Ce sujet a été résolu
La première étape c'est d'apprendre à synthétiser, ça t'aidera beaucoup dans la vie
il y a 2 ans
Golemain
2 ans
La première étape c'est d'apprendre à synthétiser, ça t'aidera beaucoup dans la vie
-
il y a 2 ans
Blondin
2 ans
Vas consulter
La réponse passe-partout que l'on applique machinalement à toutes situations pourtant différentes, nuancées et parfois un peu complexes. Chaque deuil ne mène heureusement pas automatiquement à la dépression et en l’occurrence ici son origine est plus nuancée qu'un """simple""" deuil fût-il programmé.
En premier lieu je n'ai pas besoin d'une tierce personne pour prendre le recul nécessaire sur moi-même, je suis bien capable de le prendre par moi-même et d'analyser ma situation objectivement ainsi que la source de mes peines, à tirer des liens de causalités à effets et des conclusions vers une porte de sortie.
En second lieu à la vue de la densité des faits sur une si longue période (15 mois) et des causes/conséquences qu'elles ont eues, il me paraît bien difficile d'en faire une synthèse en 45 minutes. Synthèse anxiogène qu'il me faudra répéter plusieurs fois et la reproduire le temps de trouver le bon interlocuteur. Exercice pourtant qu'il m'a du faire tout le long de ces mois à mes interlocuteurs qu'ils soient ma psychiatre il y a une année, mon bailleur il y'a 10 mois, mes assureurs dans une moindre mesure et ma référente RSA récemment, interlocuteurs qui ont pour certain pleurer à ma place je ne souhaite pas donc non plus causer peine et pitié envers moi.
En troisième lieu surtout car je n'estime pas en avoir besoin. J'ai toujours su et resterai être mon propre leit-motiv dont cette parenthèse de quelques semaines ne sera que l'exception à la règle car tel est ma nature d'être résilient, la vie m'a forgée en bien dans le mal.
Ce dont j'ai simplement besoin est de moments de détentes, en compagnie, hors de cette situation post-mortem, hors de cette solitude et hors de ces peines car ce sont là mes trois seuls freins à mon bien-être, qu'ils sont devenus pesants car j'en avais naturellement besoin de ces moments comme tout être humain qui traverse un deuil, d'autant plus avec les conséquences qu'il a provoqué sur ma situation : Ne pas en bénéficier malgré un besoin évident ne m'a pas empêcher de faire pendant tous ces mois, les faits et ma situation le prouvent. Il demeure d'autant plus que je n'ai plus que moi-même et que je n'ai pas d'autres choix que de devoir composer avec cette donnée qui n'est pas de mon ressort ... cela est simplement devenu difficile après trop de temps à l'être dans un contexte qui n'a qu'enfoncer le clou.
En premier lieu je n'ai pas besoin d'une tierce personne pour prendre le recul nécessaire sur moi-même, je suis bien capable de le prendre par moi-même et d'analyser ma situation objectivement ainsi que la source de mes peines, à tirer des liens de causalités à effets et des conclusions vers une porte de sortie.
En second lieu à la vue de la densité des faits sur une si longue période (15 mois) et des causes/conséquences qu'elles ont eues, il me paraît bien difficile d'en faire une synthèse en 45 minutes. Synthèse anxiogène qu'il me faudra répéter plusieurs fois et la reproduire le temps de trouver le bon interlocuteur. Exercice pourtant qu'il m'a du faire tout le long de ces mois à mes interlocuteurs qu'ils soient ma psychiatre il y a une année, mon bailleur il y'a 10 mois, mes assureurs dans une moindre mesure et ma référente RSA récemment, interlocuteurs qui ont pour certain pleurer à ma place je ne souhaite pas donc non plus causer peine et pitié envers moi.
En troisième lieu surtout car je n'estime pas en avoir besoin. J'ai toujours su et resterai être mon propre leit-motiv dont cette parenthèse de quelques semaines ne sera que l'exception à la règle car tel est ma nature d'être résilient, la vie m'a forgée en bien dans le mal.
Ce dont j'ai simplement besoin est de moments de détentes, en compagnie, hors de cette situation post-mortem, hors de cette solitude et hors de ces peines car ce sont là mes trois seuls freins à mon bien-être, qu'ils sont devenus pesants car j'en avais naturellement besoin de ces moments comme tout être humain qui traverse un deuil, d'autant plus avec les conséquences qu'il a provoqué sur ma situation : Ne pas en bénéficier malgré un besoin évident ne m'a pas empêcher de faire pendant tous ces mois, les faits et ma situation le prouvent. Il demeure d'autant plus que je n'ai plus que moi-même et que je n'ai pas d'autres choix que de devoir composer avec cette donnée qui n'est pas de mon ressort ... cela est simplement devenu difficile après trop de temps à l'être dans un contexte qui n'a qu'enfoncer le clou.
il y a 2 ans
Car il me faut clore une succession, car je ne peux pas partir avec mon chat qu'il me faut une personne de confiance pour le garder, car y aller seul va me faire plus de mal que de bien
il y a 2 ans