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Technique prisée par les luthériens, la personne condamnée était suspendue par les pieds. Le bourreau sciait très lentement la victime en commençant entre les deux jambes. Bien sûr, la position n’était pas anodine : la tête en bas permettait au sang d’alimenter le cerveau, et donc de rester conscient.
il y a 5 mois
Faut vraiment être un tarax pour faire ce boulot
Il est doux à tout âge de se laisser guider par la fantaisie.
il y a 5 mois
Le berceau de Judas, ou chaise de Judas, était une technique prisée lors de l’Inquisition pour obtenir des aveux. Le condamné était tiré vers le haut et positionné sur un siège très spécial, en forme de pyramide, la pointe placée au niveau de l’anus ou du vagin. Il était ensuite descendu très lentement grâce à des cordes. L’orifice s’étirait, le bourreau pouvant accentuer la douleur en relevant le condamné et en le faisant tomber sur la pointe lourdement, ou même en le balançant. La victime mourait empalée ou succombait à une infection.
il y a 5 mois
BlueLadyShow
5 mois
Faut vraiment être un tarax pour faire ce boulot
II faut bien gagner sa croûte.
il y a 5 mois
Le châtiment de la poire d’angoisse était infligé à plusieurs types de personnes durant l’Inquisition. L’instrument s’apparente à une boule qui peut s’élargir grâce à une vis. Elle permettait de punir les homosexuels, les femmes soupçonnées d’avoir couché avec le diable, ou encore les menteurs et les blasphémateurs. Placée dans la bouche, l’anus ou le vagin, la poire d’angoisse pouvait faire exploser le crâne si elle était ouverte rapidement.
il y a 5 mois
Ce petit instrument était utilisé comme moyen de torture pendant la Renaissance. Il s’agissait d’une fourchette avec des pointes aux deux extrémités, qui était attachée autour du cou du condamné, afin que les pointes touchent la gorge et le sternum. Le but de ce petit outil : priver la victime de son sommeil, elle était en effet accrochée au mur de façon à ce qu’elle ne puisse pas se coucher par terre. Si elle s’endormait, les pointes lui transperçaient lentement la chair.
il y a 5 mois
sharonstone
5 mois
Technique prisée par les luthériens, la personne condamnée était suspendue par les pieds. Le bourreau sciait très lentement la victime en commençant entre les deux jambes. Bien sûr, la position n’était pas anodine : la tête en bas permettait au sang d’alimenter le cerveau, et donc de rester conscient.
il y a 5 mois
https://x.com/fasc1nate/status/1773139353893781673
Cette technique consistait à mettre un rat dans un seau placé au niveau du ventre de la victime. Le bourreau chauffait l’extrémité de l’objet, pour s’échapper, le rat rongeait et griffait les entrailles de la victime.
il y a 5 mois
Comme son nom l’indique, cette torture était destinée aux boyaux… Le condamné était allongé sur une table, une incision était ensuite pratiquée au niveau de son abdomen. Un crochet, lui-même relié à une manivelle, était positionné sur son intestin grêle. Le bourreau pouvait activer la manivelle à sa guise, et l’intestin était très lentement arraché du ventre de la victime.
il y a 5 mois
Les brodequins c'était rigolo aussi.
L'accusé était assis sur un fauteuil massif. Deux planches étroites et solides étaient alors fermement attachées de part et d'autre de chaque jambe, et une corde solide liait étroitement les quatre planches entre elles. Des coins étaient ensuite enfoncés à coups de marteau entre les deux planches centrales, ce qui, en resserrant les planches autour des jambes de l'accusé, leur imprimait une force cruelle.
Le nombre de coins variait : quatre pour la question ordinaire, huit pour la question extraordinaire.
Souvent, pour la question ordinaire, des bas en parchemin étaient appliqués humides aux jambes du prisonnier. En approchant cette jambe du feu, le parchemin ainsi violemment rétracté causait une douleur terrible aux jambes.
L'accusé était assis sur un fauteuil massif. Deux planches étroites et solides étaient alors fermement attachées de part et d'autre de chaque jambe, et une corde solide liait étroitement les quatre planches entre elles. Des coins étaient ensuite enfoncés à coups de marteau entre les deux planches centrales, ce qui, en resserrant les planches autour des jambes de l'accusé, leur imprimait une force cruelle.
Le nombre de coins variait : quatre pour la question ordinaire, huit pour la question extraordinaire.
Souvent, pour la question ordinaire, des bas en parchemin étaient appliqués humides aux jambes du prisonnier. En approchant cette jambe du feu, le parchemin ainsi violemment rétracté causait une douleur terrible aux jambes.
il y a 5 mois
Le condamné était allongé et forcé de boire une grande quantité d’eau : six litres pour la petite torture, douze pour la plus grave. S’il se débattait ou refusait de boire, le bourreau lui déchiquetait la bouche avec une pince en fer. Bien sûr, tout était pensé : l’urètre et l’anus étaient volontairement noués et bouchés. La victime mourait étouffée, et pouvait même exploser.
il y a 5 mois
sharonstone
5 mois
Le châtiment de la poire d’angoisse était infligé à plusieurs types de personnes durant l’Inquisition. L’instrument s’apparente à une boule qui peut s’élargir grâce à une vis. Elle permettait de punir les homosexuels, les femmes soupçonnées d’avoir couché avec le diable, ou encore les menteurs et les blasphémateurs. Placée dans la bouche, l’anus ou le vagin, la poire d’angoisse pouvait faire exploser le crâne si elle était ouverte rapidement.
Ca c'est une fausse idée. Les poire d'angoisse existantes datent d'au moins 1600 et n'auraient pas eu la force pour écarter un orifice humain.
il y a 5 mois
La victime était placée dans une sorte de sarcophage muni de nombreuses pointes. Réservée aux hérétiques, cette méthode de torture était lente et douloureuse : les portes se refermaient lentement sur le condamné, les pointes de fer lui transperçant peu à peu la peau.
il y a 5 mois
Cette torture me traumatise, j'arrive pas à imaginer la douleur, la terreur et tout ce qui s'en suit quand t'étais soumis à ça
Dans le genre hardcore, les chinois spécialisés dans le dépeçage lent pour te garder en vie c'est du lourd aussi
Dans le genre hardcore, les chinois spécialisés dans le dépeçage lent pour te garder en vie c'est du lourd aussi
il y a 5 mois
BlueLadyShow
5 mois
Faut vraiment être un tarax pour faire ce boulot
Faut déjà être bien mort pour continuer de se tuer soi-même à ce point
il y a 5 mois
sharonstone
5 mois
https://x.com/fasc1nate/status/1773139353893781673
Cette technique consistait à mettre un rat dans un seau placé au niveau du ventre de la victime. Le bourreau chauffait l’extrémité de l’objet, pour s’échapper, le rat rongeait et griffait les entrailles de la victime.
J'ai vu cette image IRL , c'est dans un musée de la tortue a Florence
il y a 5 mois