Ce sujet a été résolu
@Popa
Il a fait aussi pour terminator
Il a fait aussi pour terminator
Gardez mémoire de moi, non point tel que j’ai failli, mais tel que j’étais.
il y a un an
OULA comment ça mein BRUDER??
Gardez mémoire de moi, non point tel que j’ai failli, mais tel que j’étais.
il y a un an
Défaite de 1940 : l’armée française mal préparée, "une légende construite par Vichy"
Tiens tiens
il y a un an
Peut-être que si. En tout cas si t’as pas la réponse t’es personne pour juger de ce qui a été fait.
Des spécialistes ont la réponse et bizzarement c'est pas celle de Pétain
il y a un an
Quand elle asperge le parfum chez toi pour te rendre accro et loco
Le rebeu séfarade distingué du
il y a un an
les sources de rayman c'est des articles de torches cul mais ce gars putain c'est la pire imposture faites quelque chose je vous en conjure
faites quelque chose !!!
faites quelque chose !!!
il y a un an
Lapellent
1 an
les sources de rayman c'est des articles de torches cul mais ce gars putain c'est la pire imposture faites quelque chose je vous en conjure
faites quelque chose !!!
faites quelque chose !!!
Gardez mémoire de moi, non point tel que j’ai failli, mais tel que j’étais.
il y a un an
il y a un an
C de la toruture, tu sens son odeur mais elle n'est pas là
Technique d'emprise pour te rendre loco
Le rebeu séfarade distingué du
il y a un an
France 24 : L'armée française était-elle vraiment si mal préparée face à l’attaque allemande?
Michaël Bourlet : L’armée française de 1939-1940 est assimilée à la peu glorieuse "drôle de guerre", à la défaite militaire de mai-juin et au naufrage politique de juin 1940. Dans la mémoire collective française, elle incarne l’une des plus grandes défaites militaires de la France. L’idée selon laquelle l’armée était mal préparée, peu motivée, mal équipée face à une Wehrmacht bien préparée et invincible, est une légende construite par Vichy, et encore entretenue aujourd’hui malheureusement, comme un élément de justification. Il est mieux d’avouer sa défaite face à une armée plus forte que plus faible !
Car oui, malgré les lacunes et les difficultés, l’armée française possède les moyens, le matériel et cinq millions d’hommes, plus qu’en 1914, pour se battre en 1939. Les budgets consacrés aux armées, qui ne cessent d’augmenter depuis le milieu des années 1930, ont permis de rééquiper l’armée de l’air, de motoriser l’armée de terre, d’achever la ligne Maginot, une ligne fortifiée sur les frontières Est de la France, et de construire, au prix d’un effort considérable, une flotte puissante. Avec l’armée britannique, l’armée française possède un avantage incontestable sur l’armée allemande. Le haut commandement ne reste pas inactif avant la guerre. Il planifie et définit une doctrine qui imagine la guerre comme en 1918 : offensives à objectifs limités, champs de bataille préparés, fronts continus et puissance du feu pour briser le mouvement de l’adversaire.
Dans l'imaginaire collectif, on a l'image d'une débâcle avec une armée française peu courageuse. Qu'en-est-il en réalité ?
Cette armée a laissé l’image d’une armée peu courageuse et peu combative. Il est vrai que certains chefs n’ont pas su réagir, que certaines unités, peu aguerries pendant la "drôle de guerre", ont paniqué ou se sont débandées. Dans les faits, les soldats français se sont battus avec courage et ténacité. Le bilan des pertes de la campagne de France nous montre combien les combats ont été rudes. On est loin de l’image véhiculée par le film "La 7e compagnie" !
Aujourd’hui, les dernières recherches montrent qu’environ 60 000 soldats français ont été tués entre mai et juin 1940. De son côté, l’armée allemande perd 30 % de ses chars et avions pendant la campagne de France. Ses pertes humaines sont estimées à 27 000 tués et disparus en juin et 21 000 en mai. Ces pertes valent ou sont même supérieures aux batailles de la Grande Guerre. Ainsi, il y a vraisemblablement plus de soldats allemands et français tués ou disparus en 1940 qu’au Chemin des Dames en 1917.
notre pays rencontre face à la crise sanitaire que nous connaissons. Ce qui n’a aucun sens !
Les raisons de la défaite ne sont pas industrielles, techniques ou même démographiques. On l’a vu, l’armée française possède des hommes, du matériel et de l’armement en nombre et en qualité. Son moral est bon en 1939 même si la période de la "drôle de guerre" contribue à l’affaiblir fortement. Les raisons de cette défaite sont d’abord intellectuelles et doctrinales. Le commandement ne parvient pas à penser la guerre qu’il doit mener. Focalisé sur les enseignements de la Première Guerre mondiale, l’état-major français est incapable de s’adapter aux nouvelles formes de la guerre. Les Français font moins bien que ce que leur doctrine préconisait. Les Allemands font mieux. La défaite de la France est totale.
Michaël Bourlet : L’armée française de 1939-1940 est assimilée à la peu glorieuse "drôle de guerre", à la défaite militaire de mai-juin et au naufrage politique de juin 1940. Dans la mémoire collective française, elle incarne l’une des plus grandes défaites militaires de la France. L’idée selon laquelle l’armée était mal préparée, peu motivée, mal équipée face à une Wehrmacht bien préparée et invincible, est une légende construite par Vichy, et encore entretenue aujourd’hui malheureusement, comme un élément de justification. Il est mieux d’avouer sa défaite face à une armée plus forte que plus faible !
Car oui, malgré les lacunes et les difficultés, l’armée française possède les moyens, le matériel et cinq millions d’hommes, plus qu’en 1914, pour se battre en 1939. Les budgets consacrés aux armées, qui ne cessent d’augmenter depuis le milieu des années 1930, ont permis de rééquiper l’armée de l’air, de motoriser l’armée de terre, d’achever la ligne Maginot, une ligne fortifiée sur les frontières Est de la France, et de construire, au prix d’un effort considérable, une flotte puissante. Avec l’armée britannique, l’armée française possède un avantage incontestable sur l’armée allemande. Le haut commandement ne reste pas inactif avant la guerre. Il planifie et définit une doctrine qui imagine la guerre comme en 1918 : offensives à objectifs limités, champs de bataille préparés, fronts continus et puissance du feu pour briser le mouvement de l’adversaire.
Dans l'imaginaire collectif, on a l'image d'une débâcle avec une armée française peu courageuse. Qu'en-est-il en réalité ?
Cette armée a laissé l’image d’une armée peu courageuse et peu combative. Il est vrai que certains chefs n’ont pas su réagir, que certaines unités, peu aguerries pendant la "drôle de guerre", ont paniqué ou se sont débandées. Dans les faits, les soldats français se sont battus avec courage et ténacité. Le bilan des pertes de la campagne de France nous montre combien les combats ont été rudes. On est loin de l’image véhiculée par le film "La 7e compagnie" !
Aujourd’hui, les dernières recherches montrent qu’environ 60 000 soldats français ont été tués entre mai et juin 1940. De son côté, l’armée allemande perd 30 % de ses chars et avions pendant la campagne de France. Ses pertes humaines sont estimées à 27 000 tués et disparus en juin et 21 000 en mai. Ces pertes valent ou sont même supérieures aux batailles de la Grande Guerre. Ainsi, il y a vraisemblablement plus de soldats allemands et français tués ou disparus en 1940 qu’au Chemin des Dames en 1917.
notre pays rencontre face à la crise sanitaire que nous connaissons. Ce qui n’a aucun sens !
Les raisons de la défaite ne sont pas industrielles, techniques ou même démographiques. On l’a vu, l’armée française possède des hommes, du matériel et de l’armement en nombre et en qualité. Son moral est bon en 1939 même si la période de la "drôle de guerre" contribue à l’affaiblir fortement. Les raisons de cette défaite sont d’abord intellectuelles et doctrinales. Le commandement ne parvient pas à penser la guerre qu’il doit mener. Focalisé sur les enseignements de la Première Guerre mondiale, l’état-major français est incapable de s’adapter aux nouvelles formes de la guerre. Les Français font moins bien que ce que leur doctrine préconisait. Les Allemands font mieux. La défaite de la France est totale.
il y a un an
comment va tu mon ami???
Gardez mémoire de moi, non point tel que j’ai failli, mais tel que j’étais.
il y a un an