Ce sujet a été résolu
Rien à voir ta pas compris le sens de cette phrase je pense mon bon khey
A murder, murder in the room
il y a un an
il y a un an
Il peut être commis par l’homme comme par la nature, l’homme possède une force de volonté et de production effective, la nature guide l’homme dans son cheminement temporel spatial et physique, et tout ceci forme une réalité totale présentielle entre ce qui se produit dans le monde comme conséquence déterministe en devenir et ce qui pousse en germe comme cause-conséquence de ce qui advient, les faits ne sont causés que par des faits dans un temps toujours dépassé vers le dépassement nouveau, mais cependant, l’interprétation n’est absolument par une preuve de l’authenticité du fait, de ce fait, on imagine que le fait n’existe pas, alors que l’homme vit chaque fait de manière à ce qu’il subit dans un premier temps puis interprète et enfin rentre dans la vérité du devenir de la représentation présente et effective du fait réalisé dans la nature ou le monde
il y a un an
L’esprit est l’universel du monde et l’essence contient la forme comme développement essentiel de l’universel de l’esprit
La forme est le développement de l’essence
La forme est le développement de l’essence
il y a un an
J'ecoute ses livres en audio pendant que je fais mes séries de pompes diamants et que je prend ma douche froide pour ne jamais oublier ses divines paroles
il y a un an
Johan_Liebert
1 an
De la merde.
Jamais compris comment on pouvait citer sérieusement ces types.
Jamais compris comment on pouvait citer sérieusement ces types.
il y a un an
C’est que mon avis mais selon moi il faut savoir prendre les devants pour affronter directement les épreuves ou alors « dieu » le fera à notre place.
il y a un an
Cette citation n'est-elle pas un fait ?
Tout dépend de ton interprétation
il y a un an
Tout dépend de ton interprétation
Si la proposition est admise comme vraie, elle doit forcément s'appliquer à elle même, mais alors elle devient fausse puisque sa substance devient dépendante de l'interprétation.
Elle est donc trivialement autocontradictoire.
Elle est donc trivialement autocontradictoire.
il y a un an
Les faits sont des états de choses existants et les états de choses, à leur tour, sont des combinaisons d'objets. C'est à dire que les propriétés internes d'un objet déterminent les possibilités de combinaison avec d'autres objets ; c'est entre autre leur forme logique.
Les états des choses, étant composés d'objets en combinaisons, sont intrinsèquement contingents, en ce qu'ils sont soit réels (existants), soit possibles. Le passage à la pensée (et par la suite au langage) est perpétué par l'idée selon laquelle les pensées et les propositions sont des images : l'image est un modèle de la réalité. Les images sont composées d'éléments, qui, ensemble constituent une image complète. En particulier, chaque élément représente un objet et la combinaison des éléments dans l'image représente la même combinaison des objets dans un état de fait. La structure logique de l'image, que ce soit en pensée ou en langage, est alors isomorphe à la structure logique de l'état de chose qu'elle représente. Mais c'est plus subtil que cela : la possibilité que cette structure soit partagée par l'image (la pensée, la proposition) et l'état des choses est de forme picturale (c'est ainsi qu'une image est attachée à la réalité).
L'analyse logique permet de guider les possibilités de signification des propositions à travers ce que l'on appelle le calcul des prédicats. Un langage consistent et sensé doit répondre à deux conditions aux lourdes conséquences : la structure de la proposition doit se conformer aux contraintes de la forme logique et les éléments de la la proposition doivent avoir une référence.
Les états des choses, étant composés d'objets en combinaisons, sont intrinsèquement contingents, en ce qu'ils sont soit réels (existants), soit possibles. Le passage à la pensée (et par la suite au langage) est perpétué par l'idée selon laquelle les pensées et les propositions sont des images : l'image est un modèle de la réalité. Les images sont composées d'éléments, qui, ensemble constituent une image complète. En particulier, chaque élément représente un objet et la combinaison des éléments dans l'image représente la même combinaison des objets dans un état de fait. La structure logique de l'image, que ce soit en pensée ou en langage, est alors isomorphe à la structure logique de l'état de chose qu'elle représente. Mais c'est plus subtil que cela : la possibilité que cette structure soit partagée par l'image (la pensée, la proposition) et l'état des choses est de forme picturale (c'est ainsi qu'une image est attachée à la réalité).
L'analyse logique permet de guider les possibilités de signification des propositions à travers ce que l'on appelle le calcul des prédicats. Un langage consistent et sensé doit répondre à deux conditions aux lourdes conséquences : la structure de la proposition doit se conformer aux contraintes de la forme logique et les éléments de la la proposition doivent avoir une référence.
il y a un an
Johan_Liebert
1 an
Alors ça, c'est à cheval entre truisme et ambiguïté du langage.
Bien sûr que ce que nous percevons du monde passe par nos sens et l'interprétation qu'en fait notre cerveau. Mais qu'appelle-t-on réalité ? Si la réalité c'est l'existence d'évènements qui ont lieu quand on ne les observe pas, alors cette affirmation n'est qu'une autre façon de dire la même chose.
La question de savoir s'il existe une réalité indépendante de nous est insoluble. C'est un postulat commode.
Bien sûr que ce que nous percevons du monde passe par nos sens et l'interprétation qu'en fait notre cerveau. Mais qu'appelle-t-on réalité ? Si la réalité c'est l'existence d'évènements qui ont lieu quand on ne les observe pas, alors cette affirmation n'est qu'une autre façon de dire la même chose.
La question de savoir s'il existe une réalité indépendante de nous est insoluble. C'est un postulat commode.
Certifié tous gaz.
il y a un an
Un fait est réel c’ est son observation (et celui qui l’ observe) et son explication qui font l’ interprétation.
D’ ou les deux autres paradoxes :
- existe t’ il une réalité en dehors de fait observable et explicable
- la réalité d’ un fait réside t’ elle uniquement dans son explication et la trace de son observation
D’ ou les deux autres paradoxes :
- existe t’ il une réalité en dehors de fait observable et explicable
- la réalité d’ un fait réside t’ elle uniquement dans son explication et la trace de son observation
il y a un an
Je pense qu'il a tort.
Les faits = les faits = pas d'interprétation possible
Les faits = les faits = pas d'interprétation possible
il y a un an