Ce sujet a été résolu
Le problème ça n'est pas les wokes, ces derniers là sont des outils , le problème c'est les juifs
Tu retire le financement du capital et 99% de la gauche moderne s'écroule
Tu retire le financement du capital et 99% de la gauche moderne s'écroule
il y a 5 mois
Mais toutes les entreprises qui délocalisent, même celles accusées de wokisme, cnest des entreprises, leur stratégie de com’, qu’elle soit bonne ou non, elle est decideee en fonction de ce qu’ils pensent que ça peut rapporter.
oui oui on y croit, ca répnd pas à la questiond abse en quoi payé des chrtrav inutile 10K/mois est caitaliste mais bon
Nouveau Banger de BIBI
https://www.youtube.com/watch?v=GWL1Tzl0YdY
il y a 5 mois
Personne nie le vote de l'assemblée car l'assemblée a refusé de faire gouvernement avec macron
Mais regarde sous Borne le nombre de 49.3, avant même le délire NFP
il y a 5 mois
Bah écoute, je dis juste que c’est pas un fourre-tout mais la dénonciation d’un système, je suis pas assez intelligent pour développer au delà désolé, je réponds sommairement du coup
il y a 5 mois
Y aura moins de place accordee au président, on pourra s’attendre également à plus de referendum, bref, entre autres, j’imagine qu’on respectera également plus la majorité ala répartition (oui le RN serait en tête avec un tel système aujourd’hui).
si l'ssemblé est controlé en ammjorité abou par un parti ca revient au meme en fait, et vu que LFI refuse de jouer le jeu si ils ont pas tout le control du truc ca sera une 5eme république
LFi refusera de fair de refnrnum (ils reusnt que micron en fasse un sur le sort des électeur de LFI aka les émigrés égorgeur)
LFi refusera de fair de refnrnum (ils reusnt que micron en fasse un sur le sort des électeur de LFI aka les émigrés égorgeur)
Nouveau Banger de BIBI
https://www.youtube.com/watch?v=GWL1Tzl0YdY
il y a 5 mois
Le capitalisme, en tant que système économique et social, repose sur l'idée fondamentale de la propriété privée des moyens de production et sur le principe de la recherche du profit individuel dans un cadre de libre-échange. Son essor depuis plusieurs siècles a eu des effets de grande ampleur sur tous les aspects de la société, qu’il s’agisse des structures politiques, des pratiques économiques, des relations sociales ou encore de l'environnement. Les conséquences systémiques du capitalisme ne peuvent être dissociées des dynamiques qu’il installe et de son influence profonde sur les institutions et les comportements individuels.
1. Les fondements du capitalisme : un système de production orienté vers le profit
Le capitalisme se distingue des autres systèmes économiques par sa structure de marché libre où les prix sont déterminés par l’offre et la demande, ainsi que par la libre concurrence. Dans ce système, la production de biens et de services est organisée par des entreprises privées qui ont pour objectif principal la maximisation du profit. La main-d'œuvre, quant à elle, est traitée comme une marchandise, vendue et achetée selon les besoins du marché.
Les conséquences de ce modèle économique sont multiples et s'étendent bien au-delà de la sphère économique. À travers l’histoire, plusieurs transformations ont été initiées par le capitalisme, affectant profondément les structures politiques et sociales.
2. Concentration du pouvoir économique et inégalités sociales
L'une des conséquences les plus visibles du capitalisme est l’accroissement des inégalités économiques et sociales. La concentration de la richesse entre les mains d'une minorité d’individus ou d'entreprises est une conséquence directe de la logique capitaliste. Ce phénomène peut se traduire par l'émergence de grandes multinationales qui dominent le marché, exercent une influence décisive sur les politiques publiques et souvent dépendent du monopole pour maintenir leurs profits.
Ces inégalités se manifestent par une accumulation de richesses chez les capitalistes et une précarité accrue pour les classes populaires et moyennes. Les inégalités économiques peuvent conduire à des tensions sociales importantes, des luttes de classes, et parfois à des mouvements révolutionnaires ou à des changements politiques majeurs. Le capitalisme a également tendance à augmenter l’écart entre les pays développés et les pays en développement, générant un système mondial d'exploitation économique qui déséquilibre encore davantage la répartition des ressources.
Le système capitaliste a aussi tendance à exploiter la main-d'œuvre à bas coût dans des pays où les droits des travailleurs sont moins protégés, entraînant des conditions de travail précaires, des salaires de misère et des inégalités internationales.
3. L’individualisme et la marchandisation des relations humaines
Le capitalisme repose sur un modèle individuel de réussite, où chaque individu est responsable de sa propre situation économique. Ce modèle favorise l’individualisme au détriment de la solidarité sociale. L’idée de « l’autosuffisance » et de la compétitivité est constamment encouragée, tandis que les liens communautaires et la coopération sont relégués au second plan.
L’individualisme exacerbé peut créer un vide social, où les individus se retrouvent isolés, chacun dans sa quête personnelle de profit ou de succès matériel. Cette dynamique peut engendrer un sentiment de déconnexion sociale et d’aliénation. Au sein de ce modèle, les relations humaines sont souvent perçues sous l’angle de la transaction et du bénéfice mutuel, réduisant ainsi des liens affectifs et sociaux à de simples échanges commerciaux. Par exemple, la consommation devient une activité qui permet de forger des identités sociales, mais également de se situer dans la hiérarchie économique.
4. La transformation du travail et la précarisation
Le capitalisme moderne, dans sa forme néolibérale, a entraîné une transformation majeure des relations de travail. Si le système capitaliste a permis une certaine spécialisation du travail et une forte productivité, il a aussi donné naissance à des formes de précarité de l'emploi, à l'instabilité des contrats de travail et à l'externalisation des emplois vers des régions où les coûts de production sont plus faibles.
La quête incessante de réduction des coûts pousse de nombreuses entreprises à recourir à des stratégies de délocalisation, ou à embaucher sous des contrats temporaires ou précaires, transformant ainsi le travail salarié en un bien instable et flexible. Cette évolution réduit la capacité des travailleurs à se projeter dans un avenir stable, limitant leur pouvoir d'achat, leur capacité à s'organiser collectivement et à revendiquer des droits sociaux.
Le capitalisme crée également une situation où les travailleurs sont souvent forcés de se conformer à des exigences qui privilégient la productivité et le rendement, parfois au détriment de leur bien-être mental et physique. Des phénomènes comme le burn-out, la surcharge de travail, et la précarité professionnelle deviennent des enjeux systématiques dans un système économique axé sur la rentabilité.
5. Conséquences environnementales et durabilité
Le capitalisme a des répercussions profondes sur l’environnement. L’exploitation des ressources naturelles, l’industrialisation à grande échelle et la production de masse conduisent à une pression constante sur les écosystèmes. La logique capitaliste de profit à court terme incite les entreprises à négliger les coûts environnementaux liés à leurs activités. L’exploitation des ressources naturelles est souvent réalisée sans égard pour la durabilité à long terme, ce qui a contribué à des crises écologiques majeures telles que le changement climatique, la perte de biodiversité et la pollution.
Le modèle de croissance infinie du capitalisme s’appuie sur l’idée que le progrès économique doit nécessairement se traduire par une augmentation constante de la production et de la consommation. Cette logique rencontre les limites de la planète, notamment dans la consommation des ressources non renouvelables et l'augmentation des déchets. Le capitalisme mène ainsi à une exploitation excessive de l'environnement, avec des conséquences dramatiques pour les générations futures.
6. Globalisation et interdépendance mondiale
Le capitalisme a facilité la globalisation économique, où les marchés internationaux sont de plus en plus interconnectés. L’abolition progressive des barrières commerciales, la mobilité des capitaux et des investissements, ainsi que la délocalisation de la production ont contribué à la naissance d’une économie mondiale où les biens et services circulent librement au niveau planétaire.
La globalisation engendrée par le capitalisme a permis un développement économique rapide dans certaines régions du monde, mais elle a aussi exacerbé les inégalités entre pays riches et pays pauvres. Les pays en développement, souvent soumis à des pratiques néocoloniales, sont contraints à se conformer aux exigences des grandes puissances économiques, menant à une exploitation de leurs ressources naturelles et humaines sans réel bénéfice à long terme pour leurs populations.
Les inégalités mondiales se sont ainsi accrues avec la mondialisation capitaliste. Des zones de haute concentration de richesses, comme les centres financiers mondiaux, se trouvent en contraste avec des pays ou régions marqués par une pauvreté persistante et un manque d’accès aux ressources de base, notamment à la santé, à l'éducation et aux services publics.
7. Réduction de la démocratie et concentration du pouvoir politique
Le capitalisme ne se limite pas à l'économie ; il affecte également la politique. Dans un système capitaliste, les grandes entreprises et les multinationales exercent une influence considérable sur les gouvernements et les processus politiques. Le lobbying, la corruption et l’influence des grandes entreprises peuvent mener à des décisions politiques qui favorisent les intérêts économiques d’une minorité au détriment du bien-être général de la population.
Les partis politiques peuvent devenir dépendants des financements privés et des intérêts des grandes entreprises, ce qui limite la représentation démocratique des citoyens. Ainsi, le capitalisme peut mener à une dégradation des pratiques démocratiques, où les décisions politiques sont de plus en plus dictées par des logiques économiques et financières plutôt que par l’intérêt commun.
Conclusion
Le capitalisme, en tant que système économique, engendre des conséquences systémiques qui affectent non seulement l'économie, mais aussi les relations sociales, l'environnement et la politique. Si le capitalisme a favorisé une croissance économique sans précédent et a permis une certaine prospérité dans certains pays, il a également conduit à des inégalités profondes, à une exploitation systématique des ressources naturelles, et à des transformations sociales et politiques qui ont parfois des effets négatifs sur la cohésion sociale et la démocratie.
Les conséquences systémiques du capitalisme montrent la nécessité de repenser ce modèle, que ce soit à travers des réformes pour limiter ses excès, ou en explorant des alternatives plus durables et équitables. Il est essentiel de comprendre que le capitalisme n’est pas un système figé, mais qu’il évolue et s’adapte aux défis du monde contemporain. L’avenir dépendra de la manière dont les sociétés décideront de répondre aux contradictions internes du capitalisme et aux problèmes qu’il engendre, notamment en matière d’environnement, de justice sociale et de gouvernance démocratique.
1. Les fondements du capitalisme : un système de production orienté vers le profit
Le capitalisme se distingue des autres systèmes économiques par sa structure de marché libre où les prix sont déterminés par l’offre et la demande, ainsi que par la libre concurrence. Dans ce système, la production de biens et de services est organisée par des entreprises privées qui ont pour objectif principal la maximisation du profit. La main-d'œuvre, quant à elle, est traitée comme une marchandise, vendue et achetée selon les besoins du marché.
Les conséquences de ce modèle économique sont multiples et s'étendent bien au-delà de la sphère économique. À travers l’histoire, plusieurs transformations ont été initiées par le capitalisme, affectant profondément les structures politiques et sociales.
2. Concentration du pouvoir économique et inégalités sociales
L'une des conséquences les plus visibles du capitalisme est l’accroissement des inégalités économiques et sociales. La concentration de la richesse entre les mains d'une minorité d’individus ou d'entreprises est une conséquence directe de la logique capitaliste. Ce phénomène peut se traduire par l'émergence de grandes multinationales qui dominent le marché, exercent une influence décisive sur les politiques publiques et souvent dépendent du monopole pour maintenir leurs profits.
Ces inégalités se manifestent par une accumulation de richesses chez les capitalistes et une précarité accrue pour les classes populaires et moyennes. Les inégalités économiques peuvent conduire à des tensions sociales importantes, des luttes de classes, et parfois à des mouvements révolutionnaires ou à des changements politiques majeurs. Le capitalisme a également tendance à augmenter l’écart entre les pays développés et les pays en développement, générant un système mondial d'exploitation économique qui déséquilibre encore davantage la répartition des ressources.
Le système capitaliste a aussi tendance à exploiter la main-d'œuvre à bas coût dans des pays où les droits des travailleurs sont moins protégés, entraînant des conditions de travail précaires, des salaires de misère et des inégalités internationales.
3. L’individualisme et la marchandisation des relations humaines
Le capitalisme repose sur un modèle individuel de réussite, où chaque individu est responsable de sa propre situation économique. Ce modèle favorise l’individualisme au détriment de la solidarité sociale. L’idée de « l’autosuffisance » et de la compétitivité est constamment encouragée, tandis que les liens communautaires et la coopération sont relégués au second plan.
L’individualisme exacerbé peut créer un vide social, où les individus se retrouvent isolés, chacun dans sa quête personnelle de profit ou de succès matériel. Cette dynamique peut engendrer un sentiment de déconnexion sociale et d’aliénation. Au sein de ce modèle, les relations humaines sont souvent perçues sous l’angle de la transaction et du bénéfice mutuel, réduisant ainsi des liens affectifs et sociaux à de simples échanges commerciaux. Par exemple, la consommation devient une activité qui permet de forger des identités sociales, mais également de se situer dans la hiérarchie économique.
4. La transformation du travail et la précarisation
Le capitalisme moderne, dans sa forme néolibérale, a entraîné une transformation majeure des relations de travail. Si le système capitaliste a permis une certaine spécialisation du travail et une forte productivité, il a aussi donné naissance à des formes de précarité de l'emploi, à l'instabilité des contrats de travail et à l'externalisation des emplois vers des régions où les coûts de production sont plus faibles.
La quête incessante de réduction des coûts pousse de nombreuses entreprises à recourir à des stratégies de délocalisation, ou à embaucher sous des contrats temporaires ou précaires, transformant ainsi le travail salarié en un bien instable et flexible. Cette évolution réduit la capacité des travailleurs à se projeter dans un avenir stable, limitant leur pouvoir d'achat, leur capacité à s'organiser collectivement et à revendiquer des droits sociaux.
Le capitalisme crée également une situation où les travailleurs sont souvent forcés de se conformer à des exigences qui privilégient la productivité et le rendement, parfois au détriment de leur bien-être mental et physique. Des phénomènes comme le burn-out, la surcharge de travail, et la précarité professionnelle deviennent des enjeux systématiques dans un système économique axé sur la rentabilité.
5. Conséquences environnementales et durabilité
Le capitalisme a des répercussions profondes sur l’environnement. L’exploitation des ressources naturelles, l’industrialisation à grande échelle et la production de masse conduisent à une pression constante sur les écosystèmes. La logique capitaliste de profit à court terme incite les entreprises à négliger les coûts environnementaux liés à leurs activités. L’exploitation des ressources naturelles est souvent réalisée sans égard pour la durabilité à long terme, ce qui a contribué à des crises écologiques majeures telles que le changement climatique, la perte de biodiversité et la pollution.
Le modèle de croissance infinie du capitalisme s’appuie sur l’idée que le progrès économique doit nécessairement se traduire par une augmentation constante de la production et de la consommation. Cette logique rencontre les limites de la planète, notamment dans la consommation des ressources non renouvelables et l'augmentation des déchets. Le capitalisme mène ainsi à une exploitation excessive de l'environnement, avec des conséquences dramatiques pour les générations futures.
6. Globalisation et interdépendance mondiale
Le capitalisme a facilité la globalisation économique, où les marchés internationaux sont de plus en plus interconnectés. L’abolition progressive des barrières commerciales, la mobilité des capitaux et des investissements, ainsi que la délocalisation de la production ont contribué à la naissance d’une économie mondiale où les biens et services circulent librement au niveau planétaire.
La globalisation engendrée par le capitalisme a permis un développement économique rapide dans certaines régions du monde, mais elle a aussi exacerbé les inégalités entre pays riches et pays pauvres. Les pays en développement, souvent soumis à des pratiques néocoloniales, sont contraints à se conformer aux exigences des grandes puissances économiques, menant à une exploitation de leurs ressources naturelles et humaines sans réel bénéfice à long terme pour leurs populations.
Les inégalités mondiales se sont ainsi accrues avec la mondialisation capitaliste. Des zones de haute concentration de richesses, comme les centres financiers mondiaux, se trouvent en contraste avec des pays ou régions marqués par une pauvreté persistante et un manque d’accès aux ressources de base, notamment à la santé, à l'éducation et aux services publics.
7. Réduction de la démocratie et concentration du pouvoir politique
Le capitalisme ne se limite pas à l'économie ; il affecte également la politique. Dans un système capitaliste, les grandes entreprises et les multinationales exercent une influence considérable sur les gouvernements et les processus politiques. Le lobbying, la corruption et l’influence des grandes entreprises peuvent mener à des décisions politiques qui favorisent les intérêts économiques d’une minorité au détriment du bien-être général de la population.
Les partis politiques peuvent devenir dépendants des financements privés et des intérêts des grandes entreprises, ce qui limite la représentation démocratique des citoyens. Ainsi, le capitalisme peut mener à une dégradation des pratiques démocratiques, où les décisions politiques sont de plus en plus dictées par des logiques économiques et financières plutôt que par l’intérêt commun.
Conclusion
Le capitalisme, en tant que système économique, engendre des conséquences systémiques qui affectent non seulement l'économie, mais aussi les relations sociales, l'environnement et la politique. Si le capitalisme a favorisé une croissance économique sans précédent et a permis une certaine prospérité dans certains pays, il a également conduit à des inégalités profondes, à une exploitation systématique des ressources naturelles, et à des transformations sociales et politiques qui ont parfois des effets négatifs sur la cohésion sociale et la démocratie.
Les conséquences systémiques du capitalisme montrent la nécessité de repenser ce modèle, que ce soit à travers des réformes pour limiter ses excès, ou en explorant des alternatives plus durables et équitables. Il est essentiel de comprendre que le capitalisme n’est pas un système figé, mais qu’il évolue et s’adapte aux défis du monde contemporain. L’avenir dépendra de la manière dont les sociétés décideront de répondre aux contradictions internes du capitalisme et aux problèmes qu’il engendre, notamment en matière d’environnement, de justice sociale et de gouvernance démocratique.
Les conséquences systémiques du communisme peuvent être analysées sous plusieurs angles : économiques, politiques, sociaux et environnementaux. Voici une vue d’ensemble des effets les plus marquants observés dans les pays ayant appliqué cette idéologie à grande échelle.
1. Conséquences économiques:
Le communisme repose sur la suppression de la propriété privée des moyens de production et sur la planification centrale de l'économie. Cela a entraîné plusieurs effets systémiques :
Centralisation de l'économie : Les décisions économiques sont prises par l'État, ce qui peut entraîner une rigidité structurelle et un manque d’adaptabilité face aux évolutions du marché.
Pénuries et inefficacité : L'absence de mécanismes de prix basés sur l’offre et la demande a conduit à des pénuries chroniques de biens de consommation (URSS, Cuba, Corée du Nord).
Stagnation technologique : Sans incitation à l’innovation et avec des bureaucraties lourdes, de nombreux pays communistes ont pris du retard sur le plan technologique.
Industries de base surdéveloppées, secteur des services sous-développé : La priorité étant donnée à l'industrie lourde et militaire, les services et les biens de consommation étaient souvent négligés.
2. Conséquences politiques:
Le communisme a souvent été associé à des régimes autoritaires avec un contrôle strict de l’État :
Suppression des libertés individuelles : L’État contrôle les médias, l’éducation et l’expression politique pour éviter toute remise en cause du régime.
Parti unique et absence de démocratie : Les régimes communistes ont généralement empêché le multipartisme, conduisant à une concentration du pouvoir entre les mains d’une élite dirigeante.
Répression politique et purges : Des millions de personnes ont été persécutées ou exécutées sous des régimes communistes (ex : Grande Terreur en URSS, Révolution culturelle en Chine).
Expansionnisme et tensions internationales : La guerre froide a été largement alimentée par l’opposition entre le bloc communiste et le bloc capitaliste.
3. Conséquences sociales
Le communisme a cherché à créer une société égalitaire, mais cela a produit des effets contrastés :
Égalité relative des revenus : L’écart entre riches et pauvres a été considérablement réduit, bien que les élites du parti aient souvent bénéficié de privilèges cachés.
Diminution de l’initiative individuelle : L’absence de récompenses matérielles pour l’effort individuel a pu décourager l’innovation et l’entrepreneuriat.
Système éducatif et de santé universel : Les régimes communistes ont souvent mis en place des systèmes de santé et d’éducation accessibles à tous, avec parfois une qualité variable selon les périodes et les pays.
Contrôle social et délation : Dans des pays comme l’URSS ou la RDA, la population était surveillée par des services de renseignement d’État (KGB, Stasi), instaurant un climat de méfiance et de peur.
4. Conséquences environnementales
Les régimes communistes ont souvent privilégié l’industrialisation rapide au détriment de l’environnement :
Catastrophes écologiques :
L’absence de contraintes écologiques dans la planification a conduit à de graves désastres (ex : assèchement de la mer d’Aral en URSS, pollution extrême en Chine maoïste).
Exploitation intensive des ressources : L’industrialisation massive a mené à une déforestation excessive et à une pollution des sols et de l’eau.
Gestion inefficace des terres agricoles : La collectivisation forcée a souvent entraîné des famines (ex : Holodomor en Ukraine, Grand Bond en avant en Chine).
Conclusion:
Le communisme, en tant que système économique et politique, a produit des résultats mitigés. S’il a permis une certaine égalité sociale et des avancées en matière d’éducation et de santé, il a aussi conduit à des inefficacités économiques, à des régimes autoritaires et à de lourdes conséquences environnementales. Son application a souvent généré des tensions internationales et un contrôle social strict, limitant la liberté individuelle et l'innovation.
C'est plus facile d'utiliser ChatGPT hein, la capitalisme à bon dos tout de même
1. Conséquences économiques:
Le communisme repose sur la suppression de la propriété privée des moyens de production et sur la planification centrale de l'économie. Cela a entraîné plusieurs effets systémiques :
Centralisation de l'économie : Les décisions économiques sont prises par l'État, ce qui peut entraîner une rigidité structurelle et un manque d’adaptabilité face aux évolutions du marché.
Pénuries et inefficacité : L'absence de mécanismes de prix basés sur l’offre et la demande a conduit à des pénuries chroniques de biens de consommation (URSS, Cuba, Corée du Nord).
Stagnation technologique : Sans incitation à l’innovation et avec des bureaucraties lourdes, de nombreux pays communistes ont pris du retard sur le plan technologique.
Industries de base surdéveloppées, secteur des services sous-développé : La priorité étant donnée à l'industrie lourde et militaire, les services et les biens de consommation étaient souvent négligés.
2. Conséquences politiques:
Le communisme a souvent été associé à des régimes autoritaires avec un contrôle strict de l’État :
Suppression des libertés individuelles : L’État contrôle les médias, l’éducation et l’expression politique pour éviter toute remise en cause du régime.
Parti unique et absence de démocratie : Les régimes communistes ont généralement empêché le multipartisme, conduisant à une concentration du pouvoir entre les mains d’une élite dirigeante.
Répression politique et purges : Des millions de personnes ont été persécutées ou exécutées sous des régimes communistes (ex : Grande Terreur en URSS, Révolution culturelle en Chine).
Expansionnisme et tensions internationales : La guerre froide a été largement alimentée par l’opposition entre le bloc communiste et le bloc capitaliste.
3. Conséquences sociales
Le communisme a cherché à créer une société égalitaire, mais cela a produit des effets contrastés :
Égalité relative des revenus : L’écart entre riches et pauvres a été considérablement réduit, bien que les élites du parti aient souvent bénéficié de privilèges cachés.
Diminution de l’initiative individuelle : L’absence de récompenses matérielles pour l’effort individuel a pu décourager l’innovation et l’entrepreneuriat.
Système éducatif et de santé universel : Les régimes communistes ont souvent mis en place des systèmes de santé et d’éducation accessibles à tous, avec parfois une qualité variable selon les périodes et les pays.
Contrôle social et délation : Dans des pays comme l’URSS ou la RDA, la population était surveillée par des services de renseignement d’État (KGB, Stasi), instaurant un climat de méfiance et de peur.
4. Conséquences environnementales
Les régimes communistes ont souvent privilégié l’industrialisation rapide au détriment de l’environnement :
Catastrophes écologiques :
L’absence de contraintes écologiques dans la planification a conduit à de graves désastres (ex : assèchement de la mer d’Aral en URSS, pollution extrême en Chine maoïste).
Exploitation intensive des ressources : L’industrialisation massive a mené à une déforestation excessive et à une pollution des sols et de l’eau.
Gestion inefficace des terres agricoles : La collectivisation forcée a souvent entraîné des famines (ex : Holodomor en Ukraine, Grand Bond en avant en Chine).
Conclusion:
Le communisme, en tant que système économique et politique, a produit des résultats mitigés. S’il a permis une certaine égalité sociale et des avancées en matière d’éducation et de santé, il a aussi conduit à des inefficacités économiques, à des régimes autoritaires et à de lourdes conséquences environnementales. Son application a souvent généré des tensions internationales et un contrôle social strict, limitant la liberté individuelle et l'innovation.
C'est plus facile d'utiliser ChatGPT hein, la capitalisme à bon dos tout de même
Bonjour, bonsoir, bon courage
il y a 5 mois
Mais regarde sous Borne le nombre de 49.3, avant même le délire NFP
y'avait la NUPES t on s'n branle de Borne Rocard (de gauche comm Borne, Valls, Damranin macon et retailleau) a aussi fait plein de 49.3
Nouveau Banger de BIBI
https://www.youtube.com/watch?v=GWL1Tzl0YdY
il y a 5 mois
La gauche refuse de jouer le jeu d'un système parlementaire mais veut une 6 eme république parlementaire
Encore mieux, la gauche veut une constituante pour instituer un nouveau régime politique mais définit au préalable que ça devra être une république avec un système parlementaire et électoral.
C'est démocratique qu'on vous dit.
C'est démocratique qu'on vous dit.
il y a 5 mois
Non, parce que l’instauration de la 6eme république suppose que les gens et les politiques auront rejoint des idées de gauche, donc ça posera beaucoup moins problème qu’aujourd’hui
Grosse merde. En gros tu veux bien jouer au jeu SEULEMENT quand ça t'avantage.
Mais l'extrême droite gagne un peu partout. Vous êtes finito
Mais l'extrême droite gagne un peu partout. Vous êtes finito
Je ne suis pas patriote ou nationaliste. Je ne l'ai jamais été. Juste racialiste et anti européen. démocratie = scam.
il y a 5 mois
Soros n'est pas capitaliste libéral, de plus qui sont les penseurs du wokisme ?
Je sens que je n'aurai pas de réponse à cette question. GAME OVER.
il y a 5 mois
oui oui on y croit, ca répnd pas à la questiond abse en quoi payé des chrtrav inutile 10K/mois est caitaliste mais bon
Tu parles de qui payé 10k/mois? Les politiques?
Un politique a 10k/mois, le mec se met bien.
Les députés c’est 7k/mois sans compter leur enveloppe parlementaire. Et les campagnes sont souvent financées par des fonds privés. Donc on les paie bien en espérant qu’ils votent des lois favorables à ceux qui ramènent le plus d’argent j’imagine.
Un politique a 10k/mois, le mec se met bien.
Les députés c’est 7k/mois sans compter leur enveloppe parlementaire. Et les campagnes sont souvent financées par des fonds privés. Donc on les paie bien en espérant qu’ils votent des lois favorables à ceux qui ramènent le plus d’argent j’imagine.
il y a 5 mois
Tu parles de qui payé 10k/mois? Les politiques?
Un politique a 10k/mois, le mec se met bien.
Les députés c’est 7k/mois sans compter leur enveloppe parlementaire. Et les campagnes sont souvent financées par des fonds privés. Donc on les paie bien en espérant qu’ils votent des lois favorables à ceux qui ramènent le plus d’argent j’imagine.
Un politique a 10k/mois, le mec se met bien.
Les députés c’est 7k/mois sans compter leur enveloppe parlementaire. Et les campagnes sont souvent financées par des fonds privés. Donc on les paie bien en espérant qu’ils votent des lois favorables à ceux qui ramènent le plus d’argent j’imagine.
non les directeur i nclusivité de tas de boite en occident
ou alors les cadre d'ONG comme 90% des élus insoumis qui sont cadre dans des ONG
Nouveau Banger de BIBI
https://www.youtube.com/watch?v=GWL1Tzl0YdY
il y a 5 mois
si l'ssemblé est controlé en ammjorité abou par un parti ca revient au meme en fait, et vu que LFI refuse de jouer le jeu si ils ont pas tout le control du truc ca sera une 5eme république
LFi refusera de fair de refnrnum (ils reusnt que micron en fasse un sur le sort des électeur de LFI aka les émigrés égorgeur)
LFi refusera de fair de refnrnum (ils reusnt que micron en fasse un sur le sort des électeur de LFI aka les émigrés égorgeur)
Mais déjà si la gauche gagnait ce serait la preuve d’un changement de mentalité des gens, donc je pense que toutes ces questions pourraient être abordées plus sereinement, un verrouillage de leur part ça entraînerait un rejet, ce serait complètement con de leur part de prendre le pouvoir pour risquer de le perdre dans la foulée
il y a 5 mois
Un topic de merde avec une soit disant "contradiction" qui n'existe que dans la tête de gauchiste dégénéré de l'op
il y a 5 mois
Mais déjà si la gauche gagnait ce serait la preuve d’un changement de mentalité des gens, donc je pense que toutes ces questions pourraient être abordées plus sereinement, un verrouillage de leur part ça entraînerait un rejet, ce serait complètement con de leur part de prendre le pouvoir pour risquer de le perdre dans la foulée
mec la gauche gagne uniquement car elle achete les voix en banlieu
, banlei qui pour rappel ont 2 fois plus de député en proportion du nombre d'électeur que les circo plutot rurale
vous gagneez que par achat de voix en promettant de emttre TOUT l'argent public pour des banlieus déjà suréquipés et en faisant des concessions aux islamistes
suffit d voir comment des député comme Obono qui sont jsute racistes anti blanche ou delogu prenent le controle de LFI, ces gens en ont rien à foutre des pauvres
vous gagneez que par achat de voix en promettant de emttre TOUT l'argent public pour des banlieus déjà suréquipés et en faisant des concessions aux islamistes
suffit d voir comment des député comme Obono qui sont jsute racistes anti blanche ou delogu prenent le controle de LFI, ces gens en ont rien à foutre des pauvres
Nouveau Banger de BIBI
https://www.youtube.com/watch?v=GWL1Tzl0YdY
il y a 5 mois
y'avait la NUPES t on s'n branle de Borne Rocard (de gauche comm Borne, Valls, Damranin macon et retailleau) a aussi fait plein de 49.3
Borne n’est pas de gauche, et Rocard c’est les socialistes et le vers était déjà dans le fruit à l’époque de Rocard, mais faudra que je me penche sur ce qu’il a fait passer via 49.3, je suis pas assez au fait, si c’était des trucs anti-capitalistes ou pas.
il y a 5 mois
Borne n’est pas de gauche, et Rocard c’est les socialistes et le vers était déjà dans le fruit à l’époque de Rocard, mais faudra que je me penche sur ce qu’il a fait passer via 49.3, je suis pas assez au fait, si c’était des trucs anti-capitalistes ou pas.
ah ok donc le 49. 3 c'est bien quand ca va dans ton sens
tu es jsute pas parlementarsite en fait
Nouveau Banger de BIBI
https://www.youtube.com/watch?v=GWL1Tzl0YdY
il y a 5 mois
non les directeur i nclusivité de tas de boite en occident
ou alors les cadre d'ONG comme 90% des élus insoumis qui sont cadre dans des ONG
Je sais pas ce qu’ils font dans la vie, ça m’étonnerait qu’ils soient nombreux à être cadres dans des ONG en parallèle de leur devoir d’élus mais enfin bref, mettons, ils rejoignent juste des combats sans doute en accord avec leurs idées.
Même si effectivement le monde associatif fonctionne désormais comme n’importe quel autre marché et y aurait beaucoup de choses à redire là dessus, que ce soit en termes de copie du modèle de l’entreprise pour la hiérarchie et les rémunérations, la recherche de rentabilité même parfois, ou encore la compétition pour les financements publics.
Même si effectivement le monde associatif fonctionne désormais comme n’importe quel autre marché et y aurait beaucoup de choses à redire là dessus, que ce soit en termes de copie du modèle de l’entreprise pour la hiérarchie et les rémunérations, la recherche de rentabilité même parfois, ou encore la compétition pour les financements publics.
il y a 5 mois