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Marre d'être un sale enjuivé de merde
:jesus_perplexe:
il y a un an
On a plus le droit d'avoir des critères physique ?
:Mokou_chill:
il y a un an
Mango Loco . . .
:chatzoom_huegif2:
il y a un an
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1 an
A quel moment as tu vécu dans un environnement remplacé ? Je pose vraiment la question ça m'intrigue

Perso ça fait 20 ans que je connais mtp j'ai vu la ville totalement changer c'est terrifiant
ma grand mère vit depuis son arrivée en France dans une banlieue bien craignos souvent citée par le forum comme étant totalement GR (limite une zone de non droit selon eux ) et je vivais là quand j'étais petite également
J'y vais très régulièrement encore aujourd'hui
Forgot that inside the icon there's still a young girl from
:Purer:
il y a un an
:medecin2:


Jamais les Françaises n'ont été aussi nombreuses à succomber aux joies de l'onanisme… En 2019, trois femmes sur quatre (76%) admettent s’être déjà masturbées au cours de leur vie, contre 60% en 2006 (CSF), 42% en 1992 (ACSF) et à peine 19% en 1970 (Rapport Simon). En l’espace de près de 50 ans, la proportion de femmes déclarant s’être livrées à la masturbation a donc été multipliée par quatre.


Cette généralisation de l’auto-érotisme féminin apparaît intrinsèquement liée à un accès plus large des Françaises à des supports d’excitation sexuelle comme les films ou des images pornographiques : une femme sur deux (47%) admettant avoir déjà été sur un site X, soit une proportion plus de dix fois supérieure à celle observée en 2006 (4%).


La pratique de la masturbation tend également à se banaliser sous l’effet d’une explosion du nombre de femmes utilisant des objets de stimulation physique : près d’une Française sur deux (43%) admet en 2019 avoir déjà utilisé un vibromasseur, contre un peu plus d’une sur trois il y a cinq ans (37% en 2012) et à peine 9% il y a douze ans (2007).



Un répertoire sexuel de plus en plus diversifié si l’on en juge par la généralisation de certaines pratiques comme la fellation, le cunnilingus ou la sodomie Symbole de la conquête de l’indépendance sexuelle des femmes, l’essor de l’onanisme féminin va de pair avec un élargissement du répertoire sexuel si l’on juge par la banalisation de certaines pratiques bucco-génitales – comme la fellation ou le cunnilingus – ou anales (sodomie, anulingus).


Aujourd'hui, les pratiques orales constituent une composante courante de leur sexualité. En cinquante ans, le nombre de nombre de femmes ayant déjà léché le sexe de leur partenaire a en effet fortement progressé (+36 points) au point d’atteindre des seuils très proches (91%) de ceux des hommes (89%), signe d’une certaine réciprocité dans l’échange de ce genre de caresses fréquemment associées aux phases de préliminaires.


Si l’exploration du versant anal de sa sexualité tend plus à venir avec l’âge, il est intéressant de noter que la sodomie est désormais une pratique majoritaire : 53% des femmes s’y sont prêtées au moins une fois. Et cette pratique s’est elle aussi fortement banalisée au cours des 50 dernières années : la proportion de femmes s’étant déjà adonnées à la pénétration anale a été quasiment multipliée par quatre depuis 1970 (14%).


Pénétrer l’homme : vers une plus grande disposition à inverser les rôles sexuels traditionnels


Cette propension des femmes à assumer un rôle sexuel plus actif transparaît aussi dans l’adoption de comportements transgressant les normes de genre telles que la pénétration digitale de l’anus de son partenaire (22%) ou l’administration d’un anulingus à un homme (15%).


Chez les femmes des milieux populaires, on observe en effet une plus grande « rigidité de genre » dans leurs pratiques anales avec les hommes : à peine 7% des ouvrières ont déjà pénétré l’anus de leur partenaire avec un doigt, soit quatre fois moins que les cadres et professions intellectuelles supérieures (33%).

A la lecture de ces résultats, certains hommes parviennent donc moins aisément que d’autres à s’écarter des normes, sans doute en raison de leurs difficultés à admettre la part de féminité associée à la passivité sexuelle et par là le risque d’une potentielle remise en cause leur identité de genre.
il y a un an
J'aime pas donner de l'argent.
:Headbang:


Je te donne ce que tu veux IRL, je peux payer un coup à boire aux kheys. Mais donner de l'argent cash comme ça, je ne peux pas.
:Headbang:
Chacun est libre khey je comprends parfaitement
:abrege:


Quand je fais des gros mois je donne pas davantage à des associations ou quoi que ce soit alors bon... je ne suis pas un exemple à suivre
:arrete:


Et je prends note, on va se faire un petit Leclerc bientôt toi et moi
:cash_gwadada:
il y a un an
Mes critères pour avoir mon amour

Vivante

au moins ça
:CIA_CAT:
il y a un an
j'ai déjà exposé mes considérations sur l'importance d'éviter une trop grande dissolution raciale
:capuche:
il y a un an-PEMT
si seulement le mec qui avait volé mon mac s'appelait Paul-Edouard
:risi_sad:
Si je le menace de porter plainte il te rachète ton mac je pense
Forgot that inside the icon there's still a young girl from
:Purer:
il y a un an-PEMT
En plus tu es un héro sauveur de chat
:PIPOU:
il y a un an
ma grand mère vit depuis son arrivée en France dans une banlieue bien craignos souvent citée par le forum comme étant totalement GR (limite une zone de non droit selon eux ) et je vivais là quand j'étais petite également
J'y vais très régulièrement encore aujourd'hui
Mais alors quel est ton opinion sur ce fameux GR ?
il y a un an
JE SUIS QU'UN SALE NARBO DE MERDE
:nooooo:
il y a un an
Si je le menace de porter plainte il te rachète ton mac je pense
Ok écoute moi bien
:arrete:


MENACE LE ET METS-Y TOUTE TON ÂME
:arrete:


On se met d'accord autour d'un petit %age
il y a un an
Ayaaaaaaaaaa
:jesus_perplexe:
il y a un an
x0x0
x0x0
1 an
:medecin2:


Jamais les Françaises n'ont été aussi nombreuses à succomber aux joies de l'onanisme… En 2019, trois femmes sur quatre (76%) admettent s’être déjà masturbées au cours de leur vie, contre 60% en 2006 (CSF), 42% en 1992 (ACSF) et à peine 19% en 1970 (Rapport Simon). En l’espace de près de 50 ans, la proportion de femmes déclarant s’être livrées à la masturbation a donc été multipliée par quatre.


Cette généralisation de l’auto-érotisme féminin apparaît intrinsèquement liée à un accès plus large des Françaises à des supports d’excitation sexuelle comme les films ou des images pornographiques : une femme sur deux (47%) admettant avoir déjà été sur un site X, soit une proportion plus de dix fois supérieure à celle observée en 2006 (4%).


La pratique de la masturbation tend également à se banaliser sous l’effet d’une explosion du nombre de femmes utilisant des objets de stimulation physique : près d’une Française sur deux (43%) admet en 2019 avoir déjà utilisé un vibromasseur, contre un peu plus d’une sur trois il y a cinq ans (37% en 2012) et à peine 9% il y a douze ans (2007).



Un répertoire sexuel de plus en plus diversifié si l’on en juge par la généralisation de certaines pratiques comme la fellation, le cunnilingus ou la sodomie Symbole de la conquête de l’indépendance sexuelle des femmes, l’essor de l’onanisme féminin va de pair avec un élargissement du répertoire sexuel si l’on juge par la banalisation de certaines pratiques bucco-génitales – comme la fellation ou le cunnilingus – ou anales (sodomie, anulingus).


Aujourd'hui, les pratiques orales constituent une composante courante de leur sexualité. En cinquante ans, le nombre de nombre de femmes ayant déjà léché le sexe de leur partenaire a en effet fortement progressé (+36 points) au point d’atteindre des seuils très proches (91%) de ceux des hommes (89%), signe d’une certaine réciprocité dans l’échange de ce genre de caresses fréquemment associées aux phases de préliminaires.


Si l’exploration du versant anal de sa sexualité tend plus à venir avec l’âge, il est intéressant de noter que la sodomie est désormais une pratique majoritaire : 53% des femmes s’y sont prêtées au moins une fois. Et cette pratique s’est elle aussi fortement banalisée au cours des 50 dernières années : la proportion de femmes s’étant déjà adonnées à la pénétration anale a été quasiment multipliée par quatre depuis 1970 (14%).


Pénétrer l’homme : vers une plus grande disposition à inverser les rôles sexuels traditionnels


Cette propension des femmes à assumer un rôle sexuel plus actif transparaît aussi dans l’adoption de comportements transgressant les normes de genre telles que la pénétration digitale de l’anus de son partenaire (22%) ou l’administration d’un anulingus à un homme (15%).


Chez les femmes des milieux populaires, on observe en effet une plus grande « rigidité de genre » dans leurs pratiques anales avec les hommes : à peine 7% des ouvrières ont déjà pénétré l’anus de leur partenaire avec un doigt, soit quatre fois moins que les cadres et professions intellectuelles supérieures (33%).

A la lecture de ces résultats, certains hommes parviennent donc moins aisément que d’autres à s’écarter des normes, sans doute en raison de leurs difficultés à admettre la part de féminité associée à la passivité sexuelle et par là le risque d’une potentielle remise en cause leur identité de genre.
vraiment on vit dans une époque de débauche incroyable

Soljenitsyne disait qu'on asservit mieux le peuple avec la pornographie qu'avec des miradors, et tout aujourd'hui prouve qu'il a raison, on répète le spectacle désolant de la Rome antique
:tristounette:
il y a un an
La dissolution raciale
:meuf_fragile:
il y a un an
Sainte
Sainte
1 an
vraiment on vit dans une époque de débauche incroyable

Soljenitsyne disait qu'on asservit mieux le peuple avec la pornographie qu'avec des miradors, et tout aujourd'hui prouve qu'il a raison, on répète le spectacle désolant de la Rome antique
:tristounette:
Ha désolé j'ai voulu mettre le spoil pour toi mais ça cassait la mise en page c'était chiant
:Risisinge:
il y a un an
Vite vite mon porno pitié mon porno mes abonnements only fan pitié :zidane_tarax:
il y a un an
c'est pas que physique mais en partie
il y a un an
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1 an
Mais alors quel est ton opinion sur ce fameux GR ?
Vous devez être au niveau 41 pour voir ce message.
il y a un an