Ce sujet a été résolu
Un forum normaux avec des gens normals
This land is worth more than the industries that want it.
il y a un an
x0x0
1 an
Et vla l'autre zinzin avec sa Losy
Post sur Eminem dans 3...2...
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Je ne lui répond même plus c'est un cas perdu, il fait que me ping en boucle en plus
This land is worth more than the industries that want it.
il y a un an
Moi je veux rien imposer en tout cas ni les gens que je connais
il y a un an
Je ne lui répond même plus c'est un cas perdu, il fait que me ping en boucle en plus
Mais tu le fais exprès où quoi? Je te donne le message de Losy elle même et non, tu t'accroches à l'autre meuf qui se fait passer pour elle.
il y a un an
Mais tu le fais exprès où quoi? Je te donne le message de Losy elle même et non, tu t'accroches à l'autre meuf qui se fait passer pour elle.
Je te le demande très gentiment, juste arrête de me ping par pitié, genre stop on arrête je t'ignores et tu fais de même soit mature pour une fois dans ta vie
Juste c'est chiant, viens t'arrête
Juste c'est chiant, viens t'arrête
This land is worth more than the industries that want it.
il y a un an
Lysaelia
1 an
il y a un an
Imagine ce qui te fait plaisir comme scénario erotique tu peux même écrire une fanfiction ne bride pas ta créativité
arrivant a l'hotel nos trois personnage se rendit compte qu'une erreur venait de se produire , leur fidèle ami Yannick avait s'en sans rendre compte réservé uniquement deux chambre pour 3 et toute les chambres de l'hôtel était complète.
<<ça ne fait rien >> répondit litaire <<ça ne me dérange pas de partager mon lit , après tout ce n'est la que quelque jours a passer.
-rien ne peux entamer ton optimisme, ça me va aussi je prendrais la chambre avec toi >>
Yannick ne trouva la rien a redire bien content de dormir seul mais il ne put s'empêcher de trouver cela étrange de voir que Rayman avait accepté cette contrainte alors qu'il se plaignait des ronflements de litaire lors de leur précédent voyage au japon.
il avait remarqué qu'une complicité venait de naitre entre les deux, cela ne lui a donc pas paru suspect de voir qu'ils avaient insisté pour etre cote a coté dans l'avion, pas plus que les petites "private joke" qu'il se lançait a longueur de temps et meme les voir se tenir la main par moment ne semblait pas le troubler. Cependant le comportement de Rayman était bien étrange a ses yeux
d'un ton narquois et espiègle il lança a ses amis :
<<vous n'allez pas faire de cochonnerie hein>>
le duo nia d'un rire jaune visiblement gêné par la plaisanterie de leur copain
alors que le soleil était sur le point de se coucher Rayman sortit de la douche enfilant son peignoir italien rouge
<<la salle de bain est libre si tu en as envie
-viens plutôt admirer la vue depuis le balcon avec moi, on peut admirer tout Naples depuis notre chambre
-ça te dérange si je met de la musique ?>>
Rayman n'attendis pas la réponse et alluma l'enceinte
<< de la musique classique italienne je vois que tu es prévoyant
-pas autant que toi visiblement , tu es parti nous chercher du vin et des petits four ?
-Prosseco et burrata , tu vas voir c'est délicieux et typiquement italien>>
Rayman se servit un verre et se mit a coté de son ami pour le déguster
tout semblait pour le mieux , le coucher de soleil rendait naples encore plus radieuse, la brise délicate et le sourire de litaire lui inspira l'envie de le saisir par la taille et se placer derrière lui en soufflant profondément sur son cou. un court silence régna qui parut une éternité a Rayman inquiet de la réaction de son paternaire
<<cela ne te dérange pas ?
-pourquoi donc cela me dérengerait ?
je vois que tu as enlever tes lunettes
-pour me mettre plus a l'aise
-et si tu me passais un de ces petit four ? >>
Rayman pris avec ses deux doigt un morceau de pain trempé de burrata, en approchant sa main des lèvres entre ouverte de litaire , ces lèvres chaude et humide qui lui parut comme aimanté , Rayman inclina légèrement la tête en fermant les yeux et l'approcha si près de la bouche de litaire que...
<<ça ne fait rien >> répondit litaire <<ça ne me dérange pas de partager mon lit , après tout ce n'est la que quelque jours a passer.
-rien ne peux entamer ton optimisme, ça me va aussi je prendrais la chambre avec toi >>
Yannick ne trouva la rien a redire bien content de dormir seul mais il ne put s'empêcher de trouver cela étrange de voir que Rayman avait accepté cette contrainte alors qu'il se plaignait des ronflements de litaire lors de leur précédent voyage au japon.
il avait remarqué qu'une complicité venait de naitre entre les deux, cela ne lui a donc pas paru suspect de voir qu'ils avaient insisté pour etre cote a coté dans l'avion, pas plus que les petites "private joke" qu'il se lançait a longueur de temps et meme les voir se tenir la main par moment ne semblait pas le troubler. Cependant le comportement de Rayman était bien étrange a ses yeux
d'un ton narquois et espiègle il lança a ses amis :
<<vous n'allez pas faire de cochonnerie hein>>
le duo nia d'un rire jaune visiblement gêné par la plaisanterie de leur copain
alors que le soleil était sur le point de se coucher Rayman sortit de la douche enfilant son peignoir italien rouge
<<la salle de bain est libre si tu en as envie
-viens plutôt admirer la vue depuis le balcon avec moi, on peut admirer tout Naples depuis notre chambre
-ça te dérange si je met de la musique ?>>
Rayman n'attendis pas la réponse et alluma l'enceinte
<< de la musique classique italienne je vois que tu es prévoyant
-pas autant que toi visiblement , tu es parti nous chercher du vin et des petits four ?
-Prosseco et burrata , tu vas voir c'est délicieux et typiquement italien>>
Rayman se servit un verre et se mit a coté de son ami pour le déguster
tout semblait pour le mieux , le coucher de soleil rendait naples encore plus radieuse, la brise délicate et le sourire de litaire lui inspira l'envie de le saisir par la taille et se placer derrière lui en soufflant profondément sur son cou. un court silence régna qui parut une éternité a Rayman inquiet de la réaction de son paternaire
<<cela ne te dérange pas ?
-pourquoi donc cela me dérengerait ?
je vois que tu as enlever tes lunettes
-pour me mettre plus a l'aise
-et si tu me passais un de ces petit four ? >>
Rayman pris avec ses deux doigt un morceau de pain trempé de burrata, en approchant sa main des lèvres entre ouverte de litaire , ces lèvres chaude et humide qui lui parut comme aimanté , Rayman inclina légèrement la tête en fermant les yeux et l'approcha si près de la bouche de litaire que...
suite ?
membre de la confrérie des "Frères Validux"
il y a un an
il y a un an
Je te le demande très gentiment, juste arrête de me ping par pitié, genre stop on arrête je t'ignores et tu fais de même soit mature pour une fois dans ta vie
Juste c'est chiant, viens t'arrête
Juste c'est chiant, viens t'arrête
Tu me sors à chaque fois ton message d'une fille qui se fait passer pour Losy pour me dire que je harcèle des meufs...
Je te donne le témoignage de Losy elle même qui dit que c'est faux.
Je te donne le témoignage de Losy elle même qui dit que c'est faux.
il y a un an
il y a un an
Bichromatick
1 an
Le mec m'agresse à chaque fois et quand je me défend il chiale il faut le faire.
Au pire donnez vous rdv pour vous taper dessus IRL nn ? Ca a toujours été comme ça qu'on détermine qui a raison

il y a un an
Au pire donnez vous rdv pour vous taper dessus IRL nn ? Ca a toujours été comme ça qu'on détermine qui a raison

Il peut aussi.aller sur ce lien tout en bas
https://jvarchive.com/for[...]0-j-ai-esaye-de-l-oublier
Il verra que Losy n'a pas du tout apprecié que l'autre me disent ça.
Il verra que Losy n'a pas du tout apprecié que l'autre me disent ça.
il y a un an
arrivant a l'hotel nos trois personnage se rendit compte qu'une erreur venait de se produire , leur fidèle ami Yannick avait s'en sans rendre compte réservé uniquement deux chambre pour 3 et toute les chambres de l'hôtel était complète.
<<ça ne fait rien >> répondit litaire <<ça ne me dérange pas de partager mon lit , après tout ce n'est la que quelque jours a passer.
-rien ne peux entamer ton optimisme, ça me va aussi je prendrais la chambre avec toi >>
Yannick ne trouva la rien a redire bien content de dormir seul mais il ne put s'empêcher de trouver cela étrange de voir que Rayman avait accepté cette contrainte alors qu'il se plaignait des ronflements de litaire lors de leur précédent voyage au japon.
il avait remarqué qu'une complicité venait de naitre entre les deux, cela ne lui a donc pas paru suspect de voir qu'ils avaient insisté pour etre cote a coté dans l'avion, pas plus que les petites "private joke" qu'il se lançait a longueur de temps et meme les voir se tenir la main par moment ne semblait pas le troubler. Cependant le comportement de Rayman était bien étrange a ses yeux
d'un ton narquois et espiègle il lança a ses amis :
<<vous n'allez pas faire de cochonnerie hein>>
le duo nia d'un rire jaune visiblement gêné par la plaisanterie de leur copain
alors que le soleil était sur le point de se coucher Rayman sortit de la douche enfilant son peignoir italien rouge
<<la salle de bain est libre si tu en as envie
-viens plutôt admirer la vue depuis le balcon avec moi, on peut admirer tout Naples depuis notre chambre
-ça te dérange si je met de la musique ?>>
Rayman n'attendis pas la réponse et alluma l'enceinte
<< de la musique classique italienne je vois que tu es prévoyant
-pas autant que toi visiblement , tu es parti nous chercher du vin et des petits four ?
-Prosseco et burrata , tu vas voir c'est délicieux et typiquement italien>>
Rayman se servit un verre et se mit a coté de son ami pour le déguster
tout semblait pour le mieux , le coucher de soleil rendait naples encore plus radieuse, la brise délicate et le sourire de litaire lui inspira l'envie de le saisir par la taille et se placer derrière lui en soufflant profondément sur son cou. un court silence régna qui parut une éternité a Rayman inquiet de la réaction de son paternaire
<<cela ne te dérange pas ?
-pourquoi donc cela me dérengerait ?
je vois que tu as enlever tes lunettes
-pour me mettre plus a l'aise
-et si tu me passais un de ces petit four ? >>
Rayman pris avec ses deux doigt un morceau de pain trempé de burrata, en approchant sa main des lèvres entre ouverte de litaire , ces lèvres chaude et humide qui lui parut comme aimanté , Rayman inclina légèrement la tête en fermant les yeux et l'approcha si près de la bouche de litaire que...
<<ça ne fait rien >> répondit litaire <<ça ne me dérange pas de partager mon lit , après tout ce n'est la que quelque jours a passer.
-rien ne peux entamer ton optimisme, ça me va aussi je prendrais la chambre avec toi >>
Yannick ne trouva la rien a redire bien content de dormir seul mais il ne put s'empêcher de trouver cela étrange de voir que Rayman avait accepté cette contrainte alors qu'il se plaignait des ronflements de litaire lors de leur précédent voyage au japon.
il avait remarqué qu'une complicité venait de naitre entre les deux, cela ne lui a donc pas paru suspect de voir qu'ils avaient insisté pour etre cote a coté dans l'avion, pas plus que les petites "private joke" qu'il se lançait a longueur de temps et meme les voir se tenir la main par moment ne semblait pas le troubler. Cependant le comportement de Rayman était bien étrange a ses yeux
d'un ton narquois et espiègle il lança a ses amis :
<<vous n'allez pas faire de cochonnerie hein>>
le duo nia d'un rire jaune visiblement gêné par la plaisanterie de leur copain
alors que le soleil était sur le point de se coucher Rayman sortit de la douche enfilant son peignoir italien rouge
<<la salle de bain est libre si tu en as envie
-viens plutôt admirer la vue depuis le balcon avec moi, on peut admirer tout Naples depuis notre chambre
-ça te dérange si je met de la musique ?>>
Rayman n'attendis pas la réponse et alluma l'enceinte
<< de la musique classique italienne je vois que tu es prévoyant
-pas autant que toi visiblement , tu es parti nous chercher du vin et des petits four ?
-Prosseco et burrata , tu vas voir c'est délicieux et typiquement italien>>
Rayman se servit un verre et se mit a coté de son ami pour le déguster
tout semblait pour le mieux , le coucher de soleil rendait naples encore plus radieuse, la brise délicate et le sourire de litaire lui inspira l'envie de le saisir par la taille et se placer derrière lui en soufflant profondément sur son cou. un court silence régna qui parut une éternité a Rayman inquiet de la réaction de son paternaire
<<cela ne te dérange pas ?
-pourquoi donc cela me dérengerait ?
je vois que tu as enlever tes lunettes
-pour me mettre plus a l'aise
-et si tu me passais un de ces petit four ? >>
Rayman pris avec ses deux doigt un morceau de pain trempé de burrata, en approchant sa main des lèvres entre ouverte de litaire , ces lèvres chaude et humide qui lui parut comme aimanté , Rayman inclina légèrement la tête en fermant les yeux et l'approcha si près de la bouche de litaire que...
suite ?
Taréent
il y a un an
Au pire donnez vous rdv pour vous taper dessus IRL nn ? Ca a toujours été comme ça qu'on détermine qui a raison

Cette hypothèse concerne surement moins de 0.0001% des conflits sur internet
This land is worth more than the industries that want it.
il y a un an
Par contre vous pouvez faire une recherche sur JVA pour moi. Je sais pas quelle raison j'y arrive pas.
Des musiques pour pleurer une fille?
C'est mon sujet y'a 3 musiques dessus.
Des musiques pour pleurer une fille?
C'est mon sujet y'a 3 musiques dessus.
il y a un an
Au pire donnez vous rdv pour vous taper dessus IRL nn ? Ca a toujours été comme ça qu'on détermine qui a raison

Dans une ruelle sombre et peu fréquentée, Glock attendait impatiemment, ses poings serrés et son souffle rapide, son regard rivé sur l'entrée de la rue. Le froid mordant de la nuit semblait attiser la rage qui bouillonnait en lui. Il était en train de revivre l'altercation virtuelle qu'il avait eue plus tôt sur le forum "Onche". Ses accusations contre Bichromatik étaient graves, mais il se sentait justifié. Losy, une femme qu'ils connaissaient tous les deux, avait confié à Glock qu'elle se sentait harcelée par Bichromatik.
Les pas lourds de Bichromatik résonnèrent bientôt dans la ruelle, interrompant les pensées de Glock. Bichromatik était un homme imposant, aux muscles saillants et à l'allure menaçante. Il s'avançait avec une détermination qui égalait la colère de Glock.
"D'accord, on règle ça ici et maintenant," grogna Glock en voyant son adversaire s'approcher. Bichromatik répondit par un simple hochement de tête, son regard brûlant de haine.
La bagarre éclata immédiatement, une explosion de coups de poing et de cris étouffés. Les deux hommes se battirent avec une férocité animale, chacun essayant de dominer l'autre. Glock sentait la force brute de Bichromatik, mais il ne voulait pas céder. Chaque coup, chaque douleur n'était qu'un carburant supplémentaire pour sa colère.
Soudain, dans un moment de confusion, Bichromatik attrapa Glock par la ceinture, ses doigts glissant plus bas que prévu. Glock, surpris, se raidit. Ce contact inattendu créa une décharge électrique entre eux, leur rage se transformant en une tension différente.
Leurs yeux se rencontrèrent, et quelque chose changea. Ce qui avait commencé comme une bataille physique se transforma en un duel d'émotions refoulées. La haine céda la place à un désir brut et intense. Sans réfléchir, Glock se pencha en avant, ses lèvres trouvant celles de Bichromatik dans un baiser féroce et passionné.
Le baiser était tout sauf tendre ; c'était une collision de désirs et de frustrations. Ils s'embrassèrent avec une intensité qui surpassait celle de leur bagarre, leurs corps se pressant l'un contre l'autre, la chaleur de leur peau contrastant avec le froid de la nuit.
Leurs mains explorèrent frénétiquement, chacun cherchant à dominer et à céder simultanément. La ruelle, autrefois un lieu de combat, devint un sanctuaire d'émotions déchaînées.
Glock sentit son cœur battre la chamade, tandis que les lèvres de Bichromatik descendirent le long de son cou. Les conflits qui les avaient opposés semblaient soudainement insignifiants face à cette nouvelle réalité. Les deux hommes, unis par un besoin primal, se laissèrent emporter par la passion, oubliant tout le reste.
Dans cette ruelle sombre, Glock et Bichromatik trouvèrent un exutoire inattendu à leur colère. Leur rencontre, née d'une querelle virtuelle, devint un moment de connexion intense, transformant la haine en désir, et le conflit en une union inattendue.
Les pas lourds de Bichromatik résonnèrent bientôt dans la ruelle, interrompant les pensées de Glock. Bichromatik était un homme imposant, aux muscles saillants et à l'allure menaçante. Il s'avançait avec une détermination qui égalait la colère de Glock.
"D'accord, on règle ça ici et maintenant," grogna Glock en voyant son adversaire s'approcher. Bichromatik répondit par un simple hochement de tête, son regard brûlant de haine.
La bagarre éclata immédiatement, une explosion de coups de poing et de cris étouffés. Les deux hommes se battirent avec une férocité animale, chacun essayant de dominer l'autre. Glock sentait la force brute de Bichromatik, mais il ne voulait pas céder. Chaque coup, chaque douleur n'était qu'un carburant supplémentaire pour sa colère.
Soudain, dans un moment de confusion, Bichromatik attrapa Glock par la ceinture, ses doigts glissant plus bas que prévu. Glock, surpris, se raidit. Ce contact inattendu créa une décharge électrique entre eux, leur rage se transformant en une tension différente.
Leurs yeux se rencontrèrent, et quelque chose changea. Ce qui avait commencé comme une bataille physique se transforma en un duel d'émotions refoulées. La haine céda la place à un désir brut et intense. Sans réfléchir, Glock se pencha en avant, ses lèvres trouvant celles de Bichromatik dans un baiser féroce et passionné.
Le baiser était tout sauf tendre ; c'était une collision de désirs et de frustrations. Ils s'embrassèrent avec une intensité qui surpassait celle de leur bagarre, leurs corps se pressant l'un contre l'autre, la chaleur de leur peau contrastant avec le froid de la nuit.
Leurs mains explorèrent frénétiquement, chacun cherchant à dominer et à céder simultanément. La ruelle, autrefois un lieu de combat, devint un sanctuaire d'émotions déchaînées.
Glock sentit son cœur battre la chamade, tandis que les lèvres de Bichromatik descendirent le long de son cou. Les conflits qui les avaient opposés semblaient soudainement insignifiants face à cette nouvelle réalité. Les deux hommes, unis par un besoin primal, se laissèrent emporter par la passion, oubliant tout le reste.
Dans cette ruelle sombre, Glock et Bichromatik trouvèrent un exutoire inattendu à leur colère. Leur rencontre, née d'une querelle virtuelle, devint un moment de connexion intense, transformant la haine en désir, et le conflit en une union inattendue.
membre de la confrérie des "Frères Validux"
il y a un an