Ce sujet a été résolu
j’ai juste dit « c privé dsl » et il a rep « ok bah ta meuf a raison fdp » . . . Delit peut confirmer et @Popa il ne merite pas un sticker calin
J'ai dis "fils de pute" a la fin pas "fdp" par contre hein
il y a un an
deja c’est sn4k pas Sn4k et il est DÉCÉDÉ ptn @Pasteque dis lui jsp
On espere qu'il s'en remettra
il y a un an
Il a le nez tatillon peut être
Change de deo pour voir si il préfère
Change de deo pour voir si il préfère
Tu dis ça parce quil est noir connasse ???
il y a un an
J'ai dis "fils de pute" a la fin pas "fdp" par contre hein
Je confirme les propos de tismey
il y a un an
Cela fait longtemps que je dois le lire, je le vois souvent citer avec Popper, du reste il est vrai que le champs scientifique est loin d'être mon domaine, et donc tous les ouvrages s'y approchant, j'ai tendance à les remettre au lendemain, ayant déjà une autre centaine de bouquins en priorité, mais ça viendra, son bouquin contre la méthode est déjà dans ma liste d'achats (qui elle aussi comprend une autre centaine de priorités)
il y a un an
Tu dis ça parce quil est noir connasse ???
j’avais pas vu !!!!! racisme BANALISÉ
On it again
il y a un an
Chacun avantage celui qui le ressemble, ce n’est pas que l’apanage des juifs
Surtout en situation de crise
Le jour où je devrais choisir entre un français ou un étranger j’irais plutôt vers le français
Le jour où je devrais choisir entre un élève de mon ancien lycée ou celui d’un établissement scolaire random j’aurais envie de privilégier celui de mon lycée
Le jour où je devrais choisir entre un amateur de foot et un amateur de littérature j’irais également vers l’amateur de littérature
Surtout en situation de crise
Le jour où je devrais choisir entre un français ou un étranger j’irais plutôt vers le français
Le jour où je devrais choisir entre un élève de mon ancien lycée ou celui d’un établissement scolaire random j’aurais envie de privilégier celui de mon lycée
Le jour où je devrais choisir entre un amateur de foot et un amateur de littérature j’irais également vers l’amateur de littérature
Fais gaffe ça ressemble étrangement à la tirade célèbre du père Lepen "je préfère ma fille à mon voisin, mon voisin à un compatriote éloigné et un français à un étranger"
il y a un an
Tu crois en quoi ?" La science" mdrrrrr
Ok 2sur10 mdrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr
il y a un an
Aussi, je n'ai pas vraiment confiance aux scientifiques modernes, qui sont seulement à la solde des courants de pensées à la mode, comme celui effectivement du cosmopolitisme, qu'on fera croire comme naturel par des études, alors que la réalité a toujours montré l'inverse
Norbert Roby, ancien professeur de mathématiques à l’université de Montpellier, Le mondialisme – Mythe et réalité (Pages 55-64)
« II existe un cosmopolitisme scientifique tout comme il existe un cosmopolitisme politique et un cosmopolitisme financier. Il se trouve que l’un comme l’autre ont, pour l’établissement de leurs centrales, fait élection de domicile sur le territoire des États-Unis, et le langage cosmopolite qu’ils ont choisi est la langue anglaise. C’est pour cette raison que sont groupés aux USA les principaux organismes procédant à l’archivage de toutes les publications scientifiques effectuées dans le monde. […]
La carrière de tous les universitaires dans le monde est réglée de la même manière. L’accession d’un candidat aux grades de quelque importance est toujours subordonnée à la preuve d’une notoriété déjà acquise dans sa spécialité. L’examen de ce point est le critère essentiel de toute sélection universitaire. Cette preuve peut-être fournie par la participation active à des congrès ou colloques internationaux, par des invitations à séjourner dans des universités étrangères, à y enseigner, à y faire des exposés ou des recherches. Les attestations élogieuses en provenance de grands maitres étrangers sont des éléments d’appréciation extrêmement importants. Des références seulement nationales font, en comparaison, assez piètre figure.
Mais ce sont les publications qui constituent habituellement l’essentiel d’un dossier. Les publications sont des articles, pouvant faire de trois ou quatre pages à quelquefois plus de deux cents, où l’auteur expose les résultats nouveaux et originaux qu’il a obtenus dans sa spécialité. Souvent ces travaux complètent ou développent des travaux antérieurement publiés par d’autres, de toutes nationalités. Ainsi se créent des écoles multinationales pouvant constituer au cours des ans de véritables clans, avec aussi leurs exclusives. Leur spécialisation extrême et leur langage réservé rendent difficile la connaissance exacte de leurs activités par d’autres. Ainsi les critères d’évaluation restent-ils soumis à la seule appréciation de leurs membres. […]
Les articles sont filtrés et choisis par des comités de lecture généralement internationaux constitués de spécialistes universitaires. Mais comme les revues sont le plus souvent des entreprises privées, ces spécialistes sont choisis selon les critères et le bon vouloir de la maison d’édition. Leur compétence est toujours extrême. Par contre, leur impartialité n’est pas garantie, bien qu’il soit fort mal venu de la mettre en doute. Souvent, les mêmes spécialistes siègent dans plusieurs revues, ce qui offre des possibilités de barrages tous azimuts.
C’est dans ce système qu’est obligé de s’engager, quel que soit son pays, celui qui veut faire une carrière universitaire. Bien que dépendant, en principe, du seul État, c’est sur l’acceptation et sur l’appréciation de ses œuvres par des conseils éditoriaux privés, le plus souvent étrangers, sur lesquels l’État lui-même n’a aucun droit de regard, que se décident les conditions de la carrière d’un universitaire français. En outre, le témoignage d’un universitaire étranger est toujours tenu pour probant, dès l’instant que quelques compères français affirment qu’il a les titres requis. Aucune instance nationale n’a les moyens de s’assurer que la compétence est incontestable. Les seuls experts possibles en la matière se limitent souvent aux parties concernées.
Pour la délivrance des titres et diplômes tels que le doctorat, le pouvoir d’universitaires étrangers invités sur simple proposition de quelques universitaires français locaux en quête d’un jury est identique à celui d’un professeur français. Il existe donc de fait une caste internationale habilitée à la collation mondiale des diplômes. Il est en outre fréquent de voir de récents diplômés participer comme membres aux jurys du groupe dont ils sont issus. Ainsi se forment des équipes endogènes qui se développent par réaction en chaîne et qui, en raison du caractère ésotérique de leurs activités, restent soustraites à tout contrôle intellectuel autre que le leur. L’État est désarmé en présence de telles féodalités scientifiques. […]
Il suffit souvent que quelqu’un ait réussi à se constituer un groupement de deux ou trois personnes étrangères, comme lui et pour la même raison en quête de relations, pour que sa réputation internationale soit établie. Le Français F saura, dans ses dossiers de candidature et ses rapports d’activité, mettre en relief les relations scientifiques qu’il entretient avec l’Américain A, le Brésilien B et le Canadien C. Mais en allant voir sur place ce qui se passe au Brésil par exemple, On s’apercevra que la réputation de B repose essentiellement sur l’affirmation qu’il travaille en relation avec le Français F.
Chacun invitant l’autre à tour de rôle, chacun citant abondamment les autres dans ses publications et recueillant soigneusement, afin de s’en prévaloir dans son dossier, toutes les citations que les autres font abondamment de lui dans leurs œuvres, des réputations s’élaborent. Une rumeur soigneusement entretenue fait savoir au monde extérieur l’existence de ces relations. On y tiendra cela pour convaincant, car on n’a aucun moyen de procéder à une investigation véritable. […]
On peut ainsi, pour la gloire inutile de deux ou trois personnes et parfois moins, au seul bénéfice de leur carrière professionnelle, faire venir du bout du monde des conférenciers pour une communication de quarante minutes, tous frais payés, y compris l’avion et l’hôtel, et qui n’auraient même pas eu droit chez eux à autant d’égards. Il est évident que, confronté à de telles pratiques, l’authentique savant honnête, souvent modeste par nature et respectueux en outre de l’argent des contribuables de son pays, fera très rapidement figure de petit esprit. […]
Le problème de l’exclusion sur des critères éthiques et idéologiques me paraît particulièrement grave. Je ne crois pas qu’un jeune doctorant, si brillant fût-il, connu pour ses sympathies pour l’extrême droite, pourrait faire même une médiocre carrière dans l’enseignement supérieur. Déjà les signes extérieure d’une appartenance de droite sont suspects. […]
Je crois en outre que des listes noires existent et circulent jusqu’aux États-Unis, qui interdiront à un exclu de publier quoi que ce soit. Ses manuscrits lui seront retournés après un an d’attente, on lui dira que le sujet est d’un intérêt trop limité, qu’il concerne seulement un trop faible nombre de lecteurs, que la motivation de ses recherches n’est pas apparente, que ses travaux ne s’insèrent pas dans les préoccupations du moment, ou plus simplement que le rapport du « referee » a été négatif, sans autre explication. Il n’y a aucun recours. Ainsi, par une conjuration cosmopolite irresponsable devant la nation, toute possibilité de carrière pour un national peut se trouver tuée à la source. »
Norbert Roby, ancien professeur de mathématiques à l’université de Montpellier, Le mondialisme – Mythe et réalité (Pages 55-64)
« II existe un cosmopolitisme scientifique tout comme il existe un cosmopolitisme politique et un cosmopolitisme financier. Il se trouve que l’un comme l’autre ont, pour l’établissement de leurs centrales, fait élection de domicile sur le territoire des États-Unis, et le langage cosmopolite qu’ils ont choisi est la langue anglaise. C’est pour cette raison que sont groupés aux USA les principaux organismes procédant à l’archivage de toutes les publications scientifiques effectuées dans le monde. […]
La carrière de tous les universitaires dans le monde est réglée de la même manière. L’accession d’un candidat aux grades de quelque importance est toujours subordonnée à la preuve d’une notoriété déjà acquise dans sa spécialité. L’examen de ce point est le critère essentiel de toute sélection universitaire. Cette preuve peut-être fournie par la participation active à des congrès ou colloques internationaux, par des invitations à séjourner dans des universités étrangères, à y enseigner, à y faire des exposés ou des recherches. Les attestations élogieuses en provenance de grands maitres étrangers sont des éléments d’appréciation extrêmement importants. Des références seulement nationales font, en comparaison, assez piètre figure.
Mais ce sont les publications qui constituent habituellement l’essentiel d’un dossier. Les publications sont des articles, pouvant faire de trois ou quatre pages à quelquefois plus de deux cents, où l’auteur expose les résultats nouveaux et originaux qu’il a obtenus dans sa spécialité. Souvent ces travaux complètent ou développent des travaux antérieurement publiés par d’autres, de toutes nationalités. Ainsi se créent des écoles multinationales pouvant constituer au cours des ans de véritables clans, avec aussi leurs exclusives. Leur spécialisation extrême et leur langage réservé rendent difficile la connaissance exacte de leurs activités par d’autres. Ainsi les critères d’évaluation restent-ils soumis à la seule appréciation de leurs membres. […]
Les articles sont filtrés et choisis par des comités de lecture généralement internationaux constitués de spécialistes universitaires. Mais comme les revues sont le plus souvent des entreprises privées, ces spécialistes sont choisis selon les critères et le bon vouloir de la maison d’édition. Leur compétence est toujours extrême. Par contre, leur impartialité n’est pas garantie, bien qu’il soit fort mal venu de la mettre en doute. Souvent, les mêmes spécialistes siègent dans plusieurs revues, ce qui offre des possibilités de barrages tous azimuts.
C’est dans ce système qu’est obligé de s’engager, quel que soit son pays, celui qui veut faire une carrière universitaire. Bien que dépendant, en principe, du seul État, c’est sur l’acceptation et sur l’appréciation de ses œuvres par des conseils éditoriaux privés, le plus souvent étrangers, sur lesquels l’État lui-même n’a aucun droit de regard, que se décident les conditions de la carrière d’un universitaire français. En outre, le témoignage d’un universitaire étranger est toujours tenu pour probant, dès l’instant que quelques compères français affirment qu’il a les titres requis. Aucune instance nationale n’a les moyens de s’assurer que la compétence est incontestable. Les seuls experts possibles en la matière se limitent souvent aux parties concernées.
Pour la délivrance des titres et diplômes tels que le doctorat, le pouvoir d’universitaires étrangers invités sur simple proposition de quelques universitaires français locaux en quête d’un jury est identique à celui d’un professeur français. Il existe donc de fait une caste internationale habilitée à la collation mondiale des diplômes. Il est en outre fréquent de voir de récents diplômés participer comme membres aux jurys du groupe dont ils sont issus. Ainsi se forment des équipes endogènes qui se développent par réaction en chaîne et qui, en raison du caractère ésotérique de leurs activités, restent soustraites à tout contrôle intellectuel autre que le leur. L’État est désarmé en présence de telles féodalités scientifiques. […]
Il suffit souvent que quelqu’un ait réussi à se constituer un groupement de deux ou trois personnes étrangères, comme lui et pour la même raison en quête de relations, pour que sa réputation internationale soit établie. Le Français F saura, dans ses dossiers de candidature et ses rapports d’activité, mettre en relief les relations scientifiques qu’il entretient avec l’Américain A, le Brésilien B et le Canadien C. Mais en allant voir sur place ce qui se passe au Brésil par exemple, On s’apercevra que la réputation de B repose essentiellement sur l’affirmation qu’il travaille en relation avec le Français F.
Chacun invitant l’autre à tour de rôle, chacun citant abondamment les autres dans ses publications et recueillant soigneusement, afin de s’en prévaloir dans son dossier, toutes les citations que les autres font abondamment de lui dans leurs œuvres, des réputations s’élaborent. Une rumeur soigneusement entretenue fait savoir au monde extérieur l’existence de ces relations. On y tiendra cela pour convaincant, car on n’a aucun moyen de procéder à une investigation véritable. […]
On peut ainsi, pour la gloire inutile de deux ou trois personnes et parfois moins, au seul bénéfice de leur carrière professionnelle, faire venir du bout du monde des conférenciers pour une communication de quarante minutes, tous frais payés, y compris l’avion et l’hôtel, et qui n’auraient même pas eu droit chez eux à autant d’égards. Il est évident que, confronté à de telles pratiques, l’authentique savant honnête, souvent modeste par nature et respectueux en outre de l’argent des contribuables de son pays, fera très rapidement figure de petit esprit. […]
Le problème de l’exclusion sur des critères éthiques et idéologiques me paraît particulièrement grave. Je ne crois pas qu’un jeune doctorant, si brillant fût-il, connu pour ses sympathies pour l’extrême droite, pourrait faire même une médiocre carrière dans l’enseignement supérieur. Déjà les signes extérieure d’une appartenance de droite sont suspects. […]
Je crois en outre que des listes noires existent et circulent jusqu’aux États-Unis, qui interdiront à un exclu de publier quoi que ce soit. Ses manuscrits lui seront retournés après un an d’attente, on lui dira que le sujet est d’un intérêt trop limité, qu’il concerne seulement un trop faible nombre de lecteurs, que la motivation de ses recherches n’est pas apparente, que ses travaux ne s’insèrent pas dans les préoccupations du moment, ou plus simplement que le rapport du « referee » a été négatif, sans autre explication. Il n’y a aucun recours. Ainsi, par une conjuration cosmopolite irresponsable devant la nation, toute possibilité de carrière pour un national peut se trouver tuée à la source. »
Oui il dit juste qu'il est très difficile d'être publié dans des REVUES car cela repose beaucoup sur une principe de notoriété notamment internationale
Mais c'est uniquement dans le cas d'une volonté de carrière universitaire pour gagner en renommée,
La grande majorité des études scientifiques, essais et recherches sont sur research gate, arXiv... etc on appelle cela des preprint et de fait ne rentrent absolument pas en compte avec ce qui est décrit parce le monsieur parle uniquement des cas de cv à embellir quand on veut avoir une renommée dans la recherche
Pas de la recherche scientifique en elle même
Mais c'est uniquement dans le cas d'une volonté de carrière universitaire pour gagner en renommée,
La grande majorité des études scientifiques, essais et recherches sont sur research gate, arXiv... etc on appelle cela des preprint et de fait ne rentrent absolument pas en compte avec ce qui est décrit parce le monsieur parle uniquement des cas de cv à embellir quand on veut avoir une renommée dans la recherche
Pas de la recherche scientifique en elle même
Forgot that inside the icon there's still a young girl from
il y a un an