Je pensais qu'ils étaient juste très cons puis j'ai remarqué qu'ils s'amusaient, en parfaite connaissance de cause, à tronquer les textes pour les détourner de leur sens initial ; ce sont donc moins des attardés que de vicieux mythomanes
Le présent topic traitera du torchon Bréviaire de combat (/bot @Torquemada) mais ces inepties sont repris par toute la fourmilière chiassmatique
I. LE CULTE DE L'HOMME
https://breviairedecombat[...]ress.com/culte-de-lhomme/
Les citations suivantes sont censées montrer que le saint concile Vatican II « substitue » l'homme à Dieu.
Le texte ne dit rien d'autre que l'homme est le sommet de la création et que le respect de sa dignité est primordial (c'est le nom du chapitre) ; c'est ce qui ressort du récit génésiaque (1, 26) et du catéchisme de saint Pie X : « La créature la plus noble que Dieu ait mise sur la terre est l’homme. » Voir également La Création de l'homme de saint Grégoire de Nysse. Tout le chapitre explique graduellement les causes de la grandeur de l'homme jusqu'au point primordial, Dieu. Nous y reviendrons à la toute fin.
Mensonge par omission : ce n'est pas le saint Pape Jean-Paul II mais le cardinal Wojtyla qui s'exprime en 1976. Inutile donc de rentrer dans le détail car 1) ce texte n'engage pas l'Église 2) l'ouvrage est introuvable sur internet pour connaître le contexte.
Mise à jour 27/02/25 J'AI ACHETÉ LE LIVRE REGARDEZ PAGE 2
Le discours de clôture du sanctissimum concilium !
Regardez ce que ces insignes chiures ont coupé :
Chiens de l'enfer !
Le texte n'encense pas mais déplore les vices de l'homme moderne auquels fut confronté le concile et les innommables putes — nommons-les — de Bréviaire de combat se gardent bien de le dire. Oui, le concile fut résolument tourné vers l'homme, mais comme moyen d'accès à Dieu et certainement pas pour l'en détacher. À ce titre, saint Paul VI développe : « L'Église se penche sur l'homme et sur la terre, mais c'est vers le royaume de Dieu que son élan la porte. [...] Aimer l'homme, disons-Nous, non pas comme un simple moyen, mais comme un premier terme dans la montée vers le terme suprême et transcendant. Et alors, le Concile tout entier se résume finalement dans cette conclusion religieuse : il n'est pas autre chose qu'un appel amical et pressant qui convie l'humanité à retrouver, par la voie de l'amour fraternel, ce Dieu dont on a pu dire : S'éloigner de lui, c'est périr ; se tourner vers lui, c'est ressusciter ; demeurer en lui, c'est être inébranlable... ; retourner à lui, c'est renaître ; habiter en lui, c'est vivre (saint Augustin). »
Regardez ce qu'ils ont encore coupé : « Le premier mensonge, la fausseté fondamentale, est de ne pas croire en l'homme, en l'homme dans tout son potentiel de grandeur mais aussi dans son besoin de rédemption du mal et du péché qui est en lui. »
CES TUBES À CROTTE NE TERMINENT MÊME PAS LA PHRASE JE VAIS DEVENIR ZINZIN
Paul VI dit que l'homme est « aujourd'hui » prince du ciel car... c'est un discours sur la conquête spatiale
https://www.vatican.va/co[...]hf_p-vi_ang_19710207.html
ENCULÉS D'ATTARDÉS SÉDÉVACS À CHAQUE PUTAIN DE FOIS
SATANIQUES FOSSES À CHIOTTES DU PRINCE DES DÉMONS, PUSTULES DU CUL DE JUDAS
Tient, tout à coup on n'utilise plus le nom de Pape. Citation complète : « Aux yeux de Dieu, nous sommes la chose la plus belle, la plus grande, la meilleure de la création : les anges aussi sont au-dessous de nous, nous sommes plus que les anges, comme nous l’avons entendu dans le livre des Psaumes. Le Seigneur nous aime ! Nous devons lui rendre grâce pour cela »
Pris absolument dans sa condition mortelle, l'homme n'est évidemment pas supérieur aux anges ; mais dans sa dignité en tant que participant du corps de Jésus-Christ sauvé par la Rédemption, il y a un mystère qui le rend singulier et en quelque sorte supérieur à la créature angélique : c'est ce que disent saint Léon le Grand et saint Maxime le Confesseur
https://catholicexchange.[...]he-angels-and-archangels/
Au fond, n'est-ce pas le sempiternel Dieu s'est fait homme pour que l'homme se fasse Dieu ? Quoi qu'il en soit, Sa Sainteté glorifie Dieu qui a élevé l'homme ; on voit donc mal en quoi il s'agit d'une substitution de celui-ci à Celui-là.
Le présent topic traitera du torchon Bréviaire de combat (/bot @Torquemada) mais ces inepties sont repris par toute la fourmilière chiassmatique
I. LE CULTE DE L'HOMME
https://breviairedecombat[...]ress.com/culte-de-lhomme/Les citations suivantes sont censées montrer que le saint concile Vatican II « substitue » l'homme à Dieu.
Paul VI, Gaudium et Spes (Encyclique)
« Croyants et incroyants sont généralement d’accord sur ce point : tout sur terre doit être ordonné à l’homme comme à son centre et à son sommet. »
« Croyants et incroyants sont généralement d’accord sur ce point : tout sur terre doit être ordonné à l’homme comme à son centre et à son sommet. »
Jean-Paul II, Le Signe de la Contradiction (Page 46)
« Nous devons à la place de l’amour de Dieu reconnaître l’amour de l’homme comme l’unique et véritable religion : à la place de la foi, un Dieu propagea la foi de l’homme en lui-même, en ses propres forces, etc.
« Nous devons à la place de l’amour de Dieu reconnaître l’amour de l’homme comme l’unique et véritable religion : à la place de la foi, un Dieu propagea la foi de l’homme en lui-même, en ses propres forces, etc.
Mise à jour 27/02/25 J'AI ACHETÉ LE LIVRE REGARDEZ PAGE 2
Paul VI, Homélie (7 décembre 1965)
« L’Église du Concile, il est vrai, s’est beaucoup occupée de l’homme, de l’homme tel qu’en réalité il se présente à notre époque, l’homme vivant, l’homme tout entier occupé de soi, l’homme qui se fait non seulement le centre de tout ce qui l’intéresse, mais qui ose se prétendre le principe et la raison dernière de toute réalité. […]
Reconnaissez-lui au moins ce mérite, vous, humanistes modernes, qui renoncez à la transcendance des choses suprêmes, et sachez reconnaître notre nouvel humanisme : nous aussi, nous plus que quiconque, nous avons le culte de l’homme ».
« L’Église du Concile, il est vrai, s’est beaucoup occupée de l’homme, de l’homme tel qu’en réalité il se présente à notre époque, l’homme vivant, l’homme tout entier occupé de soi, l’homme qui se fait non seulement le centre de tout ce qui l’intéresse, mais qui ose se prétendre le principe et la raison dernière de toute réalité. […]
Reconnaissez-lui au moins ce mérite, vous, humanistes modernes, qui renoncez à la transcendance des choses suprêmes, et sachez reconnaître notre nouvel humanisme : nous aussi, nous plus que quiconque, nous avons le culte de l’homme ».
« L'Église du Concile, il est vrai, ne s'est pas contentée de réfléchir sur sa propre nature et sur les rapports qui l'unissent à Dieu : elle s'est aussi beaucoup occupée de l'homme, de l'homme tel qu'en réalité il se présente à notre époque : l'homme vivant, l'homme tout entier occupé de soi, l'homme qui se fait non seulement le centre de tout ce qui l'intéresse, mais qui ose se prétendre le principe et la raison dernière de toute réalité. Tout l'homme phénoménal, comme on dit de nos jours, c'est-à-dire avec le revêtement de ses innombrables apparences, s'est comme dressé devant l'Assemblée des Pères conciliaires, des hommes, eux aussi, tous pasteurs et frères, attentifs donc et aimants : l'homme tragique victime de ses propres drames, l'homme qui, hier et aujourd'hui, cherche à se mettre au-dessus des autres, et qui, à cause de cela, est toujours fragile et faux, égoïste et féroce; puis l'homme insatisfait de soi, qui rit et qui pleure ; l'homme versatile, prêt à jouer n'importe quel rôle, et l'homme raide qui ne croit qu'à la seule réalité scientifique; l'homme tel qu'Il est, qui pense, qui aime, qui travaille, qui attend toujours quelque chose, «l'enfant qui grandit» (Gen., 49, 22), et l'homme qu'on doit considérer avec une certaine vénération à cause de l'innocence de son enfance, le mystère de sa pauvreté et sa douleur pitoyable ; l'homme individualiste et l'homme social ; l'homme, « qui loue le temps passé » et l'homme qui rêve à l'avenir ; l'homme pécheur et l'homme saint ; et ainsi de suite. L'humanisme laïque et profane enfin est apparu dans sa terrible stature et a, en un certain sens, défié le Concile. La religion du Dieu qui s'est fait homme s'est rencontrée avec la religion (car c'en est une) de l'homme qui se fait Dieu. » 
https://archivesweb.cef.f[...]urs_cloture_vaticanii.pdf
Chiens de l'enfer !
Jean-Paul II, Message (1 janvier 1980)
« Le premier mensonge, la fausseté fondamentale est de ne pas croire en l’homme. »
« Le premier mensonge, la fausseté fondamentale est de ne pas croire en l’homme. »
CES TUBES À CROTTE NE TERMINENT MÊME PAS LA PHRASE JE VAIS DEVENIR ZINZIN
Paul VI, Angélus (7 février 1971)
« Honneur à l’homme, honneur à la pensée, honneur à la science, honneur à la technique, honneur au travail, honneur à la hardiesse humaine ; honneur à la synthèse de l’activité scientifique et du sens de l’organisation de l’homme qui, à la différence des autres animaux, sait donner à son et à son habileté manuelle des instruments de conquête ; honneur à l’homme, roi de la terre et aujourd’hui prince du ciel. »
« Honneur à l’homme, honneur à la pensée, honneur à la science, honneur à la technique, honneur au travail, honneur à la hardiesse humaine ; honneur à la synthèse de l’activité scientifique et du sens de l’organisation de l’homme qui, à la différence des autres animaux, sait donner à son et à son habileté manuelle des instruments de conquête ; honneur à l’homme, roi de la terre et aujourd’hui prince du ciel. »
ENCULÉS D'ATTARDÉS SÉDÉVACS À CHAQUE PUTAIN DE FOIS
SATANIQUES FOSSES À CHIOTTES DU PRINCE DES DÉMONS, PUSTULES DU CUL DE JUDAS
Jose Bergoglio, Audience générale (21 mai 2014)
« Aux yeux de Dieu, nous sommes la chose la plus belle, la plus grande, la meilleure de la création : les anges aussi sont au-dessous de nous, nous sommes plus que les anges. »
« Aux yeux de Dieu, nous sommes la chose la plus belle, la plus grande, la meilleure de la création : les anges aussi sont au-dessous de nous, nous sommes plus que les anges. »
Pris absolument dans sa condition mortelle, l'homme n'est évidemment pas supérieur aux anges ; mais dans sa dignité en tant que participant du corps de Jésus-Christ sauvé par la Rédemption, il y a un mystère qui le rend singulier et en quelque sorte supérieur à la créature angélique : c'est ce que disent saint Léon le Grand et saint Maxime le Confesseur
Au fond, n'est-ce pas le sempiternel Dieu s'est fait homme pour que l'homme se fasse Dieu ? Quoi qu'il en soit, Sa Sainteté glorifie Dieu qui a élevé l'homme ; on voit donc mal en quoi il s'agit d'une substitution de celui-ci à Celui-là.
Jean-Paul II, Ut Unum Sint (Encyclique)
« La disposition au dialogue se situe au niveau de la nature de la personne et de sa dignité. Du point de vue philosophique, une telle position se rattache à la vérité chrétienne exprimée par le Concile sur l’homme : en effet, il est la « seule créature sur terre que Dieu a voulue pour elle-même » ; l’homme ne peut donc « pleinement se trouver que par le don désintéressé de lui-même ». Le dialogue est un passage obligé sur le chemin à parcourir vers l’accomplissement de l’homme par lui-même, de l’individu de même que de toute communauté humaine. Bien que le concept de dialogue semble mettre au premier plan le moment cognitif (dialogos), tout dialogue comporte de soi une dimension globale et existentielle. Le sujet humain tout entier y est impliqué ; le dialogue entre les communautés engage de manière particulière en chacune d’elles sa qualité de sujet. »
« La disposition au dialogue se situe au niveau de la nature de la personne et de sa dignité. Du point de vue philosophique, une telle position se rattache à la vérité chrétienne exprimée par le Concile sur l’homme : en effet, il est la « seule créature sur terre que Dieu a voulue pour elle-même » ; l’homme ne peut donc « pleinement se trouver que par le don désintéressé de lui-même ». Le dialogue est un passage obligé sur le chemin à parcourir vers l’accomplissement de l’homme par lui-même, de l’individu de même que de toute communauté humaine. Bien que le concept de dialogue semble mettre au premier plan le moment cognitif (dialogos), tout dialogue comporte de soi une dimension globale et existentielle. Le sujet humain tout entier y est impliqué ; le dialogue entre les communautés engage de manière particulière en chacune d’elles sa qualité de sujet. »
Le rapport avec « le conffile ffuffbfftitue l'homme à Dieu » ?
AUCUN SALE PUANT VIRTUEL
Paul VI , Audience (28 juillet 1971)
« La dignité de l’homme ! Nous ne serons jamais en mesure de l’apprécier et de l’honorer en suffisance. »
« La dignité de l’homme ! Nous ne serons jamais en mesure de l’apprécier et de l’honorer en suffisance. »
Daniel Raffard de Brienne, L’envers des droits de l’homme (Pages 361-362)
« Désormais tout sera fondé sur la dignité de l’homme, une dignité qui n’est plus due à sa vocation surnaturelle et à sa Rédemption par le Christ, mais à sa nature temporelle qui est, on le sait, une nature déchue. C’est là un renversement de la doctrine qui aboutit au « Vous serez comme des dieux » du péché originel. »
« Désormais tout sera fondé sur la dignité de l’homme, une dignité qui n’est plus due à sa vocation surnaturelle et à sa Rédemption par le Christ, mais à sa nature temporelle qui est, on le sait, une nature déchue. C’est là un renversement de la doctrine qui aboutit au « Vous serez comme des dieux » du péché originel. »
Avec les sédévacantistes, on passe d’un texte qui dit que l’homme trouve la source et l’accomplissement de sa dignité dans le mystère de l’Incarnation et de la Rédemption à « sa dignité n’est pas due à sa vocation surnaturelle mais à sa nature temporelle ».
CE QUE JE PEUX HAÏR CES PUTAINS DU DIABLE
II. LIBERTÉ RELIGIEUSE
https://breviairedecombat[...]s.com/liberte-religieuse/Les premières citations condamnent l'indifférentisme, condamné également par Vatican II, tandis que celles qui suivent condamnent la contrainte religieuse, AUCUN PUTAIN DE RAPPORT
III. ŒUCUMÉNISME
https://breviairedecombat[...]ordpress.com/oecumenisme/J'ai déjà traité précédemment le sujet, le topax étant déjà un peu long je vous y renvoie directement
VOILÀ DONC LES CHAMPIONS DU SÉDÉVACANTISME SUR INTERNET
DITES-VOUS BIEN QUE 99% DES SCHISMATIQUES SE BASENT SUR CE GENRE DE SITES DE MERDE
ILS SE DEMANDENT POURQUOI LEUR SECTE EST TOUJOURS INVISIBLE IRL APRÈS 70 ANS
SEPT PUTAINS DE DÉCÉNNIES QU'ILS SQUATTENT DES CAVES POUR ÇA
fatiguant ce pavé
Je pensais qu'ils étaient juste très cons puis j'ai remarqué qu'ils s'amusaient, en parfaite connaissance de cause, à tronquer les textes pour les détourner de leur sens initial ; ce sont donc moins des attardés que de vicieux mythomanes
Le présent topic traitera du torchon Bréviaire de combat (/bot @Torquemada) mais ces inepties sont repris par toute la fourmilière chiassmatique
I. LE CULTE DE L'HOMME https://breviairedecombat[...]ress.com/culte-de-lhomme/
Les citations suivantes sont censées montrer que le saint concile Vatican II « substitue » l'homme à Dieu.
Le texte ne dit rien d'autre que l'homme est le sommet de la création et que le respect de sa dignité est primordial (c'est le nom du chapitre) ; c'est ce qui ressort du récit génésiaque (1, 26) et du catéchisme de saint Pie X : « La créature la plus noble que Dieu ait mise sur la terre est l’homme. » Voir également La Création de l'homme de saint Grégoire de Nysse. Tout le chapitre explique graduellement les causes de la grandeur de l'homme jusqu'au point primordial, Dieu. Nous y reviendrons à la toute fin.
Mensonge par omission : ce n'est pas le saint Pape Jean-Paul II mais le cardinal Wojtyla qui s'exprime en 1976. Inutile donc de rentrer dans le détail car 1) ce texte n'engage pas l'Église 2) l'ouvrage est introuvable sur internet pour connaître le contexte.
Mise à jour 27/02/25 J'AI ACHETÉ LE LIVRE REGARDEZ PAGE 2
Le discours de clôture du sanctissimum concilium !
Regardez ce que ces insignes chiures ont coupé :
Chiens de l'enfer !
Le texte n'encense pas mais déplore les vices de l'homme moderne auquels fut confronté le concile et les innommables putes — nommons-les — de Bréviaire de combat se gardent bien de le dire. Oui, le concile fut résolument tourné vers l'homme, mais comme moyen d'accès à Dieu et certainement pas pour l'en détacher. À ce titre, saint Paul VI développe : « L'Église se penche sur l'homme et sur la terre, mais c'est vers le royaume de Dieu que son élan la porte. [...] Aimer l'homme, disons-Nous, non pas comme un simple moyen, mais comme un premier terme dans la montée vers le terme suprême et transcendant. Et alors, le Concile tout entier se résume finalement dans cette conclusion religieuse : il n'est pas autre chose qu'un appel amical et pressant qui convie l'humanité à retrouver, par la voie de l'amour fraternel, ce Dieu dont on a pu dire : S'éloigner de lui, c'est périr ; se tourner vers lui, c'est ressusciter ; demeurer en lui, c'est être inébranlable... ; retourner à lui, c'est renaître ; habiter en lui, c'est vivre (saint Augustin). »
Regardez ce qu'ils ont encore coupé : « Le premier mensonge, la fausseté fondamentale, est de ne pas croire en l'homme, en l'homme dans tout son potentiel de grandeur mais aussi dans son besoin de rédemption du mal et du péché qui est en lui. »
CES TUBES À CROTTE NE TERMINENT MÊME PAS LA PHRASE JE VAIS DEVENIR ZINZIN
Paul VI dit que l'homme est « aujourd'hui » prince du ciel car... c'est un discours sur la conquête spatiale
https://www.vatican.va/co[...]hf_p-vi_ang_19710207.html
ENCULÉS D'ATTARDÉS SÉDÉVACS À CHAQUE PUTAIN DE FOIS
SATANIQUES FOSSES À CHIOTTES DU PRINCE DES DÉMONS, PUSTULES DU CUL DE JUDAS
Tient, tout à coup on n'utilise plus le nom de Pape. Citation complète : « Aux yeux de Dieu, nous sommes la chose la plus belle, la plus grande, la meilleure de la création : les anges aussi sont au-dessous de nous, nous sommes plus que les anges, comme nous l’avons entendu dans le livre des Psaumes. Le Seigneur nous aime ! Nous devons lui rendre grâce pour cela »
Pris absolument dans sa condition mortelle, l'homme n'est évidemment pas supérieur aux anges ; mais dans sa dignité en tant que participant du corps de Jésus-Christ sauvé par la Rédemption, il y a un mystère qui le rend singulier et en quelque sorte supérieur à la créature angélique : c'est ce que disent saint Léon le Grand et saint Maxime le Confesseur https://catholicexchange.[...]he-angels-and-archangels/
Au fond, n'est-ce pas le sempiternel Dieu s'est fait homme pour que l'homme se fasse Dieu ? Quoi qu'il en soit, Sa Sainteté glorifie Dieu qui a élevé l'homme ; on voit donc mal en quoi il s'agit d'une substitution de celui-ci à Celui-là.
Le présent topic traitera du torchon Bréviaire de combat (/bot @Torquemada) mais ces inepties sont repris par toute la fourmilière chiassmatique
I. LE CULTE DE L'HOMME
https://breviairedecombat[...]ress.com/culte-de-lhomme/Les citations suivantes sont censées montrer que le saint concile Vatican II « substitue » l'homme à Dieu.
Paul VI, Gaudium et Spes (Encyclique)
« Croyants et incroyants sont généralement d’accord sur ce point : tout sur terre doit être ordonné à l’homme comme à son centre et à son sommet. »
« Croyants et incroyants sont généralement d’accord sur ce point : tout sur terre doit être ordonné à l’homme comme à son centre et à son sommet. »
Jean-Paul II, Le Signe de la Contradiction (Page 46)
« Nous devons à la place de l’amour de Dieu reconnaître l’amour de l’homme comme l’unique et véritable religion : à la place de la foi, un Dieu propagea la foi de l’homme en lui-même, en ses propres forces, etc.
« Nous devons à la place de l’amour de Dieu reconnaître l’amour de l’homme comme l’unique et véritable religion : à la place de la foi, un Dieu propagea la foi de l’homme en lui-même, en ses propres forces, etc.
Mise à jour 27/02/25 J'AI ACHETÉ LE LIVRE REGARDEZ PAGE 2
Paul VI, Homélie (7 décembre 1965)
« L’Église du Concile, il est vrai, s’est beaucoup occupée de l’homme, de l’homme tel qu’en réalité il se présente à notre époque, l’homme vivant, l’homme tout entier occupé de soi, l’homme qui se fait non seulement le centre de tout ce qui l’intéresse, mais qui ose se prétendre le principe et la raison dernière de toute réalité. […]
Reconnaissez-lui au moins ce mérite, vous, humanistes modernes, qui renoncez à la transcendance des choses suprêmes, et sachez reconnaître notre nouvel humanisme : nous aussi, nous plus que quiconque, nous avons le culte de l’homme ».
« L’Église du Concile, il est vrai, s’est beaucoup occupée de l’homme, de l’homme tel qu’en réalité il se présente à notre époque, l’homme vivant, l’homme tout entier occupé de soi, l’homme qui se fait non seulement le centre de tout ce qui l’intéresse, mais qui ose se prétendre le principe et la raison dernière de toute réalité. […]
Reconnaissez-lui au moins ce mérite, vous, humanistes modernes, qui renoncez à la transcendance des choses suprêmes, et sachez reconnaître notre nouvel humanisme : nous aussi, nous plus que quiconque, nous avons le culte de l’homme ».
« L'Église du Concile, il est vrai, ne s'est pas contentée de réfléchir sur sa propre nature et sur les rapports qui l'unissent à Dieu : elle s'est aussi beaucoup occupée de l'homme, de l'homme tel qu'en réalité il se présente à notre époque : l'homme vivant, l'homme tout entier occupé de soi, l'homme qui se fait non seulement le centre de tout ce qui l'intéresse, mais qui ose se prétendre le principe et la raison dernière de toute réalité. Tout l'homme phénoménal, comme on dit de nos jours, c'est-à-dire avec le revêtement de ses innombrables apparences, s'est comme dressé devant l'Assemblée des Pères conciliaires, des hommes, eux aussi, tous pasteurs et frères, attentifs donc et aimants : l'homme tragique victime de ses propres drames, l'homme qui, hier et aujourd'hui, cherche à se mettre au-dessus des autres, et qui, à cause de cela, est toujours fragile et faux, égoïste et féroce; puis l'homme insatisfait de soi, qui rit et qui pleure ; l'homme versatile, prêt à jouer n'importe quel rôle, et l'homme raide qui ne croit qu'à la seule réalité scientifique; l'homme tel qu'Il est, qui pense, qui aime, qui travaille, qui attend toujours quelque chose, «l'enfant qui grandit» (Gen., 49, 22), et l'homme qu'on doit considérer avec une certaine vénération à cause de l'innocence de son enfance, le mystère de sa pauvreté et sa douleur pitoyable ; l'homme individualiste et l'homme social ; l'homme, « qui loue le temps passé » et l'homme qui rêve à l'avenir ; l'homme pécheur et l'homme saint ; et ainsi de suite. L'humanisme laïque et profane enfin est apparu dans sa terrible stature et a, en un certain sens, défié le Concile. La religion du Dieu qui s'est fait homme s'est rencontrée avec la religion (car c'en est une) de l'homme qui se fait Dieu. » https://archivesweb.cef.f[...]urs_cloture_vaticanii.pdf
Chiens de l'enfer !
Jean-Paul II, Message (1 janvier 1980)
« Le premier mensonge, la fausseté fondamentale est de ne pas croire en l’homme. »
« Le premier mensonge, la fausseté fondamentale est de ne pas croire en l’homme. »
CES TUBES À CROTTE NE TERMINENT MÊME PAS LA PHRASE JE VAIS DEVENIR ZINZIN
Paul VI, Angélus (7 février 1971)
« Honneur à l’homme, honneur à la pensée, honneur à la science, honneur à la technique, honneur au travail, honneur à la hardiesse humaine ; honneur à la synthèse de l’activité scientifique et du sens de l’organisation de l’homme qui, à la différence des autres animaux, sait donner à son et à son habileté manuelle des instruments de conquête ; honneur à l’homme, roi de la terre et aujourd’hui prince du ciel. »
« Honneur à l’homme, honneur à la pensée, honneur à la science, honneur à la technique, honneur au travail, honneur à la hardiesse humaine ; honneur à la synthèse de l’activité scientifique et du sens de l’organisation de l’homme qui, à la différence des autres animaux, sait donner à son et à son habileté manuelle des instruments de conquête ; honneur à l’homme, roi de la terre et aujourd’hui prince du ciel. »
ENCULÉS D'ATTARDÉS SÉDÉVACS À CHAQUE PUTAIN DE FOIS
SATANIQUES FOSSES À CHIOTTES DU PRINCE DES DÉMONS, PUSTULES DU CUL DE JUDAS
Jose Bergoglio, Audience générale (21 mai 2014)
« Aux yeux de Dieu, nous sommes la chose la plus belle, la plus grande, la meilleure de la création : les anges aussi sont au-dessous de nous, nous sommes plus que les anges. »
« Aux yeux de Dieu, nous sommes la chose la plus belle, la plus grande, la meilleure de la création : les anges aussi sont au-dessous de nous, nous sommes plus que les anges. »
Pris absolument dans sa condition mortelle, l'homme n'est évidemment pas supérieur aux anges ; mais dans sa dignité en tant que participant du corps de Jésus-Christ sauvé par la Rédemption, il y a un mystère qui le rend singulier et en quelque sorte supérieur à la créature angélique : c'est ce que disent saint Léon le Grand et saint Maxime le Confesseur
Au fond, n'est-ce pas le sempiternel Dieu s'est fait homme pour que l'homme se fasse Dieu ? Quoi qu'il en soit, Sa Sainteté glorifie Dieu qui a élevé l'homme ; on voit donc mal en quoi il s'agit d'une substitution de celui-ci à Celui-là.
putain mec t as vraiment ecrit tout ca ?
putain mec t as vraiment ecrit tout ca ?
On s'en bat les couilles de vos sectes, Jesus était un guru et vous êtes des lows
On s'en bat les couilles de vos sectes, Jesus était un guru et vous êtes des lows
Bien dit ! Skoll !
Un boucleur narcissique qui perd patience, ça alors
Et semble mener sa vendetta personnelle qui plus est.
Quant aux querelles de citations ça fait des années qu'on les subit malheureusement. Persoent
Quant aux querelles de citations ça fait des années qu'on les subit malheureusement. Persoent
Blog et discord catholique/actu/prophéties : https://tribulatioprophetica.wordpress.com/ - https://discord.gg/XYrAfrk689
Un boucleur narcissique qui perd patience, ça alors
Et semble mener sa vendetta personnelle qui plus est.
Quant aux querelles de citations ça fait des années qu'on les subit malheureusement. Persoent
Quant aux querelles de citations ça fait des années qu'on les subit malheureusement. Persoent
Peut-être qu'il n'y aurait pas de « querelles de citations » si vous ne coupiez pas les phrases en leur milieu, furoncles d'Asmodée
@DELAWARDE @Zebraman @123pk @Joshua_38 @samlaitbrize @Pater-Noster
J'invoque les zinzins de l'espace, Dieu leur fasse grâce de retrouver raison
J'invoque les zinzins de l'espace, Dieu leur fasse grâce de retrouver raison
Chers kheys, vous venez de cliquer sur le topic journalier de bait anti-catholique de Colroulin ici présent
De nombreuses joyeusetés vous attendent, comme des copié-collés hors-sujet, des insultes envers ceux qui ne sucent pas l'anti-pape bergoglio ainsi que d'interminables fallacies qui ne manqueront pas de diminuer par 10 votre QI.
Il est inutile de feeder ou de tenter de répondre de manière constructive puisque si vous n'êtes pas au chomage comme notre sujet Monsieur Colroulin ici présent, vous n'aurez pas 8 heures par jour à consacrer a spammer des copié-collés hors contexte et a vous branler sur du hentai Vatican II.
Je répète, ne FEEDEZ PAS LE COLROULIN, regardez-le derrière le grillage prévu à cet effet, prenez une photo si vous voulez ou jetez une reaction étron ou cuck, et c'est tout.
La direction vous remercie d'avoir lu cet avertissement et vous souhaite une excellente journée.
Khey INFJ sympa bien que taré, catho, anti NWO, l'hélite 100% ready. Frère de croisade de @Joshua_38
Chers kheys, vous venez de cliquer sur le topic journalier de bait anti-catholique de Colroulin ici présent
De nombreuses joyeusetés vous attendent, comme des copié-collés hors-sujet, des insultes envers ceux qui ne sucent pas l'anti-pape bergoglio ainsi que d'interminables fallacies qui ne manqueront pas de diminuer par 10 votre QI.
Il est inutile de feeder ou de tenter de répondre de manière constructive puisque si vous n'êtes pas au chomage comme notre sujet Monsieur Colroulin ici présent, vous n'aurez pas 8 heures par jour à consacrer a spammer des copié-collés hors contexte et a vous branler sur du hentai Vatican II.
Je répète, ne FEEDEZ PAS LE COLROULIN, regardez-le derrière le grillage prévu à cet effet, prenez une photo si vous voulez ou jetez une reaction étron ou cuck, et c'est tout.
La direction vous remercie d'avoir lu cet avertissement et vous souhaite une excellente journée.
No fake je ne t'ai jamais vu ne serait-ce qu'essayer de défendre ta secte, tu es d'une mollesse
Tu es Européen ? Oui, je ne connais pas le Jeudi saint
@Sisyphe, ça c'est également une belle boucle et en plus là il y a un lien avec l'autre grâce au breviaire de combat
PaLu
Avec @Delawarde à Notre Dame de la Salette
Je pensais qu'ils étaient juste très cons puis j'ai remarqué qu'ils s'amusaient, en parfaite connaissance de cause, à tronquer les textes pour les détourner de leur sens initial ; ce sont donc moins des attardés que de vicieux mythomanes
Le présent topic traitera du torchon Bréviaire de combat (/bot @Torquemada) mais ces inepties sont repris par toute la fourmilière chiassmatique
I. LE CULTE DE L'HOMME https://breviairedecombat[...]ress.com/culte-de-lhomme/
Les citations suivantes sont censées montrer que le saint concile Vatican II « substitue » l'homme à Dieu.
Le texte ne dit rien d'autre que l'homme est le sommet de la création et que le respect de sa dignité est primordial (c'est le nom du chapitre) ; c'est ce qui ressort du récit génésiaque (1, 26) et du catéchisme de saint Pie X : « La créature la plus noble que Dieu ait mise sur la terre est l’homme. » Voir également La Création de l'homme de saint Grégoire de Nysse. Tout le chapitre explique graduellement les causes de la grandeur de l'homme jusqu'au point primordial, Dieu. Nous y reviendrons à la toute fin.
Mensonge par omission : ce n'est pas le saint Pape Jean-Paul II mais le cardinal Wojtyla qui s'exprime en 1976. Inutile donc de rentrer dans le détail car 1) ce texte n'engage pas l'Église 2) l'ouvrage est introuvable sur internet pour connaître le contexte.
Mise à jour 27/02/25 J'AI ACHETÉ LE LIVRE REGARDEZ PAGE 2
Le discours de clôture du sanctissimum concilium !
Regardez ce que ces insignes chiures ont coupé :
Chiens de l'enfer !
Le texte n'encense pas mais déplore les vices de l'homme moderne auquels fut confronté le concile et les innommables putes — nommons-les — de Bréviaire de combat se gardent bien de le dire. Oui, le concile fut résolument tourné vers l'homme, mais comme moyen d'accès à Dieu et certainement pas pour l'en détacher. À ce titre, saint Paul VI développe : « L'Église se penche sur l'homme et sur la terre, mais c'est vers le royaume de Dieu que son élan la porte. [...] Aimer l'homme, disons-Nous, non pas comme un simple moyen, mais comme un premier terme dans la montée vers le terme suprême et transcendant. Et alors, le Concile tout entier se résume finalement dans cette conclusion religieuse : il n'est pas autre chose qu'un appel amical et pressant qui convie l'humanité à retrouver, par la voie de l'amour fraternel, ce Dieu dont on a pu dire : S'éloigner de lui, c'est périr ; se tourner vers lui, c'est ressusciter ; demeurer en lui, c'est être inébranlable... ; retourner à lui, c'est renaître ; habiter en lui, c'est vivre (saint Augustin). »
Regardez ce qu'ils ont encore coupé : « Le premier mensonge, la fausseté fondamentale, est de ne pas croire en l'homme, en l'homme dans tout son potentiel de grandeur mais aussi dans son besoin de rédemption du mal et du péché qui est en lui. »
CES TUBES À CROTTE NE TERMINENT MÊME PAS LA PHRASE JE VAIS DEVENIR ZINZIN
Paul VI dit que l'homme est « aujourd'hui » prince du ciel car... c'est un discours sur la conquête spatiale
https://www.vatican.va/co[...]hf_p-vi_ang_19710207.html
ENCULÉS D'ATTARDÉS SÉDÉVACS À CHAQUE PUTAIN DE FOIS
SATANIQUES FOSSES À CHIOTTES DU PRINCE DES DÉMONS, PUSTULES DU CUL DE JUDAS
Tient, tout à coup on n'utilise plus le nom de Pape. Citation complète : « Aux yeux de Dieu, nous sommes la chose la plus belle, la plus grande, la meilleure de la création : les anges aussi sont au-dessous de nous, nous sommes plus que les anges, comme nous l’avons entendu dans le livre des Psaumes. Le Seigneur nous aime ! Nous devons lui rendre grâce pour cela »
Pris absolument dans sa condition mortelle, l'homme n'est évidemment pas supérieur aux anges ; mais dans sa dignité en tant que participant du corps de Jésus-Christ sauvé par la Rédemption, il y a un mystère qui le rend singulier et en quelque sorte supérieur à la créature angélique : c'est ce que disent saint Léon le Grand et saint Maxime le Confesseur https://catholicexchange.[...]he-angels-and-archangels/
Au fond, n'est-ce pas le sempiternel Dieu s'est fait homme pour que l'homme se fasse Dieu ? Quoi qu'il en soit, Sa Sainteté glorifie Dieu qui a élevé l'homme ; on voit donc mal en quoi il s'agit d'une substitution de celui-ci à Celui-là.
Le présent topic traitera du torchon Bréviaire de combat (/bot @Torquemada) mais ces inepties sont repris par toute la fourmilière chiassmatique
I. LE CULTE DE L'HOMME
https://breviairedecombat[...]ress.com/culte-de-lhomme/Les citations suivantes sont censées montrer que le saint concile Vatican II « substitue » l'homme à Dieu.
Paul VI, Gaudium et Spes (Encyclique)
« Croyants et incroyants sont généralement d’accord sur ce point : tout sur terre doit être ordonné à l’homme comme à son centre et à son sommet. »
« Croyants et incroyants sont généralement d’accord sur ce point : tout sur terre doit être ordonné à l’homme comme à son centre et à son sommet. »
Jean-Paul II, Le Signe de la Contradiction (Page 46)
« Nous devons à la place de l’amour de Dieu reconnaître l’amour de l’homme comme l’unique et véritable religion : à la place de la foi, un Dieu propagea la foi de l’homme en lui-même, en ses propres forces, etc.
« Nous devons à la place de l’amour de Dieu reconnaître l’amour de l’homme comme l’unique et véritable religion : à la place de la foi, un Dieu propagea la foi de l’homme en lui-même, en ses propres forces, etc.
Mise à jour 27/02/25 J'AI ACHETÉ LE LIVRE REGARDEZ PAGE 2
Paul VI, Homélie (7 décembre 1965)
« L’Église du Concile, il est vrai, s’est beaucoup occupée de l’homme, de l’homme tel qu’en réalité il se présente à notre époque, l’homme vivant, l’homme tout entier occupé de soi, l’homme qui se fait non seulement le centre de tout ce qui l’intéresse, mais qui ose se prétendre le principe et la raison dernière de toute réalité. […]
Reconnaissez-lui au moins ce mérite, vous, humanistes modernes, qui renoncez à la transcendance des choses suprêmes, et sachez reconnaître notre nouvel humanisme : nous aussi, nous plus que quiconque, nous avons le culte de l’homme ».
« L’Église du Concile, il est vrai, s’est beaucoup occupée de l’homme, de l’homme tel qu’en réalité il se présente à notre époque, l’homme vivant, l’homme tout entier occupé de soi, l’homme qui se fait non seulement le centre de tout ce qui l’intéresse, mais qui ose se prétendre le principe et la raison dernière de toute réalité. […]
Reconnaissez-lui au moins ce mérite, vous, humanistes modernes, qui renoncez à la transcendance des choses suprêmes, et sachez reconnaître notre nouvel humanisme : nous aussi, nous plus que quiconque, nous avons le culte de l’homme ».
« L'Église du Concile, il est vrai, ne s'est pas contentée de réfléchir sur sa propre nature et sur les rapports qui l'unissent à Dieu : elle s'est aussi beaucoup occupée de l'homme, de l'homme tel qu'en réalité il se présente à notre époque : l'homme vivant, l'homme tout entier occupé de soi, l'homme qui se fait non seulement le centre de tout ce qui l'intéresse, mais qui ose se prétendre le principe et la raison dernière de toute réalité. Tout l'homme phénoménal, comme on dit de nos jours, c'est-à-dire avec le revêtement de ses innombrables apparences, s'est comme dressé devant l'Assemblée des Pères conciliaires, des hommes, eux aussi, tous pasteurs et frères, attentifs donc et aimants : l'homme tragique victime de ses propres drames, l'homme qui, hier et aujourd'hui, cherche à se mettre au-dessus des autres, et qui, à cause de cela, est toujours fragile et faux, égoïste et féroce; puis l'homme insatisfait de soi, qui rit et qui pleure ; l'homme versatile, prêt à jouer n'importe quel rôle, et l'homme raide qui ne croit qu'à la seule réalité scientifique; l'homme tel qu'Il est, qui pense, qui aime, qui travaille, qui attend toujours quelque chose, «l'enfant qui grandit» (Gen., 49, 22), et l'homme qu'on doit considérer avec une certaine vénération à cause de l'innocence de son enfance, le mystère de sa pauvreté et sa douleur pitoyable ; l'homme individualiste et l'homme social ; l'homme, « qui loue le temps passé » et l'homme qui rêve à l'avenir ; l'homme pécheur et l'homme saint ; et ainsi de suite. L'humanisme laïque et profane enfin est apparu dans sa terrible stature et a, en un certain sens, défié le Concile. La religion du Dieu qui s'est fait homme s'est rencontrée avec la religion (car c'en est une) de l'homme qui se fait Dieu. » https://archivesweb.cef.f[...]urs_cloture_vaticanii.pdf
Chiens de l'enfer !
Jean-Paul II, Message (1 janvier 1980)
« Le premier mensonge, la fausseté fondamentale est de ne pas croire en l’homme. »
« Le premier mensonge, la fausseté fondamentale est de ne pas croire en l’homme. »
CES TUBES À CROTTE NE TERMINENT MÊME PAS LA PHRASE JE VAIS DEVENIR ZINZIN
Paul VI, Angélus (7 février 1971)
« Honneur à l’homme, honneur à la pensée, honneur à la science, honneur à la technique, honneur au travail, honneur à la hardiesse humaine ; honneur à la synthèse de l’activité scientifique et du sens de l’organisation de l’homme qui, à la différence des autres animaux, sait donner à son et à son habileté manuelle des instruments de conquête ; honneur à l’homme, roi de la terre et aujourd’hui prince du ciel. »
« Honneur à l’homme, honneur à la pensée, honneur à la science, honneur à la technique, honneur au travail, honneur à la hardiesse humaine ; honneur à la synthèse de l’activité scientifique et du sens de l’organisation de l’homme qui, à la différence des autres animaux, sait donner à son et à son habileté manuelle des instruments de conquête ; honneur à l’homme, roi de la terre et aujourd’hui prince du ciel. »
ENCULÉS D'ATTARDÉS SÉDÉVACS À CHAQUE PUTAIN DE FOIS
SATANIQUES FOSSES À CHIOTTES DU PRINCE DES DÉMONS, PUSTULES DU CUL DE JUDAS
Jose Bergoglio, Audience générale (21 mai 2014)
« Aux yeux de Dieu, nous sommes la chose la plus belle, la plus grande, la meilleure de la création : les anges aussi sont au-dessous de nous, nous sommes plus que les anges. »
« Aux yeux de Dieu, nous sommes la chose la plus belle, la plus grande, la meilleure de la création : les anges aussi sont au-dessous de nous, nous sommes plus que les anges. »
Pris absolument dans sa condition mortelle, l'homme n'est évidemment pas supérieur aux anges ; mais dans sa dignité en tant que participant du corps de Jésus-Christ sauvé par la Rédemption, il y a un mystère qui le rend singulier et en quelque sorte supérieur à la créature angélique : c'est ce que disent saint Léon le Grand et saint Maxime le Confesseur
Au fond, n'est-ce pas le sempiternel Dieu s'est fait homme pour que l'homme se fasse Dieu ? Quoi qu'il en soit, Sa Sainteté glorifie Dieu qui a élevé l'homme ; on voit donc mal en quoi il s'agit d'une substitution de celui-ci à Celui-là.
J'ai tout lu, je te remercie d'avoir pris de ton temps pour faire une relecture, il y avait en effet quelques coquilles, j'ai donc supprimé la citation de Bergoglio sur l'homme plus grand que les anges, ce qui est vrai en soi, mais avec le langage moderniste on ne sait jamais vraiment le fond de la pensée, donc je vais vous accorder le bénéfice du doute sur ce coup là. Idem pour la citation de Jean-Paul II.
Néanmoins, en ce qui concerne le reste, je persiste et signe. Je suis habitué à votre pilpoul et votre prétendue herméneutique de la continuité pour tordre les textes et interpréter ça dans un sens orthodoxe, ça ne fonctionne pas sur moi.
Néanmoins, en ce qui concerne le reste, je persiste et signe. Je suis habitué à votre pilpoul et votre prétendue herméneutique de la continuité pour tordre les textes et interpréter ça dans un sens orthodoxe, ça ne fonctionne pas sur moi.
La boucle sédévac vs vatican II
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