j'ai vu que c'était asiatique, j'ai pas plus regardé
Ou à Raum
Leur site indique:
Matière de la lame : Acier damas 67 couches.
Il y a pas plus de précision à part la dureté de l' acier et une indication vague de VG10 (certainement pas toutes les couches) qui est l' acier et la technique d' un de mes couteaux Falkniven en VG10 laminé (un sandwich d' acier carbone entre deux couches inox).
Vu le prix de mon Falkniven F1 pour juste 3 couches, celui là, j' ai aucun doute que c' est une construction industrielle sous presse, me paraît vraiment pas chère.
Bon c' est aussi un couteau destiné à la cuisine, en bushcraft, la lame va exploser ou se prendre des éclats à la première grosse sollicitation de bourrin, c' est donc absolument pas le même cahier des charges, tolérance, résistance etc qu' une lame destinée au survival ou les activités outdoor qui pour le même damas va demander un soin et méthode de construction beaucoup plus poussée pour faire la lame.
La technique du damas ici est plus pour le côté esthétique que les propriétés mécaniques de cette technique de prod.
Ça explique sans doute le prix.
C' est le damas forgé couche par couche qui coûte une blinde
Matière de la lame : Acier damas 67 couches.
Il y a pas plus de précision à part la dureté de l' acier et une indication vague de VG10 (certainement pas toutes les couches) qui est l' acier et la technique d' un de mes couteaux Falkniven en VG10 laminé (un sandwich d' acier carbone entre deux couches inox).
Vu le prix de mon Falkniven F1 pour juste 3 couches, celui là, j' ai aucun doute que c' est une construction industrielle sous presse, me paraît vraiment pas chère.
Bon c' est aussi un couteau destiné à la cuisine, en bushcraft, la lame va exploser ou se prendre des éclats à la première grosse sollicitation de bourrin, c' est donc absolument pas le même cahier des charges, tolérance, résistance etc qu' une lame destinée au survival ou les activités outdoor qui pour le même damas va demander un soin et méthode de construction beaucoup plus poussée pour faire la lame.
La technique du damas ici est plus pour le côté esthétique que les propriétés mécaniques de cette technique de prod.
Ça explique sans doute le prix.
C' est le damas forgé couche par couche qui coûte une blinde
Sinon on a des coutelleries françaises de qualité
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Le cuistre français dans toute sa splendeur alors que l'industrie chinoise turbo viole celle de son shithole
Sinon on a des coutelleries françaises de qualité
La coutellerie industrielle française est minable et se fait mettre à lamende par les italiens, les Japonais et les Chinois, si tu veux un couteau de qualité fait en France il fait débourser 400€ minimum chez un artisan qualifié !
Sinon à part le nom de la marque eclatax, je valide
Mais tu es sur que c'est une vraie marque et pas un scampi ?
Mais tu es sur que c'est une vraie marque et pas un scampi ?
Leur site indique:
Matière de la lame : Acier damas 67 couches.
Il y a pas plus de précision à part la dureté de l' acier et une indication vague de VG10 (certainement pas toutes les couches) qui est l' acier et la technique d' un de mes couteaux Falkniven en VG10 laminé (un sandwich d' acier carbone entre deux couches inox).
Vu le prix de mon Falkniven F1 pour juste 3 couches, celui là, j' ai aucun doute que c' est une construction industrielle sous presse, me paraît vraiment pas chère.
Bon c' est aussi un couteau destiné à la cuisine, en bushcraft, la lame va exploser ou se prendre des éclats à la première grosse sollicitation de bourrin, c' est donc absolument pas le même cahier des charges, tolérance, résistance etc qu' une lame destinée au survival ou les activités outdoor qui pour le même damas va demander un soin et méthode de construction beaucoup plus poussée pour faire la lame.
La technique du damas ici est plus pour le côté esthétique que les propriétés mécaniques de cette technique de prod.
Ça explique sans doute le prix.
C' est le damas forgé couche par couche qui coûte une blinde
Matière de la lame : Acier damas 67 couches.
Il y a pas plus de précision à part la dureté de l' acier et une indication vague de VG10 (certainement pas toutes les couches) qui est l' acier et la technique d' un de mes couteaux Falkniven en VG10 laminé (un sandwich d' acier carbone entre deux couches inox).
Vu le prix de mon Falkniven F1 pour juste 3 couches, celui là, j' ai aucun doute que c' est une construction industrielle sous presse, me paraît vraiment pas chère.
Bon c' est aussi un couteau destiné à la cuisine, en bushcraft, la lame va exploser ou se prendre des éclats à la première grosse sollicitation de bourrin, c' est donc absolument pas le même cahier des charges, tolérance, résistance etc qu' une lame destinée au survival ou les activités outdoor qui pour le même damas va demander un soin et méthode de construction beaucoup plus poussée pour faire la lame.
La technique du damas ici est plus pour le côté esthétique que les propriétés mécaniques de cette technique de prod.
Ça explique sans doute le prix.
C' est le damas forgé couche par couche qui coûte une blinde
C'est une lame sanmai ou sandwich le tranchant et le cœur de la lame sont VG10 avec des parfois en acier Damas qui sont là uniquement pour l'esthétique.
Et il y a forcément eu un travail de forge automatisé pour avoir ce résultat.
Et il y a forcément eu un travail de forge automatisé pour avoir ce résultat.
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Matière de la lame : Acier damas 67 couches.
Il y a pas plus de précision à part la dureté de l' acier et une indication vague de VG10 (certainement pas toutes les couches) qui est l' acier et la technique d' un de mes couteaux Falkniven en VG10 laminé (un sandwich d' acier carbone entre deux couches inox).
Vu le prix de mon Falkniven F1 pour juste 3 couches, celui là, j' ai aucun doute que c' est une construction industrielle sous presse, me paraît vraiment pas chère.
Bon c' est aussi un couteau destiné à la cuisine, en bushcraft, la lame va exploser ou se prendre des éclats à la première grosse sollicitation de bourrin, c' est donc absolument pas le même cahier des charges, tolérance, résistance etc qu' une lame destinée au survival ou les activités outdoor qui pour le même damas va demander un soin et méthode de construction beaucoup plus poussée pour faire la lame.
La technique du damas ici est plus pour le côté esthétique que les propriétés mécaniques de cette technique de prod.
Ça explique sans doute le prix.
C' est le damas forgé couche par couche qui coûte une blinde
Matière de la lame : Acier damas 67 couches.
Il y a pas plus de précision à part la dureté de l' acier et une indication vague de VG10 (certainement pas toutes les couches) qui est l' acier et la technique d' un de mes couteaux Falkniven en VG10 laminé (un sandwich d' acier carbone entre deux couches inox).
Vu le prix de mon Falkniven F1 pour juste 3 couches, celui là, j' ai aucun doute que c' est une construction industrielle sous presse, me paraît vraiment pas chère.
Bon c' est aussi un couteau destiné à la cuisine, en bushcraft, la lame va exploser ou se prendre des éclats à la première grosse sollicitation de bourrin, c' est donc absolument pas le même cahier des charges, tolérance, résistance etc qu' une lame destinée au survival ou les activités outdoor qui pour le même damas va demander un soin et méthode de construction beaucoup plus poussée pour faire la lame.
La technique du damas ici est plus pour le côté esthétique que les propriétés mécaniques de cette technique de prod.
Ça explique sans doute le prix.
C' est le damas forgé couche par couche qui coûte une blinde
C'est une lame sanmai ou sandwich le tranchant et le cœur de la lame sont VG10 avec des parfois en acier Damas qui sont là uniquement pour l'esthétique.
Et il y a forcément eu un travail de forge automatisé pour avoir ce résultat.
Et il y a forcément eu un travail de forge automatisé pour avoir ce résultat.
Ça doit être une technique de corroyage industriel sur machine vu le prix soit par repliage du même acier plusieurs fois sur lui même afin d' obtenir plusieurs strates differentes ou par empreinte mais dans tout les cas ce damas est 100% full automatisé via une presse ou truc dans le genre lors de la soudure des couches.
Avec une trempe et des bains pour encore mieux marquer artificiellement les couches.
Il y a d' ailleurs moyen d' acheter en gros des blocs d' acier damas déjà tout prêt à l' emploi avec différents motifs sur catalogue, beaucoup de coutelier même artisanaux ne sont pas tous des forgeurs d' acier et achètent l' acier de leur lame en bloc chez des fournisseurs indus.
Vaut mieux simplement un bon Acier San Maï Paper Steel laminé chez Hitachi que du fait maison avec ses pieds
Avec une trempe et des bains pour encore mieux marquer artificiellement les couches.
Il y a d' ailleurs moyen d' acheter en gros des blocs d' acier damas déjà tout prêt à l' emploi avec différents motifs sur catalogue, beaucoup de coutelier même artisanaux ne sont pas tous des forgeurs d' acier et achètent l' acier de leur lame en bloc chez des fournisseurs indus.
Vaut mieux simplement un bon Acier San Maï Paper Steel laminé chez Hitachi que du fait maison avec ses pieds