Ce sujet a été résolu
Oui ça existe. Heureusement les multimilliardaires compagnie pétrolières sont là pour nous aider grâce aux financements d’études qui le prouve, et aussi pour aider à mettre en place des systèmes qui nous aident, le peuple, à moins polluer
il y a un an
il y a un an
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Temperature response of soil respiration largely unaltered with experimental warming
Sources :
https://www.pnas.org/doi/10.1073/pnas.1605365113
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/27849609/ dans la national library of medicine ainsi que sur harvard :
https://ui.adsabs.harvard[...]6PNAS..11313797C/abstract
publié par : Carey, Joanna C. ; Tang, Jianwu ; Templer, Pamela H. ; Kroeger, Kevin D. ; Crowther, Thomas W. ; Burton, Andrew J. ; Dukes, Jeffrey S. ; Emmett, Bridget ; Frey, Serita D. ; Heskel, Mary A. ; Jiang, Lifen ; Machmuller, Megan B. ; Mohan, Jacqueline ; Panetta, Anne Marie ; Reich, Peter B. ; Reinsch, Sabine ; Wang, Xin ; Allison, Steven D. ; Bamminger, Chris ; Bridgham, Scott ;
Sources :
publié par : Carey, Joanna C. ; Tang, Jianwu ; Templer, Pamela H. ; Kroeger, Kevin D. ; Crowther, Thomas W. ; Burton, Andrew J. ; Dukes, Jeffrey S. ; Emmett, Bridget ; Frey, Serita D. ; Heskel, Mary A. ; Jiang, Lifen ; Machmuller, Megan B. ; Mohan, Jacqueline ; Panetta, Anne Marie ; Reich, Peter B. ; Reinsch, Sabine ; Wang, Xin ; Allison, Steven D. ; Bamminger, Chris ; Bridgham, Scott ;
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il y a un an
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Depuis les années 1980 environ, il y a eu une augmentation des côtes de la Terre qui sont émergés. Plus de 13 600 km carré de plus environ. Si on fait la comparaison par rapport à il y a plus de 3 décennies, c'est assez clair que la menace d'engloutissement sous les eaux d'ici quelques centaines d'années n'a pas de sens.
Source :
https://www.nature.com/articles/nclimate3111 dans la revue Nature publié par : Gennadii Donchyts, Fedor Baart, Hessel Winsemius, Noel Gorelick, Jaap Kwadijk & Nick van de Giesen sur le sujet : Earth's surface water change over the past 30 years
Sujet : a global assessment of island platform change over the past decades ; Source :
https://wires.onlinelibra[...]y.com/doi/10.1002/wcc.557 publié par Virginie K. E. Duvat le 25 octobre 2018 pour la première fois
Source :
Sujet : a global assessment of island platform change over the past decades ; Source :
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il y a un an
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En bref on remarque qu'il y a des oublis, des biais méthodologiques dans la théorie du réchauffement anthropique cause par l'homme. la création du GIEC, mais bien avant que ses thèses ne soient partout reprises comme un marronnier médiatique, lors de chaque raout onusien, mais aussi dès qu’un aléa météorologique survient quelque part sur le globe. La compréhension de la machine climatique à l’aune du travail fondamental de feu le professeur Marcel Leroux a été une étape importante, permettant de comprendre l’inanité d’une partie des prévisions faites par le GIEC. Car la plupart des calamités que l’on nous annonce pour les décennies à venir à cause d’un réchauffement présenté comme certain sont au contraire le corollaire de tout refroidissement. On ne peut avoir que du recul sur le discours du GIEC quand on sait que les glaciers alpins ont été moins étendus qu’actuellement durant plus de la moitié des dix derniers millénaires (depuis le début de l’Holocène, l’actuel interglaciaire), que des cols qui furent empruntés à l’époque romaine sont de nos jours encore sous la glace. Ou encore que les tempêtes en Europe occidentale ne sont ni plus fréquentes, ni plus violentes qu’autrefois, et même moins que lors du Petit âge glaciaire, époque durant laquelle on peut recenser la plupart des grandes inondations aussi, par exemple. Autant de faits établis que le travail de Marcel Leroux permet de relier aux mécanismes d’évolution du climat, qui par nature change à toutes les échelles de temps et d’espace. Le rôle des médias, mais aussi de l’école, est central. C’est évidemment le meilleur moyen de déconsidérer quiconque s’opposent contre les conclusions du GIEC. Ce terme de climatosceptique, pour le GIEC, est censé impliquer de manière nécessaire d’être malhonnête et stipendié.
On a affaire à un véritable terrorisme intellectuel semblable à ce qu'on a pu avoir durant la crise covid. A partir de ce moment là il est logique que ceux qui s'opposent ouvertement au dogme du GIEC pour bon nombre d'entre eux du moins, ne veuille pas entrer dans ce débat.
Les pays du Sud ont bien compris l’intérêt financier qu’ils avaient à en tirer. Le simplisme du discours du GIEC tient dans une courbe, sujette à toutes les manipulations. Celle de la température moyenne globale. Depuis une vingtaine d’années, la tendance est quasiment stable (avec les données satellitaires, car avec les stations au sol, les données sont tellement torturées qu’elles finissent par avouer un léger réchauffement). Or, pendant ce temps, nous avons envoyé dans l’atmosphère environ 40 % de tout le CO2 émis par les activités humaines depuis le début de la révolution industrielle. Quand ce fait n’est pas nié, on appelle la variabilité naturelle à la rescousse, lors même que le réchauffement était censé la surpasser allègrement et donc être inexorable. Le discours sur le réchauffement climatique porté par les médias et certains scientifiques s’est totalement affranchi de la réalité. Presque depuis le début. Il suffit de s’intéresser réellement au sujet pour le constater et prendre ses distances face au dogme carbocentriste. La levée du voile a parfois lieu dès lors qu’on se contente d’ouvrir les yeux.
Les différents glissements sémantiques sont là pour s’adapter aux discordances trop visibles face à la réalité, car celle-ci risque toujours de se manifester, même auprès de ceux qui ne s’entretiennent avec elle que par l’entremise d’un médiateur. Le passage du réchauffement au changement, puis au dérèglement climatique, n’est pas anodin. Même en cas de refroidissement, cette mascarade pourrait bien perdurer. Mais l’outrance des propos servis au public, ainsi qu’une certaine usure de celui-ci, peuvent contrarier l’ingénierie sociale mise en place. Le tout dans le cadre d’une défiance croissante vis-à-vis des médias dominants et des cercles du pouvoir en général. Internet a permis jusqu’ici l’existence de voix dissidentes et dissonantes. Raison pour laquelle on tente de le corseter. Il faut être aveugle pour ne pas constater que la liberté d’expression se porte de plus en plus mal. J’ai en fait l’impression qu’un nombre croissant de personnes voyant clair côtoient une autre fraction de la population dont le lavage de cerveau n’a jamais été aussi efficace.
La propension à intégrer la succession des types de temps, à en faire une synthèse inconsciente permettant de savoir si l’on est dans la norme ou dans l’excès, voire à saisir une éventuelle évolution climatique, étant une faculté universelle, l’Homme de l’Antiquité en était capable, comme chacun d’entre nous. Ainsi, Théophraste, philosophe grec du IVe siècle avant J.-C., qui a beaucoup écrit sur le milieu naturel et particulièrement sur le règne végétal, a émis l’hypothèse que les déforestations entraînaient invariablement un phénomène d’assèchement par baisse des précipitations. Il y avait là les bases d’une approche de l’action de l’Homme sur le climat, action dont l’importance aurait pu être appréhendée. Les exemples de Théophraste restaient de dimension locale, mais cette théorie permettait d’envisager, sous condition de vastes déboisements, des conséquences climatiques pouvant atteindre des dimensions spatiales plus importantes, au moins régionales. Néanmoins, ce point de vue n’a pas trouvé écho chez ses contemporains, ni sous l’empire romain. Pline l’Ancien (23-79 après J.-C.), dans son Histoire Naturelle, constate également une évolution locale du climat suite à des pratiques culturales, mais il considère cependant que le climat est éminemment stable. Pour lui, c’est une constante du milieu naturel qui, malgré quelques constatations locales et secondaires, ne saurait évoluer. L’Homme ne peut avoir de réelle action sur le climat. C’est une relation totalement dissymétrique, car pour les savants de l’époque le climat définit le caractère des peuples. Ainsi, la civilisation gréco-romaine étant pour ses représentants, largement supérieure à toutes les autres, le climat qui l’a façonnée ne pouvait être que le plus favorable. Et celui sous lequel vivaient les barbares, à la limite du vivable. Que l’on s’éloigne un tant soit peu de l’empire romain et la péjoration climatique devient catastrophique.
On a affaire à un véritable terrorisme intellectuel semblable à ce qu'on a pu avoir durant la crise covid. A partir de ce moment là il est logique que ceux qui s'opposent ouvertement au dogme du GIEC pour bon nombre d'entre eux du moins, ne veuille pas entrer dans ce débat.
Les pays du Sud ont bien compris l’intérêt financier qu’ils avaient à en tirer. Le simplisme du discours du GIEC tient dans une courbe, sujette à toutes les manipulations. Celle de la température moyenne globale. Depuis une vingtaine d’années, la tendance est quasiment stable (avec les données satellitaires, car avec les stations au sol, les données sont tellement torturées qu’elles finissent par avouer un léger réchauffement). Or, pendant ce temps, nous avons envoyé dans l’atmosphère environ 40 % de tout le CO2 émis par les activités humaines depuis le début de la révolution industrielle. Quand ce fait n’est pas nié, on appelle la variabilité naturelle à la rescousse, lors même que le réchauffement était censé la surpasser allègrement et donc être inexorable. Le discours sur le réchauffement climatique porté par les médias et certains scientifiques s’est totalement affranchi de la réalité. Presque depuis le début. Il suffit de s’intéresser réellement au sujet pour le constater et prendre ses distances face au dogme carbocentriste. La levée du voile a parfois lieu dès lors qu’on se contente d’ouvrir les yeux.
Les différents glissements sémantiques sont là pour s’adapter aux discordances trop visibles face à la réalité, car celle-ci risque toujours de se manifester, même auprès de ceux qui ne s’entretiennent avec elle que par l’entremise d’un médiateur. Le passage du réchauffement au changement, puis au dérèglement climatique, n’est pas anodin. Même en cas de refroidissement, cette mascarade pourrait bien perdurer. Mais l’outrance des propos servis au public, ainsi qu’une certaine usure de celui-ci, peuvent contrarier l’ingénierie sociale mise en place. Le tout dans le cadre d’une défiance croissante vis-à-vis des médias dominants et des cercles du pouvoir en général. Internet a permis jusqu’ici l’existence de voix dissidentes et dissonantes. Raison pour laquelle on tente de le corseter. Il faut être aveugle pour ne pas constater que la liberté d’expression se porte de plus en plus mal. J’ai en fait l’impression qu’un nombre croissant de personnes voyant clair côtoient une autre fraction de la population dont le lavage de cerveau n’a jamais été aussi efficace.
La propension à intégrer la succession des types de temps, à en faire une synthèse inconsciente permettant de savoir si l’on est dans la norme ou dans l’excès, voire à saisir une éventuelle évolution climatique, étant une faculté universelle, l’Homme de l’Antiquité en était capable, comme chacun d’entre nous. Ainsi, Théophraste, philosophe grec du IVe siècle avant J.-C., qui a beaucoup écrit sur le milieu naturel et particulièrement sur le règne végétal, a émis l’hypothèse que les déforestations entraînaient invariablement un phénomène d’assèchement par baisse des précipitations. Il y avait là les bases d’une approche de l’action de l’Homme sur le climat, action dont l’importance aurait pu être appréhendée. Les exemples de Théophraste restaient de dimension locale, mais cette théorie permettait d’envisager, sous condition de vastes déboisements, des conséquences climatiques pouvant atteindre des dimensions spatiales plus importantes, au moins régionales. Néanmoins, ce point de vue n’a pas trouvé écho chez ses contemporains, ni sous l’empire romain. Pline l’Ancien (23-79 après J.-C.), dans son Histoire Naturelle, constate également une évolution locale du climat suite à des pratiques culturales, mais il considère cependant que le climat est éminemment stable. Pour lui, c’est une constante du milieu naturel qui, malgré quelques constatations locales et secondaires, ne saurait évoluer. L’Homme ne peut avoir de réelle action sur le climat. C’est une relation totalement dissymétrique, car pour les savants de l’époque le climat définit le caractère des peuples. Ainsi, la civilisation gréco-romaine étant pour ses représentants, largement supérieure à toutes les autres, le climat qui l’a façonnée ne pouvait être que le plus favorable. Et celui sous lequel vivaient les barbares, à la limite du vivable. Que l’on s’éloigne un tant soit peu de l’empire romain et la péjoration climatique devient catastrophique.
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il y a un an
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Très vite, en s’éloignant de la douceur méditerranéenne, on arrive aux limites de la zone habitable. Aux marches même de l’empire romain, Ovide, au tout début de notre ère, exilé sur les bords de la mer Noire dans une ancienne colonie grecque, décrit des tribus frustes, vivant dans un climat terrible. La peinture qu’il dresse de ce qui est aujourd’hui pour les classes moyennes et riches de Russie et d’Ukraine un lieu de villégiature estivale, est digne du Grand Nord, avec des neiges persistant au sol tout l’été, le Danube et la mer gelant tous les hivers. Même en imaginant un climat légèrement plus froid que de nos jours, il est manifeste qu’il y a exagération. Il est inenvisageable que la neige n’ait pas fondu dès le retour du printemps.
La volonté d’apitoyer Rome pour mettre fin à son exil, de même que des propos emphatiques au service de son œuvre littéraire peuvent expliquer en partie cette exagération. Mais cette vision des marches de l’empire est aussi conforme à la représentation intellectuelle que l’on se faisait à l’époque des régions septentrionales bordant le limes, règne du froid implacable. De la même manière, les confins méridionaux sont la proie d’une chaleur infernale. Un siècle avant, Pline, Diodore de Sicile, qui décrit de manière similaire les régions au nord, n’est pas en reste avec le sud. Selon lui, aux confins de l’Égypte, la chaleur est telle que l’on ne distingue rien en plein midi, l’évaporation rapide réduisant considérablement la visibilité. L’évaporation de l’eau du corps est d’ailleurs tellement importante que si la soif n’est pas étanchée sur-le- champ, la mort survient en peu de temps. Et que l’on ne se risque pas à poser un pied nu sur le sol, sous peine de brûlure immédiate.
Bref, dans le monde gréco-romain, la normalité climatique est de rigueur : tout éloignement vers le nord ou le sud expose à des conditions climatiques se dégradant à une vitesse inouïe, si bien que les régions en question ne sont rapidement plus habitables. La zone torride ne peut être qu’inhabitée. Au nord des steppes ukrainiennes ou de l’Angleterre, plus âme qui vive. Et, bien avant, les Hommes obligés de vivre comme des bêtes. Une telle conception de la tyrannie du climat, facteur explicatif du caractère des peuples, va perdurer jusqu’au XVIIIe siècle. On la retrouve par exemple dans l’article Climat, écrit par d’Alembert dans l’Encyclopédie. Cette idée sera celle de presque toutes les Lumières, au premier rang desquelles Montesquieu, mais à l’exception notable de Voltaire. On a certes progressé depuis l’Antiquité dans la connaissance géographique de la Terre, les régions habitables sont plus vastes qu’on ne le croyait. Mais la conception zonale du système climatique mondial demeure, de même que le caractère univoque de la relation entre les Hommes et le climat. Les Hommes sont totalement inféodés aux conditions climatiques, au point d’être déterminés jusque dans leur couleur de peau. D’Ibn Khaldoun, historien arabe de la seconde moitié du XIVe siècle, à l’Abbé Dubos du siècle des Lumières, on croit qu’en changeant de latitude les Blancs peuvent devenir noirs et les Noirs devenir blancs. Dubos estime que cette transformation prend quelques siècles. Qu’une information erronée parvienne alors au savant, comme l’existence d’une importante population blanche au centre de l’Afrique, dont l’intérieur reste mystérieux, et l’on adapte la réalité qu’on ignore pour expliquer la théorie : le grand naturaliste Buffon fait de l’Afrique centrale le siège de hautes terres au climat compatible avec le teint clair des Hommes qui étaient supposés l’habiter.
Les caractéristiques physiques ne sont pas les seules affectées. Les Lumières pensent que les peuples du nord, âpres au travail, courageux, deviendraient, sous des latitudes plus chaudes, apathiques et médiocres. Le racisme envers les autres peuples et particulièrement le continent africain est manifeste, mais, à la décharge des philosophes de l’époque, ils ne font pas de ces défauts des éléments intrinsèques aux Hommes : résultats de la fatalité climatique, ils peuvent évoluer en changeant simplement de climat.
La volonté d’apitoyer Rome pour mettre fin à son exil, de même que des propos emphatiques au service de son œuvre littéraire peuvent expliquer en partie cette exagération. Mais cette vision des marches de l’empire est aussi conforme à la représentation intellectuelle que l’on se faisait à l’époque des régions septentrionales bordant le limes, règne du froid implacable. De la même manière, les confins méridionaux sont la proie d’une chaleur infernale. Un siècle avant, Pline, Diodore de Sicile, qui décrit de manière similaire les régions au nord, n’est pas en reste avec le sud. Selon lui, aux confins de l’Égypte, la chaleur est telle que l’on ne distingue rien en plein midi, l’évaporation rapide réduisant considérablement la visibilité. L’évaporation de l’eau du corps est d’ailleurs tellement importante que si la soif n’est pas étanchée sur-le- champ, la mort survient en peu de temps. Et que l’on ne se risque pas à poser un pied nu sur le sol, sous peine de brûlure immédiate.
Bref, dans le monde gréco-romain, la normalité climatique est de rigueur : tout éloignement vers le nord ou le sud expose à des conditions climatiques se dégradant à une vitesse inouïe, si bien que les régions en question ne sont rapidement plus habitables. La zone torride ne peut être qu’inhabitée. Au nord des steppes ukrainiennes ou de l’Angleterre, plus âme qui vive. Et, bien avant, les Hommes obligés de vivre comme des bêtes. Une telle conception de la tyrannie du climat, facteur explicatif du caractère des peuples, va perdurer jusqu’au XVIIIe siècle. On la retrouve par exemple dans l’article Climat, écrit par d’Alembert dans l’Encyclopédie. Cette idée sera celle de presque toutes les Lumières, au premier rang desquelles Montesquieu, mais à l’exception notable de Voltaire. On a certes progressé depuis l’Antiquité dans la connaissance géographique de la Terre, les régions habitables sont plus vastes qu’on ne le croyait. Mais la conception zonale du système climatique mondial demeure, de même que le caractère univoque de la relation entre les Hommes et le climat. Les Hommes sont totalement inféodés aux conditions climatiques, au point d’être déterminés jusque dans leur couleur de peau. D’Ibn Khaldoun, historien arabe de la seconde moitié du XIVe siècle, à l’Abbé Dubos du siècle des Lumières, on croit qu’en changeant de latitude les Blancs peuvent devenir noirs et les Noirs devenir blancs. Dubos estime que cette transformation prend quelques siècles. Qu’une information erronée parvienne alors au savant, comme l’existence d’une importante population blanche au centre de l’Afrique, dont l’intérieur reste mystérieux, et l’on adapte la réalité qu’on ignore pour expliquer la théorie : le grand naturaliste Buffon fait de l’Afrique centrale le siège de hautes terres au climat compatible avec le teint clair des Hommes qui étaient supposés l’habiter.
Les caractéristiques physiques ne sont pas les seules affectées. Les Lumières pensent que les peuples du nord, âpres au travail, courageux, deviendraient, sous des latitudes plus chaudes, apathiques et médiocres. Le racisme envers les autres peuples et particulièrement le continent africain est manifeste, mais, à la décharge des philosophes de l’époque, ils ne font pas de ces défauts des éléments intrinsèques aux Hommes : résultats de la fatalité climatique, ils peuvent évoluer en changeant simplement de climat.
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il y a un an
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Durant le XVIIIe siècle, l’idée d’une action possible et positive de l’Homme sur le climat s’impose comme un changement de paradigme : l’Homme peut désormais devenir le maître du jeu, l’âge de la Raison triomphante doit permettre à celle-ci d’agir non seulement sur la société, mais également sur le milieu naturel. L’idée moderne de Progrès s’impose. Dans la deuxième moitié du XVIIIe siècle, Edward Gibbon, auteur d’une Histoire de la décadence et de la chute de l’Empire romain, considère qu’il y a suffisamment d’indices pour admettre que le climat d’Europe était plus froid à cette époque. Il justifie ainsi cette différence :
« Les travaux des Hommes expliquent suffisamment les causes de la diminution du froid. Ces bois immenses qui dérobaient la terre aux rayons du Soleil, ont été détruits. À mesure que l’on a cultivé les terres et desséché les marais, la température du climat est devenue plus douce. Le Canada nous présente maintenant une peinture exacte de l’ancienne Germanie ».
L’influence du climat étant majeure sur les civilisations, c’est lui qui explique la supposée vigueur des Germains, qui ont ainsi pu vaincre Rome. Depuis, les défrichements ont amélioré le climat, qui a lui-même eu une influence favorable sur les peuples, permettant l’instauration d’un cercle vertueux. Le progrès social et économique implique le progrès climatique qui le favorise à son tour. Thomas Jefferson, troisième président des États-Unis, considérant lui aussi que le recul de la végétation était responsable de la douceur relative de l’Europe par rapport à la rigueur du temps hivernal nord-américain, souhaitait la même chose pour son pays. Un tel optimisme va partiellement perdurer au XIXe siècle : pour Charles Fourier (et non pas Joseph, que l’on rencontrera plus tard), la mise en culture de la totalité du globe conduirait à adoucir les climats de la Terre dans des proportions qui feraient pâlir nombre d’experts actuels : en Sibérie et au Canada, où l’amélioration pourrait atteindre 12 °C, mais aussi en Europe, où le philosophe attendait 6 °C de plus. Il faut dire que cette époque, dite du Petit âge glaciaire (finissant), n’était pas avare en hivers très rudes.
« Les travaux des Hommes expliquent suffisamment les causes de la diminution du froid. Ces bois immenses qui dérobaient la terre aux rayons du Soleil, ont été détruits. À mesure que l’on a cultivé les terres et desséché les marais, la température du climat est devenue plus douce. Le Canada nous présente maintenant une peinture exacte de l’ancienne Germanie ».
L’influence du climat étant majeure sur les civilisations, c’est lui qui explique la supposée vigueur des Germains, qui ont ainsi pu vaincre Rome. Depuis, les défrichements ont amélioré le climat, qui a lui-même eu une influence favorable sur les peuples, permettant l’instauration d’un cercle vertueux. Le progrès social et économique implique le progrès climatique qui le favorise à son tour. Thomas Jefferson, troisième président des États-Unis, considérant lui aussi que le recul de la végétation était responsable de la douceur relative de l’Europe par rapport à la rigueur du temps hivernal nord-américain, souhaitait la même chose pour son pays. Un tel optimisme va partiellement perdurer au XIXe siècle : pour Charles Fourier (et non pas Joseph, que l’on rencontrera plus tard), la mise en culture de la totalité du globe conduirait à adoucir les climats de la Terre dans des proportions qui feraient pâlir nombre d’experts actuels : en Sibérie et au Canada, où l’amélioration pourrait atteindre 12 °C, mais aussi en Europe, où le philosophe attendait 6 °C de plus. Il faut dire que cette époque, dite du Petit âge glaciaire (finissant), n’était pas avare en hivers très rudes.
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il y a un an
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:
https://agupubs.onlinelib[...]i/full/10.1002/jgrc.20319 sur le sujet : Air-sea CO2 fluxes in the near-shore and intertidal zones influenced by the California Current ; publié sur AGU et par :
Janet J. Reimer( Department of Conservation Biology, Centro de Investigación Científica y de Educación Superior de Ensenada (CICESE), Ensenada, Baja California, México ) , Rodrigo Vargas(Department of Conservation Biology, Centro de Investigación Científica y de Educación Superior de Ensenada (CICESE), Ensenada, Baja California, México ) , Stephen V. Smith( Emeritus Professor of Oceanography, University of Hawai'i, Manoa, HI, 96822, USA ) , Ruben Lara-Lara ( Department of Biological Oceanography, Centro de Investigación Científica y de Educación Superior de Ensenada (CICESE), Ensenada, Baja California, México ) , Gilberto Gaxiola-Castro ( Department of Biological Oceanography, Centro de Investigación Científica y de Educación Superior de Ensenada (CICESE), Ensenada, Baja California, México ) , J. Martín Hernández-Ayón ( Instituto de Investigaciones Oceanologicas, Universidad Autónoma de Baja California, Ensenada, Baja California, México ) , Angel Castro (Department of Conservation Biology, Centro de Investigación Científica y de Educación Superior de Ensenada (CICESE), Ensenada, Baja California, México ) , Martin Escoto-Rodriguez ( Department of Conservation Biology, Centro de Investigación Científica y de Educación Superior de Ensenada (CICESE), Ensenada, Baja California, México ) , Juan Martínez-Osuna ( Juan Martínez-Osuna
Department of Conservation Biology, Centro de Investigación Científica y de Educación Superior de Ensenada (CICESE), Ensenada, Baja California, México) ; publié pour la première fois le 24 juin 2014
“...des mesures directes sur le plateau néo-écossais, au large de l’est du Canada, indiquent que cette région du plateau agit comme une source nette de CO2 dans l’atmosphère.”
Source :
https://ui.adsabs.harvard[...]6AGUOSAH24A0042R/abstract Source or Sink? A Modeling Study of Inorganic Carbon Cycling on the Scotian Shelf ; publié par Rutherford, K. E. ; Fennel, K. ; Brennan, C. E. ; Thomas, H. ; Azetsu-Scott, K.
Janet J. Reimer( Department of Conservation Biology, Centro de Investigación Científica y de Educación Superior de Ensenada (CICESE), Ensenada, Baja California, México ) , Rodrigo Vargas(Department of Conservation Biology, Centro de Investigación Científica y de Educación Superior de Ensenada (CICESE), Ensenada, Baja California, México ) , Stephen V. Smith( Emeritus Professor of Oceanography, University of Hawai'i, Manoa, HI, 96822, USA ) , Ruben Lara-Lara ( Department of Biological Oceanography, Centro de Investigación Científica y de Educación Superior de Ensenada (CICESE), Ensenada, Baja California, México ) , Gilberto Gaxiola-Castro ( Department of Biological Oceanography, Centro de Investigación Científica y de Educación Superior de Ensenada (CICESE), Ensenada, Baja California, México ) , J. Martín Hernández-Ayón ( Instituto de Investigaciones Oceanologicas, Universidad Autónoma de Baja California, Ensenada, Baja California, México ) , Angel Castro (Department of Conservation Biology, Centro de Investigación Científica y de Educación Superior de Ensenada (CICESE), Ensenada, Baja California, México ) , Martin Escoto-Rodriguez ( Department of Conservation Biology, Centro de Investigación Científica y de Educación Superior de Ensenada (CICESE), Ensenada, Baja California, México ) , Juan Martínez-Osuna ( Juan Martínez-Osuna
Department of Conservation Biology, Centro de Investigación Científica y de Educación Superior de Ensenada (CICESE), Ensenada, Baja California, México) ; publié pour la première fois le 24 juin 2014
“...des mesures directes sur le plateau néo-écossais, au large de l’est du Canada, indiquent que cette région du plateau agit comme une source nette de CO2 dans l’atmosphère.”
Source :
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il y a un an
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The near-shore region was a weak annual net source of CO2 to the atmosphere (0.043 mol CO2 m−2 y−1); where 91% of the outgassed FCO2 was contributed during the upwelling season.
Continental shelves account for a large proportion of global primary production, and potentially a disproportionate fraction of the carbon dioxide (CO2) flux between atmosphere and ocean. The continental shelf pump hypothesis proposes that continental shelves at high latitudes act as net sinks of atmospheric CO2. However, direct measurements on the Scotian Shelf, off eastern Canada, indicate that this shelf region acts as a net source of CO2 to the atmosphere
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Autres études :
https://www.nature.com/articles/s43017-019-0001-x
publié dans la revue nature par
Shilong Piao, Xuhui Wang, Taejin Park, Chi Chen, Xu Lian, Yue He, Jarle W. Bjerke, Anping Chen, Philippe Ciais, Hans Tømmervik, Ramakrishna R. Nemani & Ranga B. Myneni sur le sujet : Characteristics, drivers and feedbacks of global greening
https://www.science.org/doi/10.1126/sciadv.abb1981
publié dans la revue : Science Advance, publié sur le sujet :Biophysical impacts of Earth greening largely controlled by aerodynamic resistance ;
publié par Chi Chen
https://orcid.org/0000-0002-8079-4079 , Dan Li
https://orcid.org/0000-0001-5978-5381 , Yue Li
https://orcid.org/0000-0003-2997-6368, Shilong Piao
https://orcid.org/0000-0001-8057-2292, Xuhui Wang
https://orcid.org/0000-0003-0818-9816, Maoyi Huang
https://orcid.org/0000-0001-9154-9485, Pierre Gentine
https://orcid.org/0000-0002-0845-8345, Ramakrishna R. Nemani, et Ranga B. Myneni
publié dans la revue nature par
Shilong Piao, Xuhui Wang, Taejin Park, Chi Chen, Xu Lian, Yue He, Jarle W. Bjerke, Anping Chen, Philippe Ciais, Hans Tømmervik, Ramakrishna R. Nemani & Ranga B. Myneni sur le sujet : Characteristics, drivers and feedbacks of global greening
publié dans la revue : Science Advance, publié sur le sujet :Biophysical impacts of Earth greening largely controlled by aerodynamic resistance ;
publié par Chi Chen
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il y a un an
Et c'est quoi la source ? Et sur quels relevés ils se basent pour la "réalité" ?
Tout ce que je t'ai envoyé, c'est ça la réalité.
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il y a un an-PEMT
Et c'est quoi la source ? Et sur quels relevés ils se basent pour la "réalité" ?
Tout ce que je t'ai envoyé, c'est ça la réalité.
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il y a un an-PEMT
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http://www.scielo.org.co/[...]-8706-ccta-23-02-2475.pdf : Review on the impact of elevated CO2 concentrations on
fruit species in the face of climate change , publié par Gerhard Fischer ( Universidad Nacional de Colombia, Facultad de Ciencias Agrarias, Bogotá, Colombia ) Luz Marina Melgarejo
Helber Enrique Balaguera-López ( Universidad Nacional de Colombia, Facultad de Ciencias, Bogotá, Colombia )

fruit species in the face of climate change , publié par Gerhard Fischer ( Universidad Nacional de Colombia, Facultad de Ciencias Agrarias, Bogotá, Colombia ) Luz Marina Melgarejo
Helber Enrique Balaguera-López ( Universidad Nacional de Colombia, Facultad de Ciencias, Bogotá, Colombia )
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a un an
Envoie des publications scientifiques qui prouvent le contraire on t'écoute
On voit bien également que contrairement à ce que certains prétendent, il n'y a pas davantage de sécheresse qu'avant globalement.
Sources :
https://rmets.onlinelibra[...]/doi/pdf/10.1002/joc.6992 : RESEARCH ARTICLEPre-instrumental summer precipitation variability innorthwestern Greece from a high-elevationPinusheldreichiinetwork :
https://www.sciencedirect[...]41816220305671?via%3Dihub : Influence of the Atlantic Multidecadal Oscillation on drought in northern Daxing’an Mountains, Northeast China
https://www.sciencedirect[...]05880721000017?via%3Dihub : Comparing tree-ring based reconstructions of snowpack variability at different scales for the Navajo Nation
https://journals.ametsoc.[...]34/5/JCLI-D-20-0365.1.xml : U.S. Pacific Coastal Droughts Are Predominantly Driven by Internal Atmospheric Variability
Sources :
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a un an