Cette petite UKRAINIENNE : "Je vais PLANTER des RUSSES"

Édouard Leonov.

Cet individu est né en 1974. Il s'agit d'un type originaire d’Evpatoria, Crimée qui a fait ses études supérieures à Simferopol en langue et littérature ukrainiennes, puis en ingénierie. Par la suite il crée une entreprise et s’engage dans le Parti National-socialiste d’Ukraine, Svoboda, et devient rapidement le chef de file de la branche du parti en Crimée et à Sébastopol durant le début des années 2000. Il s’attaqua à un monument de l’époque soviétique qui fut vandalisé par lui et deux membres du parti. Entretemps, il se trouve que lui et quelques amis bandéristes avaient formé un groupe musical, du nom de Tavro, lequel enregistra un album qui se nomme « Fasciste ». Par la suite, il devient conseiller politique du chef du parti, Oleg Tyagnibok durant l'année 2010, lequel était je le rappelle candidat aux élections régionales de Ternopol. Il fut élu Par la suite, durant l'année 2012, il nommé chef du QG de la campagne électorale du parti pour la région de Tcherkassy., et se présenta aux élections législatives pour la Rada d’Ukraine, élu. Leonov se fait apostrophé par un député du Parti des Régions, car il se trouvait en short dans la Rada. Résultat, Edouard Leonov saute sur ce député, déclenchant un pugilat mémorable comme l’assemblée ukrainienne en a seule le secret. Cela s'était produit le 11 juillet 2013. Il chercha à faire interdire des organisations russes et russophones sur le territoire d’Ukraine, mais aussi des journaux considérés comme étant pro russe en Crimée durant l'année 2013, malgré la très forte sympathie qu'il y avait dans cette région. Il milita ensuite pour l’abolition du Parlement de Crimée, et la transformation de la Crimée en simple région d’Ukraine, et pris position pour que l’Ukraine et la Roumanie se partage la Moldavie. La Transnistrie russe était censée être prise de force sur les Russes ethniques régnant sur la contrée depuis 1992 et intégrée à l’Ukraine. Bien évidemment, il fut l'un des leaders de la révolution orange du Maidan et il fut également membre du QG de « la résistance nationale », nommé par les émeutiers « commandant révolutionnaire du Conseil municipal de Kiev ». Il se représenta à son siège à la Rada (octobre 2014), mais ne fut pas réélu, et fut bientôt arrêté dans l’affaire des émeutes sanglantes bandéristes dans la capitale (31 août), où les néonazis de Svoboda et d’autres formations se livrèrent à des violences. Une grenade fut lancée sur la police protégeant la Rada, causant la mort de policiers et blessant des citoyens. Leonov fut arrêté comme l’un des potentiels organisateurs de ce presque coup de force devant la Rada d’Ukraine. Enfin, il fut assigné à résidence, puis passa dans l’Ouest du pays et le 25 février fut nommé chef de file dans la région de Transcarpatie , et tenta sans succès de s’emparer de la mairie d’Oujgorod (ancien territoire hongrois), réunissant seulement 3 % des voix, 8e place. Il fut invité à un débat télévisé dans la capitale, sur la chaîne de TV TchP.Info où le 1 février 2018, il était directement responsable du déclenchement d' une bagarre et se jeta sur l’un de ses contradicteurs, en l'occurrence le journaliste Rouslan Kotsaba Il avait été mêlé à une bagarre avec un autre député dans la Rada durant l'année de 2014, où il frappé à plusieurs reprisesle député Andreï Bogdantsev. Ce dernier qui eut peur des conséquences dans l’hystérie du Maïdan, et alors que des milliers de néonazis tenaient les rues de Kiev, n’entama aucune poursuite judiciaire. Il attendit toutefois son heure, et porta le 12 décembre 2019, une plainte . Pour rappel, suite à cette bagarre, il avait dû être hospitalisé pendant une semaine. Ainsi donc, Leonov fut-il convoqué à comparaître dans un commissariat de police, à Petcherski le 13 décembre 2019 dès le lendemain de la plainte. Finalement, l'affaire a été étouffé.


MODIFIEE

Sources pour Edouard Leonov.

http://news.sevas.com/pol[...]-iisusa-hrista-fashistami

Депутат-«свободовец» в своей песне назвал себя и Иисуса Христа «фашистами»
Народный депутат Украины от партии «Свобода» Эдуард Леонов, который курирует такие регионы, как Крым и Севастополь, оказался солистом украинской рок-группы «Тавро». Недавно группа выпустила песню «Фашист», которая уже получила неоднозначные отзывы общественности. Своей композицией народный депутат поделился 3 июня на своей странице в «Фейсбуке».

Народный депутат Украины от партии «Свобода» Эдуард Леонов, который курирует такие регионы, как Крым и Севастополь, оказался солистом украинской рок-группы «Тавро». Недавно группа выпустила песню «Фашист», которая уже получила неоднозначные отзывы общественности. Своей композицией народный депутат поделился 3 июня на своей странице в «Фейсбуке».

Так, в песне есть строки, в которых ее исполнитель называет себя и Иисуса Христа «фашистами», а тех, кто распял Иисуса, — «антифашистами».

«Я згадав одного, він учнів просив кохатись у правді, молитві їх вчив, він зцілював хворих, ходив по воді. Його антифашисти розіп’яли на хресті. Він був фашист. Так, фашист», — поет депутат-«свободовец».

«Иисус был не гей, не марксист, значит, точно фашист», — такими словами заканчивается музыкальная композиция Эдуарда Леонова.

Сам народный избранник песню назвал сатирой на попытки «правящего антинародного режима назвать тех, кто борется против него, фашистами».

Ирина ПОСТОЛЬНИК
Фото автора
Проверено корректором

https://prozahid.com/content-16198-html/

Свободівець Едуард Леонов побореться за посаду міського голови Ужгорода



Голова Закарпатської обласної організації ВО “Свобода” Едуард Леонов балотуватиметься на посаду Ужгородського міського голови. Про це Леонов заявив у прямому ефірі каналу “Тиса”. За словами керівника ВО “Свобода”, в мери він іде тому, що вже давно живе в Ужгороді і, на його думку, знає, що ужгородці заслуговують кращої влади.

Едуард Леонов також запевнив: новий виборчий закон не має стати краянам складним у розумінні, до того ж, він набагато кращий, ніж попередній. На думку Леонова головним є не текст закону, а те, щоби при владі були відповідальні люди, – інформує прес-служба Ужгородської міської організації ВО “Свобода”.

https://news.bigmir.net/u[...]ommentiroval-draku-v-rade

“Много ударов по голове”: Богданец прокомментировал драку в Раде

В результате жестокой драки в стенах парламента действующий нардеп оказался в больнице, а бывший - в тюрьме.

Читай также: Полиция задержала свободовца, избившего Богданца

Один из участников драки, нардеп от “Слуги народа” Андрей Богданец прокомментировал драку. Об этом передает Украинская правда.

Причиной драки стал законопроект о рынке земли. После “махача” Богданца госпитализировали с множественными травмами и сотрясением мозга.

Врачи настаивают, чтобы я был в больнице не менее недели. Много ударов по голове, синяки по всему телу, - сказал нардеп.

По словам Богданца, на него напали сразу бывших нардепа от “Свободы”,

Пока я говорил с одним представителями "Свободы", другие начали наносить удары, - сказал он.

Читай также: В Свободе рассказали подробности драки в Раде

Напомним, избитый в Раде нардеп Богданец ранее был судим за хулиганство и драку. Инцидент имел место в 2014 году.

8e brigade d’infanterie de montagne tatare SS (1944), Waffen-Gebirgs-Brigade der SS Tatarische Nr.1. Elle fut formée avec les reliquats de bataillons tatares de police spéciale qui dépendaient du SD, le service de sécurité de la SS. Les débris de ces bataillons passèrent en Roumanie, puis en Hongrie et formèrent la brigade (8 juillet 1944), avec des éléments allemands (environ 3 500 hommes, un tiers d’Allemands). Un premier régiment fut formé qui prit le numéro 64, mais le second régiment ne put jamais être formé (octobre). L’unité ne comptait plus que 2 500 hommes (décembre), passant en Slovaquie où elle fut dissoute (31 décembre), et versée dans la formation SS Turquie Orientale, comme groupe de combat des troupes SS Crimée, Waffen Gruppen Krim (2 bataillons d’infanterie, un escadron de cavalerie). La formation Turquie était composée de Kazakhs, d’Ouzbeks, de Turkmènes, d’Azerbaïdjanais, de Kirghizes, de Ouïghours et donc de Tatars qui portaient des brassards nationaux. Mis à part les Tatars, ils avaient été recrutés pour l’essentiel dans les camps de prisonniers de soldats soviétiques. La formation s’était particulièrement fait remarquer dans les tueries contre les partisans en Biélorussie, durant la répression de l’insurrection de Varsovie et traînait derrière elle une réputation sulfureuse. Elle passa dans les Balkans, les Allemands pensant mieux les employer contre les partisans serbes de Tito, puis termina son chemin en Lombardie. Ils furent faits prisonniers par les alliés, beaucoup réussirent à s’enfuir et disparurent comme les Ukrainiens, les Oustachis, les Allemands, etc, par les lignes des rats dans divers pays occidentaux.

Refat Tchoubarov (1957-), né à Samarcande en Ouzbékistan, d’une famille de Tatars de Crimée déportée. Il fit des études professionnelles en maçonnerie (1974-1975), puis effectua son service militaire dans l’armée soviétique (1975-1977). Il fit ensuite des études pour devenir archiviste et fut diplômé à Moscou (1983). Il fut nommé archiviste, puis monta les échelon jusqu’à celui de directeur des archives d’État de la Révolution d’Octobre et de la construction du socialisme à Riga (1984-1991), membre du Conseil municipal de Riga (1989), député à la Rada de Crimée (1994), vice-président de la Rada (1995-1998), député à la Rada d’Ukraine (1998), vice-président du Comité pour les droits de l’Homme et les minorités nationales (2000-2002). Il fut réélu député à la Rada d’Ukraine (2002-2007), dans le parti Notre Ukraine de Victor Ioutchenko. Il devînt président du Congrès mondial des Tatars de Crimée (2009), et du Congrès du peuple tatar de Crimée (2013). Il fut l’un des fondateurs avec Isliamov de la chaîne de télévision ATR (2010), lié à ce personnage mais aussi Djemilev, il a trempé dans des détournements de fonds alloués par l’Ukraine pour la communauté tatare. C’est toutefois un personnage beaucoup plus discret que ces deux acolytes, menant sa barque avec ruse. Il prit une position contre le retour de la Crimée au giron russe (mars 2014). Il appela sans succès les populations de Crimée à boycotter le référendum de rattachement à la Fédération de Russie (6 mars). Il fut bientôt mis en garde par la procureure de la République de Crimée pour ses activités extrémistes (4 mai), mais il avait fuit en Ukraine et fut bientôt interdit de séjour en Russie pour cinq années (5 juillet). Il tenta de se faire réélire à la Rada d’Ukraine dans le bloc de Porochenko (octobre), mais ne fut élu, cependant un siège étant devenu vacant, il put se faire réélire (mai 2015). La Russie entama des poursuites judiciaires contre lui, pour son incitation à la rébellion en Crimée, et un mandat d’arrêt international fut lancé via Interpol (novembre). Il fut médaillé de l’Ordre de la Liberté par le Président Porochenko (21 janvier 2017). Il tenta de se représenter toujours en soutien de Porochenko, à la Rada d’Ukraine (2019), mais ne fut pas réélu. Il fut condamné par contumace à 6 ans de prison par la Cour suprême de Crimée (juin 2021), pour un certain nombre de chefs d’accusation, dont la création du bataillon Celebicihan. Marié, son épouse vit à Kiev avec qui il a eut trois filles. Ces dernières ont toutes épousé des Russes dans le rite chrétien orthodoxe, ce qui a souvent été un reproche lancé par ses opposants. A noter qu’il n’existe pas de photos publiques de ces trois mariages, Tchoubarov craignant qu’elles soient diffusées. Il fut connu pendant une période pour sa propension à la « bouteille » et son nationalisme tatar se limite en réalité surtout au port du chapeau national. Il provoqua même la colère des Tatars de Crimée fidèle à la Russie, lors de son appel à faire sauter le pont de Crimée qui relie la péninsule à la Russie (juin 2022). Le mouvement ultranationaliste de Medjlis dont il fait partie avec Isliamov et Djemilev reste en effet très minoritaire. Une Assemblée nationale du peuple tatar de Crimée existe en effet, dirigée par Eïvaz Oumerov. Il appela à des sanctions sévères contre Tchoubarov en espérant qu’il soit capturé et conduit en Russie en traversant ce même pont qu’il appelait à détruire (19 juin). Le mouvement des Medjlis quant à lui est interdit sur le territoire de la Fédération depuis plusieurs années.

Sources : https://asd.news/articles[...]sclid=l6dedyvurf893676022

Рефат Чубаров - всю жизнь в чужой шкуре

Глава запрещенного «Меджлиса» заселяет Крым африканерами и устраивает склады оружия в храмах УПЦ

Крымско-татарские экстремисты и их запрещенный в России «Меджлис» переживают сегодня не лучшие времена. Крымскую тему сегодня стараются в Киеве лишний раз не будировать. И это в лучшем случае. А то ведь некоторые эксперты и даже политики прямо говорят, что возврат Крыма под «жовтно-блакитный прапор» нереален, и лучше махнуть на него рукой. И это ведет к тому, что интерес к экстремистским структурам вроде «Меджлиса» стремится к нулю, а вместе с ним туда же стремятся финансовые потоки и надежды на преференции вроде «крымско-татарской автономии» на Херсонщине.

Напомним, что еще накануне прошедших на Украине выборов главы государства известный экстремист и редактор канала АТР Айдер Муждабаев, связанный с руководством «Меджлиса», сетовал:

«Выборы уже близко. Но я не вижу ни среди политических советников, ни в партийных списках (праймериз) обоих «молодых команд» - Владимира Зеленского и Святослава Вакарчука – ни одного крымского татарина. Как они планируют бороться за Крым без его коренного народа - неизвестно. И в других новых политсилах вопрос Крыма, по моим данным, обсуждают почти всегда без нас».

В контексте современных политических реалий потеря интереса к меджлисовцам для них смерти подобна, поскольку обрекает их на «нищенское существование» и зарабатывание денег на «хлеб насущный».

И потому глава запрещенной организации Рефат Чубаров делает все, чтобы хоть как-то привлечь интерес к своей персоне и своей структуре. Так, на днях он сумел заманить в свой киевский офис обмененного террориста Олега Сенцова.

«Сегодня состоялась теплая дружеская встреча с Олегом Сенцовым в офисе Меджлиса крымскотатарского народа. Если очень коротко, Олег – настоящий боец, у которого с освобождением рубежи защиты Украины изменились на плацдармы для перехода в атаку против России для территориальной целостности Украины», – написал Чубаров на своей странице в Facebook.

«Будем вместе освобождать Крым от российских оккупантов и вместе возвращаться домой, в Крым!» – добавил он.

Сообщается, что к встрече присоединился экс-глава крымско-татарского «Меджлиса» и нардеп Мустафа Джемилев, а также еще один из освобожденных заключенных Ильми Умеров.

Как известно, «дело Сенцова» усилиями киевских и западных пропагандистов было невероятно раздуто и имело широкий международный резонанс. Вот и торопится старина Чубаров поэксплуатировать малоопытного и еще не успевшего разобраться в украинских реалиях Сенцова, пока его имя еще фигурирует в медиа-пространстве.

Для Чубарова этот повод тем ценнее, что факт посещения режиссером–террористом его офиса и вправду имел место. А то ведь все последнее время ему приходилось привлекать внимание к себе и «проблеме Крыма» откровенными фейками.

Так, например, в очередную годовщину Крымской весны Чубаров заявил, что в Крыму во время референдума о вхождении в состав России раздавали оружие в храмах УПЦ Московского патриархата (!).

«Я бы, возможно, так горячо не говорил, если бы я в Крыму не видел, как в церквях УПЦ Московского патриархата в первые дни российского вторжения хранилось оружие, туда приходили люди, которых перебрасывали из Краснодарского края. Они там переодевались в форму, и там они получали оружие», - заявил Чубаров в эфире украинского телеканал «Прямой».

Не менее эффектным было заявление главы «меджлиса», что Москва намерена заселить Крымский полуостров… африканерами, или как их еще называют, бурами – европейскими жителями Южной Африки, потомками голландцев и французских протестантов.

По его словам, ради этого российские силовики оказывают давление на крымских татар и «подстрекают к нападениям на них асоциальные элементы», чтобы таким образом «выдавить» их из Крыма, а их земли отдать переселенцам из ЮАР.

«Мы проводили анализ и получили информацию, что оккупанты активно готовятся к замещению населения в Крыму. В том числе, в июне были там представители такого народа, как буры - африканцы европейского происхождения. На сегодняшний день стоит вопрос, чтоб этих людей заселить на территорию оккупированного Крыма», - заявил представитель «Меджлиса», добавив, что причиной заинтересованности буров в переселении в Крым может быть проблематичность их пребывания в ЮАР на данный момент, где они подвергаются нападениям со стороны чернокожего населения.

Как бы эффектно ни звучали эти «сенсационные новости», они опасны тем, что могут намертво прикрепить к «ньюсмейкеру» статус балабола. Впрочем, с Чубаровым, которого в украинском журналистском сообществе ласково и пока за глаза именуют «Оле Лукойе» это, по-видимому, уже произошло.

Но иного было бы странно ждать, если учесть, что «профессиональный крымский татарин» (еще одно закрепившееся за Чубаровым наименование) сделал своей настоящей профессией ложь всегда и во всем.

Анализировать жизненный путь и выступления Чубарова – занятие долгое и не очень приятное. Так что ограничимся изучением тщательно лелеемого им образа – вечно гонимого мученика за свой народ, беззаветно преданного своей нации и религии.

Начнем с того, что «гонимый» Чубаров жил вполне обычной, и, надо признать, довольно успешной жизнью советского человека. С 11 лет этот «изгнанник» живет в Крыму, там он оканчивает восемь классов средней школы, ПТУ, и оттуда призывается в армию. Служит в Молдавии, в стройбате. После службы поступает в Московский историко-архивный институт, окончив который, едет, нет, не на горячо любимую «родину отцов», а в Прибалтику, в Ригу. Что не удивительно, если учесть, что «фанатичный приверженец крымско-татарских традиций» женится на латышке и даже становится примаком. В Риге он устраивается на работу в Центральный государственный архив Октябрьской революции и социалистического строительства Латвии. А уже через год, в 1984 г., становится директором.

Знавшие его в то время люди объясняют его стремительный карьерный взлет очень просто: он «стучал». В то время Балтия начинала «бурлить», и КГБ остро нуждался в информаторах, особенно в таких учреждениях, как госархив.

Все три его дочери вышли замуж за русских. Причем, по-крайней мере, одна из них, старшая венчалась в церкви по православному обычаю, и на венчании присутствовал Чубаров с женой. Правда, запретил, видимо, опасаясь разглашения этой «страшной тайны», фотографировать в храме.

Брат Чубарова Эльведин, делегат V Курултая, женат на русской - Ирине Чубаровой, а его дочь вышла замуж за русского. Таким образом, вся семья Чубарова фактически ассимилировалась после возвращения в Крым.

В этом, конечно, нет ничего плохого, напротив, это даже могло бы свидетельствовать о широте взглядов Чубаровых. Если бы не одно обстоятельство: Рефат Абдурахманович постоянно стращает соплеменников ассимиляцией и проклинает вступающих в смешанные браки.

При этом, строго говоря, по-настоящему татарского в нем – только каракулевая шапка, борода и четки в руках. Дома же, в семье Рефат-эфенди и «вождь всех крымских татар» разговаривает на «языке оккупантов» - на русском.

Скорее всего, в конце 80-х он вообще не особенно «заморачивался» относительно своей национальности и активно осваивался на новой родине в Латвии, даже участвовал в местном политическом бурлении. Так, в 1989 г. Рефат Чубаров от фракции «Народный фронт Латвии» становится депутатом Рижского городского Совета.

Однако, спустя всего год он делает неожиданный вираж, и с 1990 по 1991 гг. появляется в составе Государственной комиссии по проблемам крымскотатарского народа при Совете Министров СССР. Есть все основания полагать, что такое резкое перепрофилирование произошло по воле кураторов, которым потребовался проверенный кадр на крымскотатарском направлении.

Ну а потом грянул август 1991 года, с последовавшим за этим разгромом советских спецслужб, и Чубарову пришлось выплывать самостоятельно, осваивая для себя новую для него роль радетеля за народ и правоверного мусульманина. Вот так он и оказался в чужой шкуре, в которой за последние тридцать лет, надо признать, порядком приобвык.

Однако, выработанная за это время привычка врать, не задумываясь, не ограничивая свою фантазию какими либо рамками, может теперь сыграть с ним скверную шутку, превратив его в посмешище.

Deuxième source pour le même individu.


https://ria.ru/20220619/chubarov-1796542613.html

Крымские татары призвали возбудить дело против лидера "Меджлиса"* Чубарова
Крымские татары призвали возбудить дело на Чубарова после призыва взорвать Крымский мост









СИМФЕРОПОЛЬ, 19 июн – РИА Новости. Глава региональной национально-культурной автономии крымских татар Эйваз Умеров призвал возбудить уголовное дело в отношении лидера "Меджлис крымскотатарского народа"*, одного из организаторов водной и продовольственной блокады полуострова Рефата Чубарова из-за его слов о Крымском мосте.
"Чубаров, вторя украинским националистам, публично заявляет о необходимости атаки на Крымский мост. Истерика беглого лидера, прежде всего, обусловлена большими потерями ВСУ в спецоперации и возможными поставками НАТОвских реактивных систем залпового огня. Убедительная просьба, прокуратуру Российской Федерации и следственный комитет, не оставить без внимания экстремистские высказывания Чубарова и возбудить уголовное дело за призыв к разрушению гражданской инфраструктуры", - сказал РИА Новости Умеров.
По его словам, если Чубаров попадет в руки российского правосудия, то ему выпадет возможность лично проехаться по Крымскому мосту, когда его будут этапировать осваивать северные просторы великой России.

Pour ce qui est du Bataillon Batkivshina

Vladimir Bezverkhiy (1975-2014), originaire de la région de Kirovograd, il s’enrôla dans le bataillon Batkivskhina à sa formation. Il fut envoyé dans le Donbass, servant comme mécanicien-conducteur, et mourut dans des circonstances non précisées, probablement n’ayant rien à voir avec un combat : « mort alors qu’il était en service », dans le hameau de Stepanovka, près de la petite ville de Konstantinovka, non loin de Donetsk, le 20 octobre 2014. Il laissait une veuve et deux filles. Son nom fut couché sur un mémorial dans son district natal (octobre 2015), il rejoignait la liste des défunts suspects du bataillon.


MODIFICATION


Vladimir Bezverkhiy.

Il faut savoir qu'il est né en 1975 et qu'il est mort en 2014. Ce sinistre individu est pour le coup originaire de la région de Kirovograd, il s’enrôla dans le bataillon Batkivskhina à sa formation. Par la suite, Vladimir fut envoyé dans le Donbass, servant comme mécanicien-conducteur, et mourut dans des circonstances non précisées, probablement n’ayant rien à voir avec un combat : « mort alors qu’il était en service », dans le hameau de Stepanovka, près de la petite ville de Konstantinovka, non loin de Donetsk, le 20 octobre 2014. Bezverkhiy laissait une veuve et deux filles. Son nom fut mis sur un mémorial dans son district natal en octobre 2015 suite à sa mort. Ainsi donc il rejoignait la liste des défunts suspects du bataillon.

Victor Boïko.

Ce type est né en 1974 et mort en 2014. Cet individu est originaire de la région de Tcherkassy et vient d'une famille de fermiers. Par la suite Victor fait des études professionnelles comme chauffeur et tractoriste. Victor Boiko effectua son service militaire dans l’armée ukrainienne entre 1992 et 1993 puis signa un contrat pour être mis dans les forces aéroportées. Il effectua alors au moins une mission de maintien de la paix de l’ONU, en Yougoslavie (1993-1994), puis retourna chez lui. En tant que bandériste convaincu, il quitte son traveil et s'engage dans le bataillon de représailles Batkivshina durant Maidan en 2014. Après 4 décennies de vie, il est tué dans les combats de la ville de Mariinka, le 19 juillet 2014, soit près de Donetsk. Il fut enterré dans son village natal puis décoré à titre posthume par le Président Porochenko durant le 4 juin 2015. Enfin, en son honneur, une plaque commémorative est installée dans son école à partir du 13 octobre de la même année avant d'être fait le 17 novembre 2016citoyen d’Honneur par la ville de Tcherkassy.


MODIFIE

Alexandre Bokhine (1990-2021), originaire de la région de Nikolaïev, il fit des études professionnelles, puis effectua son service militaire dans l’armée ukrainienne (2010-2012). Il tomba sous le coup de la mobilisation et répondit à l’appel (2015), et fut versé dans le bataillon Batkivshina. Il servit longuement et après avoir été démobilisé, il décida de signer un contrat d’enrôlement dans l’armée ukrainienne et resta dans le bataillon (2016). Après de nombreuses rotations, il se trouvait en position dans les environs de Popasnaya, région de Lougansk, lorsqu’il fut mortellement blessé par un tireur d’élite républicain (27 juillet 2021). Il fut évacué dans l’hôpital de Severodonetsk, où les tentatives de le sauver furent vaines, il mourut le lendemain, 28 juillet 2021.

MODIFICATION


Alexandre Bokhine, qui est né en 1990, est finalement mort en 2021. Cet individu est quant à lui originaire de la région de Nikolaïev. Après ses études, il fait son service militaire dans l’armée ukrainienne entre 2010 et 2012, avant de tomber sous le coup de la mobilisation en 2015. Il fut mis au sein du bataillon Batkivshina dans lequel il a servi durant longtemps. Après avoir été démobilisé, il signe un contrat d’enrôlement dans l’armée ukrainienne et reste au sein du bataillon. Après de nombreuses rotations, Alexandre Bokhine se trouvait en position dans les environs de Popasnaya, dans la région de Lougansk, quand le 27 juillet 2021, il est touché par un tireur de la république populaire du Lougansk. Bokhine fut évacué dans l’hôpital de Severodonetsk, où les tentatives de le sauver furent vaines, il mourut le lendemain, 28 juillet 2021.

Nikolaï Brissiouk (1975-2016), originaire de Konotop, région de Soumy, il fit des études secondaires, puis travailla comme ouvrier agricole dans une ferme. Il fut mobilisé et répondit à l’appel (27 mai 2015), et fut versé dans le bataillon Batkivshina. Il servit comme conducteur de véhicule blindé, puis comme fusilier. Il fut mortellement blessé lors d’un bombardement, dans la région de Zaïtsevo, près de Gorlovka, le 23 février 2016. Il fut enterré dans sa ville de Konotop relativement tardivement, son corps semble être resté longtemps soit sur le champ de bataille, soit à la morgue (2 avril).


MODIFICATION


Nikolaï Brissiouk. Cet individu est né en 1975 et mort en 2016. Il est originaire de Konotop, région de Soumy. Après ses étude secondaires, il travailla comme ouvrier agricole dans une ferme. Suite à l'appel à la mobilisation, il s'engagea le 27 mars 2014, et fut mis au sein du bataillon Batkivshina. Il sert comme conducteur de véhicule blindé, puis en tant que fusilier. Néanmoins, il est blessé à l'occasion bombardement, dans la région de Zaïtsevo, près de Gorlovka, durant la journée du 23 février 2016. Il meurt du bombardement et est enterré dans sa ville de Konotop relativement tardivement.

Sergeï Diadtchenko dit Kirghize (1979-2017), il naquit dans la ville de Toktogoul, au Kirghizstan, puis sa famille retourna en Ukraine, s’installant dans la région de Tcherkassy. Il fit des études secondaires comme tractoristes, puis effectua son service militaire dans l’armée ukrainienne, dans l’artillerie (1997-1999). Il travailla ensuite dans une ferme d’État comme tractoriste, et préféra abandonner son emploi pour s’enrôler dans le bataillon de représailles Batkivshina (15 mai 2014), pour des raisons politiques. Il fut finalement démobilisé (18 mai 2015), retournant à Tcherkassy, mais il décida de signer un engagement dans l’armée ukrainienne et retourna dans son bataillon (2016). Il fut nommé sergent-chef (30 juin 2017), mais fut tué par l’explosion d’une mine dans la position du village de Peski, le 1er juillet 2017. Il laissait une veuve et fut décoré par le Conseil régional de Tcherkassy, tandis qu’une plaque commémorative était installée dans son école (13 octobre). Il fut encore médaillé à titre posthume par le Président Porochenko (22 janvier 2018).



MODIFICATION


Sergeï Diadtchenko dit Kirghize est un individu qui est né en 1979 et mort en 2017. Il voit le jour dans la ville de Toktogoul, au Kirghizstan. Par la suite, sa famille retourna en Ukraine, s’installant dans la région de Tcherkassy. Il effectue des études secondaires en tant que tractoristes, puis fait son service militaire au sein de l’armée ukrainienne, dans l’artillerie à la fin des années 1990.. Il travaille ensuite dans une ferme d’État comme tractoriste, et préféra abandonner son emploi pour s’engager dans le bataillon de représailles Batkivshina à partir du 15 mai 2014 car c'est un bandériste convaincu également. Mais le 18 mai 2015, il est démobilisé et il retourne à Tcherkassy, et il décida de signer un engagement dans l’armée ukrainienne et retourna dans son bataillon durant l'année 2016. Sergi est nommé sergent-chef le 30 juin 2017 mais meurt des suites d'une explosion d’une mine dans la position du village de Peski, le 1er juillet 2017. Il laissait une veuve et fut décoré par le Conseil régional de Tcherkassy. Une plaque commémorative était installée dans son école à partir du 13 octobre 2017. Le 22 janvier 2018, fut encore médaillé à titre posthume par le Président Ukrainien de l'époque, à savoir Porochenko