Ce sujet a été résolu
Y'A UN FORUM PARANORMAL
J'avais raconté cette histoire :
https://onche.org/topic/4[...]oiture-de-ma-grande-soeur
J'avais raconté cette histoire :
quel soin portée à la rédaction, je suis impressionnée
elle est rudement triste, mais grâce au choix des mots j'avais l'impression d'y être
elle est rudement triste, mais grâce au choix des mots j'avais l'impression d'y être
ᶻ 𝘇 𐰁
il y a 9 mois
Lydra
9 mois
C'est l'histoire d'une patate qui traverse la route et finit en purée
I
GNOBLE
ᶻ 𝘇 𐰁
il y a 9 mois
orsik
9 mois
Ambiance sonore :
Mes chers kheys,
en cette nuit qui nous rapproche un peu plus de celle d'halloween et du jour des morts, place à l'effroi
Je vous invite à nous donner le frisson de l'horreur en nous racontant quelques péripéties effroyables qui vous sont arrivées
Il peut s'agir d'histoires paranormales, de rencontres inquiétantes, ou de frayeurs en tous genres
La lumière du feu de camp nous protégera de la noirceur de la forêt, lancez-vous je vous écoute
Mes chers kheys,
en cette nuit qui nous rapproche un peu plus de celle d'halloween et du jour des morts, place à l'effroi
Je vous invite à nous donner le frisson de l'horreur en nous racontant quelques péripéties effroyables qui vous sont arrivées
Il peut s'agir d'histoires paranormales, de rencontres inquiétantes, ou de frayeurs en tous genres
La lumière du feu de camp nous protégera de la noirceur de la forêt, lancez-vous je vous écoute
Le fait d'être noir suffit à briser certains
Personne va venir te sauver

il y a 9 mois
Le fait d'être noir suffit à briser certains
j'ai pas compris, t'es noir et brisé ?
ᶻ 𝘇 𐰁
il y a 9 mois
Il faut savoir qu'avant que je n'y vive, l'ancienne locataire y était décédée, mais ça je ne l'ai appris que plus tard. A la base, la proprio nous avait juste dit que l'ancienne locataire de 86 ans n'y vivait plus, et qu'elle fumait beaucoup, à tel point qu'elle avait dû repeindre les murs jaunis par le tabac
Et tout de suite, on s'est mit à entendre des bruits de tapements dans le mur qui n'était mitoyen avec rien du tout; à se rendre compte que les voisine de palier étaient vraiment bien plus qu'étranges, hurlaient chez elles, lâchaient des touffes de cheveux blancs sur notre balcon, ne nous disaient jamais bonjour comme si elles ne nous voyaient pas
Même le concierge les insultait, ces deux folles
On s'est mit à sentir des odeurs de tabac dans la salle de bain alors qu'on ne fume pas, des cadres tombaient systématiquement des murs pourtant accrochés avec des clous
Et la l'ampoule de la salle de bain grillait systématiquement, à tel point qu'on utilisait une lampe de chevet pour s'y éclairer à la fin
Et tout de suite, on s'est mit à entendre des bruits de tapements dans le mur qui n'était mitoyen avec rien du tout; à se rendre compte que les voisine de palier étaient vraiment bien plus qu'étranges, hurlaient chez elles, lâchaient des touffes de cheveux blancs sur notre balcon, ne nous disaient jamais bonjour comme si elles ne nous voyaient pas
On s'est mit à sentir des odeurs de tabac dans la salle de bain alors qu'on ne fume pas, des cadres tombaient systématiquement des murs pourtant accrochés avec des clous
Et la l'ampoule de la salle de bain grillait systématiquement, à tel point qu'on utilisait une lampe de chevet pour s'y éclairer à la fin
Ahi, t'a été fantomed comme moi
Je connais pas mal de gens qui il est arrivé des trucs inexpliqué
il y a 9 mois
j'ai pas compris, t'es noir et brisé ?
Oui + les noirs font peur :Benzemonstre_en_prison:
Personne va venir te sauver

il y a 9 mois
Oui + les noirs font peur :Benzemonstre_en_prison:
ah ok mais je parlais d'un autre genre de peur quand même
mais vazi, raconte à qui est-ce que t'as fait peur avec ta couleur de peau ? ça peut être intéressant
mais vazi, raconte à qui est-ce que t'as fait peur avec ta couleur de peau ? ça peut être intéressant
ᶻ 𝘇 𐰁
il y a 9 mois
Ahi, t'a été fantomed comme moi
Je connais pas mal de gens qui il est arrivé des trucs inexpliqué
avant l'histoire que je viens d'évoquer avec toi, j'étais intimement persuadée que rien de cela ne pouvait être possible
j'ai d'ailleurs toujours de gros doutes aujourd'hui, et tend à expliquer ça le plus rationnellement possible
mais je te mentirai si je te disais qu'on ne s'était pas posés des questions de type SURNATURELLES
j'ai d'ailleurs toujours de gros doutes aujourd'hui, et tend à expliquer ça le plus rationnellement possible
mais je te mentirai si je te disais qu'on ne s'était pas posés des questions de type SURNATURELLES
ᶻ 𝘇 𐰁
il y a 9 mois
non tu peux inventer avec plaisir, j'ai stipulé "réel" mais j'ai été un peu trop stricte, je relâche
D'accord donc , je vais raconter une histoire que j'ai déjà entendu, je me suis inspiré d'une rumeur que j'ai entendu dans mon ancienne école primaire
Il était une fois une petite fille de faible constitution, d'allure fragile, et assez petite pour son âge. Elle s'appelait Mélissa et elle était réputée pour s'endormir facilement à l'école, que ce soit en classe ou dans la cour, lors de la récréation. Un jour, alors qu'elle jouait avec ses amies pendant la longue récréation de la pause méridienne, elle fut prise d'une grande fatigue.
Elle signala donc à ses amies qu'elle allait faire une sieste, et celles-ci acquiescèrent, continuant de jouer. L'une d'elles lui dit qu'elles viendraient la chercher lorsqu'il serait temps de retourner en classe. Mélissa voulut se diriger vers un banc pour s'endormir, mais ils étaient tous pris. Elle s'adossa alors à un mur pour s'endormir.
Les amies de Mélissa continuèrent de jouer jusqu'à ce que la cloche sonne. En se préparant à retourner en classe, elles voulurent aller chercher Mélissa, mais elles ne la trouvèrent pas. L'une d'elles la chercha dans les toilettes des filles, mais elle ne la trouva pas non plus.
Elles se rangèrent donc par deux et signalèrent à la maîtresse qu'elles ne trouvaient pas Mélissa. La maîtresse demanda alors à tous les camarades de classe s'ils l'avaient aperçue, et l'un d'eux répondit que Mélissa s'était endormie contre le mur aux briques rouges, mais qu'elle n'était plus là où il l'avait vue.
La maîtresse alerta alors le directeur pour qu'ils puissent retrouver Mélissa.
Le lendemain, le directeur, se rendant à l'école, était assez agité. En effet, les parents de Mélissa n'avaient pas de nouvelles de leur fille, elle n'était pas rentrée à la maison, et le directeur avait signalé sa disparition à la police, tout comme les parents.
Ce matin-là, de bonne heure, le directeur voulut inspecter une dernière fois l'école. Peut-être était-elle encore quelque part dans l'établissement : dans les classes, les toilettes ou la cour. Tout en vérifiant la cour, il tourna la tête vers le mur aux briques rouges. Là, il eut un haut-le-cœur. Une petite coulée de sang s'échappait du mur et formait une mare.
Ce jour-là, la police fut appelée, et l'école fut fermée pendant une semaine pour permettre une récolte d'indices.
Mais jamais on ne retrouva Mélissa.
Il était une fois une petite fille de faible constitution, d'allure fragile, et assez petite pour son âge. Elle s'appelait Mélissa et elle était réputée pour s'endormir facilement à l'école, que ce soit en classe ou dans la cour, lors de la récréation. Un jour, alors qu'elle jouait avec ses amies pendant la longue récréation de la pause méridienne, elle fut prise d'une grande fatigue.
Elle signala donc à ses amies qu'elle allait faire une sieste, et celles-ci acquiescèrent, continuant de jouer. L'une d'elles lui dit qu'elles viendraient la chercher lorsqu'il serait temps de retourner en classe. Mélissa voulut se diriger vers un banc pour s'endormir, mais ils étaient tous pris. Elle s'adossa alors à un mur pour s'endormir.
Les amies de Mélissa continuèrent de jouer jusqu'à ce que la cloche sonne. En se préparant à retourner en classe, elles voulurent aller chercher Mélissa, mais elles ne la trouvèrent pas. L'une d'elles la chercha dans les toilettes des filles, mais elle ne la trouva pas non plus.
Elles se rangèrent donc par deux et signalèrent à la maîtresse qu'elles ne trouvaient pas Mélissa. La maîtresse demanda alors à tous les camarades de classe s'ils l'avaient aperçue, et l'un d'eux répondit que Mélissa s'était endormie contre le mur aux briques rouges, mais qu'elle n'était plus là où il l'avait vue.
La maîtresse alerta alors le directeur pour qu'ils puissent retrouver Mélissa.
Le lendemain, le directeur, se rendant à l'école, était assez agité. En effet, les parents de Mélissa n'avaient pas de nouvelles de leur fille, elle n'était pas rentrée à la maison, et le directeur avait signalé sa disparition à la police, tout comme les parents.
Ce matin-là, de bonne heure, le directeur voulut inspecter une dernière fois l'école. Peut-être était-elle encore quelque part dans l'établissement : dans les classes, les toilettes ou la cour. Tout en vérifiant la cour, il tourna la tête vers le mur aux briques rouges. Là, il eut un haut-le-cœur. Une petite coulée de sang s'échappait du mur et formait une mare.
Ce jour-là, la police fut appelée, et l'école fut fermée pendant une semaine pour permettre une récolte d'indices.
Mais jamais on ne retrouva Mélissa.
On vit dans une société
il y a 9 mois
D'accord donc , je vais raconter une histoire que j'ai déjà entendu, je me suis inspiré d'une rumeur que j'ai entendu dans mon ancienne école primaire
Il était une fois une petite fille de faible constitution, d'allure fragile, et assez petite pour son âge. Elle s'appelait Mélissa et elle était réputée pour s'endormir facilement à l'école, que ce soit en classe ou dans la cour, lors de la récréation. Un jour, alors qu'elle jouait avec ses amies pendant la longue récréation de la pause méridienne, elle fut prise d'une grande fatigue.
Elle signala donc à ses amies qu'elle allait faire une sieste, et celles-ci acquiescèrent, continuant de jouer. L'une d'elles lui dit qu'elles viendraient la chercher lorsqu'il serait temps de retourner en classe. Mélissa voulut se diriger vers un banc pour s'endormir, mais ils étaient tous pris. Elle s'adossa alors à un mur pour s'endormir.
Les amies de Mélissa continuèrent de jouer jusqu'à ce que la cloche sonne. En se préparant à retourner en classe, elles voulurent aller chercher Mélissa, mais elles ne la trouvèrent pas. L'une d'elles la chercha dans les toilettes des filles, mais elle ne la trouva pas non plus.
Elles se rangèrent donc par deux et signalèrent à la maîtresse qu'elles ne trouvaient pas Mélissa. La maîtresse demanda alors à tous les camarades de classe s'ils l'avaient aperçue, et l'un d'eux répondit que Mélissa s'était endormie contre le mur aux briques rouges, mais qu'elle n'était plus là où il l'avait vue.
La maîtresse alerta alors le directeur pour qu'ils puissent retrouver Mélissa.
Le lendemain, le directeur, se rendant à l'école, était assez agité. En effet, les parents de Mélissa n'avaient pas de nouvelles de leur fille, elle n'était pas rentrée à la maison, et le directeur avait signalé sa disparition à la police, tout comme les parents.
Ce matin-là, de bonne heure, le directeur voulut inspecter une dernière fois l'école. Peut-être était-elle encore quelque part dans l'établissement : dans les classes, les toilettes ou la cour. Tout en vérifiant la cour, il tourna la tête vers le mur aux briques rouges. Là, il eut un haut-le-cœur. Une petite coulée de sang s'échappait du mur et formait une mare.
Ce jour-là, la police fut appelée, et l'école fut fermée pendant une semaine pour permettre une récolte d'indices.
Mais jamais on ne retrouva Mélissa.
Il était une fois une petite fille de faible constitution, d'allure fragile, et assez petite pour son âge. Elle s'appelait Mélissa et elle était réputée pour s'endormir facilement à l'école, que ce soit en classe ou dans la cour, lors de la récréation. Un jour, alors qu'elle jouait avec ses amies pendant la longue récréation de la pause méridienne, elle fut prise d'une grande fatigue.
Elle signala donc à ses amies qu'elle allait faire une sieste, et celles-ci acquiescèrent, continuant de jouer. L'une d'elles lui dit qu'elles viendraient la chercher lorsqu'il serait temps de retourner en classe. Mélissa voulut se diriger vers un banc pour s'endormir, mais ils étaient tous pris. Elle s'adossa alors à un mur pour s'endormir.
Les amies de Mélissa continuèrent de jouer jusqu'à ce que la cloche sonne. En se préparant à retourner en classe, elles voulurent aller chercher Mélissa, mais elles ne la trouvèrent pas. L'une d'elles la chercha dans les toilettes des filles, mais elle ne la trouva pas non plus.
Elles se rangèrent donc par deux et signalèrent à la maîtresse qu'elles ne trouvaient pas Mélissa. La maîtresse demanda alors à tous les camarades de classe s'ils l'avaient aperçue, et l'un d'eux répondit que Mélissa s'était endormie contre le mur aux briques rouges, mais qu'elle n'était plus là où il l'avait vue.
La maîtresse alerta alors le directeur pour qu'ils puissent retrouver Mélissa.
Le lendemain, le directeur, se rendant à l'école, était assez agité. En effet, les parents de Mélissa n'avaient pas de nouvelles de leur fille, elle n'était pas rentrée à la maison, et le directeur avait signalé sa disparition à la police, tout comme les parents.
Ce matin-là, de bonne heure, le directeur voulut inspecter une dernière fois l'école. Peut-être était-elle encore quelque part dans l'établissement : dans les classes, les toilettes ou la cour. Tout en vérifiant la cour, il tourna la tête vers le mur aux briques rouges. Là, il eut un haut-le-cœur. Une petite coulée de sang s'échappait du mur et formait une mare.
Ce jour-là, la police fut appelée, et l'école fut fermée pendant une semaine pour permettre une récolte d'indices.
Mais jamais on ne retrouva Mélissa.
oh non pas les enfants
ᶻ 𝘇 𐰁
il y a 9 mois
avant l'histoire que je viens d'évoquer avec toi, j'étais intimement persuadée que rien de cela ne pouvait être possible
j'ai d'ailleurs toujours de gros doutes aujourd'hui, et tend à expliquer ça le plus rationnellement possible
mais je te mentirai si je te disais qu'on ne s'était pas posés des questions de type SURNATURELLES
j'ai d'ailleurs toujours de gros doutes aujourd'hui, et tend à expliquer ça le plus rationnellement possible
mais je te mentirai si je te disais qu'on ne s'était pas posés des questions de type SURNATURELLES
Ya juste des choses qu'on ne peut pas vraiment appréhendé, sans devenir fous je pense
Le cerveau il se fout en mode défense
il y a 9 mois
D'accord donc , je vais raconter une histoire que j'ai déjà entendu, je me suis inspiré d'une rumeur que j'ai entendu dans mon ancienne école primaire
Il était une fois une petite fille de faible constitution, d'allure fragile, et assez petite pour son âge. Elle s'appelait Mélissa et elle était réputée pour s'endormir facilement à l'école, que ce soit en classe ou dans la cour, lors de la récréation. Un jour, alors qu'elle jouait avec ses amies pendant la longue récréation de la pause méridienne, elle fut prise d'une grande fatigue.
Elle signala donc à ses amies qu'elle allait faire une sieste, et celles-ci acquiescèrent, continuant de jouer. L'une d'elles lui dit qu'elles viendraient la chercher lorsqu'il serait temps de retourner en classe. Mélissa voulut se diriger vers un banc pour s'endormir, mais ils étaient tous pris. Elle s'adossa alors à un mur pour s'endormir.
Les amies de Mélissa continuèrent de jouer jusqu'à ce que la cloche sonne. En se préparant à retourner en classe, elles voulurent aller chercher Mélissa, mais elles ne la trouvèrent pas. L'une d'elles la chercha dans les toilettes des filles, mais elle ne la trouva pas non plus.
Elles se rangèrent donc par deux et signalèrent à la maîtresse qu'elles ne trouvaient pas Mélissa. La maîtresse demanda alors à tous les camarades de classe s'ils l'avaient aperçue, et l'un d'eux répondit que Mélissa s'était endormie contre le mur aux briques rouges, mais qu'elle n'était plus là où il l'avait vue.
La maîtresse alerta alors le directeur pour qu'ils puissent retrouver Mélissa.
Le lendemain, le directeur, se rendant à l'école, était assez agité. En effet, les parents de Mélissa n'avaient pas de nouvelles de leur fille, elle n'était pas rentrée à la maison, et le directeur avait signalé sa disparition à la police, tout comme les parents.
Ce matin-là, de bonne heure, le directeur voulut inspecter une dernière fois l'école. Peut-être était-elle encore quelque part dans l'établissement : dans les classes, les toilettes ou la cour. Tout en vérifiant la cour, il tourna la tête vers le mur aux briques rouges. Là, il eut un haut-le-cœur. Une petite coulée de sang s'échappait du mur et formait une mare.
Ce jour-là, la police fut appelée, et l'école fut fermée pendant une semaine pour permettre une récolte d'indices.
Mais jamais on ne retrouva Mélissa.
Il était une fois une petite fille de faible constitution, d'allure fragile, et assez petite pour son âge. Elle s'appelait Mélissa et elle était réputée pour s'endormir facilement à l'école, que ce soit en classe ou dans la cour, lors de la récréation. Un jour, alors qu'elle jouait avec ses amies pendant la longue récréation de la pause méridienne, elle fut prise d'une grande fatigue.
Elle signala donc à ses amies qu'elle allait faire une sieste, et celles-ci acquiescèrent, continuant de jouer. L'une d'elles lui dit qu'elles viendraient la chercher lorsqu'il serait temps de retourner en classe. Mélissa voulut se diriger vers un banc pour s'endormir, mais ils étaient tous pris. Elle s'adossa alors à un mur pour s'endormir.
Les amies de Mélissa continuèrent de jouer jusqu'à ce que la cloche sonne. En se préparant à retourner en classe, elles voulurent aller chercher Mélissa, mais elles ne la trouvèrent pas. L'une d'elles la chercha dans les toilettes des filles, mais elle ne la trouva pas non plus.
Elles se rangèrent donc par deux et signalèrent à la maîtresse qu'elles ne trouvaient pas Mélissa. La maîtresse demanda alors à tous les camarades de classe s'ils l'avaient aperçue, et l'un d'eux répondit que Mélissa s'était endormie contre le mur aux briques rouges, mais qu'elle n'était plus là où il l'avait vue.
La maîtresse alerta alors le directeur pour qu'ils puissent retrouver Mélissa.
Le lendemain, le directeur, se rendant à l'école, était assez agité. En effet, les parents de Mélissa n'avaient pas de nouvelles de leur fille, elle n'était pas rentrée à la maison, et le directeur avait signalé sa disparition à la police, tout comme les parents.
Ce matin-là, de bonne heure, le directeur voulut inspecter une dernière fois l'école. Peut-être était-elle encore quelque part dans l'établissement : dans les classes, les toilettes ou la cour. Tout en vérifiant la cour, il tourna la tête vers le mur aux briques rouges. Là, il eut un haut-le-cœur. Une petite coulée de sang s'échappait du mur et formait une mare.
Ce jour-là, la police fut appelée, et l'école fut fermée pendant une semaine pour permettre une récolte d'indices.
Mais jamais on ne retrouva Mélissa.
il y a 9 mois
L'année dernière j'étais parti faire un tour dans les bois avec mon chien, après avoir marché une vingtaine de minutes je suis tombé sur les restes d'un feu avec des effigies païennes clouées aux arbres
D'ailleurs j'en ai même ramené une chez moi si ça vous intéresse
D'ailleurs j'en ai même ramené une chez moi si ça vous intéresse
post ou des dizaines de gosses vont venir te faire chier chez toi le jour d'halloween
il y a 9 mois
oh non pas les enfants
Ça fait peur mon histoire ?
On vit dans une société
il y a 9 mois
SordidePersonne
9 mois
L'année dernière j'étais parti faire un tour dans les bois avec mon chien, après avoir marché une vingtaine de minutes je suis tombé sur les restes d'un feu avec des effigies païennes clouées aux arbres
D'ailleurs j'en ai même ramené une chez moi si ça vous intéresse
D'ailleurs j'en ai même ramené une chez moi si ça vous intéresse
post ou des dizaines de gosses vont venir te faire chier chez toi le jour d'halloween
Blair Witch
il y a 9 mois
Ya juste des choses qu'on ne peut pas vraiment appréhendé, sans devenir fous je pense
Le cerveau il se fout en mode défense
et tout le monde qui te prend pour un foudingue lorsque t'en parles autour de toi
ᶻ 𝘇 𐰁
il y a 9 mois