Ce sujet a été résolu
Si les pauvres sont idiots parce qu'ils sont pauvres,
quoi dire d'un mec qui résume le succès financier au quotient intellectuel ? Je pense que ça se saurait s'il suffisait d'être intelligent pour être riche. C'est une notion complexe qui comporte de nombreux facteurs tels que l'environnement, l'éducation, la chance, les discriminations, les opportunités ...
Tu ne penses pas ?
quoi dire d'un mec qui résume le succès financier au quotient intellectuel ? Je pense que ça se saurait s'il suffisait d'être intelligent pour être riche. C'est une notion complexe qui comporte de nombreux facteurs tels que l'environnement, l'éducation, la chance, les discriminations, les opportunités ...
Tu ne penses pas ?
Je pense que tu devrais relire ce que j'ai écrit sans me faire dire ce que t'as envie d'entendre
Je parle de méritocratie et d'élévation sociale, tu me parles de richesse et de succès financier

Je parle de méritocratie et d'élévation sociale, tu me parles de richesse et de succès financier

il y a 2 ans
l'école a de tout temps existé car elle permet le contrôle de l'opinion publique car le professeur domine ses élèves
Et pourtant sans école gratuite et obligatoire, la méritocratie n'est même pas envisageable puisque les riches savent lire et les pauvres non
il y a 2 ans
Décoller socialement = décoller financièrement.
Je ne connais aucune famille qui décolle socialement tout en tournant au SMIC
Je ne connais aucune famille qui décolle socialement tout en tournant au SMIC

il y a 2 ans
Et pourtant sans école gratuite et obligatoire, la méritocratie n'est même pas envisageable puisque les riches savent lire et les pauvres non
tout est fait pour que les pauvres échouent à l'école, sinon des fils de riche deviendraient pauvres
il y a 2 ans
lire et écrire
même les bourgeois qui lisent des classiques de la philosophie n'y comprenne rien ou font semblant de comprendre

il y a 2 ans
LeLion
2 ans
lire et écrire
même les bourgeois qui lisent des classiques de la philosophie n'y comprenne rien ou font semblant de comprendre

En l'occurrence si, on comprend
il y a 2 ans
l'école a de tout temps existé car elle permet le contrôle de l'opinion publique car le professeur domine ses élèves
C'est UNE de ses composantes qui est plus ou moins prononcée en fonction de l'endroit et de l'époque, mais c'est très loin d'être la seule composante
Et au passage, je parle d'élévation sociale et elle peut ne pas passer par l'école, un 0 diplôme qui a fondé son entreprise et qui a la fin de sa vie est un quasi bourgeois c'est aussi une élévation sociale

Et au passage, je parle d'élévation sociale et elle peut ne pas passer par l'école, un 0 diplôme qui a fondé son entreprise et qui a la fin de sa vie est un quasi bourgeois c'est aussi une élévation sociale

il y a 2 ans
Ta conclusion est vraie, mais ton présupposé est faux
La méritocratie en France n'existe plus depuis très longtemps. Ca fait longtemps que la France fait une purge périodique de ce qui s'en sort bien.
Ceci dit, oui, je ne peux que reconnaître que l'échec de nombreuses familles est mérité, et ne s'explique pas que par l'absence de méritocratie. Un système injuste ne suffit pas toujours à expliquer une tendance chronique à l'échec
Pathologie non-exhaustive des familles dysfonctionnelles :
(Je ne parle pas de familles de cassos alcooliques)
- Hommes faibles
- Frivolité générale des membres de la famille, besoin de divertissement, de légèreté
- Féminité marquée des hommes au sein de la famille
- Addictions aux plaisirs corporels, immédiats, nourriture notamment
- Absence de projets sur le court terme comme le long-terme
- Absence de prudence, tendance à tout jeter, minimalisme et hygiénisme excessifs
- Absence de pragmatisme
- Besoin d'ordre, soumission aux apparences
- Absence d'esprit d'initiative
- Paradoxalement, peur excessive du risque, incapacité à l'aventure
- Impulsivité, camouflée sous un vernis timoré, maniéré
- Absence de fidélité maritale généralisée, au niveau des hommes comme des femmes
- Inconséquence, notion de "famille" absente des esprits, cohésion négligée voire piétinée
- Concept de transmission absent des esprits, ignorance de l'hérédité au niveau inné comme acquis, voire déni
- Négligeance de la descendance, descendance perçue comme un simple agrément ou une étape nécessaire
- Absence de conscience de soi, d'identité
- Absence de volonté de puissance consciente
- Amoralité, voire immoralité assumée, prédation et subversion active au sein de la famille, parfois contre la descendance
- Hystérie, besoin de conflit et de souffrance, demande générale de chaos de la part des élements féminins
- Subversion menée par les éléments féminins à l'encontre des éléments masculins, absence de respect, recherche d'inclusion d'hommes faibles, destruction active des hommes forts
Synthétiquement : faiblesse, lâcheté, bêtise. Aucun sens de la famille. Point. Mentalité de proie.
Conclusion : méritax, sélection naturelle donc en dépit de l'absence de méritocratie.
La méritocratie en France n'existe plus depuis très longtemps. Ca fait longtemps que la France fait une purge périodique de ce qui s'en sort bien.
Ceci dit, oui, je ne peux que reconnaître que l'échec de nombreuses familles est mérité, et ne s'explique pas que par l'absence de méritocratie. Un système injuste ne suffit pas toujours à expliquer une tendance chronique à l'échec

Pathologie non-exhaustive des familles dysfonctionnelles :
(Je ne parle pas de familles de cassos alcooliques)
- Hommes faibles
- Frivolité générale des membres de la famille, besoin de divertissement, de légèreté
- Féminité marquée des hommes au sein de la famille
- Addictions aux plaisirs corporels, immédiats, nourriture notamment
- Absence de projets sur le court terme comme le long-terme
- Absence de prudence, tendance à tout jeter, minimalisme et hygiénisme excessifs
- Absence de pragmatisme
- Besoin d'ordre, soumission aux apparences
- Absence d'esprit d'initiative
- Paradoxalement, peur excessive du risque, incapacité à l'aventure
- Impulsivité, camouflée sous un vernis timoré, maniéré
- Absence de fidélité maritale généralisée, au niveau des hommes comme des femmes
- Inconséquence, notion de "famille" absente des esprits, cohésion négligée voire piétinée
- Concept de transmission absent des esprits, ignorance de l'hérédité au niveau inné comme acquis, voire déni
- Négligeance de la descendance, descendance perçue comme un simple agrément ou une étape nécessaire
- Absence de conscience de soi, d'identité
- Absence de volonté de puissance consciente
- Amoralité, voire immoralité assumée, prédation et subversion active au sein de la famille, parfois contre la descendance
- Hystérie, besoin de conflit et de souffrance, demande générale de chaos de la part des élements féminins
- Subversion menée par les éléments féminins à l'encontre des éléments masculins, absence de respect, recherche d'inclusion d'hommes faibles, destruction active des hommes forts
Synthétiquement : faiblesse, lâcheté, bêtise. Aucun sens de la famille. Point. Mentalité de proie.
Conclusion : méritax, sélection naturelle donc en dépit de l'absence de méritocratie.
Je suis Seugondaire.
il y a 2 ans
En l'occurrence si, on comprend
non vous êtes des sophistes
D'ailleurs socrate dit que le savoir ne peut pas se transmettre. Tu peux lire autant que tu veux, jamais aucune idées va pointer le bout de son nez
Le savoir est en soi mais ta pauvre âme est bloqué à l'intérieur de ton corps.
D'ailleurs socrate dit que le savoir ne peut pas se transmettre. Tu peux lire autant que tu veux, jamais aucune idées va pointer le bout de son nez
Le savoir est en soi mais ta pauvre âme est bloqué à l'intérieur de ton corps.
il y a 2 ans
Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut pas s’y prendre de manière violente. Les méthodes du genre de celles d’Hitler sont dépassées. Il suffit de créer un conditionnement collectif si puissant que l’idée même de révolte ne viendra même plus à l’esprit des hommes.
L’idéal serait de formater les individus dès la naissance en limitant leurs aptitudes biologiques innées. Ensuite, on poursuivrait le conditionnement en réduisant de manière drastique l’éducation, pour la ramener à une forme d’insertion professionnelle. Un individu inculte n’a qu’un horizon de pensée limité et plus sa pensée est bornée à des préoccupations médiocres, moins il peut se révolter. Il faut faire en sorte que l’accès au savoir devienne de plus en plus difficile et élitiste. Que le fossé se creuse entre le peuple et la science, que l’information destinée au grand public soit anesthésiée de tout contenu à caractère subversif.
Surtout pas de philosophie. Là encore, il faut user de persuasion et non de violence directe : on diffusera massivement, via la télévision, des divertissements flattant toujours l’émotionnel ou l’instinctif. On occupera les esprits avec ce qui est futile et ludique. Il est bon, dans un bavardage et une musique incessante, d’empêcher l’esprit de penser. On mettra la sexualité au premier rang des intérêts humains. Comme tranquillisant social, il n’y a rien de mieux.
En général, on fera en sorte de bannir le sérieux de l’existence, de tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée, d’entretenir une constante apologie de la légèreté ; de sorte que l’euphorie de la publicité devienne le standard du bonheur humain et le modèle de la liberté. Le conditionnement produira ainsi de lui-même une telle intégration, que la seule peur - qu’il faudra entretenir - sera celle d’être exclus du système et donc de ne plus pouvoir accéder aux conditions nécessaires au bonheur.
L’homme de masse, ainsi produit, doit être traité comme ce qu’il est : un veau, et il doit être surveillé comme doit l’être un troupeau. Tout ce qui permet d’endormir sa lucidité est bon socialement, ce qui menacerait de l’éveiller doit être ridiculisé, étouffé, combattu. Toute doctrine mettant en cause le système doit d’abord être désignée comme subversive et terroriste et ceux qui la soutiennent devront ensuite être traités comme tels.
L’idéal serait de formater les individus dès la naissance en limitant leurs aptitudes biologiques innées. Ensuite, on poursuivrait le conditionnement en réduisant de manière drastique l’éducation, pour la ramener à une forme d’insertion professionnelle. Un individu inculte n’a qu’un horizon de pensée limité et plus sa pensée est bornée à des préoccupations médiocres, moins il peut se révolter. Il faut faire en sorte que l’accès au savoir devienne de plus en plus difficile et élitiste. Que le fossé se creuse entre le peuple et la science, que l’information destinée au grand public soit anesthésiée de tout contenu à caractère subversif.
Surtout pas de philosophie. Là encore, il faut user de persuasion et non de violence directe : on diffusera massivement, via la télévision, des divertissements flattant toujours l’émotionnel ou l’instinctif. On occupera les esprits avec ce qui est futile et ludique. Il est bon, dans un bavardage et une musique incessante, d’empêcher l’esprit de penser. On mettra la sexualité au premier rang des intérêts humains. Comme tranquillisant social, il n’y a rien de mieux.
En général, on fera en sorte de bannir le sérieux de l’existence, de tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée, d’entretenir une constante apologie de la légèreté ; de sorte que l’euphorie de la publicité devienne le standard du bonheur humain et le modèle de la liberté. Le conditionnement produira ainsi de lui-même une telle intégration, que la seule peur - qu’il faudra entretenir - sera celle d’être exclus du système et donc de ne plus pouvoir accéder aux conditions nécessaires au bonheur.
L’homme de masse, ainsi produit, doit être traité comme ce qu’il est : un veau, et il doit être surveillé comme doit l’être un troupeau. Tout ce qui permet d’endormir sa lucidité est bon socialement, ce qui menacerait de l’éveiller doit être ridiculisé, étouffé, combattu. Toute doctrine mettant en cause le système doit d’abord être désignée comme subversive et terroriste et ceux qui la soutiennent devront ensuite être traités comme tels.
il y a 2 ans
non vous êtes des sophistes
D'ailleurs socrate dit que le savoir ne peut pas se transmettre. Tu peux lire autant que tu veux, jamais aucune idées va pointer le bout de son nez
Le savoir est en soi mais ta pauvre âme est bloqué à l'intérieur de ton corps.
D'ailleurs socrate dit que le savoir ne peut pas se transmettre. Tu peux lire autant que tu veux, jamais aucune idées va pointer le bout de son nez
Le savoir est en soi mais ta pauvre âme est bloqué à l'intérieur de ton corps.
Tu peux apprendre des idées, mais après en connaître d'autres via réflexion, ça c'est une autre histoire
il y a 2 ans
Décoller socialement = décoller financièrement.
Je ne connais aucune famille qui décolle socialement tout en tournant au SMIC
Je ne connais aucune famille qui décolle socialement tout en tournant au SMIC

C'est lié mais parler de "riche" c'est passer à côté du sujet
Un fils de paysan qui devient ingénieur à 3k$/mois grâce à la méritocratie va gagner plus mais on ne peut pas parler de riche ou de succès financier, par contre on peut bien parler d'une élévation sociale

Un fils de paysan qui devient ingénieur à 3k$/mois grâce à la méritocratie va gagner plus mais on ne peut pas parler de riche ou de succès financier, par contre on peut bien parler d'une élévation sociale

il y a 2 ans
Tu peux apprendre des idées, mais après en connaître d'autres via réflexion, ça c'est une autre histoire
cette idée de socrate je l'avais formulé avant de connaître son discours
Je n'ai lu aucun livres et je suis contre la lecture et l'écriture
Je suis un demi-dieu
Je n'ai lu aucun livres et je suis contre la lecture et l'écriture
Je suis un demi-dieu
il y a 2 ans
Je suis assez d’accord avec l’OP même si il y a des nuances a faire, en effet un pauvre qui a un QI très élevé et la volonté d’y arriver peut finir diplômé des mines et toucher 250k/€ par an a 40 ans mais d’un autre les réseaux en France ont une place non négligeable dans l’ascension sociale. Un fils de qui a un bon diplome imaginons d’ingénieur automobile se retrouvera sur un stznd de F1 la ou le major de sa promo commencera chez PSA par exemple
How do you call a Mexican that lost his car ?
Carlos
il y a 2 ans
La méritocratie dans un pays où on a accès au RSA et à l'AAH en un claquement de doigts
Le cousin homosexuel de GouvHD ! (Je ne suis pas réellement gay
)
il y a 2 ans
Nimdok
2 ans
Les pauvres sont pauvres parce qu'ils sont idiots.
30 ans de lutte sociale pour en arriver là
30 ans de lutte sociale pour en arriver là
Réel
il y a 2 ans
tout est fait pour que les pauvres échouent à l'école, sinon des fils de riche deviendraient pauvres
Sauf que non, c'est l'inverse
Aux moins fortunés, l'école propose des cours du soir, des pédagogies innovantes et des technologies de pointe
Pour les plus fortunés, un tableau à craie, un prof en planque et si ça suffit pas les parents paieront bien les cours du soir
Le petit bémol : les cons refusent l'énorme perche qui leur est tendu alors que les petits génis s'accommodent du moindre coup de pouce
J'ai eu la chance de faire tout type d'écoles, de la ZEE des Yvelines à la privée catholique parisienne, en passant par la publique de province, et plus les élèves son cons plus il y a de fric investi
Aux moins fortunés, l'école propose des cours du soir, des pédagogies innovantes et des technologies de pointe
Pour les plus fortunés, un tableau à craie, un prof en planque et si ça suffit pas les parents paieront bien les cours du soir
Le petit bémol : les cons refusent l'énorme perche qui leur est tendu alors que les petits génis s'accommodent du moindre coup de pouce
J'ai eu la chance de faire tout type d'écoles, de la ZEE des Yvelines à la privée catholique parisienne, en passant par la publique de province, et plus les élèves son cons plus il y a de fric investi
il y a 2 ans
C'est réel. Si un moment donné sur 3 générations la famille est enfermé dans la boucle école public > pas de fac > boulot smicard, alors que en vivant à deux parents l'école privée est abordable, l'université est gratuite et que personne ne se dit un moment donné que c'est une bonne idée de casser la boucle, c'est juste de la sélection naturelle
il y a 2 ans
parler de savoir et d'élévation sociale
les hommes ne cherchent qu'une chose, à dominer leurs amis et à être en haut de la hiérarchie sociale
parler ensuite du savoir à l'école et de méritocratie
l'école est une course d'obstacles mais ce ne sont pas les plus intelligents qui finissent premier.
Moi qui suis un génie j'étais premier de la classe jusqu'à un certain stade (avant que des troubles métaphysiques surviennent) et je devais utiliser mon intelligence pour comprendre le cours mais ce cours ne requiert pas de l'intelligence
les hommes ne cherchent qu'une chose, à dominer leurs amis et à être en haut de la hiérarchie sociale
parler ensuite du savoir à l'école et de méritocratie

l'école est une course d'obstacles mais ce ne sont pas les plus intelligents qui finissent premier.
Moi qui suis un génie j'étais premier de la classe jusqu'à un certain stade (avant que des troubles métaphysiques surviennent) et je devais utiliser mon intelligence pour comprendre le cours mais ce cours ne requiert pas de l'intelligence

il y a 2 ans