Ce sujet a été résolu
il y a un an
Adam Osmaïev,
Ce type là, il est originaire de Grozny, Tchétchénie, en tant que fils de famille influente, il a pu étudier à la célèbre université du MGIMO à Moscou en 1006 puis en Angleterre, à Buckingham, mais abandonna sans avoir passé un diplôme durant l'année 1999. Il revient ensuite à Moscou, mais le 9 mai 2007, est soupçonné d’avoir essayé d’organiser un attentat terroriste à la bombe . Il est donc arrêté par le FSB avec des complices, mais ne reste que trois jours en détention et aurait dû comparaître durant le procès comme témoin.
A ce qu'il parait il a été libéré grâce à des relations de sa famille. Malgré cela il s'enfuit au Royaume-Uni. Un mandat international est ensuite lancé contre lui. En 2011, il va en Ukraine et à Odessa précisément.
Il commence à préparer un attentat avec un groupe d'islamistes tchétchènes en 2012.. Dans le cadre de manipulations d’explosifs pour confectionner des bombes artisanales le 4 janvier 2012 un de ses compagnons fut tué, lui-même blessé.
Pas étonnant qu'il se fait arrêter par le SBU, tout comme son père et avec l’équipement saisi à son domicile. Les événements se sont déroulés le 4 février 2012. L’enquête est parvenu à montrer qu’ils préparaient un attentat à Moscou sur le Premier Ministre russe mais également sur Vladimir Poutine. L'enquête a permi de mettre fin à un réseau entier que ce soit en Russie ou en Ukraine. Il se trouve que la Russie a fait la demande de son extradition. Ce qui fut accepté le 14 août 2012. Cependant, cette demande fut annulée par une intervention de la Cour Européenne des droits de l’Homme. Il fut condamné en Russie à 10 ans d'emprisonnement, et en Ukraine à 2 et 9 mois de prison, pour falsification de documents, possession d’armes et activités terroristes. Son épouse Anima Okueva avait par la suite demandé pour lui un statut de prisonnier politique et sa libération au moment de Maidan. Il est donc libéré le 18 novembre après que sa peine ait été effectué. Suite à l’assassinat de Boris Nemtsov, sur un pont près du Kremlin à Moscou, il est soupçonné de l’organisation de cet assassinat, version qualifiée de la plus probable en mars 2015. Il nie toutefois cette implication. Il se trouve ensuite en commandant du bataillon Djokhar Doudaïev, suite à la mort d’Issa Mounaïev à l'occasion de la bataille de Debaltsevo en février 2015. Ce fut un commandement plus ou moins nominal car le bataillon s'était délité et fut mis en dormance. Il fut directement impliqué à une fusillade entre un faux journaliste français et lui-même, dont il sortit gravement blessé. Il affirme par la suite avoir été victime d’une tentative d’assassinat, mais l’affaire sembla plutôt conduire le 1er juin 2017 à une affaire de règlement de comptes entre mafieux, et de blanchiment d’argent . Quoi qu’il en soit, le régime de Kiev avalisa la fausse théorie d’une implication de la Russie, et les médailla tous les deux (8 juin). Ensuite, il est victime d’une tentative manquée d’assassinat, dans un village près de Kiev, où son épouse fut tué de 5 balles et lui-même blessé à la jambe (30 octobre). Là encore, il fut impossible de déterminer les commanditaires de cette tentative, les pistes menant soit à la mafia, soit aux Tchétchènes. Un major-général du SBU, Valery Shaitanov fut arrêté en Ukraine, pour avoir tenté d’organiser sur ordre de Moscou, un assassinat contre lui (avril 2020). Deux rues ont été renommées en son honneur à Kiev et Dniepropetrovsk (2019-2020). Depuis , il a disparu des médias. Certains investigateurs russes l’accusent tout comme son épouse désormais morte, d’avoir été des agents doubles de la Russie, et d’avoir été largement plus intéressés par l’argent que par la cause de la Tchétchénie séparatiste ou de l’Ukraine du Maïdan.
Ce type là, il est originaire de Grozny, Tchétchénie, en tant que fils de famille influente, il a pu étudier à la célèbre université du MGIMO à Moscou en 1006 puis en Angleterre, à Buckingham, mais abandonna sans avoir passé un diplôme durant l'année 1999. Il revient ensuite à Moscou, mais le 9 mai 2007, est soupçonné d’avoir essayé d’organiser un attentat terroriste à la bombe . Il est donc arrêté par le FSB avec des complices, mais ne reste que trois jours en détention et aurait dû comparaître durant le procès comme témoin.
A ce qu'il parait il a été libéré grâce à des relations de sa famille. Malgré cela il s'enfuit au Royaume-Uni. Un mandat international est ensuite lancé contre lui. En 2011, il va en Ukraine et à Odessa précisément.
Il commence à préparer un attentat avec un groupe d'islamistes tchétchènes en 2012.. Dans le cadre de manipulations d’explosifs pour confectionner des bombes artisanales le 4 janvier 2012 un de ses compagnons fut tué, lui-même blessé.
Pas étonnant qu'il se fait arrêter par le SBU, tout comme son père et avec l’équipement saisi à son domicile. Les événements se sont déroulés le 4 février 2012. L’enquête est parvenu à montrer qu’ils préparaient un attentat à Moscou sur le Premier Ministre russe mais également sur Vladimir Poutine. L'enquête a permi de mettre fin à un réseau entier que ce soit en Russie ou en Ukraine. Il se trouve que la Russie a fait la demande de son extradition. Ce qui fut accepté le 14 août 2012. Cependant, cette demande fut annulée par une intervention de la Cour Européenne des droits de l’Homme. Il fut condamné en Russie à 10 ans d'emprisonnement, et en Ukraine à 2 et 9 mois de prison, pour falsification de documents, possession d’armes et activités terroristes. Son épouse Anima Okueva avait par la suite demandé pour lui un statut de prisonnier politique et sa libération au moment de Maidan. Il est donc libéré le 18 novembre après que sa peine ait été effectué. Suite à l’assassinat de Boris Nemtsov, sur un pont près du Kremlin à Moscou, il est soupçonné de l’organisation de cet assassinat, version qualifiée de la plus probable en mars 2015. Il nie toutefois cette implication. Il se trouve ensuite en commandant du bataillon Djokhar Doudaïev, suite à la mort d’Issa Mounaïev à l'occasion de la bataille de Debaltsevo en février 2015. Ce fut un commandement plus ou moins nominal car le bataillon s'était délité et fut mis en dormance. Il fut directement impliqué à une fusillade entre un faux journaliste français et lui-même, dont il sortit gravement blessé. Il affirme par la suite avoir été victime d’une tentative d’assassinat, mais l’affaire sembla plutôt conduire le 1er juin 2017 à une affaire de règlement de comptes entre mafieux, et de blanchiment d’argent . Quoi qu’il en soit, le régime de Kiev avalisa la fausse théorie d’une implication de la Russie, et les médailla tous les deux (8 juin). Ensuite, il est victime d’une tentative manquée d’assassinat, dans un village près de Kiev, où son épouse fut tué de 5 balles et lui-même blessé à la jambe (30 octobre). Là encore, il fut impossible de déterminer les commanditaires de cette tentative, les pistes menant soit à la mafia, soit aux Tchétchènes. Un major-général du SBU, Valery Shaitanov fut arrêté en Ukraine, pour avoir tenté d’organiser sur ordre de Moscou, un assassinat contre lui (avril 2020). Deux rues ont été renommées en son honneur à Kiev et Dniepropetrovsk (2019-2020). Depuis , il a disparu des médias. Certains investigateurs russes l’accusent tout comme son épouse désormais morte, d’avoir été des agents doubles de la Russie, et d’avoir été largement plus intéressés par l’argent que par la cause de la Tchétchénie séparatiste ou de l’Ukraine du Maïdan.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a un an
Source :
https://www.svoboda.org/a/30718063.html
"Врагом Путина №1" называет себя бизнесмен Уильям Браудер, но есть еще один человек, который вполне может претендовать на этот титул. Это 39-летний Адам Осмаев, выходец из влиятельной чеченской семьи. Его отец в свое время руководил чеченской нефтепромышленностью, а дядя был председателем парламента республики и российским сенатором.
Адам Осмаев учился на экономиста в Букингемском университете в Великобритании, однако решил посвятить себя борьбе за свободу своей родины. В 2012-м во времена правления Януковича его задержали в Одессе и обвинили в подготовке терактов, в том числе покушения на жизнь Владимира Путина. В 2014 году, после революции в Украине, Осмаев вышел на свободу. Суд пересмотрел его дело, исключив из обвинения террористические статьи. В 2015 году Осмаев возглавил добровольческий батальон имени Джохара Дудаева. Состоящий преимущественно из чеченцев батальон принимал участие в АТО на востоке Украины.
На жизнь Адама Осмаева несколько раз покушались, в 2017 году была убита его жена, лейтенант украинской полиции Амина Окуева. В апреле 2020 года Служба безопасности Украины задержала генерал-майора СБУ Валерия Шайтанова, которого подозревают, в частности, в подготовке покушения на Осмаева по заданию ФСБ.
Интервью с Адамом Осмаевым записано после убийства в Вене Мамихана Умарова, который передал украинским спецслужбам и журналистам записи телефонных разговоров и переписку с человеком, чей голос похож на депутата Госдумы Адама Делимханова. Последний, как утверждал Умаров, предлагал ему убить Осмаева, его жену и бывшего депутата украинского парламента Игоря Мосийчука.
– Господин Осмаев, на вашу жизнь несколько раз покушались и несколько раз покушения планировались и были сорваны. Возможно, журналисты знают не обо всех этих случаях. Сколько их было на самом деле?
мы противостоим наследникам Сталина
– Могу сказать, что их было еще несколько, помимо известных. Это не удивительно, ведь мы противостоим наследникам Сталина, которые открыто им восхищаются и считают эффективным управленцем.
– Мамихан Умаров был одним из тех, кому предлагали за деньги вас устранить, но он решил всё рассказать журналистам и СБУ. Полностью ли вы доверяете его рассказу, как вы объясняете его решение открыто выступить против Кадырова и общались ли вы с ним лично?
– Я не встречался с ним лично, а знаком был только по телефону, но те записи разговоров о "заказе" на нас, которые он предоставил, подтверждали информацию, которую я и так имел со слов других людей. Просто, благодаря ему, у нас появились записи с голосами конкретных людей. Насколько я знаю, брат Мамихана был подло убит кадыровцами, а мать пытали, поэтому он пытался нанести им любой вред, разоблачая их преступления и делая это порой в эксцентричной форме.
Весной в Украине был разоблачен генерал Валерий Шайтанов, который, как утверждает следствие, планировал ваше убийство по заданию полковника ФСБ Игоря Егорова. Что вы думаете об этих разоблачениях?
моим убийством Шайтанов не собирался ограничиваться, да и не позволили бы ему это сделать кураторы из Москвы
– Я думаю, что это дело – большой успех украинских спецслужб, и неизвестно, сколько бед мог принести в Украине Шайтанов, если бы не его разоблачение. Очевидно, что моим убийством он не собирался ограничиваться, да и не позволили бы ему это сделать кураторы из Москвы. Егоров был организатором оккупации Донбасса и многих преступлений по всему миру. Многие детали дела секретны, но я думаю, немало станет известно во время суда над Шайтановым. Главное, что он обезврежен, а украинские спецслужбы показали, что могут эффективно работать и взаимодействовать с европейскими спецслужбами, не допуская утечек.
– Мамихан Умаров утверждал, что получил заказ на ваше убийство от Адама Делимханова. Шайтанов действовал по заказу ФСБ. Как вы полагаете, это два разных "заказа" по разным причинам? Иными словами, решение о вашем убийстве принято в Грозном или в Москве?
– Кадыров берет на себя грязную работу для Кремля, но порой он не справляется, поэтому на сцену выходят сами кукловоды в лице ФСБ, но, слава Богу, и они терпят фиаско.
Покушения на жизнь Адама Осмаева и убийство его жены Амины Окуевой
Амина Окуева (Никифорова) была врачом, участницей Евромайдана и АТО, лейтенантом украинской полиции. Она участвовала в обороне Дебальцево и выполняла боевые задания в Луганской области.
"Врагом Путина №1" называет себя бизнесмен Уильям Браудер, но есть еще один человек, который вполне может претендовать на этот титул. Это 39-летний Адам Осмаев, выходец из влиятельной чеченской семьи. Его отец в свое время руководил чеченской нефтепромышленностью, а дядя был председателем парламента республики и российским сенатором.
Адам Осмаев учился на экономиста в Букингемском университете в Великобритании, однако решил посвятить себя борьбе за свободу своей родины. В 2012-м во времена правления Януковича его задержали в Одессе и обвинили в подготовке терактов, в том числе покушения на жизнь Владимира Путина. В 2014 году, после революции в Украине, Осмаев вышел на свободу. Суд пересмотрел его дело, исключив из обвинения террористические статьи. В 2015 году Осмаев возглавил добровольческий батальон имени Джохара Дудаева. Состоящий преимущественно из чеченцев батальон принимал участие в АТО на востоке Украины.
На жизнь Адама Осмаева несколько раз покушались, в 2017 году была убита его жена, лейтенант украинской полиции Амина Окуева. В апреле 2020 года Служба безопасности Украины задержала генерал-майора СБУ Валерия Шайтанова, которого подозревают, в частности, в подготовке покушения на Осмаева по заданию ФСБ.
Интервью с Адамом Осмаевым записано после убийства в Вене Мамихана Умарова, который передал украинским спецслужбам и журналистам записи телефонных разговоров и переписку с человеком, чей голос похож на депутата Госдумы Адама Делимханова. Последний, как утверждал Умаров, предлагал ему убить Осмаева, его жену и бывшего депутата украинского парламента Игоря Мосийчука.
– Господин Осмаев, на вашу жизнь несколько раз покушались и несколько раз покушения планировались и были сорваны. Возможно, журналисты знают не обо всех этих случаях. Сколько их было на самом деле?
мы противостоим наследникам Сталина
– Могу сказать, что их было еще несколько, помимо известных. Это не удивительно, ведь мы противостоим наследникам Сталина, которые открыто им восхищаются и считают эффективным управленцем.
– Мамихан Умаров был одним из тех, кому предлагали за деньги вас устранить, но он решил всё рассказать журналистам и СБУ. Полностью ли вы доверяете его рассказу, как вы объясняете его решение открыто выступить против Кадырова и общались ли вы с ним лично?
– Я не встречался с ним лично, а знаком был только по телефону, но те записи разговоров о "заказе" на нас, которые он предоставил, подтверждали информацию, которую я и так имел со слов других людей. Просто, благодаря ему, у нас появились записи с голосами конкретных людей. Насколько я знаю, брат Мамихана был подло убит кадыровцами, а мать пытали, поэтому он пытался нанести им любой вред, разоблачая их преступления и делая это порой в эксцентричной форме.
Весной в Украине был разоблачен генерал Валерий Шайтанов, который, как утверждает следствие, планировал ваше убийство по заданию полковника ФСБ Игоря Егорова. Что вы думаете об этих разоблачениях?
моим убийством Шайтанов не собирался ограничиваться, да и не позволили бы ему это сделать кураторы из Москвы
– Я думаю, что это дело – большой успех украинских спецслужб, и неизвестно, сколько бед мог принести в Украине Шайтанов, если бы не его разоблачение. Очевидно, что моим убийством он не собирался ограничиваться, да и не позволили бы ему это сделать кураторы из Москвы. Егоров был организатором оккупации Донбасса и многих преступлений по всему миру. Многие детали дела секретны, но я думаю, немало станет известно во время суда над Шайтановым. Главное, что он обезврежен, а украинские спецслужбы показали, что могут эффективно работать и взаимодействовать с европейскими спецслужбами, не допуская утечек.
– Мамихан Умаров утверждал, что получил заказ на ваше убийство от Адама Делимханова. Шайтанов действовал по заказу ФСБ. Как вы полагаете, это два разных "заказа" по разным причинам? Иными словами, решение о вашем убийстве принято в Грозном или в Москве?
– Кадыров берет на себя грязную работу для Кремля, но порой он не справляется, поэтому на сцену выходят сами кукловоды в лице ФСБ, но, слава Богу, и они терпят фиаско.
Покушения на жизнь Адама Осмаева и убийство его жены Амины Окуевой
Амина Окуева (Никифорова) была врачом, участницей Евромайдана и АТО, лейтенантом украинской полиции. Она участвовала в обороне Дебальцево и выполняла боевые задания в Луганской области.
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il y a un an
il y a un an
Issa Sadougov
Sources :
https://www.kavkaz-uzel.eu/articles/226034/
https://artsakhpress.am/r[...]v-russkikh-v-ukraine.html
http://armiya.az/ru/news/[...]%D0%B0%D0%BD%D1%82!%C2%A0
Sources :
http://armiya.az/ru/news/[...]%D0%B0%D0%BD%D1%82!%C2%A0
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il y a un an
il y a un an
il y a un an
Ibba Sheïkhi .
Il se trouve que ce type est originaire de Tchétchénie. En plus de cela, c'est un islamiste ancien proche du président séparatiste Djokhar Doudaïev. Il participe par la suite à la révolte puis assure dans son gouvernement la responsabilité de la sécurité et de l’accueil des délégations étrangères, principalement selon lui de Turquie, d’Iran, d’Estonie ou encore de Russie (1992-1995).
Les troupes russes prennent son village natal, où sa maison fut brûlée le 15 mars 1999. Il est envoyé à l’étranger pour demander des moyens mais aussi des financements notamment en Turquie. Suite à sa la défaite définitive, il s’exila en Norvège, où il parvient à avoir le statut de réfugié politique. Ensuite, il répond à l’appel de Mounaïev, à la formation du bataillon Djokhar en 2014. Il arrive donc en Ukraine, où il grenouilla plutôt à l’arrière durant la période chaude de l’engagement du bataillon contre les insurgés du Donbass (2014-2015). Ibba Sheïkhi avait comme fonction celui de récolter des fonds pour les trois bataillons formés par les Tchétchènes et autres islamistes se battant pour le régime de Kiev nouvellement formé par les straussiens américains. Ensuite, Ibba rentre bientôt en Norvège où il accorde une interview sur la soit disante future de la victoire de la Tchétchénie.
Il se trouve que ce type est originaire de Tchétchénie. En plus de cela, c'est un islamiste ancien proche du président séparatiste Djokhar Doudaïev. Il participe par la suite à la révolte puis assure dans son gouvernement la responsabilité de la sécurité et de l’accueil des délégations étrangères, principalement selon lui de Turquie, d’Iran, d’Estonie ou encore de Russie (1992-1995).
Les troupes russes prennent son village natal, où sa maison fut brûlée le 15 mars 1999. Il est envoyé à l’étranger pour demander des moyens mais aussi des financements notamment en Turquie. Suite à sa la défaite définitive, il s’exila en Norvège, où il parvient à avoir le statut de réfugié politique. Ensuite, il répond à l’appel de Mounaïev, à la formation du bataillon Djokhar en 2014. Il arrive donc en Ukraine, où il grenouilla plutôt à l’arrière durant la période chaude de l’engagement du bataillon contre les insurgés du Donbass (2014-2015). Ibba Sheïkhi avait comme fonction celui de récolter des fonds pour les trois bataillons formés par les Tchétchènes et autres islamistes se battant pour le régime de Kiev nouvellement formé par les straussiens américains. Ensuite, Ibba rentre bientôt en Norvège où il accorde une interview sur la soit disante future de la victoire de la Tchétchénie.
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il y a un an
Sources :
https://chechen-governmen[...]%D0%B5%D0%B9%D1%85%D0%B8/
https://chechenews.com/%D[...]%D0%B6%D0%BE%D1%85%D0%B0/
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il y a un an
il y a un an
Shamil Tsuneoka-Tanaka
Ce mec là c'est un reporter japonais qui s'est rapproché en 1992 des FIS en Algérie puis est allé en Afghanistan par la suite pour assister à la fondation de l'EI en 1993. Par la suite il revient en Afghanistan avant d'aller au Tadjikistan, en Inde puis au Pakistan à la fin des années 1990. En 1999, il va en Tchétchénie pour y travailler et s'y radicaliser. A ce qu'il parait il aurait été enlevé mais on n'est pas sûr étant donné qu'on sait que ce qu'il raconte se révèle souvent faux. Après être allé en Irak et en Palestine, il est retourné encore une fois en Afghanistan en 2003 et il y reste jusqu'en 2009. Entretemps il se fait arrêté par le FSB après une incursion en Ingourchie. Il se trouve que malgré son visa d'affaires et les apparences, il n'avait pas d'accréditation comme journaliste. Il voulait juste entrer en contact avec des Tchétchènes. Il est envoyé au Danemark qui était devenu une des bases des Tchétchènes exilés, aux côtés de la Norvège. Une fois enlevé an Afghanistan après y être retourné, les Talibans ont exigé le paiement d'un lourde rançon. Ces événements se sont déroulés en 2010. Il est finalement libéra, car nul ne voulait payer la rançon selon lui. Il part ensuite en Syrie après avoir durant le mois d'avril 2013 franchit la frontière de la Turquie. Il rejoint An Nosra, les fameux terroristes dont Fabius disait qu'ils faisaient du bon boulot. Il rencontre ensuite Omar Al SUri, chef wahhabite. Il prétendait être un journaliste indépendant et musulman modéré. Ce qui n'était bien sûr pas le cas. En Ukraine, il rejoint par la suite le bataillon Tchétchène Djokhar Doudaiev en tant que combattant en 2014. Il voulait retourner en Syrie. Finalement les autorités japonaises lui retirent son passeport. Il est par la suite accusé d'avoir participé directement au recrutement d'un islamiste et de vouloir en recruter d'autres. Finalement, le 6 octobre 2014, son domicile se fait perquisitionné. Malgré cela, il retrouve son passeport et va au Vietnam en mars 2015. Il apparait logiquement dans un rapport de l’OSCE Xenophobia, radicalism and hate crime in Europe 2015 en tant que fanatique. Malgré le fait qu'il prétendait ne pas avoir combattu auprès des islamistes, des photos montrent bien qu'il combattait auprès d'eux, avec une photo de lui se trouvant devant un drapeau de l'ISIS, le tout avec une arme à la main.
Ce mec là c'est un reporter japonais qui s'est rapproché en 1992 des FIS en Algérie puis est allé en Afghanistan par la suite pour assister à la fondation de l'EI en 1993. Par la suite il revient en Afghanistan avant d'aller au Tadjikistan, en Inde puis au Pakistan à la fin des années 1990. En 1999, il va en Tchétchénie pour y travailler et s'y radicaliser. A ce qu'il parait il aurait été enlevé mais on n'est pas sûr étant donné qu'on sait que ce qu'il raconte se révèle souvent faux. Après être allé en Irak et en Palestine, il est retourné encore une fois en Afghanistan en 2003 et il y reste jusqu'en 2009. Entretemps il se fait arrêté par le FSB après une incursion en Ingourchie. Il se trouve que malgré son visa d'affaires et les apparences, il n'avait pas d'accréditation comme journaliste. Il voulait juste entrer en contact avec des Tchétchènes. Il est envoyé au Danemark qui était devenu une des bases des Tchétchènes exilés, aux côtés de la Norvège. Une fois enlevé an Afghanistan après y être retourné, les Talibans ont exigé le paiement d'un lourde rançon. Ces événements se sont déroulés en 2010. Il est finalement libéra, car nul ne voulait payer la rançon selon lui. Il part ensuite en Syrie après avoir durant le mois d'avril 2013 franchit la frontière de la Turquie. Il rejoint An Nosra, les fameux terroristes dont Fabius disait qu'ils faisaient du bon boulot. Il rencontre ensuite Omar Al SUri, chef wahhabite. Il prétendait être un journaliste indépendant et musulman modéré. Ce qui n'était bien sûr pas le cas. En Ukraine, il rejoint par la suite le bataillon Tchétchène Djokhar Doudaiev en tant que combattant en 2014. Il voulait retourner en Syrie. Finalement les autorités japonaises lui retirent son passeport. Il est par la suite accusé d'avoir participé directement au recrutement d'un islamiste et de vouloir en recruter d'autres. Finalement, le 6 octobre 2014, son domicile se fait perquisitionné. Malgré cela, il retrouve son passeport et va au Vietnam en mars 2015. Il apparait logiquement dans un rapport de l’OSCE Xenophobia, radicalism and hate crime in Europe 2015 en tant que fanatique. Malgré le fait qu'il prétendait ne pas avoir combattu auprès des islamistes, des photos montrent bien qu'il combattait auprès d'eux, avec une photo de lui se trouvant devant un drapeau de l'ISIS, le tout avec une arme à la main.
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il y a un an
Sources :
https://observers.france2[...]-djihadistes-syrie-photos
https://slavyangrad.es/20[...]para-el-batallon-dudayev/
https://www.osce.org/file[...]/documents/d/5/269681.pdf
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il y a un an
il y a un an
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il y a un an
Passons au bataillon Storm.
Tuez les tous, voilà un siècle que la guerre dure avec la Russie. Cette parole est celle du député Andreï Parouby qui fut l’organisateur du massacre d’Odessa, et pour ainsi dire l’un des parrains du bataillon. L’ordre fut donné de le former par le Ministère de l’Intérieur (14 avril 2014), dans l’idée de recruter un bataillon de police spéciale fort de 500 hommes, et devant défendre la ville contre l’hypothétique « agression hybride », à savoir nettoyer la ville des pro-russes alors majoritaires. Il fut lancé un appel au volontariat dans les rangs de la police nationale, s’adressant aux retraités, mais aussi à toutes les personnes ayant participé au Maïdan dans les rangs des compagnies d’autodéfense. Le recrutement s’avéra très problématique et il fallut vite en abaisser le niveau : « seulement 18 personnes furent sélectionnées, de nombreux candidats ayant été éliminés au stade de la visite médicale, les psychiatres et psychologues du Ministère de l’Intérieur ayant rejeté beaucoup de « forces spéciales » jugées défaillantes » (27 avril). Son commandant, le « Centurion Mikola » y apporta toute une faune de bandéristes et néonazis de la première heure, et quelques-uns furent des participants au massacre du 2 mai. Le bataillon recruta poussivement environ 200 hommes sur les 500 prévus. Ils furent employés à l’assaut du campement de l’esplanade de Koulilovo, et de la Maison des Syndicats (2 mai). Les hommes gardaient également des barrages routiers contrôlant les voitures et les véhicules, dans la peur de l’infiltration « d’agents russes » devant renforcer les éléments anti Maïdan. Un premier contingent de quelques dizaines d’hommes fut envoyé dans le Donbass (fin mai), dans un contexte difficile. La paranoïa était alimentée par la propagande ukrainienne répandant l’idée d’une « agression russe » imaginaire, mais obligeant l’armée ukrainienne et les forces de l’ordre à tenir « des positions » aux frontières de la Russie et face à la Crimée, sans parler de la tentative d’écrasement des insurgés du Donbass. Après une première rotation, un second groupe de 50 hommes, armés d’armes légères, fut envoyé sur le front (20 juillet). Ils participèrent à des opérations contre les populations civiles du Donbass, dans la région de Lougansk, connaissant le baptême du feu près de Georgievka (20 août), évacuant des civils peut-être de force (23 et 30 août). Les membres du bataillon affirmèrent avoir dû lutter contre des effectifs « supérieurs en nombre de parachutistes russes ». En réalité l’unité se contenta de contrôler des barrages routiers pour empêcher les civils de s’enfuir, ou d’autres de venir renforcer les insurgés dans la région, et ne rencontra bien sûr aucun parachutiste russe. Ils participèrent avec la police politique du SBU à des rafles, des arrestations et des perquisitions arbitraires dont les conséquences restent à évaluer (été-automne).
Tuez les tous, voilà un siècle que la guerre dure avec la Russie. Cette parole est celle du député Andreï Parouby qui fut l’organisateur du massacre d’Odessa, et pour ainsi dire l’un des parrains du bataillon. L’ordre fut donné de le former par le Ministère de l’Intérieur (14 avril 2014), dans l’idée de recruter un bataillon de police spéciale fort de 500 hommes, et devant défendre la ville contre l’hypothétique « agression hybride », à savoir nettoyer la ville des pro-russes alors majoritaires. Il fut lancé un appel au volontariat dans les rangs de la police nationale, s’adressant aux retraités, mais aussi à toutes les personnes ayant participé au Maïdan dans les rangs des compagnies d’autodéfense. Le recrutement s’avéra très problématique et il fallut vite en abaisser le niveau : « seulement 18 personnes furent sélectionnées, de nombreux candidats ayant été éliminés au stade de la visite médicale, les psychiatres et psychologues du Ministère de l’Intérieur ayant rejeté beaucoup de « forces spéciales » jugées défaillantes » (27 avril). Son commandant, le « Centurion Mikola » y apporta toute une faune de bandéristes et néonazis de la première heure, et quelques-uns furent des participants au massacre du 2 mai. Le bataillon recruta poussivement environ 200 hommes sur les 500 prévus. Ils furent employés à l’assaut du campement de l’esplanade de Koulilovo, et de la Maison des Syndicats (2 mai). Les hommes gardaient également des barrages routiers contrôlant les voitures et les véhicules, dans la peur de l’infiltration « d’agents russes » devant renforcer les éléments anti Maïdan. Un premier contingent de quelques dizaines d’hommes fut envoyé dans le Donbass (fin mai), dans un contexte difficile. La paranoïa était alimentée par la propagande ukrainienne répandant l’idée d’une « agression russe » imaginaire, mais obligeant l’armée ukrainienne et les forces de l’ordre à tenir « des positions » aux frontières de la Russie et face à la Crimée, sans parler de la tentative d’écrasement des insurgés du Donbass. Après une première rotation, un second groupe de 50 hommes, armés d’armes légères, fut envoyé sur le front (20 juillet). Ils participèrent à des opérations contre les populations civiles du Donbass, dans la région de Lougansk, connaissant le baptême du feu près de Georgievka (20 août), évacuant des civils peut-être de force (23 et 30 août). Les membres du bataillon affirmèrent avoir dû lutter contre des effectifs « supérieurs en nombre de parachutistes russes ». En réalité l’unité se contenta de contrôler des barrages routiers pour empêcher les civils de s’enfuir, ou d’autres de venir renforcer les insurgés dans la région, et ne rencontra bien sûr aucun parachutiste russe. Ils participèrent avec la police politique du SBU à des rafles, des arrestations et des perquisitions arbitraires dont les conséquences restent à évaluer (été-automne).
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a un an
Source :
https://www.pravda-tv.ru/[...]-sluzhit-tolko-psihbolnye
Одесская милиция признала провал попытки сформировать «спецподразделение МВД «Шторм», предназначенное для борьбы с «сепаратистами».
Как передает корреспондент ИА REGNUM, начальник Одесского областного управления МВД Украины Петр Луцюк сообщил местным журналистам, что на формирование подразделения киевские власти выделили ему 250 тыс. гривен, на которые он должен был принять 500 бойцов подразделения. Таким образом, оклад каждого «спецбойца» должен составить 500 гривен (43 доллара, или 1550 рублей).
«При этом мы должны за собственный счет обеспечивать их формой и техническими средствами, обеспечить помещениями и выплачивать заработную плату» — отметил Луцюк.
По словам начальника облуправления МВД, поначалу желающие записаться в спецподразделение «были», однако в результате в его рядах оказалось лишь 18 человек. Многих претендентов, признал Петр Луцюк, пришлось отсеять на этапе медкомиссии. Особенно много несостоявшихся «спецназовцев» забраковали психиатры и психологи МВД.

Одесская милиция признала провал попытки сформировать «спецподразделение МВД «Шторм», предназначенное для борьбы с «сепаратистами».
Как передает корреспондент ИА REGNUM, начальник Одесского областного управления МВД Украины Петр Луцюк сообщил местным журналистам, что на формирование подразделения киевские власти выделили ему 250 тыс. гривен, на которые он должен был принять 500 бойцов подразделения. Таким образом, оклад каждого «спецбойца» должен составить 500 гривен (43 доллара, или 1550 рублей).
«При этом мы должны за собственный счет обеспечивать их формой и техническими средствами, обеспечить помещениями и выплачивать заработную плату» — отметил Луцюк.
По словам начальника облуправления МВД, поначалу желающие записаться в спецподразделение «были», однако в результате в его рядах оказалось лишь 18 человек. Многих претендентов, признал Петр Луцюк, пришлось отсеять на этапе медкомиссии. Особенно много несостоявшихся «спецназовцев» забраковали психиатры и психологи МВД.
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il y a un an
Le bataillon fut ramené entièrement à l’arrière (1er septembre) et caserné dans la ville d’Odessa (à partir de novembre). La ville majoritairement habitée par des Russes ethniques restait problématique pour le gouvernement ukrainien. Il fut décidé que quelques policiers peu armés et inexpérimentés seraient plus utiles à Odessa que sur le front du Donbass. L’unité comme dans le Donbass se contenta dès lors de servir dans la région, toujours au contrôle de barrages routiers, de patrouilles et d’épauler d’autres forces de police plus ou moins officielles pour assurer le contrôle ukrainien sur le grand port historique de la Mer Noire. Les conséquences des répressions politiques ne sont à ce jour pas connues, du fait de l’éloignement de la ville de la zone insurgée, de l’absence de témoignages pour l’instant de ce qui se passa dans les caves du SBU à Odessa, et d’un contrôle policier important dans la région. De ce que nous avons su du Donbass, et surtout de la ville de Marioupol, aux caractéristiques assez similaires (également port, également habitée en majorité de Russes ethniques, etc.), il est probable que les victimes et persécutés furent très nombreux. Le bataillon fut toutefois renvoyé sur le front du Donbass, devant assurer les mêmes missions sur les arrières des positions ukrainiennes dans le Donbass (automne 2015). La compagnie de police Bolgrad fut versée dans ses rangs, formant la 3e compagnie du bataillon. A l’arrière à Odessa, les missions s’étendirent à toute la région d’Odessa, le bataillon servant aussi de police antiémeute, ou de troupes de choc contre les bandes criminelles armées, Odessa étant rappelons-le, le Marseille ukrainien. Une soixantaine de combattants furent renvoyés dans le Donbass, dans la région de Marioupol, pour une nouvelle rotation (avril 2016-avril 2017). Malgré trois années de répressions parfois d’une violence extrême, la résistance des populations se poursuivait à Odessa. La pression fut maintenue, d’autant que la proximité de la Transnistrie, la république insurgée de Moldavie, ajoutait un nouveau problème. La région la plus à l’Ouest du pays, jouxtant le territoire autonome de la Gagaouzie (également en Moldavie), posait d’autres problèmes car elle avait été arrachée à la Roumanie après la Seconde Guerre mondiale, et historiquement rattachée sous la Russie impériale à la Bessarabie, une province russe (du règne de la Grande Catherine à la fin de la Première Guerre mondiale). Proche de terres historiquement très hostiles au seul nom de l’Ukraine, plus attachées à la Russie ou à la Roumanie, la région d’Odessa représentait un défi policier compliqué par la présence d’une puissante mafia locale. Le bataillon participa également à des opérations de propagande en direction de la jeunesse, organisant des camps de vacances sur leur base, avec des jeux et des concours à la manière de l’organisation des Jeunesses hitlériennes (11 mai 2018). Au fil du temps, le SBU démantela une partie des réseaux pro-russes, dont certains des chefs furent échangés par la Russie. Le bataillon poursuivit également l’envoi de contingents dans le Donbass, un groupe de 35 hommes fut envoyé à Marioupol (9 décembre 2019), bientôt remplacé par un autre groupe de 27 hommes qui revînt à Odessa (22 mai 2020). Une autre rotation se termina bientôt (19 juillet) se renouvellant l’année suivante (15 septembre 2021). L’opération spéciale russe trouva le bataillon dans ses positions historiques de la région d’Odessa et de Marioupol. Il est probable que l’unité a subi de lourdes pertes dans le siège et la chute du grand port du Donbass (mars-mai 2022), peut-être l’anéantissement d’une des trois compagnies. Dans Odessa, le bataillon a renforcé ses contrôles et la chasse aux partisans pro-russes, les répressions dans la ville voisine de Nikolaïev (été), furent au moins égales à Odessa (des dizaines, voire des centaines de victimes). A ce jour le bataillon poursuit son œuvre sinistre de répressions et d’arrestations.ù
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il y a un an
Sources :
https://alternatyva.org/2[...]tychnoi-hry-sokil-dzhura/
https://odessa.comments.u[...]shili-na-shid-kraini.html
https://odessa.comments.u[...]shili-na-shid-kraini.html
35 досвідчених спецназівців поїхали на зміну своїм колегам в Маріуполь Група бійців батальйону патрульної служби поліції особливого призначення "Шторм" вирушила в зону проведення операції об'єднаних сил (ООС). Про це повідомили в ГУ Нацполіції України в Одеській області. Так, на зміну своїм колегам в Маріуполь поїхали 35 досвідчених спецназівців. Вони будуть забезпечувати правопорядок, охороняти стратегічні об'єкти та блокпости бійців, а також надавати допомогу громадянам. В зону операції об'єднаних сил підрозділ батальйону патрульної служби поліції особливого призначення проводжали рідні, колеги, керівництво одеської поліції і представники місцевої влади. Заступник начальника ГУ Нацполіції в Одеській області Сергій Махотін побажав їм удачі та натхнення. "Підтримуйте один одного, несіть службу з честю і повертайтеся неушкодженими. Вас чекають вдома", – сказав він поліцейським, вручивши почесні відзнаки батальйону "Шторм". Як раніше повідомляв портал "Коментарі", президент Володимир Зеленський заявив, що Україна згодна на переговори з жителями окупованих територій Донецької та Луганської областей, якщо це будуть не терористи, а переселенці.
Источник:
https://odessa.comments.u[...]eneratoriv-podrobici.html
http://odpublic.net/news/[...]odessu-iz-zony-oos-853776
http://morenews.net.ua/no[...]-na-rotatsiyu-v-zonu-oos/
35 досвідчених спецназівців поїхали на зміну своїм колегам в Маріуполь Група бійців батальйону патрульної служби поліції особливого призначення "Шторм" вирушила в зону проведення операції об'єднаних сил (ООС). Про це повідомили в ГУ Нацполіції України в Одеській області. Так, на зміну своїм колегам в Маріуполь поїхали 35 досвідчених спецназівців. Вони будуть забезпечувати правопорядок, охороняти стратегічні об'єкти та блокпости бійців, а також надавати допомогу громадянам. В зону операції об'єднаних сил підрозділ батальйону патрульної служби поліції особливого призначення проводжали рідні, колеги, керівництво одеської поліції і представники місцевої влади. Заступник начальника ГУ Нацполіції в Одеській області Сергій Махотін побажав їм удачі та натхнення. "Підтримуйте один одного, несіть службу з честю і повертайтеся неушкодженими. Вас чекають вдома", – сказав він поліцейським, вручивши почесні відзнаки батальйону "Шторм". Як раніше повідомляв портал "Коментарі", президент Володимир Зеленський заявив, що Україна згодна на переговори з жителями окупованих територій Донецької та Луганської областей, якщо це будуть не терористи, а переселенці.
Источник:
http://odpublic.net/news/[...]odessu-iz-zony-oos-853776
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il y a un an
Sources :
https://alternatyva.org/2[...]tychnoi-hry-sokil-dzhura/
https://odessa.comments.u[...]shili-na-shid-kraini.html
https://odessa.comments.u[...]shili-na-shid-kraini.html
Источник:
https://odessa.comments.u[...]eneratoriv-podrobici.html
http://odpublic.net/news/[...]odessu-iz-zony-oos-853776
http://morenews.net.ua/no[...]-na-rotatsiyu-v-zonu-oos/
Источник:
http://odpublic.net/news/[...]odessu-iz-zony-oos-853776
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il y a un an
Alexandre Lissokone est un homme né en 1975 et mort en 2014 soit au début de la guerre civile. Ce type est originaire d’un village de la région d’Odessa, il fit des études secondaires, puis effectua son service militaire au début des années 1990. Ultranationaliste, il participa probablement au massacre d’Odessa (2 mai 2014), puis s’enrôla dans le bataillon de police spéciale Storm grade de sergent-chef. Il fut envoyé sur le front du Donbass, et combattit dans la région de Lougansk. Son unité devait être envoyée au repos à l’arrière, et alors qu’il se trouvait dans un autobus avec d’autres militaires du bataillon, le chauffeur s’endormit en pleine nuit, vers 2 heures du matin, sur la route de Dniepropetrovsk. Le bus s’écrasa et se renversa sur le bas côté, tous les occupants furent blessés, et deux furent tués, le lieutenant Romaniouk, et le sergent Lissokone (20 septembre 2014). Malgré le fait qu’il ne soit pas mort dans une mission de combat, et alors que l’Ukraine ne médaillait jamais des hommes tués dans des accidents de la route, accidents domestiques et situations absurdes dues à l’alcool ou la bêtise, il fut tout de même médaillé à titre posthume par le Président Porochenko durant la journée du 16 février 2015.
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il y a un an