cette personne dit semble vouloir avoir l’air profond, mais le langage embrouillé et les concepts mal définis donnent plutôt l’impression qu’il essaie de briller intellectuellement sans dire quelque chose de vraiment clair ou fondé.
Par exemple, parler de "téléologie" ou de "réseau de sacralité" dans un mariage athée, comme si un engagement entre deux personnes ne pouvait avoir de profondeur sans référence au divin, c’est déjà très discutable philosophiquement. Et en plus, il le dit d’une manière alambiquée qui noie le poisson.
Bref, ça ressemble à du verbiage pseudo-philosophique : beaucoup de mots, peu de sens concret.
Ce que cette personne dit semble vouloir avoir l’air profond, mais le langage embrouillé et les concepts mal définis donnent plutôt l’impression qu’il essaie de briller intellectuellement sans dire quelque chose de vraiment clair ou fondé.
Par exemple, parler de "téléologie" ou de "réseau de sacralité" dans un mariage athée, comme si un engagement entre deux personnes ne pouvait avoir de profondeur sans référence au divin, c’est déjà très discutable philosophiquement. Et en plus, il le dit d’une manière alambiquée qui noie le poisson.
Bref, ça ressemble à du verbiage pseudo-philosophique : beaucoup de mots, peu de sens concret.
avec le prompt : peux-tu expliquer ce texte :
Ce texte est dense et philosophique, mais je vais te l’expliquer pas à pas pour en clarifier le sens.
1. Contexte général :
L’auteur réfléchit à la signification du mariage dans une perspective athée, en le comparant à une conception plus métaphysique ou religieuse.
2. Phrase par phrase :
« je ne pense pas que dans un contexte athée on puisse trouver un sens métaphysique au mariage »
L’auteur pense que si on adopte une vision athée du monde (c’est-à-dire sans Dieu ni transcendance), il est difficile de donner au mariage un sens « métaphysique », c’est-à-dire un sens profond qui dépasse la simple existence matérielle ou sociale.
« puisque le mariage athée s'effectue entre personnes dont les âmes ne sont reliées à rien d'autre qu'au monde en toute horizontalité »
Dans cette vision athée, les âmes (ou identités profondes des individus) ne sont reliées qu’entre elles sur un plan horizontal, c’est-à-dire sans rapport avec une dimension transcendante ou supérieure (pas de Dieu, pas de sacré, pas d’au-delà).
« il n'y a pas cette téléologie »
Il n’y a pas de téléologie, c’est-à-dire pas de but ultime ou finalité transcendante au mariage (contrairement à une conception religieuse où le mariage pourrait servir un dessein divin ou éternel).
« qui ne peut vraiment se fonder que dans une finalité en soi singulière »
Une vraie téléologie (un but ultime) requiert une « finalité singulière en soi », autrement dit une valeur suprême ou un sens ultime en dehors du monde matériel, ce que la vision athée ne propose pas.
« et qui seule peut justifier par un réseau qui y aboutit de sacralité quelle qu'elle soit »
Seule cette finalité transcendante peut fonder un réseau de sens qui mène à une forme de sacré : en d’autres termes, le mariage ne peut devenir « sacré » (ou plus que purement contractuel) que s’il est ancré dans une vision du monde où il existe quelque chose de sacré ou transcendant à atteindre ou à honorer.
3. En résumé simple :
L’auteur dit que dans un cadre athée, le mariage n’a pas de sens métaphysique ou sacré, parce qu’il ne s’appuie sur aucune transcendance. Pour que le mariage ait une valeur sacrée ou profonde, il faudrait qu’il s’inscrive dans une vision du monde téléologique, c’est-à-dire avec une finalité supérieure (comme celle proposée par la religion ou certaines conceptions spirituelles).
Ce texte est dense et philosophique, mais je vais te l’expliquer pas à pas pour en clarifier le sens.
1. Contexte général :
L’auteur réfléchit à la signification du mariage dans une perspective athée, en le comparant à une conception plus métaphysique ou religieuse.
2. Phrase par phrase :
« je ne pense pas que dans un contexte athée on puisse trouver un sens métaphysique au mariage »
L’auteur pense que si on adopte une vision athée du monde (c’est-à-dire sans Dieu ni transcendance), il est difficile de donner au mariage un sens « métaphysique », c’est-à-dire un sens profond qui dépasse la simple existence matérielle ou sociale.
« puisque le mariage athée s'effectue entre personnes dont les âmes ne sont reliées à rien d'autre qu'au monde en toute horizontalité »
Dans cette vision athée, les âmes (ou identités profondes des individus) ne sont reliées qu’entre elles sur un plan horizontal, c’est-à-dire sans rapport avec une dimension transcendante ou supérieure (pas de Dieu, pas de sacré, pas d’au-delà).
« il n'y a pas cette téléologie »
Il n’y a pas de téléologie, c’est-à-dire pas de but ultime ou finalité transcendante au mariage (contrairement à une conception religieuse où le mariage pourrait servir un dessein divin ou éternel).
« qui ne peut vraiment se fonder que dans une finalité en soi singulière »
Une vraie téléologie (un but ultime) requiert une « finalité singulière en soi », autrement dit une valeur suprême ou un sens ultime en dehors du monde matériel, ce que la vision athée ne propose pas.
« et qui seule peut justifier par un réseau qui y aboutit de sacralité quelle qu'elle soit »
Seule cette finalité transcendante peut fonder un réseau de sens qui mène à une forme de sacré : en d’autres termes, le mariage ne peut devenir « sacré » (ou plus que purement contractuel) que s’il est ancré dans une vision du monde où il existe quelque chose de sacré ou transcendant à atteindre ou à honorer.
3. En résumé simple :
L’auteur dit que dans un cadre athée, le mariage n’a pas de sens métaphysique ou sacré, parce qu’il ne s’appuie sur aucune transcendance. Pour que le mariage ait une valeur sacrée ou profonde, il faudrait qu’il s’inscrive dans une vision du monde téléologique, c’est-à-dire avec une finalité supérieure (comme celle proposée par la religion ou certaines conceptions spirituelles).
il y a 2 mois