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Le problème c'est pas un peu plus un peu mois, c'est le système par répartition
Ne pas comprendre ça c'est raisonner comme un gauchiste
meme le système par répartition ne serait pas un problème si l'argent public était pas dépense n'importe comment, tu supprime le sénat et les sénateurs qui coutent chacun 25000 euros par mois à la collectivité, tu luttes vraiment contre l'exil fiscal et les niches et y'a assez de fric pour règler les retraites de tout le monde sur 2000 ans
:Oopsi:
il y a 2 ans-PEMT
en fait c'est facile si on est pas low QI comme toi, suffit de comparer le livre sur le féminisme du S qui est sortie AVANT puis regarder celui du Z qui est sorti APRES et reprend exactement la meme analyse
:Crie:
Mais pauvre low, déjà au 19è siècle Nietzsche dénonçait la féminisation de la société, le confort qui adoucissait l'homme.
Énormément d'intellectuels écrivent sur ce thème depuis longtemps !

1er résultat dans Google, une thèse intitulée << La République et l’accès des femmes aux professions :
enjeux et controverses en France, des années 1870 aux
années 1930 >> :
hal.science https://hal.science/hal-01416193/document
C'est écrit par une féministe, mais osef, ça décrit la féminisation du travail, et explique les controverses que ça suscitait déjà au 19è siècle !

Soral n'a rien inventé à ce sujet !
Il n'impressionne que les descos incultes qui n'ont jamais lu les génies du passé !
:triggered:
il y a 2 ans-PEMT
Cocamax
Cocamax
2 ans
Dommage il outrepasse son propred domaine de connaissance pour partir sur comment sont faites en theorie les intelligence artificielle, ça dessère son propos
Sincèrement je ne comprend pas pourquoi tous les "penseurs" youtubeurs influenceurs ou autre se sentent obligés de faire les experts sur tous les sujets
Les experts en tout c'est ridicule on ne leur en voudra pas si ils restent dans les domaines qu'ils maitrisent réellement
il y a 2 ans
meme le système par répartition ne serait pas un problème si l'argent public était pas dépense n'importe comment, tu supprime le sénat et les sénateurs qui coutent chacun 25000 euros par mois à la collectivité, tu luttes vraiment contre l'exil fiscal et les niches et y'a assez de fric pour règler les retraites de tout le monde sur 2000 ans
:Oopsi:
Voilà ça c'est de la bonne pensée gauchiste comme on aime. Ce que tu proposes ou bien est dérisoire ou bien sera inopérant car 1) l'Etat est par nature mal géré 2) les acteur économiques créateurs de richesse vont se barrer 3) si tu les empêches de se barrer ils vont arrêter de travailler
il y a 2 ans
"zemmourien"
:jesus_moqueur:
Rien sur le fond de mon commentaire ! Forcément, tu n'as pas le niveau !
:bouais:

Retourne dans ton topic de low sur la conférence de presse sur Mbappé ! Putain le niveau !
:triggered:
il y a 2 ans
Mais pauvre low, déjà au 19è siècle Nietzsche dénonçait la féminisation de la société, le confort qui adoucissait l'homme.
Énormément d'intellectuels écrivent sur ce thème depuis longtemps !

1er résultat dans Google, une thèse intitulée << La République et l’accès des femmes aux professions :
enjeux et controverses en France, des années 1870 aux
années 1930 >> :
hal.science https://hal.science/hal-01416193/document
C'est écrit par une féministe, mais osef, ça décrit la féminisation du travail, et explique les controverses que ça suscitait déjà au 19è siècle !

Soral n'a rien inventé à ce sujet !
Il n'impressionne que les descos incultes qui n'ont jamais lu les génies du passé !
:triggered:
donc si le S n'a rien inventé et que le Z a plagié un livre du S on peut dire que le Z est un sous-etre ?
:Mouais_Jesus:
il y a 2 ans
Sincèrement je ne comprend pas pourquoi tous les "penseurs" youtubeurs influenceurs ou autre se sentent obligés de faire les experts sur tous les sujets
Les experts en tout c'est ridicule on ne leur en voudra pas si ils restent dans les domaines qu'ils maitrisent réellement
pourtant les US ont bien le FISC le plus déter du monde descolin, ils pourchassent leurs ressortissants qui se barrent à l'étranger pour qu'ils payent ce qu'ils doivent à l'état américain, mais nous on pourrait pas on est trop des low c'est ça?
:journal:
il y a 2 ans
Depuis 10 ans je suis la boxe
J'ai longtemps défendu Tony Yoka
Mais la y'a rien à dire Soral a raison Yoka est mauvais ptn
il y a 2 ans
donc si le S n'a rien inventé et que le Z a plagié un livre du S on peut dire que le Z est un sous-etre ?
:Mouais_Jesus:
Zemmour n'a plagié que dans vos cervelles de lows qui croient que l'analyse de la féminisation de la société commence avec Soral !
Ça date du 19è siècle le low ! Même des députés dénonçaient la féminisation des professions à l'Assemblée Nationale il y a plus d'un siècle !
:bouais:
il y a 2 ans
pourtant les US ont bien le FISC le plus déter du monde descolin, ils pourchassent leurs ressortissants qui se barrent à l'étranger pour qu'ils payent ce qu'ils doivent à l'état américain, mais nous on pourrait pas on est trop des low c'est ça?
:journal:
On a pas le système SWIFT ni le dollar ont ne peut pas extra-territorialiser notre droit comme les USA
:Philippot:
il y a 2 ans
donc si le S n'a rien inventé et que le Z a plagié un livre du S on peut dire que le Z est un sous-etre ?
:Mouais_Jesus:
En 1949, à la sortie du célèbre ouvre de Simone de Beauvoir, de nombreux intellectuels analysent et attaquent son livre féministe :

fr.wikipedia.org https://fr.wikipedia.org/[...]iki/Le_Deuxi%C3%A8me_Sexe

<< Scandale dans l'espace public : les réactions des intellectuels

Les intellectuels et les critiques firent éclater un scandale. Nombre d'articles furent publiés. Ils sont regroupés dans l'ouvrage d'Ingrid Galster et témoignent du climat régnant à la parution du livre et dans les mois qui suivirent. Sur 35 articles, 23 sont négatifs et concernent les intellectuels de droite, les catholiques, les protestants mais également les communistes.

Au vu du contexte décrit plus haut, trois raisons peuvent venir justifier ces critiques négatives :

Idéologie politique et religieuse : la droite défend les valeurs traditionnelles et patriotiques incarnées par la famille contre l'individualisme existentialiste. On retrouve chez nombreux d'entre l'argument naturaliste fortement combattu par Simone de Beauvoir. La femme aurait une vocation (reproductrice) à respecter. Du côté des catholiques comme du côté des communistes, Le Deuxième Sexe est considéré comme le produit de la littérature bourgeoise décadente, immorale, pornographique, issue de la culture de masse américaine. Beauvoir de son côté prône le contrôle des naissances et l'avortement et réagit violemment à l'hypocrisie morale de la société française face à ces sujets.
Inimitiés envers Sartre et Beauvoir, haine envers l'existentialisme ou encore défense d'Henry de Montherlant critiqué dans le livre (Roger Nimier, Maryse Choisy par exemple).
Convictions personnelles (vision très traditionnelle des rôles des femmes et des hommes dans la société).

En France, les critiques négatives vinrent surtout des catholiques et des communistes : les premiers, parmi lesquels l’écrivain François Mauriac, virent d’un très mauvais œil les analyses de la sexualité féminine ainsi que la défense des femmes (Le Deuxième sexe fut classé dans l'Index librorum prohibitorum, la liste des livres interdits par l'Église catholique, qui existait jusqu'en 1966) ; les seconds jugèrent l’œuvre bourgeoise et condamnèrent la revendication de l’avortement et de la contraception, qui selon eux ne devaient pas passer avant les droits de la travailleuse. Marie-Louise Barron dans l'hebdomadaire communiste Les Lettres françaises du 23 juin 1949 se moque ainsi du « charabia » incompréhensible de la philosophe imaginant la réception du livre par des ouvriers ou des ouvrières. Jeannette Colombel, dans La Nouvelle Critique, revue du Parti communiste français, soulignera en avril 1951 que l'ennemi n'est pas le mâle, mais le capitalisme. Selon elle, analyser « les réactions de la petite-bourgeoisie à travers les miroirs déformants d'une philosophie de la nausée », c'est, en réalité, mépriser le deuxième sexe. Le refus de la maternité comme destin inéluctable « manifeste à quel point l'existentialiste, recroquevillée dans un individualisme monstrueux, est incapable de connaître le sentiment le plus naturel à toutes les femmes ». Jean Kanapa, intellectuel dirigeant du Parti communiste français et ancien élève de Sartre, dénonce « la basse description graveleuse, l'ordure qui soulève le cœur ».

Le contexte en général explique cette hostilité : en 1949, la France entamait une politique nataliste et jamais la question de l’égalité des sexes n’avait jusqu’alors intéressé réellement les écrivains et les intellectuels. Beauvoir pensait par ailleurs qu’avec la popularisation de la psychanalyse, des chapitres tels que « L’initiation sexuelle » ou « La lesbienne », seraient compris ; elle se méprit. Enfin à travers la critique du Deuxième Sexe était attaquée Beauvoir compagne de Sartre et représentante de l’existentialisme.

Hors de France, les réactions furent diverses. Beaucoup de pays catholiques rejetèrent l'essai : l'Espagne franquiste la censura (il fallut attendre une première traduction espagnole en 1962, en provenance d'Argentine) ; au Québec et en RDA, le livre fut longtemps difficile à trouver. Les pays protestants furent plus ouverts, comme la RFA, où 14 000 exemplaires furent écoulés dès 1956. Le Deuxième Sexe fut traduit surtout en allemand, en anglais et en japonais. Mais au début, ces traductions ne portaient souvent que sur des extraits ou comportaient des erreurs gênantes. Un regain d'intérêt, lié aux crises, au libéralisme, à la dégradation de la condition féminine[réf. nécessaire], se dessina dans les années 1970, avec des traductions russe, perse, japonaise, etc. L'influence du Deuxième Sexe sur les mouvements féministes des années 1950 et des années 1960 fut certaine puis, malgré l’engagement de Beauvoir, s’atténua dans les années 1970 avec l’arrivée d’autres féministes.

Dans les années 1980, Beauvoir et son œuvre subirent les foudres de nombreux critiques à cause de la découverte de ses correspondances et de sa vie privée[réf. nécessaire]. Depuis la fin des années 1990, Le Deuxième Sexe intéresse de nouveau[réf. nécessaire]. Contrairement aux idées reçues, c'est bien en France que les premiers travaux analysant l'œuvre ont été écrits ; mais il est vrai qu'aujourd’hui l’essai est plus étudié aux États-Unis, en Grande-Bretagne et dans les pays scandinaves qu’en France. Le Deuxième Sexe reste une référence de la philosophie féministe ; il s’est vendu en France à environ 500 000 exemplaires, acquérant ainsi un statut de best-seller. >>


Hé oui le low, les intellectuels n'ont pas attendu Soral pour penser ! Faut le savoir, hein !
:triggered:
il y a 2 ans
En 1949, à la sortie du célèbre ouvre de Simone de Beauvoir, de nombreux intellectuels analysent et attaquent son livre féministe :

fr.wikipedia.org https://fr.wikipedia.org/[...]iki/Le_Deuxi%C3%A8me_Sexe

<< Scandale dans l'espace public : les réactions des intellectuels

Les intellectuels et les critiques firent éclater un scandale. Nombre d'articles furent publiés. Ils sont regroupés dans l'ouvrage d'Ingrid Galster et témoignent du climat régnant à la parution du livre et dans les mois qui suivirent. Sur 35 articles, 23 sont négatifs et concernent les intellectuels de droite, les catholiques, les protestants mais également les communistes.

Au vu du contexte décrit plus haut, trois raisons peuvent venir justifier ces critiques négatives :

Idéologie politique et religieuse : la droite défend les valeurs traditionnelles et patriotiques incarnées par la famille contre l'individualisme existentialiste. On retrouve chez nombreux d'entre l'argument naturaliste fortement combattu par Simone de Beauvoir. La femme aurait une vocation (reproductrice) à respecter. Du côté des catholiques comme du côté des communistes, Le Deuxième Sexe est considéré comme le produit de la littérature bourgeoise décadente, immorale, pornographique, issue de la culture de masse américaine. Beauvoir de son côté prône le contrôle des naissances et l'avortement et réagit violemment à l'hypocrisie morale de la société française face à ces sujets.
Inimitiés envers Sartre et Beauvoir, haine envers l'existentialisme ou encore défense d'Henry de Montherlant critiqué dans le livre (Roger Nimier, Maryse Choisy par exemple).
Convictions personnelles (vision très traditionnelle des rôles des femmes et des hommes dans la société).

En France, les critiques négatives vinrent surtout des catholiques et des communistes : les premiers, parmi lesquels l’écrivain François Mauriac, virent d’un très mauvais œil les analyses de la sexualité féminine ainsi que la défense des femmes (Le Deuxième sexe fut classé dans l'Index librorum prohibitorum, la liste des livres interdits par l'Église catholique, qui existait jusqu'en 1966) ; les seconds jugèrent l’œuvre bourgeoise et condamnèrent la revendication de l’avortement et de la contraception, qui selon eux ne devaient pas passer avant les droits de la travailleuse. Marie-Louise Barron dans l'hebdomadaire communiste Les Lettres françaises du 23 juin 1949 se moque ainsi du « charabia » incompréhensible de la philosophe imaginant la réception du livre par des ouvriers ou des ouvrières. Jeannette Colombel, dans La Nouvelle Critique, revue du Parti communiste français, soulignera en avril 1951 que l'ennemi n'est pas le mâle, mais le capitalisme. Selon elle, analyser « les réactions de la petite-bourgeoisie à travers les miroirs déformants d'une philosophie de la nausée », c'est, en réalité, mépriser le deuxième sexe. Le refus de la maternité comme destin inéluctable « manifeste à quel point l'existentialiste, recroquevillée dans un individualisme monstrueux, est incapable de connaître le sentiment le plus naturel à toutes les femmes ». Jean Kanapa, intellectuel dirigeant du Parti communiste français et ancien élève de Sartre, dénonce « la basse description graveleuse, l'ordure qui soulève le cœur ».

Le contexte en général explique cette hostilité : en 1949, la France entamait une politique nataliste et jamais la question de l’égalité des sexes n’avait jusqu’alors intéressé réellement les écrivains et les intellectuels. Beauvoir pensait par ailleurs qu’avec la popularisation de la psychanalyse, des chapitres tels que « L’initiation sexuelle » ou « La lesbienne », seraient compris ; elle se méprit. Enfin à travers la critique du Deuxième Sexe était attaquée Beauvoir compagne de Sartre et représentante de l’existentialisme.

Hors de France, les réactions furent diverses. Beaucoup de pays catholiques rejetèrent l'essai : l'Espagne franquiste la censura (il fallut attendre une première traduction espagnole en 1962, en provenance d'Argentine) ; au Québec et en RDA, le livre fut longtemps difficile à trouver. Les pays protestants furent plus ouverts, comme la RFA, où 14 000 exemplaires furent écoulés dès 1956. Le Deuxième Sexe fut traduit surtout en allemand, en anglais et en japonais. Mais au début, ces traductions ne portaient souvent que sur des extraits ou comportaient des erreurs gênantes. Un regain d'intérêt, lié aux crises, au libéralisme, à la dégradation de la condition féminine[réf. nécessaire], se dessina dans les années 1970, avec des traductions russe, perse, japonaise, etc. L'influence du Deuxième Sexe sur les mouvements féministes des années 1950 et des années 1960 fut certaine puis, malgré l’engagement de Beauvoir, s’atténua dans les années 1970 avec l’arrivée d’autres féministes.

Dans les années 1980, Beauvoir et son œuvre subirent les foudres de nombreux critiques à cause de la découverte de ses correspondances et de sa vie privée[réf. nécessaire]. Depuis la fin des années 1990, Le Deuxième Sexe intéresse de nouveau[réf. nécessaire]. Contrairement aux idées reçues, c'est bien en France que les premiers travaux analysant l'œuvre ont été écrits ; mais il est vrai qu'aujourd’hui l’essai est plus étudié aux États-Unis, en Grande-Bretagne et dans les pays scandinaves qu’en France. Le Deuxième Sexe reste une référence de la philosophie féministe ; il s’est vendu en France à environ 500 000 exemplaires, acquérant ainsi un statut de best-seller. >>


Hé oui le low, les intellectuels n'ont pas attendu Soral pour penser ! Faut le savoir, hein !
:triggered:
Par contre le logos de Soral > le logos insipide de Zemmour en dépit des conneries et erreurs qu'ils profèrent tous les deux assez régulièrement
:Philippot:
il y a 2 ans
Par contre le logos de Soral > le logos insipide de Zemmour en dépit des conneries et erreurs qu'ils profèrent tous les deux assez régulièrement
:Philippot:
merci de le reconnaitre
:risibo:
il y a 2 ans
Merci pour la dose de logos, tres curieux d'entendre ce qu'il dit sur l'IA
:shill:
Putain CobideSuede est parmi nous
:ouch:


L'élite - la vraie - est sur Onche
:ouch:


:ayaa:
il y a 2 ans
En 1949, à la sortie du célèbre ouvre de Simone de Beauvoir, de nombreux intellectuels analysent et attaquent son livre féministe :

fr.wikipedia.org https://fr.wikipedia.org/[...]iki/Le_Deuxi%C3%A8me_Sexe

<< Scandale dans l'espace public : les réactions des intellectuels

Les intellectuels et les critiques firent éclater un scandale. Nombre d'articles furent publiés. Ils sont regroupés dans l'ouvrage d'Ingrid Galster et témoignent du climat régnant à la parution du livre et dans les mois qui suivirent. Sur 35 articles, 23 sont négatifs et concernent les intellectuels de droite, les catholiques, les protestants mais également les communistes.

Au vu du contexte décrit plus haut, trois raisons peuvent venir justifier ces critiques négatives :

Idéologie politique et religieuse : la droite défend les valeurs traditionnelles et patriotiques incarnées par la famille contre l'individualisme existentialiste. On retrouve chez nombreux d'entre l'argument naturaliste fortement combattu par Simone de Beauvoir. La femme aurait une vocation (reproductrice) à respecter. Du côté des catholiques comme du côté des communistes, Le Deuxième Sexe est considéré comme le produit de la littérature bourgeoise décadente, immorale, pornographique, issue de la culture de masse américaine. Beauvoir de son côté prône le contrôle des naissances et l'avortement et réagit violemment à l'hypocrisie morale de la société française face à ces sujets.
Inimitiés envers Sartre et Beauvoir, haine envers l'existentialisme ou encore défense d'Henry de Montherlant critiqué dans le livre (Roger Nimier, Maryse Choisy par exemple).
Convictions personnelles (vision très traditionnelle des rôles des femmes et des hommes dans la société).

En France, les critiques négatives vinrent surtout des catholiques et des communistes : les premiers, parmi lesquels l’écrivain François Mauriac, virent d’un très mauvais œil les analyses de la sexualité féminine ainsi que la défense des femmes (Le Deuxième sexe fut classé dans l'Index librorum prohibitorum, la liste des livres interdits par l'Église catholique, qui existait jusqu'en 1966) ; les seconds jugèrent l’œuvre bourgeoise et condamnèrent la revendication de l’avortement et de la contraception, qui selon eux ne devaient pas passer avant les droits de la travailleuse. Marie-Louise Barron dans l'hebdomadaire communiste Les Lettres françaises du 23 juin 1949 se moque ainsi du « charabia » incompréhensible de la philosophe imaginant la réception du livre par des ouvriers ou des ouvrières. Jeannette Colombel, dans La Nouvelle Critique, revue du Parti communiste français, soulignera en avril 1951 que l'ennemi n'est pas le mâle, mais le capitalisme. Selon elle, analyser « les réactions de la petite-bourgeoisie à travers les miroirs déformants d'une philosophie de la nausée », c'est, en réalité, mépriser le deuxième sexe. Le refus de la maternité comme destin inéluctable « manifeste à quel point l'existentialiste, recroquevillée dans un individualisme monstrueux, est incapable de connaître le sentiment le plus naturel à toutes les femmes ». Jean Kanapa, intellectuel dirigeant du Parti communiste français et ancien élève de Sartre, dénonce « la basse description graveleuse, l'ordure qui soulève le cœur ».

Le contexte en général explique cette hostilité : en 1949, la France entamait une politique nataliste et jamais la question de l’égalité des sexes n’avait jusqu’alors intéressé réellement les écrivains et les intellectuels. Beauvoir pensait par ailleurs qu’avec la popularisation de la psychanalyse, des chapitres tels que « L’initiation sexuelle » ou « La lesbienne », seraient compris ; elle se méprit. Enfin à travers la critique du Deuxième Sexe était attaquée Beauvoir compagne de Sartre et représentante de l’existentialisme.

Hors de France, les réactions furent diverses. Beaucoup de pays catholiques rejetèrent l'essai : l'Espagne franquiste la censura (il fallut attendre une première traduction espagnole en 1962, en provenance d'Argentine) ; au Québec et en RDA, le livre fut longtemps difficile à trouver. Les pays protestants furent plus ouverts, comme la RFA, où 14 000 exemplaires furent écoulés dès 1956. Le Deuxième Sexe fut traduit surtout en allemand, en anglais et en japonais. Mais au début, ces traductions ne portaient souvent que sur des extraits ou comportaient des erreurs gênantes. Un regain d'intérêt, lié aux crises, au libéralisme, à la dégradation de la condition féminine[réf. nécessaire], se dessina dans les années 1970, avec des traductions russe, perse, japonaise, etc. L'influence du Deuxième Sexe sur les mouvements féministes des années 1950 et des années 1960 fut certaine puis, malgré l’engagement de Beauvoir, s’atténua dans les années 1970 avec l’arrivée d’autres féministes.

Dans les années 1980, Beauvoir et son œuvre subirent les foudres de nombreux critiques à cause de la découverte de ses correspondances et de sa vie privée[réf. nécessaire]. Depuis la fin des années 1990, Le Deuxième Sexe intéresse de nouveau[réf. nécessaire]. Contrairement aux idées reçues, c'est bien en France que les premiers travaux analysant l'œuvre ont été écrits ; mais il est vrai qu'aujourd’hui l’essai est plus étudié aux États-Unis, en Grande-Bretagne et dans les pays scandinaves qu’en France. Le Deuxième Sexe reste une référence de la philosophie féministe ; il s’est vendu en France à environ 500 000 exemplaires, acquérant ainsi un statut de best-seller. >>


Hé oui le low, les intellectuels n'ont pas attendu Soral pour penser ! Faut le savoir, hein !
:triggered:
Arrête de spammer Shlomo, personne te prend au sérieux ici.

SORAL > ton couscous boulettes algérien de 53 kg.

:Ronaldo_paille:
il y a 2 ans
merci mon khey pour le lien
:risibo:
il y a 2 ans
merci de le reconnaitre
:risibo:
Khey je ne suis pas toujours d'accord avec tout ce que Soral dit mais il reste le maitre du Logos, il est éloquent et percutant, toujours agréable à écouter
:Philippot:
il y a 2 ans
Truie
Truie
2 ans
Arrête de spammer Shlomo, personne te prend au sérieux ici.

SORAL > ton couscous boulettes algérien de 53 kg.

:Ronaldo_paille:
AHI
:DanceParty:
il y a 2 ans
Merci khey je vais m'écouter ça en dépit des ragix natio du forum dont l'action la plus brave du jour a été de chier la porte ouverte.
il y a 2 ans
Merci khey je vais m'écouter ça en dépit des ragix natio du forum dont l'action la plus brave du jour a été de chier la porte ouverte.
À venir, leurs topics "notez mon caca sur 10"

il y a 2 ans