[SONDAGE MAIN EVENT] - La Marche pour défendre les Ingérences JUIVES

"
Et pour le reste ça tient pas non plus, encore une fois je vois pas en quoi Enthoven est un déchet de la société ni en quoi il a causé des milliers de morts"



Tu n'étais pas né en 2011 je suppose. Auquel cas je pourrai comprendre.

Je vais devoir tout te réexpliquer depuis le début visiblement.

Pour faire simple, les Straussiens sont avant tous des individus, qui sont quasiment tous juifs, sans que pour autant on ne puisse les considérer comme étant représentatifs ni des juifs américains, et encore moins des communautés juives dans le monde. La question est de savoir qui a bien pu les former. A cela une réponse simple, à savoir un certain Leo Strauss qui est un philosophe allemand qui s'était réfugié aux Etats Unis lors de la montée du nazisme. Il était parvenu à devenir professeur de philosophie de Chicago. Et c'est à partir de ce moment là précisément qu'il va commencer à se faire connaître. En effet, plusieurs témoignages soulignent le fait qu'il avait constitué un petit groupes d'élèves fidèles auxquels il dispensait un enseignement de nature oral. Avec pas d'écrits à ce sujet donc. Strauss leur disait que la seule façon pour les juifs ne pas être victimes d'un autre génocide était de faire leur dictature. Strauss les appelait Hoplites, soit les soldats de Sparte. Il lest envoyait perturber les cours de ses rivaux et comme si ça ne suffisait pas Strauss enseignait à ses élèves le " noble mensonge ". Leo Strauss est mort le 18 octobre 1973. Mais son héritable n'est pas mort. Non seulement il a continué à se diffuser mais il s'est diffusé au point de former un groupe politique, qui a débuté sa formation juste avant sa mort, en 1972. C'étaient de smembres de l'équipe d'Henry Jackson, qui était sénateur démocrate. On y trouvait des personnalités importantes comme Paul Wolfowitz, RIchard Perle ou encore Elliot Abrahams. Ils travaillaient aussi avec un groupe de journalistes juifs et trotskistes, qui s'étaient rencontré au City College of New York. Et éditaient la revue Commantary. Ce n'est pas pour rien d'ailleurs qu'ils étaient surnommé les intellectuels new yorkais. Et il se trouve que les deux groupes avaient des liens avec la CIA.

Notamment grâce à Albert Wohlstetter qui était un stratège militaire américain en plus d'être le beau père de Richard Perle, le tout à la Rand Corporation qui est un think thank du complexe milataro industriel américain. Beaucoup parmi ses personnes se sont mariés entre eux jusqu'à en former un groupe d'une centaine de personnes. Ces personnes là ont réussit à rédiger puis faire adopter en 1974 soit durant la crise du watergate, l'amendement Jackson Vanik, visant à obliger l'URSS à autoriser l'émigration de sa composante juive vers Israel, sous peine de lui infliger de fortes sanctions économiques. C'était leur premier grand coup d'éclat. Mais cela ne faisait que commencer. Car Paul Wolfowitz a été un des artisans de l'équipe B qui a été chargée par le président Gerald Ford d'évaluer la menace soviétique. Il a ensuite rendu un rapport qui accusait l'URSS de se préparer à s'emparer d'une hégémonie globale. L'objectif était non pas seulement de contenir l'URSS mais de l'arrêter pour prétendument sauver le monde libre et la démocratie. Malgré les accointances avec le trotskisme, les straussiens se sont engagés aux côté de Ronald Reagan, héraut de la révolution conservatrice et donc du néolibéralisme. Cela s'explique simplement par le fait qu'ils se moquent bien du fait de s'infiltrer au sein du parti démocrate ou du parti républicain, pourvu qu'ils soient dans les cercles du pouvoir. Ce n'est pas pour rien que certains membres ont basculé à plusieurs reprises des républicains aux démocrates et vice versa. En parlant de ses straussiens il faut bien sûr parler d'Elliott Abrahams, qui est devenu assistant du secrétaire d'Etat. il a conduit une opération au Guatemala où il a placé un dictateur sanguinaire au pouvoir. Il a aussi expérimenté avec Israel la manière de créer des réserves pour les Indiens Mayas afin de faire la même chose qu'avec les arabes palestiniens. Rigoberta Menchu a d'ailleurs été élu prix Novel de la paix par rapport à la Résistance Maya

https://fr.wikipedia.org/wiki/Albert_Wohlstetter

CRI @Le_CRIF
"Touche pas au Vel d'Hiv".

Honneur à celles et ceux qui se sont opposés ce matin à ce que le mémorial du Vel d'Hiv soit souillé par les récupérations de LFI !
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11:39 AM · Nov 12, 2023
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https://twitter.com/Le_CR[...]tatus/1723651698885849159

Il faut bien comprendre que Paul Wolfowitz a ses justifications bien à lui pour légitimer la guerre puisque pour lui cela permet l'expansion de la démocratie de marché. Ce n'est pas pour rien qu'il a inventé ou exagéré des menaces à plusieurs reprises. Il a été l'un des théoriciens des invasions préventives ainsi que du fait de contenir des concurrents potentiels à l'hégémonie américaine. Il a été proche du président Bush tout en participant aux cabinets civils du Pentagone. Le père de Paul et Jacob Wolfowitz qui était juif polonais ayant émigré aux Etats Unis durant la Seconde guerre mondiale. Jacob était justement un partisan sioniste convaincu. C'est durant la Seconde Guerre mondiale en 1943 que nait son fils Paul. Lequel étudie à l'université de Cornell. Source : https://en.wikipedia.org/wiki/Paul_Wolfowitz Il a étudié les maths puis s'est tourné vers la science politique et l'histoire. Il est devenu par la suite membre de l'association Telluride. L'objectif de cette association crée en 1910 est de sélectionner l'élite universitaire de Cornell. Source : https://en.wikipedia.org/[...]iki/Telluride_Association Il y a rencontré le philosophe Allan Bloom. C'est là que Wolfowitz commence à s'intéresser à la philosophie de Léo Strauss qui est le mentor d'Allan Bloom justement. C'est d'ailleurs parce que Strauss était à l'université de Chicago à ce moment là que Paul Wolfowitz y va pour faire son doctorat. Source : https://press.uchicago.ed[...]author/S/L/au5172632.html D'ailleurs Wolfowitz est considéré comme un héritier intellectuel. Un ouvrage parle très bien et Jeane Kirkpatrick parle de Wolfowitz comme d'une des plus grandes figures straussiennes. Source : https://www.amazon.fr/Ris[...]shs-Cabinet/dp/0143034898 Wolfowitz oriente d'ailleurs son discours sur un pseudo axe du bien contre axe du mal qui opposerait les démocraties libérales aux dictatures.

C'est le type d'argumentation qu'il a justement repris par rapport à Saddam Hussein et à l'Irak. Paul Wolfowitz s'oppose par la suite à la nucléarisation du Moyen Orient. Mais selon les pays, ce n'est pas pour la même raison. En soit, il n'était pas contre la nucléarisation d'Israel. Mais il avait peur que les pays arabes fassent de même et ce avec l'aide de l'URSS. Sous la demande de Wohlstetter, Paul Wolfowitz est envoyé à Washington à l’été 1969, pour y travailler au Committee to Maintain a Prudent Defense Policy. Ce sont Paul Nitze, directeur de la planification du département d'Etat du président américain Harry Truman et Acheson, secrétaire d'état, qui avaient créés cet organisme. Il s'agissait d'installer un bouclier anti missile. Richard Perle ainsi que Peter Wilson ont aidé Paul Wolfowitz dans son engagement. Ces trois là ont rédigé des études et envoyé des rapports et des fiches au Congrès. Ainsi durant l'été 1959, par 51 voix contre 50, les faucons l'avaient emporté au Sénat. Alors que Wolfowitz reprend un temps ses études à Chicago pour finir son doctorat, Richard Perle s'engage en politique directement. L'Agence pour le contrôle des armes et le désarmement, ayant subi une purge de ceux qui étaient vu comme étant trop conciliants avec l'URSS, a vu venir à sa tête un stratège néocon, un certain Fred Iklé, en 1973. Source : https://en.wikipedia.org/wiki/Fred_Iklé C'était justement un ancien de la Rand Corporation. Wohlstetter le conseille de prend Wolfowitz sous son aile. Il accepte. Ainsi Wolfowitz, en 1974 et 1975, est directement impliqué dans la campagne menée par les Etats Unis pour mettre la pression envers la Corée du Sud pour que cette dernière renonce à son programme de développement de plutonium.

Pour l'aider à incarner une nouvelle tendance face à celle incarnée par Kissinger, il fait venir nombre d'universitaires à ses côtés, dont Francis Fukuyama. L'estimation de la fameuse équipe B organisée par la CIA sous le président Ford, arrive à la conclusion que l'URSS pourrait reprendre l'avantage dans la course aux armements pour établir une hégémonie globale. Lors de l'arrivée de Jimmy Carter au pouvoir, il obtient un poste au Pentagone. Officieusement il est chargé d'étudier les problèmes auxquels pourraient faire face le Pentagone dans le futur. Notamment les menaces sur les Etats Unis et son armée venant du Tiers Monde. Il focalise donc son attention sur le Golfe Arabo Persique. Il créé le Limited Contigency Study qui est un programme de recherche. Car quand on se situe dans le contexte de l'époque, on sait que la première crise pétrolière a été un révélateur, dans le sens où les Etats Unis ont pris conscience de l'importe de contrôler les ressources énergétiques des régions les plus riches du Moyen Orient, notamment l'Arabie Saoudite. Averti fin 1979 par Fred Iklé sur le danger de rester à son poste jusqu’à la fin de la campagne, Wolfowitz démissionne début 1980, et redevient professeur associé au sein de la Johns Hopkins University School of Advanced International Studies. Il n’en reste pas moins suspect pour la Maison-Blanche. Richard Allen, nouveau conseiller à la sécurité nationale, refuse au départ de le voir rejoindre l’équipe « Politique étrangère » de Ronald Reagan. Il faudra toute la persuasion de John Lehman, son ami et ancien proche de Wolfowitz sous Nixon, pour le convaincre de l’intérêt d’un tel recrutement. Puis au moment de sa nomination, c’est le sénateur Jesse Helms qui rechigne à donner son feu vert à celui qu’il voit alors comme un dangereux libéral. Wolfowitz invite alors le directeur de cabinet du sénateur, John Carbaugh, pour lui donner des gages de néo-conservatisme. Il obtient finalement le poste de directeur de la planification au Département d’État. Comme sous Carter, il est chargé d’élaborer une vision à long terme des évolutions géopolitiques, et du rôle diplomatique à jouer pour les États-Unis. Un poste à responsabilité, occupé par le passé par George Kennan, le théoricien de la Guerre froide. Wolfowitz recrute pour cela une équipe fournie : Scooter Libby, juriste de Philadelphie, l’économiste Francis Fukuyama, le conservateur afro-américain Alan Keyes, mais aussi Zalmay Khalilzad, qui a l’avantage de venir de l’Université de Chicago et d’être un ancien élève de Wohlstetter.

Les recommandations nouvelles du département d’État sont en rupture avec la politique étrangère menée jusque-là par les États-Unis, et plus particulièrement sous Carter : Wolfowitz remet en cause le bien-fondé de la vente d’avions de surveillance AWACS à l’Arabie saoudite, réclame une prise de distance de Washington vis-à-vis de l’Organisation de libération de la Palestine de Yasser Arafat, et se montre un des plus virulents défenseurs d’Israël au sein de l’administration Reagan. Mais c’est sur le dossier chinois qu’il choque le plus : la doctrine Kissinger préconisait jusque-là de considérer la Chine comme un pays trop puissant pour être ignoré, avec lequel il faudrait nécessairement négocier pour s’en faire un allié objectif dans la lutte contre l’URSS. Selon un mode d’argumentation déjà rodé, Wolfowitz dénonce cette vision des choses. Selon lui, les États-Unis ont depuis trop longtemps surévalué l’importance de la Chine alors qu’elle est en réalité bien plus menacée par Moscou que ne le sont les États-Unis. C’est donc Pékin qui a besoin de Washington, et non l’inverse. Il n’y a aucune concession à faire à la Chine, bien au contraire. Un tel discours met naturellement hors de lui Alexander Haig, le secrétaire d’État de l’époque, ancien assistant d’Henry Kissinger. La rumeur gronde même pendant quelques jours d’un départ imminent de Wolfowitz. Il n’en sera rien. Le 25 juin 1982, c’est Haig qui est remplacé par George Shultz, consacrant la rupture de l’administration Reagan avec la doctrine Nixon-Kissinger et ouvrant, au passage, une voie pour les idées défendues par Wolfowitz. Ce dernier est promu au poste de sous-secrétaire d’État pour l’Asie orientale et le Pacifique. Il s’agit là du premier emploi de terrain pour le bureaucrate universitaire du Pentagone.

Bordel le mec interviewé

Yonathan Arfi reposted
LCI @LCI
🗣️L'attitude de La France insoumise est "indigne", dénonce
@Yonathan_Arfi
. Le président du Crif assure à
@agindre
qu'il ne participera pas si LFI organise son propre rassemblement contre l'antisémitisme. En étant "certain qu'ils n'iront pas au bout de cette démarche".
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9:29 AM · Nov 9, 2023

https://twitter.com/LCI/status/1722531839854694490

Wolfowitz avec ce nouveau poste qu'il avait obtenu, désormais avait des relations avec deux hommes qui venaient de l'administration de Reagan. D'abord il y a un certain Richard Armitage, qui représente le Pentagone, et Gaston Sigur, qui représentait quant à lui le National Security Council. Les trois hommes, qui se réunissent tous les lundis, coordonnent ensemble la politique étrangère de Washington dans la région asiatique. L’un des plus épineux dossiers qu’ils auront à traiter concerne les Philippines, où ils organisent le retrait politique du dictateur Ferdinand Marcos en 1986. Alors que celui-ci a bénéficié jusque-là d’un soutien indéfectible de Washington, l’équipe « asiatique » de Ronald Reagan s’inquiète de voir le pays en proie à une opposition de gauche de plus en plus mobilisée. L’arrivée au pouvoir des « communistes » pourrait entraîner la sortie des Philippines du giron états-unien, occasionnant au passage la fermeture de deux bases de l’US Army installées sur l’archipel, la Clark Air Force Base et la Subic Bay Naval Station. Ils incitent donc Marcos à intégrer une partie de son opposition dans son gouvernement. En vain : le vieux dictateur est convaincu qu’il ne sera jamais « lâché » par Ronald Reagan, qui l’a reçu à plusieurs reprises à la Maison-Blanche. Il se trompe : les trois responsables Asie le chassent du pouvoir et mettent fin à la dictature au profit de la droite catholique et de l’Opus Dei.

Après le mandant de Bush père, Paul Wolfowitz, qui était à ce moment là je le rappelle, numéro 3 du secrétariat à la Défense, a élaboré un autour de l'idée selon laquelle les Etats Unis devaient prévenir après la chute de l'URSS, de l'émergence de nouveaux rivaux, notamment en Europe. Pour lui, la seule voie pour cela c'était l'unilatéralisme, et s'écarte de la coopération des Nations Unies. Ce n'est pas pour rien qu'il a été un concepteur de l'opération Tempête du Désert en Irak. Les concepts de changements de régimes dans d'autres pays ont commencé à être massivement promus par les Straussiens à partir de cette période là précisément. Gary Schmitt, Abram Shulsky et Paul Wolfowitz, grâce au Groupe de travail sur la réforme du Renseignement (Consortium for the Study of Intelligence’s Working Group on Intelligence Reform), sont parvenus à pénétrer la communauté du Renseignement américain Ils critiquèrent l’absence de conduite politique du Renseignement, le laissant errer dans des sujets sans importance au lieu de se concentrer sur ceux essentiels. Politiser le Renseignement, c’est ce que Wolfowitz avait déjà fait avec l’équipe B et qu’il recommencera avec succès, en 2002, avec le Bureau des plans spéciaux (Office of Special Plans); inventant des arguments pour de nouvelles guerres contre l’Irak et contre l’Iran (le « noble mensonge » de Leo Strauss).
Une fois écartés du pouvoir du Bill Clinton, ils se sont infiltrés à Washington dans des think thank. Dans Foreign Affairs, William Kristol ainsi que Robert Kagan qui est l'époux de Victoria Nuland, a considéré que Bill Clinton avait une politique étrangère encore trop modérée et c'est pourquoi ils appelaient à ce qu'ils nommaient une « hégémonie bienveillante des États-Unis » Sources : https://carnegieendowment[...]te-foreign-policy-pub-276 https://lawcat.berkeley.edu/record/1115883

En 1996, des membres du PNAC (dont Richard Perle, Douglas Feith et David Wurmser) avaient effectué la rédaction d'une étude au sein de l’Institute for Advanced Strategic and Political Studies — IASPS), pour lePremier ministre israélien, Benjamin Netanyahou. Ce rapport préconisait ni plus ni moins que l’élimination de Yasser Arafat, l’annexion des territoires palestiniens ainsi qu'une guerre contre l’Irak puis le transfert des Palestiniens là-bas.On voit là l'inspiration des théories politiques de Léo Strauss mais aussi de celles de son ami, Ze’ev Jabotinsky, le fondateur du « sionisme révisionniste » dont le père de Netanyahou était le secrétaire particulier. Sources : https://en.wikipedia.org/[...]gy_for_Securing_the_Realm https://ia902909.us.archi[...]ecuring%20the%20Realm.pdf

Dans son bilan des actes antireligieux, antisémites, racistes et xénophobes, le ministère de l'Intérieur décompte 1 052 actes antichrétiens, contre 687 faits antisémites et 154 atteintes aux musulmans.

On nous bassine avec “l’islamophobie” tous les jours, et pourtant voici le décompte officiel de @Place_Beauvau pour 2019 :

- 1052 actes anti-chrétiens ✝️
- 657 actes antisémites ✡️
- 154 actes antimusulmans ☪️
malgré de multiples attentats terroristes islamistes...

— Damien Rieu (@DamienRieu) January 27, 2020
La cathédrale d'Oloron-Sainte-Marie attaquée à la voiture-bélier en novembre, une centaine de tombes profanées à Cognac en octobre, des églises vandalisées dans les Yvelines, le Tarn, le Gard ou la Côte d'Or tout au long de l'année... Il y a bien eu des dégradations de lieux chrétiens en 2019. La plupart a été relayée, au moins dans la presse locale.

Le PNAC a réussit à récolter des fonds pour la candidature de Bush fils et publia avant son élection son célèbre rapport Rebâtir les défenses de l’Amérique. Il y appelle de ses vœux une catastrophe comparable à celle de Pearl Harbor qui servirait de prétexte en quelque sorte pour envoyer les américains dans une guerre d'hégémonie mondiale.Cela tombe bien puisque ces termes ont été utilisés par le Secrétaire à la Défense de l'époque Donald Rumsfeld, membre du PNAC, après les événements du 11 septembre 2001. Après cette catastrophe du 11 septembre, Cebrowski a pu être installé sous l'aile de Rumsfeld. Les deux ont formé la doctrine meurtrière Rumsfeld Cebrowski. Cette doctrine voulait que les Etats Unis n'aient pas besoin de gagner de guerre. Il fallait désormais en démarrer le plus possible et les faire durer le plus longtemps possible afin que leur domination sur le monde ne puisse en aucun cas être menacée. Le tout en détruisant les structures politiques des nations visées et en pillant leurs ressources. Le cas de l'Irak est le cas le plus flagrant d'application de cette doctrine. On l'a aussi vu à l'oeuvre en Syrie, en Afghanistan, au Yémen, en Libye, etc....
Ensuite on a vu se mettre en place une alliance entre les straussiens et les sionistes révisionnistes en 2003 lors d'une conférence à Jérusalem.

Et ce lien entre les néocons, les straussiens et les sionistes révisionnistes sont incarnés par plusieurs personnalités comme un certain Bernard Lewis. Il a eu la triple nationalité américaine, britannique et israélienne. Il a été conseiller de Netanyahu et également membre du Conseil de Sécurité Nationale des Etats Unis. Au début de sa carrière, il avait affirmé que l'islam était incompatible avec le terrorisme et que l'URSS était derrière les islamistes. Puis il a changé d'avis et à voulu montrer que cette religion prêchait le terrorisme. Et justement il a inventé la stratégie du choc des civilisations pour instrumentaliser les différences culturelles pour monter les chrétiens contre les musulmans. C'est son assistant au conseil, un certain Samuel Huttington qui l'a popularisé et qui l'a présenté par la suite non pas comme une doctrine mais une fatalité. Le conseiller pour la sécurité nationale du vice président Biden sous Obama étaient constitué de Jacob Sullivan et d'Anthony Bilinken. Le premier a été impliqué dans les opérations militaires américaines en Libye et en Syrie. Le seconde dans les opérations militaires menés au Pakistan, en Afghanistan. C'est Bilinken qui a piloté les négociations avec le Guide suprême Ali Khamenei qui aboutirent à l’arrestation et à l’emprisonnement des principaux membres de l’équipe du président Mahmoud Ahmadinejad en échange de l’accord sur le nucléaire.

Donc ta preuve c’est « selon certains témoignages »

Les témoignages de qui ? Où est-ce qu’on peut lire ces témoignages ? Quels preuves apportent-ils ?

Quel putain de rapport entre la philosophie de Léo Strauss et la guerre en Ukraine ?

Si t’avais parlé de Brzezinski je n’aurais rien contesté, j’aurais été d’accord avec toi, encore qu’il fait partie des gens qu’on cite sans avoir jamais lu un seul de ses livres et donc sans connaître ses thèses, mais Léo Strauss c’est RIDICULE

Léo Strauss fait partie d’un mouvement de révolte conservatrice avec Allan Bloom, ils sont aux antipodes d’une conception du monde où les États-Unis envahiraient des nations étrangères pour y imposer la démocratie et piller leurs capitaux au passage

Mes preuves ? Les livres de Bloom et Strauss

Tes preuves ? Rien

Commence déjà à apprendre à lire les preuves que j'envoie et ensuite tu me donneras des leçons sur ce sujet.

Je rappelle que Paul Wolfowitz qui est un héritier de Strauss, a rencontré le philosophe Allan Bloom. C'est là que Wolfowitz commence à s'intéresser à la philosophie de Léo Strauss qui est le mentor d'Allan Bloom justement. C'est d'ailleurs parce que Strauss était à l'université de Chicago à ce moment là que Paul Wolfowitz y va pour faire son doctorat.

Source : https://press.uchicago.ed[...]author/S/L/au5172632.html

D'ailleurs Wolfowitz est considéré comme un héritier intellectuel. Un ouvrage en parle très bien et Jeane Kirkpatrick parle de Wolfowitz comme d'une des plus grandes figures straussiennes.

Source : https://www.amazon.fr/Ris[...]shs-Cabinet/dp/0143034898

Wolfowitz oriente d'ailleurs son discours sur un pseudo axe du bien contre axe du mal qui opposerait les démocraties libérales aux dictatures.