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LysVelo
LysVelo
2 ans
Quel rapport avec le rap bordel
:jesus:
Le rapport c'est que t'aimes le rap de youtre
:drac_fume:
il y a 2 ans
Non, on parlait de la remise en question de ta capacité à juger des qualités littéraires des "artistes" que tu admires au vue de tes capacités linguistiques limitées.

Il s'agirait de se concentrer le bas QI.
il y a 2 ans
LysVelo
LysVelo
2 ans
Rohff
:jesus_moqueur:


Le rap c'est vraiment un marqueur de QI infaillible.
Jusqu'à pdrg c'est top rohff
il y a 2 ans
Cette tarlouze pensait pouvoir débarquer sur notre forum
il y a 2 ans
J'approuve les dires de l'OP
À pars gazo de gazé qui sort quelques bons sons le reste est éclatax
:bras_honneur:
il y a 2 ans
J'approuve les dires de l'OP
À pars gazo de gazé qui sort quelques bons sons le reste est éclatax
:bras_honneur:
Gazo
:Crie:
il y a 2 ans


Écoute en entier et viens me dire que c'est de la sous musique, et fait le en étant concentré et sans a prioris juste pour l'expérience
Quand je parle de marqueur de QI, ce n'est pas une plaisanterie.

C'est vulgaire, le texte est nul, la musique discordante. C'est une catastrophe.
il y a 2 ans
Le pic civilisationnel français
:ZemmourMusique:
il y a 2 ans
Non, c'est de la merde depuis l'origine. Le rap participe massivement à l'abrutissement et à l'ensauvagement des masses, c'est le genre qui représente le plus le nègre dans sa sauvagerie la plus absolue, tout en faisant appel aux plus bas instincts sexuels.
:risi_jzoom:


Les caucasiens inventent l'ingénierie, développe les sciences, font avancer l'humanité tandis le nègre lui invente le twerk et le rap. En disant cela, on a tout dit.
:risitas_ahi:
il y a 2 ans
LysVelo
LysVelo
2 ans
Rohff
:jesus_moqueur:


Le rap c'est vraiment un marqueur de QI infaillible.


Écoute en entier et viens me dire que c'est de la sous musique, et fait le en étant concentré et sans a prioris juste pour l'expérience
il y a 2 ans


:zemourzik:
il y a 2 ans
Gazo
:Crie:


:bras_honneur:
il y a 2 ans
C'est la norme, dès que j'entends du rap dans la rue, ou des collègues en mettre sur leur téléphone, peu importe leur origine socio-culturelle, c'est de cet acabit.
il y a 2 ans
Juge la forme, imagin des lyrics d'extrême droite avec cette technique, le côté épique et pas gros looser comme l'autre Orelsan eco ++ avec sa cravate Lidl qui crois balancer des vérités
il y a 2 ans
LysVelo
LysVelo
2 ans
C'est la norme, dès que j'entends du rap dans la rue, ou des collègues en mettre sur leur téléphone, peu importe leur origine socio-culturelle, c'est de cet acabit.
PUTE PUTE PUTE PUTE SALOPE
:guenon_qlf:
il y a 2 ans


Écoute en entier et viens me dire que c'est de la sous musique, et fait le en étant concentré et sans a prioris juste pour l'expérience
J'ai pas besoin d'écouter en entier, c'est de LA MERDE.

J'ai pas besoin de lire tout un livre de Proust ou Chateaubriand pour comprendre leur génie littéraire, de la même façon je n'ai pas besoin d'avaler un bidon d'essence entier pour comprendre que c'est nocif. Ta "musique" est semblable à un bidon d'essence, il faut la brûler pour pouvoir avancer.
il y a 2 ans


:bras_honneur:
Gazo feat Tiakola c'est pas un argument

Vous prenez systématiquement des merdes en exemple, écoute ça et dit moi qu'il y a un rapport :



Écoute en entier sinon inutile de dire que c'est mauvais
il y a 2 ans
Non le rap c'est de la merde à part Freeze Corleone, Vald et Alkpote (et feu Luv Resval), tout le reste aujourd'hui est bien merdique
:cafe:
il y a 2 ans
Il s'est reboot vers 2016

Imagine tu est d'accord avec les lyrics, c'est juste brillant
il y a 2 ans
Gazo feat Tiakola c'est pas un argument

Vous prenez systématiquement des merdes en exemple, écoute ça et dit moi qu'il y a un rapport :



Écoute en entier sinon inutile de dire que c'est mauvais
Mais tu te rends pas compte que c'est de la merde à l'état brut
:jesus_moqueur:


"N'ayant plus d'univers, plus de chambre, plus de corps que menacé par les ennemis qui m'entouraient, qu'envahi jusque dans les os par la fièvre, j'étais seul, j'avais envie de mourir. Alors ma grand'mère entra ; et à l'expansion de mon coeur refoulé s'ouvrirent aussitôt des espaces infinis.

Elle portait une robe de chambre de percale qu'elle revêtait à la maison chaque fois que l'un de nous était malade (parce qu'elle s'y sentait plus à l'aise, disait-elle, attribuant toujours à ce qu'elle faisait des mobiles égoïstes), et qui était pour nous soigner, pour nous veiller, sa blouse de servante et de garde, son habit de religieuse. Mais tandis que les soins de celles-là, la bonté qu'elles ont, le mérite qu'on leur trouve et la reconnaissance qu'on leur doit augmentent encore l'impression qu'on a d'être, pour elles, un autre, de se sentir seul, gardant pour soi la charge de ses pensées, de son propre désir de vivre, je savais, quand j'étais avec ma grand'mère, si grand chagrin qu'il y eût en moi, qu'il serait reçu dans une pitié plus vaste encore; que tout ce qui était mien, mes soucis, mon vouloir, serait, en ma grand'mère, étayé sur un désir de conservation et d'accroissement de ma propre vie autrement fort que celui que j'avais de moi-même; et mes pensées se prolongeaient en elle sans subir de déviation parce qu'elles passaient de mon esprit dans le sien sans changer de milieu, de personne. Et - comme quelqu'un qui veut nouer sa cravate devant une glace sans comprendre que le bout qu'il voit n'est pas placé par rapport à lui du côté où il dirige sa main, ou comme un chien qui poursuit à terre l'ombre dansante d'un insecte, - trompé par l'apparence du corps comme on l'est dans ce monde où nous ne percevons pas directement les âmes, je me jetai dans les bras de ma grand'mère et je suspendis mes lèvres à sa figure comme si j'accédais ainsi à ce coeur immense qu'elle m'ouvrait. Quand j'avais ainsi ma bouche collée à ses joues, à son front, j'y puisais quelque chose de si bienfaisant, de si nourricier, que je gardais l'immobilité, le sérieux, la tranquille avidité d'un enfant qui tette.

Je regardais ensuite sans me lasser son grand visage découpé comme un beau nuage ardent et calme, derrière lequel on sentait rayonner la tendresse. Et tout ce qui recevait encore, si faiblement que ce fût, un peu de ses sensations, tout ce qui pouvait ainsi être dit encore à elle, en était aussitôt si spiritualisé, si sanctifié que de mes paumes je lissais ses beaux cheveux à peine gris avec autant de respect, de précaution et de douceur que si j'y avais caressé sa bonté. Elle trouvait un tel plaisir dans toute peine qui m'en épargnait une, et, dans un moment d'immobilité et de calme pour mes membres fatigués, quelque chose de si délicieux, que quand, ayant vu qu'elle voulait m'aider à me coucher et me déchausser, je fis le geste de l'en empêcher et de commencer à me déshabiller moi-même, elle arrêta d'un regard suppliant mes mains qui touchaient aux premiers boutons de ma veste et de mes bottines.".

Proust.
il y a 2 ans