Sacré Lucien wallah
Missié Jourdain fait de la prose
« J’ai intercepté cet individu et l’ai intimidé à l’aide de ma machette dans le but de lui subtiliser son téléphone portatif. Par la suite, je l’ai mortellement atteint. »
Au lit sans dîner, sa leur apprendra à faire des carabistouilles
« Je surpris cé varlet et le menaçai de ma machette, afin de luy ravir son engin de téléphonie. Puis, d’un coup meurtrier, je l’occis. »
Sa mère voit bien qu’il a peur. Debout dans le petit appartement familial du boulevard Brune, à Paris (XIVe), Joe (tous les prénoms des mineurs ont été changés sauf celui de la victime décédée) reste collé à la fenêtre. L’adolescent de 16 ans à la stature imposante scrute dans la nuit les voitures de police fonçant en direction du stade. C’est là que, quelques minutes plus tôt, à une centaine de mètres de chez lui, il a « planté » un jeune. Elias, 14 ans, un gamin qu’il ne connaît même pas et qu’il était en train de racketter avec son pote Lucien.
« J’ai rentré ma lame au niveau de son épaule mais je n’ai pas tout rentré, expliquera-t-il lors de sa garde à vue. Au début, je voulais juste déchirer son manteau, mais c’est rentré bizarre, je n’ai pas compris. » Face aux policiers, lors de sa deuxième audition, Joe reviendra sur ce moment précis. « J’enlève ma lame et je la regarde en mode je bouge pas. Je vois juste qu’il y a une sorte de buée, on dirait qu’il y a de l’eau sur la lame. Je recule un peu et je vois que la victime tombe. Elle se relève d’un coup et retombe et commence à trembler. Lucien (…) a demandé les codes du téléphone à la victime pendant qu’elle était au sol. Il n’a pas compris que je l’avais plantée. La victime a dû répondre 1.1… »
Et puis Joe a pris la fuite, vite suivi par son complice âgé de 17 ans. Arrivé dans sa chambre, il s’est aussitôt débarrassé de sa « Zombie », comme il l’appelle. Une machette coupe-coupe, achetée quelques mois plus tôt sur Internet et dont la lame dépasse les 40 cm. C’est la première fois qu’il s’en servait pour « l’extorsion », assurera-t-il aux enquêteurs.
À la fenêtre, voici maintenant le Samu qui s’engouffre dans l’avenue Maurice-d’Ocagne, là où tout s’est passé. L’adolescent filme la scène et l’envoie à Lucien, qui habite dans la même résidence. « Je crois qu’on a vraiment fait une dinguerie », lui glisse-t-il sur Snapchat.
La « dinguerie », c’est la mort d’Elias. Cet ado qui sortait de l’entraînement de foot avec son meilleur ami Simon, le 24 janvier. Joe et Lucien leur sont tombés dessus. Le collégien sans histoire, apprécié de tout le monde, ne s’est pas laissé faire avant de céder et d’être tué.
https://www.leparisien.fr[...]GRMNRE5DK5PKRGLFY6S2A.php
la suite (sinon il suffit de moletter tout est en page 1 de ce topic)
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https://onche.org/topic/7[...]-a-paris#message_15290699
3/4 https://onche.org/topic/7[...]-paris/1#message_15290705
4/4 https://onche.org/topic/7[...]-paris/1#message_15290715
« J’ai rentré ma lame au niveau de son épaule mais je n’ai pas tout rentré, expliquera-t-il lors de sa garde à vue. Au début, je voulais juste déchirer son manteau, mais c’est rentré bizarre, je n’ai pas compris. » Face aux policiers, lors de sa deuxième audition, Joe reviendra sur ce moment précis. « J’enlève ma lame et je la regarde en mode je bouge pas. Je vois juste qu’il y a une sorte de buée, on dirait qu’il y a de l’eau sur la lame. Je recule un peu et je vois que la victime tombe. Elle se relève d’un coup et retombe et commence à trembler. Lucien (…) a demandé les codes du téléphone à la victime pendant qu’elle était au sol. Il n’a pas compris que je l’avais plantée. La victime a dû répondre 1.1… »
Et puis Joe a pris la fuite, vite suivi par son complice âgé de 17 ans. Arrivé dans sa chambre, il s’est aussitôt débarrassé de sa « Zombie », comme il l’appelle. Une machette coupe-coupe, achetée quelques mois plus tôt sur Internet et dont la lame dépasse les 40 cm. C’est la première fois qu’il s’en servait pour « l’extorsion », assurera-t-il aux enquêteurs.
À la fenêtre, voici maintenant le Samu qui s’engouffre dans l’avenue Maurice-d’Ocagne, là où tout s’est passé. L’adolescent filme la scène et l’envoie à Lucien, qui habite dans la même résidence. « Je crois qu’on a vraiment fait une dinguerie », lui glisse-t-il sur Snapchat.
La « dinguerie », c’est la mort d’Elias. Cet ado qui sortait de l’entraînement de foot avec son meilleur ami Simon, le 24 janvier. Joe et Lucien leur sont tombés dessus. Le collégien sans histoire, apprécié de tout le monde, ne s’est pas laissé faire avant de céder et d’être tué.
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Joe et Lucien, membres des loubards du Faubourg Montparnasse
La bande la plus crainte du Paris méridional, grands rivaux des Apaches et des Blousons Noirs
La bande la plus crainte du Paris méridional, grands rivaux des Apaches et des Blousons Noirs
ayaaa Joe et Lucien
des zinzins fruités
Wala dinguerie frr, j'ai planté le gweron et il est mort tavu wesh, mérité pour ce sale raciste de merde
Des jeux Steam pas cher https://www.instant-gaming.com/?igr=gamer-cb611db
Après faut se dire qu'il n'a pas souffert, qu'il a eu une bonne dose d'adrénaline pour ignorer la douleur 
Il a pu rester conscient jusqu'à la fin, sentir le froid l'envahir, la perte de conscience qui arrive, ses paupières qui s'alourdissent, il tente de garder les yeux ouverts mais rien n'y fait, les ténèbres finissent par l'emporter
Il a pu rester conscient jusqu'à la fin, sentir le froid l'envahir, la perte de conscience qui arrive, ses paupières qui s'alourdissent, il tente de garder les yeux ouverts mais rien n'y fait, les ténèbres finissent par l'emporter
A chaque problème sa solution
il lui a planté une lame de 40 cm dans l'épaule mais pas complétement 
Joe et Lucien, membres des loubards du Faubourg Montparnasse
La bande la plus crainte du Paris méridional, grands rivaux des Apaches et des Blousons Noirs
La bande la plus crainte du Paris méridional, grands rivaux des Apaches et des Blousons Noirs
C'est que de l'amour putain !
A chaque problème sa solution
Plus d'infos sur Joe* et Lucien* (*les prénoms ont été modifié
)
https://www.valeursactuel[...]ui-sont-les-deux-suspects
“Signalés, reconnus et identifiés par des témoins, les deux mineurs ont été décrits à la police comme suit, selon nos informations, pour celui de 16 ans : 1,80m environ, de forte corpulence, de « type africain », cheveux « courts crépus », portant un bas et un haut de jogging noir, des baskets noires et un blouson sans manches noir ; et pour celui de 17 ans : 1,75m environ, de corpulence mince, de « type antillais », cheveux « dread court », portant un bas de jogging noir, des baskets noires, un haut noir et un blouson à capuche fourré noir.”
Consanguins de base
Sa mère voit bien qu’il a peur. Debout dans le petit appartement familial du boulevard Brune, à Paris (XIVe), Joe (tous les prénoms des mineurs ont été changés sauf celui de la victime décédée) reste collé à la fenêtre. L’adolescent de 16 ans à la stature imposante scrute dans la nuit les voitures de police fonçant en direction du stade. C’est là que, quelques minutes plus tôt, à une centaine de mètres de chez lui, il a « planté » un jeune. Elias, 14 ans, un gamin qu’il ne connaît même pas et qu’il était en train de racketter avec son pote Lucien.
« J’ai rentré ma lame au niveau de son épaule mais je n’ai pas tout rentré, expliquera-t-il lors de sa garde à vue. Au début, je voulais juste déchirer son manteau, mais c’est rentré bizarre, je n’ai pas compris. » Face aux policiers, lors de sa deuxième audition, Joe reviendra sur ce moment précis. « J’enlève ma lame et je la regarde en mode je bouge pas. Je vois juste qu’il y a une sorte de buée, on dirait qu’il y a de l’eau sur la lame. Je recule un peu et je vois que la victime tombe. Elle se relève d’un coup et retombe et commence à trembler. Lucien (…) a demandé les codes du téléphone à la victime pendant qu’elle était au sol. Il n’a pas compris que je l’avais plantée. La victime a dû répondre 1.1… »
Et puis Joe a pris la fuite, vite suivi par son complice âgé de 17 ans. Arrivé dans sa chambre, il s’est aussitôt débarrassé de sa « Zombie », comme il l’appelle. Une machette coupe-coupe, achetée quelques mois plus tôt sur Internet et dont la lame dépasse les 40 cm. C’est la première fois qu’il s’en servait pour « l’extorsion », assurera-t-il aux enquêteurs.
À la fenêtre, voici maintenant le Samu qui s’engouffre dans l’avenue Maurice-d’Ocagne, là où tout s’est passé. L’adolescent filme la scène et l’envoie à Lucien, qui habite dans la même résidence. « Je crois qu’on a vraiment fait une dinguerie », lui glisse-t-il sur Snapchat.
La « dinguerie », c’est la mort d’Elias. Cet ado qui sortait de l’entraînement de foot avec son meilleur ami Simon, le 24 janvier. Joe et Lucien leur sont tombés dessus. Le collégien sans histoire, apprécié de tout le monde, ne s’est pas laissé faire avant de céder et d’être tué.
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« J’ai rentré ma lame au niveau de son épaule mais je n’ai pas tout rentré, expliquera-t-il lors de sa garde à vue. Au début, je voulais juste déchirer son manteau, mais c’est rentré bizarre, je n’ai pas compris. » Face aux policiers, lors de sa deuxième audition, Joe reviendra sur ce moment précis. « J’enlève ma lame et je la regarde en mode je bouge pas. Je vois juste qu’il y a une sorte de buée, on dirait qu’il y a de l’eau sur la lame. Je recule un peu et je vois que la victime tombe. Elle se relève d’un coup et retombe et commence à trembler. Lucien (…) a demandé les codes du téléphone à la victime pendant qu’elle était au sol. Il n’a pas compris que je l’avais plantée. La victime a dû répondre 1.1… »
Et puis Joe a pris la fuite, vite suivi par son complice âgé de 17 ans. Arrivé dans sa chambre, il s’est aussitôt débarrassé de sa « Zombie », comme il l’appelle. Une machette coupe-coupe, achetée quelques mois plus tôt sur Internet et dont la lame dépasse les 40 cm. C’est la première fois qu’il s’en servait pour « l’extorsion », assurera-t-il aux enquêteurs.
À la fenêtre, voici maintenant le Samu qui s’engouffre dans l’avenue Maurice-d’Ocagne, là où tout s’est passé. L’adolescent filme la scène et l’envoie à Lucien, qui habite dans la même résidence. « Je crois qu’on a vraiment fait une dinguerie », lui glisse-t-il sur Snapchat.
La « dinguerie », c’est la mort d’Elias. Cet ado qui sortait de l’entraînement de foot avec son meilleur ami Simon, le 24 janvier. Joe et Lucien leur sont tombés dessus. Le collégien sans histoire, apprécié de tout le monde, ne s’est pas laissé faire avant de céder et d’être tué.
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