RP Fantasy entre Onchois

Subitement, tu sens un fourmillement inconfortable au niveau de tes jambes et bras, ainsi qu'une sensation d'étouffement. Un fort sentiment de danger s'empare de toi, mais paradoxalement, tu as la certitude que les esprits n'ont pas de mauvaise intention

Le fourmillement et les sensations cessent subitement, te laissant le choix de suivre les esprits ou non

Tu remarques par la même occasion que les esprits maintiennent les gobelins à distance, mais va savoir où ils te mènent...

Voyant que c'est soit les feux follets, soit les gobelins, je préfère continuer à suivre les esprits pour l'instant. Je récite toutefois quelques prières, silencieuses ou marmonnées, de sorte à préparer éventuellement un sort en cas de pépin comme le laissait indiquer mon instinct

Le bruit d'un combat attire l'attention de Blanche, une jeune randonneuse avec des compétences de mage qui s'est égarée dans les bois et a perdu la trace de ses amies. Elle décide d'observer l'affrontement et de s'allier à ceux qui resteront debout (à moins que ce soit le gobelin, auquel cas il y aura un ou deux cadavres à looter).

Oder le phasme mendiant 0 se retrouve les jambes écartées

"Bordel sstp arrête, par le grand Onche je ne mérite pas ça"

L'épée frappe le gobelin sur le côté, il tombe par terre et tu constates qu'il ne saigne pas, vous ne risquez pas de bouffer de la viande saignantent ce soir

Frémissant, il se relève comme si de rien n'était et attaque à nouveau, cette fois il vise tes jambes

Tandis que tu observes l'affrontement au loin, des feus follets sortent discrètement de derrière les arbres, et commencent à te tourner autour, comme en disant bonjour... mais ils ne te guident nulle part, ils ne font que tourner gentiment

Le gobelin arrive à te griffer légèrement la jambe droite, mais tu lui donnes un coup de pied brutal et il tombe par terre

Tu assènes un grand coup d'épée qui le tranche à moitié - une odeur à charbon sort du corps mutilé

Il ne lui reste qu'un bout du corps sans jambes, avec un bras et la tête.

A ton étonnement, ce bout de corps commence à ramper vers toi avec 1 seul bras, ses yeux rouges brillent toujours mais avec un peu moins d'intensité

A noter que la bête est pratiquement inoffensive en cet état, elle est lente et la neige difficulte encore son mouvement. La terminer n'est pas la seule option, il serait aussi possible de l'étudier plus en détail tant qu'elle est "vivante"

Ou alors vous pouvez simplement en finir et continuer votre chemin, n'oubliez pas les fruits glacés qui brillent légèrement et ont le toucher dur comme la glace

(je repost ce message car je ne t'avais pas cité)

Les esprits te mènent à travers la forêt nocturne. Ton champ de vision est très réduit, mais les esprits illuminent légèrement autour de toi. Tu avances péniblement à travers la neige, qui devient de plus en plus profonde, arrivant à tes genoux

Tu remarques alors que les flocons de neige qui tombent ont changé de couleur... ils ont une teinte violette, presque noire pour certains. La neige sous tes pieds devient elle-même noire, et à une texture légèrement différente, comme de la boue. Une odeur nauséabonde commence à se faufiler dans tes narines, comme une puanteur de cadavre...

Les feus follets commencent à prendre des directions étranges, un coup à droite, un coup à gauche, alors qu'ils pourraient aller tout droit.

Dans tous les cas tu ressens une force maligne dans l'air, mais tu as encore l'opportunité de revenir en arrière ou de reconsidérer tes choix de vie

"Y a rien de bon vers l'avant.." lâche Célestinus, les feux follets semblant agités par quelque chose en face, une sorte de malédiction frapperait cet endroit ? Au vu de la situation où il se trouve : Neige jusqu'aux genous, tremblant de froid et sans armes, il se dit qu'il va falloir faire un choix. Gauche ou droite, mais pas devant. Reculer serait tentant, mais qui dit que les gobelins ne le suivent pas à la traîne, grattant du terrain dans l'ombre tandis que les feux follets s'éloignent d'où ils se trouvaient ?

Il décide, s'il ne repère pas le premier feu follet qu'il avait aperçu, de prendre par la gauche et de voir où cela le mènera à la fin, il se dit qu'il pourra revenir sur ses pas mais prie pour que cela l'amène vers un endroit plus hospitalier, le froid finira par le mordre.

Le gobelin est finito, ses yeux s'éteignent et son corps est similaire à un tas de branches mortes

Tu croques dans le fruit sans une once de vergogne. Mais en dépit du toucher dur comme la glace, tu mords dans le fruit comme s'il s'agissait d'une poire commune, et il fond dans ta bouche, on dirait une glace. Il est frais et délicieux, et il y en a en bon nombre

Diantre, c'est bien bon

Godefroid mange deux autres de ces fruits avant de se mettre à en cueillir d'autres pour ses nouveaux compagnons qu'il pose dans un petit sac en cuir.

Quand tu prononces ces mots, les feux follets s'arrêtent et se mettent à clignoter tous ensemble. Le plus grand - le premier - s'avance au niveau de ton visage, comme s'il te regardait dans les yeux, puis s'en va rapidement vers la gauche.

Après quelques pas, tu remarques l'entrée à une sorte de caverne. L'esprit illumine l'intérieur : les parois ont une couleur pourpre obscur, et tu remarques plusieurs... toiles d'araignée géantes pendant tout au long. Aussi, tu aperçois une espèce de fourmillement sur les murs

Tous les feux follets rentrent dans la caverne, comme s'ils t'attendaient. La grotte descend encore, tu ne sais pas à quelle profondeur

(je reviens plus tard, réfléchissez bien à votre situation)

Je lève les yeux au ciel et croise les bras, priant pour que ces feux follets n'attirent pas l'attention mal venue des gobelins, ou pire, des dégénérés en train de se chamailler avec l'un d'entre eux.

(Je reposte, oubli de citation)

Célestinus avait fait beaucoup de chemin jusqu'ici et il repense, avec un peu de mélancolie maintenant, tout ce qui lui est arrivé jusqu'ici aujourd'hui : Pauvre vieux bougre vivant dans son monastère, à pratiquer avec ferveur sa foi pour Onche, en dansant tous les soirs durant la très grande et sainte "Onchepartie" Il est désormais là, seul, livré à lui-même, aux portes de ce qui semble être les portes mêmes de l'enfer.

Mais derrière lui il y a le froid, il y a un danger, bien moins insidieux mais tout aussi certain de le rattraper. Devant lui se dressent des cavités probablement inexplorées par l'homme depuis bien longtemps, avec des créatures vraisemblablement dangereuses. Mais au fond, n'est-il pas sûr de trouver quelque chose, ou quelqu'un ?

Une coulée de sueur perle la tempe du moine, qui se met à sortir un petit carnet, il y conscrit tout ce qu'il a vu et ce qu'il compte entreprendre, bien que cela soit maigre, dépose la fiche écrite à l'entrée, tout en étant à l'abri des vents extérieurs, au cas où il n'en reviendrait pas mais que d'autres après lui arrivent au même endroit.

Il décide donc d'arrêter de scribouiller puis reprend ses affaires, il tend sa main droite, prête à lancer un sort de lumière capable d'aveugler les créatures tapies dans l'obscurité du couloir et de courir vers l'autre côté. Célestinus n'a plus rien à perdre : Dans tous les cas il a bien vécu, au mieux il trouvera quelque chose qui l'arrangera dans sa situation précaire ou lui fera comprendre les mystères des feux follets, au pire il n'en reviendra pas.

Pour toi et Concorde

Les dégénérés en question ont fini d'anéantir le gobelin

Tu remarques le chevalier en train de manger des fruits glacés, puis en cueillant certains. Les feux follets clignotent comme pour attirer ton attention, puis se dirigent vers ce même chevalier et le reste du groupe.

Entre temps, la nuit est tombée donc fais attention à ne pas effrayer les voyageurs

J'interprète les signaux de ces feux follets comme une invitation à me joindre au groupe. Je m'avance à la lumière de la lune au milieu de la clairière où la bataille prit place, puis, après m'être éclaircie la gorge, fais part de ma présence au groupe avec une douceur qui saura apaiser les coeurs :

"Dégénérés."

Par reflexe Godefroid fait un mouvement avec son épée avant de s'arrêté

Qui êtes vous , étrangère? Et pourquoi me parler ainsi? Faites attention à vous