En réalité, personne ne pense à son intérêt individuel

Je pense que c'est à toi à qui ça fait plaisir de dire que les gens sont des énormes fils de pute. Pour te rassurer émotionnellement peut être, que sais-je

Ne penser qu’à sa gueule c’est instinctif quand t’es en manque de tout, quand les gens vont bien ils peuvent arriver à penser aux autre choses, avoir de l’empathie et mettre leurs égo de côté.

Sauf qu’on voit bien que tout le monde se trouve dans un non sens et une souffrance ici dont il est difficile de sortir.

l'intérêt c'est juste de baiser.
donc oui les gens vont essayer de te la faire à l'envers pour pas que tu puisses baiser en 1er

Il n'y plus de solution à se stade

Je le vie et le vois tous les jours comme les gens sont froids, distants, hypocrites, en groupes.

"T'es un naïf, un bisounours, en réalité les gens sont des fils de pute qui ne pensent qu'à leur intérêt"

Cette façon de penser est devenue la norme. Croire le contraire c'est être complètement con, naïf, un bisounours : l'homme est un loup pour l'homme, c'est bien connu.

Or ce que j'ai pu constater personnellement, c'est qu'il n'y a que 4 catégories de personnes qui pensent à leur intérêt personnel avant toute chose :

Les commerçants, marchands - dans la mesure où ils font leur boulot.
Les voyous, dealers, délinquants et criminels de toutes sortes.
Les adulescents, hybrides enfants-adultes qui vivent à croche-pied entre leur enfance regrettée et leurs responsabilités forcées d'adulte.
Les très riches qui vivent en baisant des putes, en se droguant, bref en anesthésiant leur corps en permanence.

On constate alors que, mis à part les commerçants quand ils font leur boulot, il n'y a que les humains déréglés, pathologiques qui pensent d'abord à leur intérêt personnel.

Et de fait, lorsqu'on regarde la réalité des choses, lorsqu'on parle à des gens normaux - des pères de famille, des mamans, des jeunes adultes normaux, des travailleurs du quotidien - on se rend compte assez vite que ce qui anime véritablement ces gens n'est pas leur intérêt personnel, mais plutôt l'intérêt de leurs familles, de leurs proches - parfois des intérêts un peu plus élevés, comme leur communauté, leur Dieu ou leur pays.

Alors c'est quoi le délire de la société actuelle ? Pourquoi tout le monde dit que les gens sont des fils de pute et qu'il ne faut en faire qu'à sa gueule ? Alors que dans les faits on constate le contraire - les humains normaux, fonctionnels ne pensent pas à leur intérêt strict, mais à celui de leurs proches, ou en tout cas à des intérêts extérieurs à lui-même.

La réponse Les valeurs marchandes sont devenues le centre ordonnateur de la société. Après avoir coupé la tête du Roi, des Nobles, du Clergé, il ne reste que la Bourgeoisie, c'est-à-dire les marchands et les commerçants. Or un commerçant est méfiant ; il a peur de se faire enculer, précisément car il cherche lui-même à enculer les autres.

Les commerçants sont nécessaires, il en faut pour qu'une société fonctionne. Mais en aucun cas ils ne doivent régner, gouverner la société. Adam Smith, l'économiste libéral par excellence, le disait lui-même : les marchands ne doivent PAS gouverner, car ils agiront toujours pour leur intérêt strict, au détriment du reste du pays.

Or aujourd'hui, non seulement les marchands règnent, mais leurs valeurs sont devenues la norme. Soutenir l'idée que les gens n'agissent pas pour leur intérêt strict, c'est devenu impossible à dire. Au mieux tu passes pour un bisounours, au pire pour un fou.

Et pour cause, TOUTES les idéologies tolérées par le système partent du principe fondamental que l'homme est un loup pour l'homme, que l'homme pense d'abord à son intérêt et rien d'autre.

A commencer par le communisme lui-même, qui part de l'idée que le prolétariat doit se concentrer sur lui-même, agir pour son intérêt strict et enculer tous les autres. Car selon le communisme, chaque "classe" agit pour son propre intérêt depuis la nuit des temps.

Erreur totale, car pendant des centaines de milliers d'années l'homme vivait en tribus. Or dans les tribus, l'entraide était la norme et les sociétés étaient sans classe.

Dans la Civilisation elle-même, nous pouvons constater que les Civilisations les plus pérennes et les plus stables sont celles où chaque "classe" joue son rôle - non pas pour elle-même, mais pour une autre "classe". Prenons la société médiévale : Rex, Oratores, Bellatores et Laboratores, chacun jouant son rôle non pas pour son intérêt, mais pour celui des autres. C'est justement lorsqu'on s'éloigne de ce principe, lorsque les classes commencent à ne penser qu'à sa gueule, que les sociétés s'effondrent.

Le Marxisme introduit la notion de "lutte de classes", qui n'est pas le propre des sociétés humaines, mais qui est le propre des sociétés humaines pathologiques. Il n'y a pas de lutte de classes dans une société normale, stable et fonctionnelle. Or Marx élève le symptôme de la maladie en "moteur de l'Histoire".

Le véritable moteur de l'Histoire c'est l'entraide humaine, celle qui ne peut venir que la fraternité et de l'amour. Choses qui ne sont possible qu'avec une langue commune, une histoire commune, des expériences communes, une spiritualité commune...

Pour terminer, je dirais que c'est une constante chez les jeunes générations : vouloir à tout prix agir pour son intérêt, vouloir à tout prix enculer les autres. Résultat Dépressions à la pelle, suicides, solitude, souffrance.

Essayez de penser sincèrement au bien d'autrui, et vous verrez que la vie est étonamment plus facile. C'est la façon dont l'humain est fait, tout simplement.

Au plaisir.

il y a une solution

"T'es un naïf, un bisounours, en réalité les gens sont des fils de pute qui ne pensent qu'à leur intérêt"

Cette façon de penser est devenue la norme. Croire le contraire c'est être complètement con, naïf, un bisounours : l'homme est un loup pour l'homme, c'est bien connu.

Or ce que j'ai pu constater personnellement, c'est qu'il n'y a que 4 catégories de personnes qui pensent à leur intérêt personnel avant toute chose :

Les commerçants, marchands - dans la mesure où ils font leur boulot.
Les voyous, dealers, délinquants et criminels de toutes sortes.
Les adulescents, hybrides enfants-adultes qui vivent à croche-pied entre leur enfance regrettée et leurs responsabilités forcées d'adulte.
Les très riches qui vivent en baisant des putes, en se droguant, bref en anesthésiant leur corps en permanence.

On constate alors que, mis à part les commerçants quand ils font leur boulot, il n'y a que les humains déréglés, pathologiques qui pensent d'abord à leur intérêt personnel.

Et de fait, lorsqu'on regarde la réalité des choses, lorsqu'on parle à des gens normaux - des pères de famille, des mamans, des jeunes adultes normaux, des travailleurs du quotidien - on se rend compte assez vite que ce qui anime véritablement ces gens n'est pas leur intérêt personnel, mais plutôt l'intérêt de leurs familles, de leurs proches - parfois des intérêts un peu plus élevés, comme leur communauté, leur Dieu ou leur pays.

Alors c'est quoi le délire de la société actuelle ? Pourquoi tout le monde dit que les gens sont des fils de pute et qu'il ne faut en faire qu'à sa gueule ? Alors que dans les faits on constate le contraire - les humains normaux, fonctionnels ne pensent pas à leur intérêt strict, mais à celui de leurs proches, ou en tout cas à des intérêts extérieurs à lui-même.

La réponse Les valeurs marchandes sont devenues le centre ordonnateur de la société. Après avoir coupé la tête du Roi, des Nobles, du Clergé, il ne reste que la Bourgeoisie, c'est-à-dire les marchands et les commerçants. Or un commerçant est méfiant ; il a peur de se faire enculer, précisément car il cherche lui-même à enculer les autres.

Les commerçants sont nécessaires, il en faut pour qu'une société fonctionne. Mais en aucun cas ils ne doivent régner, gouverner la société. Adam Smith, l'économiste libéral par excellence, le disait lui-même : les marchands ne doivent PAS gouverner, car ils agiront toujours pour leur intérêt strict, au détriment du reste du pays.

Or aujourd'hui, non seulement les marchands règnent, mais leurs valeurs sont devenues la norme. Soutenir l'idée que les gens n'agissent pas pour leur intérêt strict, c'est devenu impossible à dire. Au mieux tu passes pour un bisounours, au pire pour un fou.

Et pour cause, TOUTES les idéologies tolérées par le système partent du principe fondamental que l'homme est un loup pour l'homme, que l'homme pense d'abord à son intérêt et rien d'autre.

A commencer par le communisme lui-même, qui part de l'idée que le prolétariat doit se concentrer sur lui-même, agir pour son intérêt strict et enculer tous les autres. Car selon le communisme, chaque "classe" agit pour son propre intérêt depuis la nuit des temps.

Erreur totale, car pendant des centaines de milliers d'années l'homme vivait en tribus. Or dans les tribus, l'entraide était la norme et les sociétés étaient sans classe.

Dans la Civilisation elle-même, nous pouvons constater que les Civilisations les plus pérennes et les plus stables sont celles où chaque "classe" joue son rôle - non pas pour elle-même, mais pour une autre "classe". Prenons la société médiévale : Rex, Oratores, Bellatores et Laboratores, chacun jouant son rôle non pas pour son intérêt, mais pour celui des autres. C'est justement lorsqu'on s'éloigne de ce principe, lorsque les classes commencent à ne penser qu'à sa gueule, que les sociétés s'effondrent.

Le Marxisme introduit la notion de "lutte de classes", qui n'est pas le propre des sociétés humaines, mais qui est le propre des sociétés humaines pathologiques. Il n'y a pas de lutte de classes dans une société normale, stable et fonctionnelle. Or Marx élève le symptôme de la maladie en "moteur de l'Histoire".

Le véritable moteur de l'Histoire c'est l'entraide humaine, celle qui ne peut venir que la fraternité et de l'amour. Choses qui ne sont possible qu'avec une langue commune, une histoire commune, des expériences communes, une spiritualité commune...

Pour terminer, je dirais que c'est une constante chez les jeunes générations : vouloir à tout prix agir pour son intérêt, vouloir à tout prix enculer les autres. Résultat Dépressions à la pelle, suicides, solitude, souffrance.

Essayez de penser sincèrement au bien d'autrui, et vous verrez que la vie est étonamment plus facile. C'est la façon dont l'humain est fait, tout simplement.

Au plaisir.

Je pense que c'est plutôt l'inverse : lorsqu'on met son égo de côté et on commence à avoir de l'empathie, on va mieux.

C'est d'ailleurs logique. Si tout le monde se trouve dans le non sens et la souffrance, alors il faut bien que quelqu'un fasse le premier pas.

il y a une solution

vouloir à tout prix enculer les autres. Résultat Dépressions à la pelle, suicides, solitude, souffrance.

on est l'un des pays le plus consommateur d'AD au monde.

Sinon voici un test simple pour vérifier ce que tu dis, si les gens ont aucun intérêt à te répondre il ne te répondront pas et on est donc dans une logique purement égoïste.
Je t'invite à tester comment faire pour que les gens te répondent plus et mieux.

D'être encore plus individualiste ?

Je ne poste pas pour recevoir des réponses (même si ça me plaît)

En revanche je ne pense pas que les gens répondent à ce topic "par intérêt", ils le font naturellement parce que ça leur plaît. S'ils calculaient leur intérêt ils trouveraient peut être que c'est de quitter le fofo et se mettre au gym ou un truc comme ça

Ta déjà vu des chats ou des chiens qui affamés partageaient leurs nourritures entre eux ?

Les êtres humains ont une conscience supérieure aux animaux mais ils n’en reste pas moins des êtres vivants qui pensent en priorité à leurs propre survies.

Après peut-être que par attachement certains sont prêt au sacrifice ultime mais bon ça reste à prouver.

intérêt =/= ce qui est bénéfique pour eux.

sinon on ferait tous uniquement des choses bénéfiques pour nous or ce n'est pas le cas.

Comment définis-tu "intérêt" alors ?

Les gens sont le plus à même de savoir ceux qu'ils veulent, ça paraît contradictoire mais les gens qui pensent à soi avant tout son surtout plus apte à rependre le bonheur autours d'eux, qui pourrait rendre les autres heureux quand il n'est pas capable de se rendre soi-même heureux ?


Après c'est pas une vérité générale non plus, y a des saloperies individualistes qui n'ont aucunes compassion, de même que des saloperies communautaires qui veulent imposer leur dictature pour le 'bien commun'; il y a des anges et des démons des 2 côtés

"T'es un naïf, un bisounours, en réalité les gens sont des fils de pute qui ne pensent qu'à leur intérêt"

Cette façon de penser est devenue la norme. Croire le contraire c'est être complètement con, naïf, un bisounours : l'homme est un loup pour l'homme, c'est bien connu.

Or ce que j'ai pu constater personnellement, c'est qu'il n'y a que 4 catégories de personnes qui pensent à leur intérêt personnel avant toute chose :

Les commerçants, marchands - dans la mesure où ils font leur boulot.
Les voyous, dealers, délinquants et criminels de toutes sortes.
Les adulescents, hybrides enfants-adultes qui vivent à croche-pied entre leur enfance regrettée et leurs responsabilités forcées d'adulte.
Les très riches qui vivent en baisant des putes, en se droguant, bref en anesthésiant leur corps en permanence.

On constate alors que, mis à part les commerçants quand ils font leur boulot, il n'y a que les humains déréglés, pathologiques qui pensent d'abord à leur intérêt personnel.

Et de fait, lorsqu'on regarde la réalité des choses, lorsqu'on parle à des gens normaux - des pères de famille, des mamans, des jeunes adultes normaux, des travailleurs du quotidien - on se rend compte assez vite que ce qui anime véritablement ces gens n'est pas leur intérêt personnel, mais plutôt l'intérêt de leurs familles, de leurs proches - parfois des intérêts un peu plus élevés, comme leur communauté, leur Dieu ou leur pays.

Alors c'est quoi le délire de la société actuelle ? Pourquoi tout le monde dit que les gens sont des fils de pute et qu'il ne faut en faire qu'à sa gueule ? Alors que dans les faits on constate le contraire - les humains normaux, fonctionnels ne pensent pas à leur intérêt strict, mais à celui de leurs proches, ou en tout cas à des intérêts extérieurs à lui-même.

La réponse Les valeurs marchandes sont devenues le centre ordonnateur de la société. Après avoir coupé la tête du Roi, des Nobles, du Clergé, il ne reste que la Bourgeoisie, c'est-à-dire les marchands et les commerçants. Or un commerçant est méfiant ; il a peur de se faire enculer, précisément car il cherche lui-même à enculer les autres.

Les commerçants sont nécessaires, il en faut pour qu'une société fonctionne. Mais en aucun cas ils ne doivent régner, gouverner la société. Adam Smith, l'économiste libéral par excellence, le disait lui-même : les marchands ne doivent PAS gouverner, car ils agiront toujours pour leur intérêt strict, au détriment du reste du pays.

Or aujourd'hui, non seulement les marchands règnent, mais leurs valeurs sont devenues la norme. Soutenir l'idée que les gens n'agissent pas pour leur intérêt strict, c'est devenu impossible à dire. Au mieux tu passes pour un bisounours, au pire pour un fou.

Et pour cause, TOUTES les idéologies tolérées par le système partent du principe fondamental que l'homme est un loup pour l'homme, que l'homme pense d'abord à son intérêt et rien d'autre.

A commencer par le communisme lui-même, qui part de l'idée que le prolétariat doit se concentrer sur lui-même, agir pour son intérêt strict et enculer tous les autres. Car selon le communisme, chaque "classe" agit pour son propre intérêt depuis la nuit des temps.

Erreur totale, car pendant des centaines de milliers d'années l'homme vivait en tribus. Or dans les tribus, l'entraide était la norme et les sociétés étaient sans classe.

Dans la Civilisation elle-même, nous pouvons constater que les Civilisations les plus pérennes et les plus stables sont celles où chaque "classe" joue son rôle - non pas pour elle-même, mais pour une autre "classe". Prenons la société médiévale : Rex, Oratores, Bellatores et Laboratores, chacun jouant son rôle non pas pour son intérêt, mais pour celui des autres. C'est justement lorsqu'on s'éloigne de ce principe, lorsque les classes commencent à ne penser qu'à sa gueule, que les sociétés s'effondrent.

Le Marxisme introduit la notion de "lutte de classes", qui n'est pas le propre des sociétés humaines, mais qui est le propre des sociétés humaines pathologiques. Il n'y a pas de lutte de classes dans une société normale, stable et fonctionnelle. Or Marx élève le symptôme de la maladie en "moteur de l'Histoire".

Le véritable moteur de l'Histoire c'est l'entraide humaine, celle qui ne peut venir que la fraternité et de l'amour. Choses qui ne sont possible qu'avec une langue commune, une histoire commune, des expériences communes, une spiritualité commune...

Pour terminer, je dirais que c'est une constante chez les jeunes générations : vouloir à tout prix agir pour son intérêt, vouloir à tout prix enculer les autres. Résultat Dépressions à la pelle, suicides, solitude, souffrance.

Essayez de penser sincèrement au bien d'autrui, et vous verrez que la vie est étonamment plus facile. C'est la façon dont l'humain est fait, tout simplement.

Au plaisir.